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Le vin bio, une continuité du raisin bio : expérience en Pays de la Loire
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
DALLEMAGNE Nathalie
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES
ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Expériences croisées
Nathalie Dallemagne, Le vin bio, une continuité du raisin bio: expérience en Pays de la Loire
Les vignerons bio des Pays de la Loire ont éprouvé le besoin
d'approfondir leurs connaissances sur les processus de vinification tout en respectant l'éthique
bio qui se veut être une oenologie accompagnatrice du vivant.
Dans le cadre de l'accompagnement technique
viticulture-oenologie biologique et biodynamique de la C.A.B., un laboratoire
itinérant a été mis en place avec l'aide du Conseil régional des Pays de la
Loire. Conseillère technique, Nathalie Dallemagne nous explique les motivations
et les objectifs de cette création. Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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Impact de la micro-oxygénation sur le vieillissement des vins de Bordeaux
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 09-03-2012
/ Canal-u.fr
CRACHEREAU Jean-Christophe
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VALORISER SON ELEVAGE POUR SIGNER SON VIN
10e matinée des Œnologues - Bordeaux
>> Bois et Oxygène
Jean-Christophe Crachereau, Impact de la micro-oxygénation sur le vieillissement des vins de Bordeaux
L’élevage est toute la partie de la vie du vin située entre la fin des phases fermentaires et l’étape de préparation des vins à leur conditionnement. Historiquement, la barrique est passée d’un outil de transport à un véritable instrument d’élevage pour les grands vins.
Nous vivons depuis une quinzaine d’années une révolution avec consécutivement l’invention de dispositifs d’oxygénation des vins mais aussi et depuis peu l’autorisation légale d’utiliser des morceaux de bois à usage œnologique alternatifs à la barrique.
L’association des œnologues de Bordeaux a souhaité faire un point sur cette étape déterminante pour le style et le goût futur du vin. Déjà Pasteur écrivait : « C’est l’oxygène qui fait le vin ». Nous verrons donc l’influence de cet élément en association avec le bois. Mot(s) clés libre(s) : bois, élevage, oenologie, barrique, oxygénation, vin
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Nouvelle réglementation Bio : les différences
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
COTTEREAU Philippe
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES
ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Segmentation du marché: quelle réalité pour le vin
biologique et les diverses chartes
Philippe Cottereau, Nouvelle réglementation Bio: les différences
Après des discussions très difficiles entre états
et au sein même de chaque état, un nouveau règlement définit la vinification biologique. Le
texte est élaboré autour du règlement 606/2009 régissant les règles de vinification
conventionnelle.
Les options prises pour l’élaboration de cette
nouvelle réglementation entraînent l’élimination de nombreuses techniques
physiques selon un principe difficilement quantifiable : « la vraie nature du
produit ». Il semble que derrière ces choix et discussions se cache un autre
débat : le vin bio est-il obligatoirement un vin traditionnel et artisanal ? Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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La biodynamie dans le vignoble : deux exemples concrets à Bordeaux
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
COMME Jean-Michel
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES
ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Expériences croisées
Jean-Michel Comme, La biodynamie dans le vignoble: deux exemples concrets à Bordeaux.
Un des intérêts de la biodynamie réside dans le fait qu’on
envisage le vivant dans sa globalité et sa complexité. En viticulture, qualité
et relations avec les « pathogènes » ne sont que deux aspects de la même
connaissance de l’endroit ; c’est-à-dire du terroir avec le cépage qui y est
cultivé.
Pour Jean-Michel Comme, ingénieur œnologue, plus qu’une simple
technique, c’est avant tout une philosophie de vie. Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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Extraction de composés volatils et ellagitanins pendant l’élevage en barrique ou en contact avec des morceaux de bois de chêne
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 09-03-2012
/ Canal-u.fr
CHIRA Kleopatra
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VALORISER SON ELEVAGE POUR SIGNER SON VIN
10e matinée des Œnologues - Bordeaux
>> Bois et Oxygène
Kleopatra Chira, Extraction de composés volatils et ellagitanins pendant l’élevage en barrique ou en contact avec des morceaux de bois de chêne
L’élevage est toute la partie de la vie du vin située entre la fin des phases fermentaires et l’étape de préparation des vins à leur conditionnement. Historiquement, la barrique est passée d’un outil de transport à un véritable instrument d’élevage pour les grands vins.
Nous vivons depuis une quinzaine d’années une révolution avec consécutivement l’invention de dispositifs d’oxygénation des vins mais aussi et depuis peu l’autorisation légale d’utiliser des morceaux de bois à usage œnologique alternatifs à la barrique.
L’association des œnologues de Bordeaux a souhaité faire un point sur cette étape déterminante pour le style et le goût futur du vin. Déjà Pasteur écrivait : « C’est l’oxygène qui fait le vin ». Nous verrons donc l’influence de cet élément en association avec le bois. Mot(s) clés libre(s) : bois, élevage, oenologie, barrique, vin, oxygénation
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Intervention du bois de chêne Quercus sp. sur le développement de Brettanomyces sp. dans les vins
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
CHATONNET Pascal
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13e Matinée des
Oenologues de Bordeaux / "Cherchons la p'tite Brett"
L’élevage en barrique a été souvent associé au développement du caractère « Brett » dans les vins. Même si Brettanomyces sp. peut se développer quel que soit le type de contenant, il est vrai que la conservation au contact du bois de chêne est un facteur susceptible de favoriser le développement de ce microorganisme de contamination. Il reste à comprendre pourquoi. Tout d’abord, le bois de chêne possède une structure microporeuse particulière. La rugosité et la porosité de la surface du bois en contact avec le vin offrent à tous les micro-organismes une surface de développement et une protection vis-à-vis des agents antiseptiques présents dans le vin. Il est donc facile de comprendre que les enjeux du nettoyage d’abord et de la désinfection ensuite sont infiniment compliqués avec un matériau de ce type. D’autre part, certains auteurs ont suggéré que le bois de chêne Quercus sp., en particulier lorsqu’il était chauffé, pouvait libérer dans le vin des sucres favorables au développement de Brettanomyces sp. tels que le cellobiose (β-D-glucopyranosyl (1->4)-D-glucopyranose) ; les barriques neuves ou les solutions alternatives d’élevage (copeaux, douelles), représenteraient alors une source potentielle de nutriments permettant d’expliquer le développement plus important du caractère « phénolé » au contact du bois neuf. Brettanomyces sp. peut effectivement métaboliser différents types de sucres apportés par le bois et son chauffage, notamment des osides simples comme le glucose ou le galactose, mais aussi des diholosides et des anhydrides de sucres formés lors de la dégradation des hémicelluloses (galactopyranosane) et plus secondairement de la cellulose (cellobiose, cellobiosane, levoglucosane). Cependant, lorsque des extraits hydro-solubles de bois de chêne Quercus sp. chauffé ou non chauffé sont ajoutés à un milieu de culture simulant le vin, Brettanomyces sp. ne se développe pas de façon plus importante en présence des extractibles du bois, tout au contraire. Ce résultat démontre que les extractibles de Quercus sp. et notamment les sucres et anhydrides de sucres ne représentent pas un facteur significatif de croissance de Brettanomyces sp. dans les conditions de vinification ou d’élevage. En revanche, le chauffage du bois peut augmenter la teneur en acides cinnamiques et favoriser la production d’éthyl-4-gaïacol. Enfin, s’il existe peu de différences de pénétration d’oxygène entre une barrique usagée et une barrique neuve, en revanche, la réactivité de l’oxygène dans le vin est très différente selon l’âge de la barrique ou le degré de recyclage des alternatives. Cette réactivité dépend directement de la quantité de tannins ellagiques extractibles du bois de chêne, composés éminemment plus réactifs que les polyphénols du vin rouge et qui diminuent avec la durée d’usage. Grâce au phénomène d’oxydation couplée, ils peuvent induire l’apparition de radicaux oxydants puissants. Il s’ensuit que le SO2 moléculaire actif dans une barrique neuve, seul inhibiteur de Brettanomyces sp., est nettement plus instable dans une barrique neuve que dans une barrique usagée.Les observations réalisées dans la pratique sont expliquées par les expériences en solutions modèles. En outre, les barriques neuves possèdent une consume de vin plus importante au cours des trois à six premiers mois d’utilisation ; ce facteur concourt à une pénétration accrue d’oxygène dans les vins élevés en barriques neuves au cours des premiers mois d’utilisation et corrélativement à une oxydation et à une combinaison accrues du dioxyde de soufre. À la lumière de ces résultats, on comprendra aisément qu’il n’y a pas de mystère pour expliquer le développement parfois nettement plus rapide de Brettanomyces sp. dans les vins conservés au contact du bois neuf en comparaison de barriques usagées potentiellement bien plus dangereuses. Mot(s) clés libre(s) : oenologie, Brettanomyces, Phénols, Vin
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Bio et goût du terroir : atouts et dérives
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
CHAPOUTIER Michel
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Pratiques oenologiques: les attentes du marché
Michel Chapoutier, Bio et goût du terroir: atouts et dérives
Si l’histoire du vin
trouve ses origines dans la nuit des temps, les secrets qui ont accompagné les différentes étapes
de son histoire se promènent entre vérités et superstitions, entre certitudes d’un
jour et contre-vérités du lendemain. À qui la gloire de la réussite, à qui la
responsabilité de l’échec ? Qui de l’agronomie, qui de l’oenologie, qui de la
recherche expérimentale, qui de la recherche fondamentale ?
À la fin des années
2000, l’INAO, puis l’O.I.V valident une définition conciliante et simple du terroir. Par cette
définition, il commence à être intéressant et facile de prendre une certaine
hauteur et de se poser la question que serait un terroir, et quels outils et
quels moyens pouvaient l’influencer.
C’est dans ce contexte que la
défense du vivant, des micro-organismes, de la bactériologie trouva un terrain propice pour faire
entendre la philosophie de l’agriculteur biologique. L’approche agrobiologique
(biologique ou biodynamique) a le mérite de rappeler un fondamental agronomique (une plante vivante sur
un sol vivant). Ceci n’est pas réellement innovant, mais interpelle par des
questions qu’on se pose souvent, mais que l’on ne juge pas toujours
prioritaires. S’il est indéniable que l’agrobiologie
a le mérite de remettre l’église au milieu du village dans une pensée agronomique moderne et
adaptée, elle doit aussi savoir reconnaître ses points faibles, carences et limites :
- Au niveau de la vigne
(phytotoxicité des cuivres ?),
- Au niveau de l’oenologie (zéro SO²,
éthylphénols, oxydation, etc.)
- Et enfin
le risque de dérive commerciale en refusant d’écarter Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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Présentation de la mise en place de la nouvelle réglementation vinification Bio sur le terrain en 2012
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
BECQUET Stéphane
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES
ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Segmentation du marché: quelle réalité pour le vin
biologique et les diverses chartes
Stéphane Becquet, Présentation de la mise en place de la nouvelle réglementation vinification Bio sur le terrain en 2012
La mise en place de la nouvelle réglementation européenne R UE
203-2012 Vin bio s’est effectuée pendant le millésime 2012. Elle avait déjà été
en partie anticipée en 2011, car les négociations avaient déjà bien avancé pendant
les vendanges 2011.
Depuis, une enquête a été réalisée par le Syndicat
des Vignerons Bio d’Aquitaine sur les pratiques œnologiques de ses adhérents.
Agronome et vinificateur, Stéphane Becquet nous en présente ici quelques
résultats. Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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Le fruit dans les vins rouges
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 04-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARBE Jean-Christophe
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9e matinée des Œnologues - Bordeaux >> Goût du vin : les dernières avancées de la recherche Jean-Christophe Barbe, Le fruit dans les vins rouges Michael Jourdes, Tanin du bois : évolutions et perceptions sensorielles Axel Marchal, Recherches sur les bases moléculaires de la « sucrosité » des vins secs Produit de consommation et produit du patrimoine, le vin se doit de s’adapter à la demande du marché et de répondre aux attentes des consommateurs. De nombreuses études de recherche sont donc menées chaque année afin de satisfaire le palais des consommateurs avertis. Ce sont les résultats de trois de ses études : sur l’arôme typique de fruits rouges et noirs des vins de Bordeaux, sur les tanins du bois et sur la « sucrosité » des vins secs que présentent Jean-Christophe Barbe, Michael Jourdes et Axel Marchal, respectivement maîtres de conférences à l’Institut des Sciences de la Vigne et du Vin de Bordeaux et docteur en œnologie. Mot(s) clés libre(s) : arômes, oenologie, recherche, vin
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