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"Dans la Solitude des Champs de Coton" de B.-M. Koltès (par Christophe Bident)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 02-12-2013
/ Canal-u.fr
BIDENT Christophe, DOROSZCZUK Catherine
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Christophe Bident est professeur à l’université de Picardie où il dirige le centre de recherches en art, il est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment sur Blanchot, Maurice Blanchot, partenaire invisible, paru en 2008, et Koltès : Bernard Marie Koltès, Généalogies, paru en 2000, Voix de Koltès paru en 2005. Il présente, lors de sa conférence, deux ouvrages à paraître sur Koltès : un collectif, Dans la solitude de B.M. Koltès, revue Textuel, qui doit paraître en février, et un dernier ouvrage, Koltès, le sens du monde, à paraître en début d’année 2014. Il intervient auprès des étudiants de classes préparatoires littéraires (plus particulièrement les khâgneux) dans le cadre du programme des ENS en 2013-2014, qui a choisi de faire travailler les élèves sur Dans la solitude des champs de coton, pièce centrale dans les écrits et travaux de C. Bident, qu’il choisit d’aborder d’abord en tant qu’ancien metteur en scène, sensibilisant le public aux problèmes que pose la langue de Koltès, sa mémorisation, la diction particulière qu’impose son phrasé, mais aussi l’attribution des rôles, leur violence… Son travail de metteur en scène lui permet de revenir sur la mise en scène mythique de Patrice Chéreau. Il aborde ensuite le problème central de leur programme, celui du rapport entre théâtre et morale, autour de la question du dialogue éthique, et des enjeux de réflexion morale de la pièce. Les questions posées par les élèves sont enrichies par la présence du frère de l’écrivain, François Koltès, qui se prête volontiers à l’échange avec les étudiants, permettant une réflexion commune riche et vivante.Catherine Doroszczuk Mot(s) clés libre(s) : jeu théâtral, mise en scène théâtrale, analyse du discours littéraire, pièce de théâtre, Bernard-Marie Koltès, Patrice Chéreau, Samuel Beckett, François Koltès, théâtre français contemporain
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Confusion. Lecture bruitée d'un scénario non-réalisé de Jacques Tati
/ La Cinémathèque française
/ 18-04-2009
/ Canal-U - OAI Archive
La Cinémathèque française, Podalydès Bruno
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Une lecture exceptionnelle de Confusion, un scénario jamais réalisé et visionnaire signé Jacques Tati. Une lecture mise en scène par Bruno Podalydès et jouée par Caroline Santini, Sylvie Aureille, Géraldine Barbe et Julien Duval.A Paris, la C.O.M.M. (« Compagnie d'Ordinateurs et de Matériels Multividéo »), immense usine ultra-réglée en apparence, veille à la bonne circulation des images et de l'information. Bref, « c'est moderne, tout communique ! », comme s'exclamait déjà Madame Arpel dans Mon Oncle. Mais la C.O.M.M. est un Big Brother aux pieds d'argile et peu à peu, suite à une série d'incidents techniques et humains indépendants de sa volonté, elle cède à la plus grande confusion et à un heureux dérèglement...Truffaut disait de Jacques Tati : « Il voit ce que l'on ne voit plus et il entend ce que l'on n'entend plus, et le filme autrement que nous ». Jamais nous ne verrons Confusion filmé par Tati. Mais on peut imaginer une « lecture bruitée » pour l'entendre, tant ce récit regorge de fines descriptions, de trouvailles sonores et de gags faits pour l'oreille. Alors, s'en faire une idée pour s'en faire une image ? Mot(s) clés libre(s) : cinéma, confusion, jacques tati (1907-1982), mise en scène, scénarios
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Débat sur la mise en scène documentaire (Penser le cinéma documentaire, leçon 4, 2/2)
/ Pascal CESARO
/ 05-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
NINEY François
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Un débat organisé à partir de l'ouvrage de François Niney : "Le documentaire et ses faux-semblants" qui interroge la nature des images à la télévision et au cinéma. A quoi reconnaît-on un documentaire ? Qu'est-ce qui distingue, à l'écran, le monde réel d'un monde fictionnel ? Entre ceux qui croient aveuglément à l'objectivité des prises de vue (actualités ou archives) et ceux qui leur dénient toute vérité, n'y voyant que "mise en scène", le chemin est étroit et parfois sinueux (du fait que s'y croisent réel et imaginaire) mais c'est celui que ce livre cherche à tracer. Aucune prise de vue ne saurait à elle seule prouver un quelconque événement, mais elle montre bien quelque chose du monde à un certain moment (c'est toute la magie du cinématographe). Il convient donc de l'interroger sur son sens, sur ce qu'elle a capté, voulu montrer, sur les circonstances qui la commandent et qu'elle relatent plus ou moins, et comment elle se donne à croire au spectateur (on ne croit pas de la même façon à ce que raconte "La mort aux trousses" ou "Le chagrin et la pitié" ; le « comme si » de la fiction qu’on accepte diffère du « comme ça » du documentaire qu’on peut mettre en doute). Il s'agit donc de clarifier la distinction (et parfois le mélange, amusant ou douteux) entre documentaire et fiction, en s'appuyant sur des exemples, pour élargir la palette des traits discriminants (ou communs). Ce n'est pas seulement la nature — supposément réelle ou imaginaire en soi — de ce qui est filmé qui va déterminer le caractère documentaire ou fictionnel du film, c'est tout autant la relation du filmeur au filmé, le patage des points de vue à travers l’objectif, la tournure de la mise en scène et du montage, la façon qu'a le film de s'adresser au spectateur, de l'entraîner à voir à l'écran notre monde commun ou un monde ajouté ("inventé"), de se faire comprendre comme une énonciation sérieuse (documentaire) ou feinte (fictive)... Sans compter qu'il y a bien des usages documentaires de la fiction (commenté par le réalisateur ou le chef décorateur, à la façon de certains bonus de DVD, un film devient ipso facto un document sur son propre tournage), tout comme il y a certaines fictions qui feignent de n'en être pas et, pour des raisons propagandistes ou commerciales, voudraient bien nous faire croire que "ça s'est vraiment passé comme ça" ! Mot(s) clés libre(s) : analyse esthétique, cinema, documentaire, fiction, imaginaire, mise en scène, réalité, réel, représentation, télévision, théorie du cinéma
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Défense d'entrer
/ Université Nancy 2 - Vidéoscop, SIS - Grand Nancy Terre de Sciences et d'Innovation
/ 30-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
CHAUVELOT Patrick
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En 2058, la Société Anonyme du Génome Humain a été officiellement abandonnée depuis plusieurs années. En réalité, elle poursuit secrètement ses travaux sur le clonage humain mais aussi sur les espèces disparues. Mot(s) clés libre(s) : clonage humain, docufictions, mise en scène, muséum Aquarium de Nancy, sciences et arts, sciences et chorégraphie, société préhistorique
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L'invention de la mise en scène documentaire (Penser le cinéma documentaire : leçon1, 2/2)
/ Gilles DELAVAUD
/ 19-12-1994
/ Canal-U - OAI Archive
DELAVAUD Gilles
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Robert Flaherty et l'invention de la mise en scène documentaire"Documentaire"L'adjectif qualificatif est attesté dès 1876 (Dictionnaire Robert). Appliqué au film , il apparaît en 1896. Le mot, en langue française, devient substantif en 1915. L'abréviation "docu" est attestée en 1967, mais on peut supposer qu'elle existait bien auparavant dans le langage parlé. Le familier (et péjoratif) "docucu" est encore plus récent.En langue anglaise, "documentary" apparaît en 1926, dans un article du New York Sun écrit par John Grierson sur Moana de Flaherty : "Moana, being a visual account of events in daily life of polynesian youth and family, has documentary value." D'après Paul Rotha, le mot est emprunté au français, et sert alors à qualifier "des films de voyage et d'expédition qui ne seraient pas d'ennuyeux comptes rendus de voyage".Sans doute cet article de Grierson a-t-il contribué à donner à Robert Flaherty la figure mythique de "père du documentaire".Historiquement, cette statufication est sujette à examen: dès 1895, des films pourraient être qualifiés de documentaires. Le débat historique et théorique sur la question risque d'être infini et inextricable, sauf à se tenir aux observations suivantes: Comme pour la littérature, on devra dater l'apparition d'un genre cinématographique au moment où il est reconnu et identifié. Les films qui précèdent cette date seront à voir comme des promesses, des prémices, des frayages que seule une conception téléologique de l'histoire de l'art permettrait d'annexer a posteriori au genre , et qu'on valorise alors arbitrairement sous la rubrique des origines. Il n'y aurait pas une origine, mais des commencements. Il est donc vain de chercher à tout prix un "premier documentaire de l'histoire du cinéma français". Le genre naît progressivement, et apparaît entre 1915 (France) et 1926 (Grande - Bretagne)."Documentaire", comme tous les mots de la langue, a subi des glissements de sens, au point qu'un spectateur d'aujourd'hui a une certaine difficulté à accepter comme tels, par exemple, L'homme d'Aran ou Louisiana Story; pour un oeil contemporain, la direction d'acteurs non-professionnels, le procédé du slight narrative (expression de Paul Rotha), rangeraient plutôt ces films du côté de la fiction. Il faut donc admettre que des films classés comme documentaires peuvent maintenant ne plus être perçus selon les mêmes catégories, et que ce changement fait partie de l'histoire du genre. "Documentaire": film didactique montrant des faits réels et non imaginaires" (Robert)La veine didactique du documentaire est inscrite dans son nom même, étymologiquement dérivé du latin docere : enseigner, instruire, montrer, faire voir. Un documentum est un exemple, un modèle, une leçon, un enseignement, une démonstration. ici encore, le glissement historique des mots est à prendre en compte. Actuellement, on en vient à considérer que la transmission des connaissances, dans un documentaire, est peut être un effet secondaire, et pas forcément indispensable, l'essentiel étant alors la donation d'un point de vue à propos d'une réalité. Notes extraites d'un article de Pierre Baudry : Quelques notions de base pour réflechir sur le documentaire, in La mise en scène documentaire, textes réunis par Gilles Delavaud, TOTEM Productions, 1994. Mot(s) clés libre(s) : analyse cinématographique, cinema, documentaire, esthétique, Flaherty, histoire du cinéma, invention du documentaire, mise en scène
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Olivier Roy : "Violence contemporaine, violence à l'ancienne. Daech comme modèle Sadien"
/ 12-05-2015
/ Canal-u.fr
ROY Olivier
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Olivier Roy, directeur de recherche au CNRS, enseigne aujourd’hui à
l’Institut universitaire européen de Florence. Il a notamment publié, au
Seuil, L’Islam mondialisé (2002 ; « Points Essais », 2004) et La Sainte Ignorance. Le temps de la religion sans culture (2008 ; « Points Essais », 2012). Mot(s) clés libre(s) : violence, mise en scène, médiatisation, Daech, sadisme
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Sans commentaires
/ Jean-Baptiste MATHIEU, Les Films de l'Observatoire
/ 30-09-1998
/ Canal-U - OAI Archive
MATHIEU Jean-Baptiste
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Tourné en 1996 tout au long des répétitions de Commentaires de Georges Aperghis, le film observe le travail, les fulgurances et les vertiges du compositeur-metteur en scène et de ses interprètes, comme des funambules inventant à chaque pas leur propre fil. Sous nos yeux, se dévoile l'incroyable surgissement d'un spectacle de théâtre musical qui s'est construit au gré de la fantaisie musicale et poétique de Georges Aperghis. Mot(s) clés libre(s) : art du spectacle, chant, composition musicale, déconstruction, direction d’acteur, gestuelle, jeu théâtral, mise en scène théâtrale, musique contemporaine, narration, théâtre musical, vidéographie
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Théâtre antique et enjeux contemporains : créer dans l’écart / Pierre Letessier, Jean-Claude Bastos, Gregory Bourut
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 12-02-2016
/ Canal-u.fr
LETESSIER Pierrre, BASTOS Jean-Claude, BOURUT Grégory, GARELLI Marie-Hélène
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Théâtre antique et enjeux contemporains : créer dans l’écart / Pierre Letessier, Jean-Claude Bastos, Gregory Bourut, in 4ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 2. Transformation, recréation", organisé, sous la responsabilité de Jean-Yves Laurichesse, par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse Jean Jaurès. Toulouse, Théâtre Daniel Sorano, 12 février 2016.
Et
si, loin d’être « moderne » comme nous l’aimerions, le théâtre antique
était « autre » ? S’il appartenait à un territoire si éloigné et
différent du nôtre que notre lecture ne saurait s’en faire que dans
l’écart et la recréation ? La séance abordera cette question à propos de
la mise en scène de l’Antigone de Brecht par Gregory Bourut, donnée au
Théâtre Sorano du 9 au 12 février 2016. Double écart et double jeu que
cette relecture d’une recréation ? Comment, par l’écart ou malgré lui,
peut-on rejoindre les enjeux contemporains ?
Table ronde animée par Marie-Hélène Garelli (professeur de langues anciennes,
Université Toulouse Jean Jaurès.
Intervenants
- Pierre LETESSIER (maître de conférences à l’Institut d’Études
Théâtrales, Université Paris 3-Sorbonne Nouvelle),
- Jean-Claude BASTOS (comédien et metteur en scène,
responsable de l’espace de création Gare aux Artistes, Toulouse),
- Gregory BOURUT (comédien et metteur en scène, Compagnie Blutack
Theatre). Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, mise en scène théâtrale, théâtre français contemporain, tragédie grecque
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