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Mots-clefs > M > mondialisation
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Le migrant connecté (Dana Diminescu)

/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH / 18-12-2008 / Canal-u.fr
DIMINESCU Dana, WORMSER Gérard
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Partons de l'univers-maison d'une famille philippine de Paris : l'écran d'ordinateur donne accès à leur maison de Manille. D'où un paradoxe : au cœur du « déracinement », on trouve des attaches et des liens préservés. Le programme « TIC et migrations » montre que migrer n'est plus incompatible avec la conservation de liens et de contacts ! Nouvel enfermement communautaire ? Possible, mais s'accompagnant alors d'une manière nouvelle de vivre ensemble.
Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, migration, réseaux, risques, ville, migrant, responsabilitsés
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ENS Lyon - Le migrant connecté (Dana Diminescu)

/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Conseil de Développement du Grand Lyon, ENS-LSH / 18-12-2008 / Canal-U - OAI Archive
DIMINESCU Dana, WORMSER Gérard
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Partons de l'univers-maison d'une famille philippine de Paris : l'écran d'ordinateur donne accès à leur maison de Manille. D'où un paradoxe : au cœur du « déracinement », on trouve des attaches et des liens préservés. Le programme « TIC et migrations » montre que migrer n'est plus incompatible avec la conservation de liens et de contacts ! Nouvel enfermement communautaire ? Possible, mais s'accompagnant alors d'une manière nouvelle de vivre ensemble.
Mot(s) clés libre(s) : migrant, migration, mondialisation, réseaux, responsabilitsés, risques, ville
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L’économie chinoise aujourd’hui : Faut-il en avoir peur ?

/ UTLS au lycée / 13-03-2009 / Canal-u.fr
DOMENACH Jean-Luc
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Une conférence de l'UTLS au Lycée L’économie chinoise aujourd’hui : Faut-il en avoir peur ? Avec Jean-Luc Domenach (Directeur de recherches Science-Po) LYCEE GALILEE (95 CERGY) Partenariat Région Ile de France
Mot(s) clés libre(s) : Chine, économie, mondialisation, puissance économique
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L’économie chinoise aujourd’hui : Faut-il en avoir peur ? - Jean-Luc Domenach

/ UTLS au lycée / 13-03-2009 / Canal-U - OAI Archive
DOMENACH Jean-Luc
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Une conférence de l'UTLS au Lycée L’économie chinoise aujourd’hui : Faut-il en avoir peur ? Avec Jean-Luc Domenach (Directeur de recherches Science-Po) LYCEE GALILEE (95 CERGY) Partenariat Région Ile de France
Mot(s) clés libre(s) : Chine, économie, mondialisation
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L'impact de la mondialisation sur l'entreprise

/ Mission 2000 en France / 21-05-2000 / Canal-U - OAI Archive
DUCHESNE Yann
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"Face à la mondialisation qui s'accélère, les "" actifs immatériels "" constituent une source clé d'avantage concurrentiel. Dans une économie mondialisée où les opportunités de marché sont quasi-pléthoriques, où les capitaux sont de moins en moins une ressource rare, où les technologies sont de plus en plus accessibles et où le coût des interactions baisse de façon vertigineuse, les entreprises doivent s'assurer le contrôle d'avantages compétitifs immatériels. Ce sont les savoir-faire spécifiques et exemplaires, la marque (réputation), les réseaux de relations privilégiées, qui constituent les nouveaux avantages comparatifs. L'importance des ressources immatérielles n'est certes pas nouvelle. Mais elle est intensifiée par la mondialisation : l'ouverture des marchés, dont celui des capitaux, rend moins durables les avantages comparatifs liés à la possession d'actifs physiques ou à l'existence de barrières d'entrée. L'exploitation de ces atouts immatériels dépend de la mise en oeuvre de l'intelligence et de la créativité humaines, donc, plus que jamais, de la qualité des individus que les entreprises sont capables d'attirer. Cela explique la guerre des "" talents "" managériaux engagée par les grandes entreprises : leur aptitude à anticiper et à exploiter les opportunités de la mondialisation, mais aussi à en déjouer les risques, repose largement sur leur capacité à attirer et développer ces talents. Ainsi, parce qu'ils permettent d'exploiter au mieux les actifs matériels, ces avantages comparatifs immatériels constituent les accélérateurs de la performance économique et boursière de l'entreprise. Les investisseurs attendent d'un "" entrepreneur "" qu'il utilise ses atouts dans tous les pays et dans tous les métiers où ils apportent de la valeur. D'où aussi le phénomène de ""course à la taille"" boursière en cours à l'échelle planétaire."
Mot(s) clés libre(s) : bourse, entreprise, fusion entreprisen globalisation, internet, mondialisation, privatisation
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L'impact de la mondialisation sur l'entreprise

/ Mission 2000 en France / 21-05-2000 / Canal-u.fr
DUCHESNE Yann
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Face à la mondialisation qui s'accélère, les "" actifs immatériels "" constituent une source clé d'avantage concurrentiel. Dans une économie mondialisée où les opportunités de marché sont quasi-pléthoriques, où les capitaux sont de moins en moins une ressource rare, où les technologies sont de plus en plus accessibles et où le coût des interactions baisse de façon vertigineuse, les entreprises doivent s'assurer le contrôle d'avantages compétitifs immatériels. Ce sont les savoir-faire spécifiques et exemplaires, la marque (réputation), les réseaux de relations privilégiées, qui constituent les nouveaux avantages comparatifs. L'importance des ressources immatérielles n'est certes pas nouvelle. Mais elle est intensifiée par la mondialisation : l'ouverture des marchés, dont celui des capitaux, rend moins durables les avantages comparatifs liés à la possession d'actifs physiques ou à l'existence de barrières d'entrée. L'exploitation de ces atouts immatériels dépend de la mise en oeuvre de l'intelligence et de la créativité humaines, donc, plus que jamais, de la qualité des individus que les entreprises sont capables d'attirer. Cela explique la guerre des "" talents "" managériaux engagée par les grandes entreprises : leur aptitude à anticiper et à exploiter les opportunités de la mondialisation, mais aussi à en déjouer les risques, repose largement sur leur capacité à attirer et développer ces talents. Ainsi, parce qu'ils permettent d'exploiter au mieux les actifs matériels, ces avantages comparatifs immatériels constituent les accélérateurs de la performance économique et boursière de l'entreprise. Les investisseurs attendent d'un "" entrepreneur "" qu'il utilise ses atouts dans tous les pays et dans tous les métiers où ils apportent de la valeur. D'où aussi le phénomène de ""course à la taille"" boursière en cours à l'échelle planétaire.
Mot(s) clés libre(s) : Internet, entreprise, mondialisation, bourse, privatisation
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Qu'est-ce que l'économie du développement ?

/ UTLS - la suite / 26-07-2003 / Canal-U - OAI Archive
DUFLO Esther
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L'objet de cette conférence est de présenter les objectifs et les méthodes de l'économie du développement. L'économie du développement s'efforce de répondre aux deux questions centrales: Pourquoi certains pays sont-ils pauvres et d'autres sont riches, et pourquoi certains individus sont-ils riches et d'autres pauvres ? Cette conférence tentera de montrer que l'économie du développement a émergé réellement quand les économistes ont pris conscience et tirent les conséquences du fait que la pauvreté elle-même change les conditions dans lesquelles les individus décident, et donc la nature de leurs décisions. Cette dépendance rend la pauvreté persistante, et justifie une intervention gouvernementale ou internationale. L'économie du développement étudie dans les détails ces pièges de pauvreté, en combinant la modélisation théoriques et les études empiriques. Elle ne se borne pas a une approche purement positive (expliquer ce qui est) mais ce risque a des propositions normatives qui débouchent sur des recommandations pratiques. Les propositions normatives sont également l'occasion d'un échange entre la théorie et le travail empirique, la théorie suggérant quelles interventions ont une possibilité d'être efficaces, et le travail empirique évaluant ces interventions. L'économie du développement est ainsi aux avant-postes du travail sur une approche scientifique de l'évaluation des programmes de lutte contre la pauvreté. La deuxième partie de la conférence s'appuiera sur un exemple pour illustrer ces idées : l'adoption de nouvelles technologies en agriculture. En Inde, la "révolution verte" a été l'origine d'un accroissement considérable de la productivité et de la production agricole, pendant les années 70 et 80, avec une adoption rapide de variétés hybrides et d'engrais. L'Inde est aujourd'hui un exportateur net de céréales. Certaines régions du Kenya présentent un contraste frappant: les engrais connus depuis de nombreuses années, et dont de nombreuses expériences dans des fermes expérimentales ont prouvé l'efficacité, sont très peu utilisées. Nous étudierons les raisons possibles de ce phénomène: manque d'information, manque d'accès au crédit ou a l'insurance, dynamiques familiales qui pénalisent l'épargne, etc. L'analyse d'interventions réalisées sur le terrain (au Kenya) nous permettra d'évaluer la pertinence de chacune de ces hypothèses.
Mot(s) clés libre(s) : agriculture, mondialisation, production agricole
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Qu'est-ce que l'économie du développement ?

/ UTLS - la suite / 26-07-2003 / Canal-u.fr
DUFLO Esther
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L'objet de cette conférence est de présenter les objectifs et les méthodes de l'économie du développement. L'économie du développement s'efforce de répondre aux deux questions centrales: Pourquoi certains pays sont-ils pauvres et d'autres sont riches, et pourquoi certains individus sont-ils riches et d'autres pauvres ? Cette conférence tentera de montrer que l'économie du développement a émergé réellement quand les économistes ont pris conscience et tirent les conséquences du fait que la pauvreté elle-même change les conditions dans lesquelles les individus décident, et donc la nature de leurs décisions. Cette dépendance rend la pauvreté persistante, et justifie une intervention gouvernementale ou internationale. L'économie du développement étudie dans les détails ces pièges de pauvreté, en combinant la modélisation théoriques et les études empiriques. Elle ne se borne pas a une approche purement positive (expliquer ce qui est) mais ce risque a des propositions normatives qui débouchent sur des recommandations pratiques. Les propositions normatives sont également l'occasion d'un échange entre la théorie et le travail empirique, la théorie suggérant quelles interventions ont une possibilité d'être efficaces, et le travail empirique évaluant ces interventions. L'économie du développement est ainsi aux avant-postes du travail sur une approche scientifique de l'évaluation des programmes de lutte contre la pauvreté. La deuxième partie de la conférence s'appuiera sur un exemple pour illustrer ces idées : l'adoption de nouvelles technologies en agriculture. En Inde, la "révolution verte" a été l'origine d'un accroissement considérable de la productivité et de la production agricole, pendant les années 70 et 80, avec une adoption rapide de variétés hybrides et d'engrais. L'Inde est aujourd'hui un exportateur net de céréales. Certaines régions du Kenya présentent un contraste frappant: les engrais connus depuis de nombreuses années, et dont de nombreuses expériences dans des fermes expérimentales ont prouvé l'efficacité, sont très peu utilisées. Nous étudierons les raisons possibles de ce phénomène: manque d'information, manque d'accès au crédit ou a l'insurance, dynamiques familiales qui pénalisent l'épargne, etc. L'analyse d'interventions réalisées sur le terrain (au Kenya) nous permettra d'évaluer la pertinence de chacune de ces hypothèses.
Mot(s) clés libre(s) : agriculture, mondialisation, production agricole
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Les nouvelles logiques migratoires

/ UTLS - la suite / 09-07-2003 / Canal-U - OAI Archive
DUMONT Gérard-François
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Les migrations internationales concourent depuis toujours à façonner les territoires, les sociétés et les civilisations. Au fil de l'histoire, leurs motivations résultent de facteurs politico-religieux, économiques et démographiques, ou de la combinaison de ces différents facteurs. Mais le monde contemporain connaît de nouvelles logiques migratoires en raison de la « mondialisation ». Cette dernière influe les migrations selon les trois types de processus qui l'accompagnent. Le premier, la globalisation, c'est-à-dire l'ensemble des décisions politiques ayant pour effet d'estomper les barrières étatiques, rend licites des migrations qui ne l'étaient pas auparavant. Le deuxième, l'internationalisation, permise par les révolutions dans les transports matériels et les nouvelles possibilités de communication, facilite la diffusion d'un imaginaire migratoire, le maintien des liens après les migrations et permet de nouvelles formes de mobilité. Enfin la mondialisation proprement dite, c'est-à-dire les nouvelles stratégies des entreprises, entraîne d'autres migrations internationales car la circulation planétaire des marchandises et des services, loin d'être une alternative aux migrations, en impose sous d'autres formes. Ces nouvelles logiques migratoires appellent pour le 21e siècle de nouveaux impératifs politiques et des exigences éthiques.
Mot(s) clés libre(s) : émigration et immigration, histoire, migration des peuples, mondialisation
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Les nouvelles logiques migratoires

/ UTLS - la suite / 09-07-2003 / Canal-u.fr
DUMONT Gérard-François
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Les migrations internationales concourent depuis toujours à façonner les territoires, les sociétés et les civilisations. Au fil de l'histoire, leurs motivations résultent de facteurs politico-religieux, économiques et démographiques, ou de la combinaison de ces différents facteurs. Mais le monde contemporain connaît de nouvelles logiques migratoires en raison de la « mondialisation ». Cette dernière influe les migrations selon les trois types de processus qui l'accompagnent. Le premier, la globalisation, c'est-à-dire l'ensemble des décisions politiques ayant pour effet d'estomper les barrières étatiques, rend licites des migrations qui ne l'étaient pas auparavant. Le deuxième, l'internationalisation, permise par les révolutions dans les transports matériels et les nouvelles possibilités de communication, facilite la diffusion d'un imaginaire migratoire, le maintien des liens après les migrations et permet de nouvelles formes de mobilité. Enfin la mondialisation proprement dite, c'est-à-dire les nouvelles stratégies des entreprises, entraîne d'autres migrations internationales car la circulation planétaire des marchandises et des services, loin d'être une alternative aux migrations, en impose sous d'autres formes. Ces nouvelles logiques migratoires appellent pour le 21e siècle de nouveaux impératifs politiques et des exigences éthiques.
Mot(s) clés libre(s) : émigration et immigration, histoire, mondialisation, migration des peuples
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