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Titre
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Logique, ensembles, raisonnements
/ Université Paris-VI, Université Lille-I, Unisciel, SMAI, SMF
/ 2008
/ Unisciel
Bodin Arnaud, Boulakia Muriel, Seguin Nicolas
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Cette série d'exercice est divisée en quatre parties: logique, ensembles, absurdes et contraposée, récurrence. Cette série comprend 19 exercices, des indications et les corrigés. Mot(s) clés libre(s) : logique, ensembles, raisonnement, absurdes, contraposée, récurrence, Exo7
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Exercice 15 (Logique, ensembles, raisonnements) [00153]
/ Guy Vantomme, UNISCIEL
/ 14-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Bodin Arnaud
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Exo7. Exercices de mathématiques pour les étudiants. Retrouvez la correction écrite sur http://exo7.emath.frRaisonnement par récurrence, somme d'entiers, "sigma".Bonus (à 3'22'') : somme d'entiers, somme de cubes. Mot(s) clés libre(s) : raisonnement par récurrence, sigma, somme d'entiers
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Exercice 16 (Logique, ensembles, raisonnements) [00157]
/ Guy Vantomme, UNISCIEL
/ 14-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Bodin Arnaud
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Exo7. Exercices de mathématiques pour les étudiants. Retrouvez la correction écrite sur http://exo7.emath.frRaisonnement par récurrence, fonction, composition, bijection, inverse.Bonus (à 4'53'') : raisonnement par récurrence. Mot(s) clés libre(s) : bijection, composition, fonction, inverse, raisonnement par récurrence
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Exercice 17 (Logique, ensembles, raisonnements) [00155]
/ Guy Vantomme, UNISCIEL
/ 14-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Bodin Arnaud
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Exo7. Exercices de mathématiques pour les étudiants. Retrouvez la correction écrite sur http://exo7.emath.frRaisonnement par récurrence, suite.Bonus (à 5'54'') : somme des premiers entiers impairs. Mot(s) clés libre(s) : raisonnement par récurrence, suite
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Organisation des connaissances et raisonnement diagnostic : quelques conseils pratiques…
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 29-09-2008
/ Canal-U - OAI Archive
BORDAGE Georges
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Spécialiste de la recherche en pédagogie médicale, Georges Bordage détaille les forces et les faiblesses des différentes méthodes de formation au raisonnement clinique. Il distingue le modèle de raisonnement analytique (structuré, contrôlé) et les modèles de raisonnement globalisant de type « pattern recognition » (spontané et intuitif). Il démontre, par l’analyse d’un cas concret, et des discours le décrivant que pour établir un bon diagnostic, l’étudiant doit combiner ces deux approches. Il s’agit donc pour l’enseignant clinicien de donner à l’étudiant une plus grande part de pratique et d'abstraction. Pour cela il est important que l’étudiant sache et puisse exprimer ses incertitudes, ses doutes, dans son dialogue avec l’enseignant. C'est un facteur clé de l'apprentissage.Conférence publique donnée lors de la Journée de rencontres entre enseignants généralistes de la Faculté de Médecine de l'Université Laval de Québec et de la Faculté de Médecine de l'Université Victor Segalen Bordeaux 2. Mot(s) clés libre(s) : diagnostic, pattern recognition, raisonnement clinique
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Qu'est ce que s'orienter dans la pensée ?
/ Mission 2000 en France
/ 21-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BOUVERESSE Jacques
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Conférence du 21 janvier 2000 par Jacques Bouveresse. Reprenant à son compte le questionnement kantien : "qu'est-ce que s'orienter dans la pensée ?", Jacques Bouveresse s'interroge sur le rôle de la philosophie aujourd'hui et sur sa capacité à pouvoir y apporter une réponse. Le philosophe est-il mieux placé que l'homme ordinaire ? Revenant sur les conditions qui ont vu cette question se poser au 18e siècle, il évalue la persistance de cette interrogation aujourd'hui. Les valeurs propres au siècle des lumières, telles que l'universalité, sont-elles encore pertinentes pour appréhender et comprendre le monde contemporain ? Mot(s) clés libre(s) : Kant, morale, Nietzsche, pensée, philosophie, raison
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L’espoir à l’épreuve du progrès
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 22-03-2006
/ Canal-U - OAI Archive
COIFFET Jean-Claude
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Comment aider l’homme à sortir de la désespérance où le plonge l’angoisse existentielle de nos sociétés modernes individualistes ? Par l’espoir ou par le progrès, deux réponses distinctes, pour ne pas dire diamétralement opposées puisque l’espoir est une attente irraisonnée alors que le progrès est une action volontaire, un effort engagé.Ainsi, l’espoir, par la passivité, l’inaction dont il s’accompagne, faute de changer les choses, ramènera sans cesse l’homme à la désespérance car ses espoirs seront tôt ou tard déçus. En revanche, comme l’ont développé les stoïciens, le progrès, généré par l’éducation, la connaissance et le raisonnement seul permettra à l’homme d’affronter son destin et de parvenir à la sagesse et la félicité. Ces deux attitudes face au désespoir humain ont entretenu des rapports complexes et conflictuels durant l’histoire, influençant alternativement différentes époques. Ainsi, la pensée progressiste qui se développe avec Sénèque, marque à nouveau l’humanisme de la renaissance et des lumières, et plus tard la pensée de Marx sur le progrès social. Or, à toutes ces époques, cette idée de progrès a fini par être dévoyée et s’est transformée en messianisme irrationnel, le progrès, conçu comme une force extérieure qui ne nécessite ni volonté ni effort, devenant la projection dans l’avenir d’une société idéale ou d’un homme nouveau : l’espoir renaît alors, qui aboutira de nouveau au désenchantement et à la désespérance.Le XXe siècle avec ses crises, ses guerres, ses génocides… sera l’expression la plus évidente de cette déviation du sens du progrès vers ce nouvel espoir messianique. Mais cette nouvelle situation désespérée au sens philosophique du terme devrait conduire l’homme à se reprendre en main, à s’engager activement, seule réponse possible car efficace.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2005-2006 sur le thème "L'espoir". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : désespoir, destin et fatalisme, déterminisme, espérance, libre arbitre, philosophie hellénistique, progrès, raison
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Que nous apprennent les sciences cognitives sur notre capacité à gérer les conflits d'intérêts?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 06-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
CORNU Jean-Michel
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Penser c’est avancer mais comment pense-t-on ? Pour raisonner, l’homme fait appel à deux mémoires de travail : - la première, la pensée linéaire ou boucle phonologique permet d’enchaîner les concepts mais elle est physiologiquement limitée à une suite de 3 idées. Mais en réalité, les capacités apparemment ténues de cette mémoire à court terme sont considérablement accrues grâce à l’existence d’une mémoire à long terme capable de stocker un vocabulaire symbolique acquis culturellement, permettant ainsi l’émergence de la parole et la construction d’un véritable discours. . - la seconde, le calepin visuo-spatial, permet de construire des liens associant entre elles plusieurs idées, ce qui s’apparente à une planification, à la réalisation d’une carte de concepts. C’est de ce mode de pensée que relèvent les processus de création, la confrontation de différents points de vue, la gestion des conflits d’intérêts. Cependant, tout comme la pensée linéaire, cette seconde mémoire de travail est également limitée et ne permet le traitement simultané que de 5 à 9 idées distinctes. Là encore, les capacités de cette mémoire sont augmentées par l’existence de plans symboliques, stockés dans la mémoire à long terme, et qui favorisent le maniement simultané de nombreux concepts. Partant de ce constat, Jean-Michel Cornu montre combien il est important de chercher à créer la meilleure carte symbolique possible pouvant aider au mieux à gérer les conflits d’intérêts, à travailler collectivement, à être créatifs et innovants et il présente les différents orientations de la recherche actuelle pour y parvenir.La représentation cartographique est un atout pour le raisonnement collectif et individuel et un garant de l’intérêt général. Mot(s) clés libre(s) : calepin visuo-spatial, cognition, conflits d’intérêts, heuristique, mémoire à court terme, mémoire à long terme, mémoire de travail, mind mapping, neurosciences, pensée linéaire, raisonnement, représentation mentale, résolution de problème, sciences cogni
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (1/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Première journée du colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté »- se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français.Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la "première" partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (2/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Seconde journée du Colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté » - se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français. Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la « première » partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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