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Visite au Centre de recherche et de restauration des Musées de France
/ FRANCE INTER
/ 20-11-2009
/ Canal-u.fr
FRANCE INTER, UTLS au lycée
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Utls au Lycée en partenariat avec la Tête au carré
(émission en audio uniquement)
Dans les sous-sols du musée du Louvre à la découverte du C2RMF, Centre de recherche et de restauration des Musées de France. Il y a retrouvé les élèves de 1ère L du lycée Sophie Barat de Chatenay Malabry en région parisienne en compagnie de l'Université de tous les Savoirs. Mot(s) clés libre(s) : restauration, Louvre, musée
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Le tourisme et les institutions culturelles
/ UTLS - la suite
/ 13-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
FOURTEAU Claude
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L'irruption du tourisme culturel de masse, il y a une trentaine d'années, a pris au dépourvu musées, monuments et sites. C'est alors que les opérateurs professionnels du tourisme, détenteurs du choix des itinéraires et de l'organisation des visites de groupe, adaptant leurs programmes à des publics - cibles identifiés, ont pris une place dominante dans l'économie, l'image, la pratique et l'interprétation même du patrimoine. Tandis que musées et monuments n'incluaient pas les touristes étrangers dans leur mission éducative, considérant les groupes comme un mal nécessaire bien que convoité, - le marché du tourisme, en associant systématiquement voyage et visites contribuait puissamment à faire accéder aux lieux de culture des publics élargis. Mais quelle pratique culturelle a-t-il installée ? Cependant, les musées et sites culturels ne sont pas les plages. Ils ont fait preuve, de fait, d'une stupéfiante capacité d'adaptation en l'espace d'une génération, adjoignant les fonctions de communication, de gestion, de médiation culturelle, d'études de publics, de marketing, de programmation.. à celles de la conservation. Les grands musées en particulier ont ainsi développé une étendue d'offre et une force de frappe considérables. Récepteurs des voyageurs du monde, ils affrontent aujourd'hui les défis de la mondialisation en étendant sur le monde l'emprise de leur image et de leur présence. Ces évolutions posent des questions nouvelles: les grandes institutions culturelles sont-elles devenues des multinationales ? Les plus petites ou plus fragiles sont-elles vouées à la pénurie ou à la suraffluence touristique ? Les aspirations profondes des voyageurs - visiteurs sont-elles prises en compte ? Comment se repensent aujourd'hui les politiques culturelles au regard des évolutions du tourisme international?... Il semble que le lien qui unissait depuis deux siècles les institutions culturelles et les visiteurs étrangers- l'ambition nationale d'éblouir portée par les uns, et la soif d'admirer apportée par les autres se soit mieux adapté jusqu'à présent aux injonctions du développement économique. Cependant les institutions culturelles auront à répondre sur d'autres terrains, car elles occupent une place majeure au coeur des questions nouvelles du brassage des cultures et de la renégociation des identités. Mot(s) clés libre(s) : administration, culture et mondialisation, économie de la culture, équipements culturels, musées, politique culturelle, tourisme culturel, tourisme de masse
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A la rencontre des chercheurs du Musée de l'Homme - Tatiana Fougal
/ Muséum national d'Histoire naturelle
/ 01-01-2015
/ Canal-u.fr
FOUGAL Tatiana
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Objets inanimés avez-vous donc une âme ? Une âme certainement, dans
le pouvoir de "raconter" l'histoire, la culture, la pensée de la société
qui les a produits. Tatiana Fougal, ethnologue au Musée de l'Homme, les
collecte et les conserve dans les réserves du Musée. Poteries
anthropomorphes, textiles ou aliments. Sacrés ou au contraire très
profanes comme les étuis de téléphones portables. "Allo quoi ?" Eh oui,
il faut le regard du chercheur pour voir ces objets s'animer et
témoigner des modes de vies et des liens des sociétés avec leur
environnement. Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, Muséum national d'histoire naturelle, Musée de l'Homme
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Un "car rapide", un transport en commun sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire.
Diaporama du 28 juillet 2015
/ 28-07-2015
/ Canal-u.fr
EPELBOIN Alain
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Montage de photos de la réalisation des peintures par les peintres El Hadj Kane & Pape Omar Pouye à Dakar, puis arrivée du car au Musée de l'Homme de Paris.Auteurs-réalisateurs Alain Epelboin et Ndiabou Sega TouréPhotos : Alain Epelboin, Jean Christophe Domenech et Vincent BattestiCommentaires de El Hadj Kane & Pape Omar Pouye, extraits du film en cours de production : "Un car rapide au MDH de Paris : un chef d'oeuvre d'art populaire, un art parlant." 46 mnCes "cars rapides", au départ, ce sont des objets du Nord mis au rebut, qui ont été revendus dans les pays du Sud. Mais ils ont été réinvestis à la fois par des savoir-faire techniques, de mécanique, de débrouillardise et en même temps, réinvestis en termes d’objets esthétiques par des peintures spécifiques, mais également par toute une série de protections magiques correspondant aux cultures sénégalaises.Le commentaire des deux peintres, El Hadj Kane & Pape Omar Pouye, soukigne le caractère emblèmatique du chef d'eouvre d'art populaire qu'ils ont réalisés et leur propre fierté d'artiste.Les photos du car montrent :- des motifs ornementaux (fleurs, fruits, oiseaux), comparables à ceux que les jeunes filles éduquées par les religieuses catholiques, puis par leurs grands mères reproduisent sur des draps depuis le début du XX eme siècle- un paon échappé du palais présidentiel sénégalais, un lapin grignotant une carotte, jailli d'un abécédaire...- des évocations historiques d'opposants à la colonisation, Lath Dior sur son cheval, Cheikh Amadou Bamba priant devant une famille de djonns au Gabon, le masssacre de tirailleurs sénégalais à leur retour de guerre en 1944 à Thyaroy, l'Indépendance du Sénégal, la victoire du Sénégal sur la France en 2002, le naufrage du Diola en 2002, les "Barsa barkhat", ceux qui meurent en mer en voulant se rendre en Europe...Il ya aussi de nombreuses formules sentiencieuses, religieuses, protectrices en wolof, arabe et françaishttp://www.ambafrance-sn.org/Un-car-rapide-va-faire-son-entree-au-musee-de-l-Homme-de-Paris Mot(s) clés libre(s) : Sénégal, chef-d'œuvre, mondialisation muséologie, Musée de l'Homme, Paris, Saint Louis, transport en commun, art populaire, rebut, Saviem Goellette SG2, football, video, Dakar, récupération, histoire, peinture, Camp Thyaroue 1944
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Conservateur du Patrimoine - Musée
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 13-07-2016
/ Canal-u.fr
DELPUECH André
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Au sein d’un musée, le conservateur du patrimoine est le responsable des collections dont il assure la gestion. Ainsi, au musée du quai Branly – Jacques Chirac, André Delpuech est en charge d’une collection de plus de 100 000 objets archéologiques et ethnographiques de toutes les Amériques : pièces précolombiennes de Mésoamérique, de la Caraïbe et des Andes, collections Inuit de l’Arctique, des Indiens des Plaines, des Grands Lacs et de la Côte Nord-Ouest, collections amérindiennes d’Amazonie, de Patagonie, productions coloniales et œuvres afro-américaines.
Il prépare et met en œuvre la muséographie des collections permanentes des Amériques en participant à la programmation muséographique, à la sélection des œuvres, à l’installation, la rédaction de la signalétique, des publications et médias associés…
Le conservateur assure, par ailleurs la gestion des inventaires, la responsabilité des prêts et dépôts et l’enrichissement de la documentation des collections en développement des recherches sur les cultures matérielles. Il mène une politique d’acquisition du musée afin d’enrichir les collections par la recherche d’œuvres, le suivi des ventes et du marché de l’art, des collectes sur le terrain. Il assure ensuite l’étude scientifique et technique des collections intégrant le musée.
Le rôle de médiation est une autre dimension du travail de conservateur avec la participation à la diffusion scientifique et aux actions d’éducation, à des projets d’exposition et de manifestations culturelles et scientifiques.
Enseignements, colloques, conférences et publications complètent les activités du conservateur qui s’inscrivent souvent dans le cadre de coopération avec des institutions muséales et de recherche, en France et à l’étranger.
Cette vidéo est issue de la web-série "Devenir Archéologue" produite par l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Pour rester informé de la mise en ligne des futurs épisodes :
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La sculpture en absence de vision
/ Philippe KERGRAISSE
/ 30-05-2015
/ Canal-u.fr
Corvest Hoëlle, Gouyette Cyrille, Peltier Philippe, Steijn Véronique
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Si la substitution du toucher à la vue permet d’appréhender fidèlement la forme d’une œuvre sculptée, elle est moins opérante dans l’identification des matières représentées. Le corps nu est ainsi plus préhensible que drapé. Pour autant, tissus et chevelure dont les textures réelles sont éloignées de leur traduction sculptée peuvent être reconnus grâce à leur localisation sur le sujet. Mais qu’en est-il des éléments qui contextualisent l’œuvre : attribut, supports ou décor ? Comment comprend-on une plume ou un feuillage, comment perçoit-on le feu et ses flammes, l’eau et son écume, l’air ou son souffle ?
Le « toucher » s’impose alors pour percevoir la matérialité de la sculpture dans ses textures, densités et formes. Les mouvements suscités par le suivi de ses contours construisent la spatialité de l’image mentale. Cette image possède un caractère particulier qui se manifeste par «une présence totale», où toutes les faces surgissent à la fois.
La pertinence de la perception tactile doit être examinée et débattue en tant que « PERMIS DE TOUCHER» des œuvres réputées non fragiles. Mot(s) clés libre(s) : Sculpture, toucher et musées
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La restauration des peintures murales antiques. Étude de la collection du musée du Louvre / Delphine Burlot
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-01-2015
/ Canal-u.fr
BURLOT Delphine
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La restauration des peintures murales antiques. Étude de la collection du musée du Louvre / Delphine Burlot, in "Comment restaurer les œuvre d'art", troisième séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 1 : Conservation, transmission" animée par Adeline Grand-Clément et organisée par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 20 janvier 2015.
Cette troisième séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine" interroge la matérialité des œuvres d’art conservées dans les
collections et les musées et perçues comme un « patrimoine » à
préserver. L’histoire de la restauration révèle en effet que le fait
d’intervenir sur une œuvre n’est jamais neutre : les techniques
employées et les objectifs visés sont le fruit d’une époque. Ils
témoignent d’un certain regard porté sur le passé. Mot(s) clés libre(s) : restauration et conservation du patrimoine, Musée du Louvre (Paris), peinture et décoration murales romaines
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Le travail des praticiens de la mémoire publique - 3ème Partie: Deux études de cas
/ Michel KIMMEL
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
AMALVI Christian, BOUDHAR Yasmina
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3ème Partie: Deux études de cas
La table ronde intitulée « Le travail des praticiens de la mémoire publique : l’impact des contraintes matérielles et de la prise en compte du public-cible » s’est tenue le 8 octobre 2015 dans le cadre du colloque interdisciplinaire La Fabrique des mémoires publiques (Université Paul-Valéry, Montpellier, 7-9 octobre 2015). Par « mémoire publique », il faut entendre un mode de rappel d’objets du passé (personnages, événements, œuvres, etc.) où le souvenir est exposé à autrui hors du cadre interindividuel ou familial. Ce partage du souvenir fonde des communautés dans lesquelles chacun est censé s’inscrire. Il y a donc, dans une société, une pluralité de mémoires publiques, dont les rapports avec la mémoire officielle sont complexes.
C’est plus précisément l’impact des impulsions institutionnelles sur la construction de mémoires publiques qui est examiné dans la table-ronde. La réflexion proposée s'appuie sur un dialogue entre diverses disciplines de SHS, mais aussi entre enseignants-chercheurs et professionnels de différents métiers.
La table ronde réunit acteurs et observateurs des acteurs de la mémoire publique : Yasmina Boudhar, muséographe, David Zivie, ancien directeur général adjoint de la mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale, les historiens Christian Amalvi (ancien archiviste et conservateur), Laurence de Cock (membre du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire), Charles Heimberg (concepteur d’un plan d’études en Histoire pour l’enseignement secondaire en Suisse) et Frédéric Rousseau (expert scientifique pour plusieurs musées ; auteur de travaux sur la muséologie).
La table ronde s’est efforcée de conserver une approche très concrète des pratiques, en s’appuyant sur diverses études de cas (notamment, mais pas seulement : commémoration de la guerre de 14-18, Mons Memorial Museum, enseignement de la Guerre d’Algérie, production d’ouvrages scientifiques sur la mémoire).
Modératrice : Isabelle David (MCF, Université Paul-Valéry Montpellier 3) Mot(s) clés libre(s) : musées, publications scientifiques, Mons Memorial Museum, lieux de mémoire
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Le travail des praticiens de la mémoire publique - 1ère Partie: Présentation des intervenants
/ Michel KIMMEL
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
AMALVI Christian, ROUSSEAU Frédéric, HEIMBERG Charles, ZIVIE David, BOUDHAR Yasmina, DE COCK Laurence
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1ère Partie: Présentation des intervenants
La table ronde intitulée « Le travail des praticiens de la mémoire publique : l’impact des contraintes matérielles et de la prise en compte du public-cible » s’est tenue le 8 octobre 2015 dans le cadre du colloque interdisciplinaire La Fabrique des mémoires publiques (Université Paul-Valéry, Montpellier, 7-9 octobre 2015). Par « mémoire publique », il faut entendre un mode de rappel d’objets du passé (personnages, événements, œuvres, etc.) où le souvenir est exposé à autrui hors du cadre interindividuel ou familial. Ce partage du souvenir fonde des communautés dans lesquelles chacun est censé s’inscrire. Il y a donc, dans une société, une pluralité de mémoires publiques, dont les rapports avec la mémoire officielle sont complexes.
C’est plus précisément l’impact des impulsions institutionnelles sur la construction de mémoires publiques qui est examiné dans la table-ronde. La réflexion proposée s'appuie sur un dialogue entre diverses disciplines de SHS, mais aussi entre enseignants-chercheurs et professionnels de différents métiers.
La table ronde réunit acteurs et observateurs des acteurs de la mémoire publique : Yasmina Boudhar, muséographe, David Zivie, ancien directeur général adjoint de la mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale, les historiens Christian Amalvi (ancien archiviste et conservateur), Laurence de Cock (membre du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire), Charles Heimberg (concepteur d’un plan d’études en Histoire pour l’enseignement secondaire en Suisse) et Frédéric Rousseau (expert scientifique pour plusieurs musées ; auteur de travaux sur la muséologie).
La table ronde s’est efforcée de conserver une approche très concrète des pratiques, en s’appuyant sur diverses études de cas (notamment, mais pas seulement : commémoration de la guerre de 14-18, Mons Memorial Museum, enseignement de la Guerre d’Algérie, production d’ouvrages scientifiques sur la mémoire).
Modératrice : Isabelle David (MCF, Université Paul-Valéry Montpellier 3) Mot(s) clés libre(s) : histoire, guerre d'algérie, musées, Première Guerre Mondiale, commémoration, historien, Mons Memorial Museum, mémoire collective, mémoire officielle
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Conserver ou restaurer un avion historique, les limites du choix : le cas du Blériot XI du CNAM et du Breguet 19 Nungesser et Coli du musée de l’Air et de l’Espace.
/ 29-04-2016
/ Canal-u.fr
AGUILELLA CUECO David
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Journée de rencontres : Collecter, conserver et valoriser le
patrimoine aéronautique
Thème : Restaurer des avions de musée
Restaurer des avions de musée en privilégiant la conservation curative et en
limitant les interventions de conservation-restauration dont l’objectif est
d’en améliorer l’appréciation, la compréhension et l’usage ou faire voler des
avions anciens : Ces deux actions obéissent-elles à des logiques différentes et
inconciliables ou sont-elles complémentaires ?
Au cours de la matinée, il sera proposé aux participants d’entendre des
communications qui seront l’occasion de faire le point sur l’évolution des
techniques et des pratiques mises en oeuvre dans la restauration des avions,
notamment dans les ateliers du musée de l’Air et de l’Espace.
Mot(s) clés libre(s) : musée, restauration et conservation du patrimoine
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