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Les religions et l’argent (Partie 2)
/ Isabelle PRIETO
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
SALAMITO Jean-Marie, OBADIA Lionel, CORNILLON Jonathan, MOULINS-BEAUFORT de Eric
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(2ème partie du Film)
À l’occasion de la Fête de la Science, le laboratoire Orient et
Méditerranée propose un café des sciences qui réunit les chercheurs et
le public autour d’un sujet de recherche mené par les membres du
laboratoire.
Cette année, la discussion s’est appuyée sur "L'argent des Dieux" en parallele du colloque organisé du 16 au 18 octobre 2014 .
Les invités ont débattu dans un premier temps des relations établies
entre les religions et l’argent de l’Antiquité jusqu’au Moyen-Âge.
Dans un deuxième temps a été abordée la place de l’économie religieuse dans les sociétés contemporaines.
Ont participé :
Jean-Marie Salamito, enseignant chercheur (Université Paris Sorbonne - Orient et Méditerranée)
Jonathan Cornillon, allocataire - moniteur (Université Paris Sorbonne)
Lionel Obadia, anthropologue (Université Lumière Lyon2)
Eric de Moulins-Beaufort, évêque-auxiliaire de Paris, superviseur du pôle ressources de l’archidiocèse de Paris
Le débat est organisé et animé par Isabelle Prieto Mot(s) clés libre(s) : rapport à la religion, histoire
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Les religions et l’argent (Partie 1)
/ Isabelle PRIETO
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
SALAMITO Jean-Marie, OBADIA Lionel, CORNILLON Jonathan, MOULINS-BEAUFORT de Eric
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(1ère partie du Film)
À l’occasion de la Fête de la Science, le laboratoire Orient et
Méditerranée propose un café des sciences qui réunit les chercheurs et
le public autour d’un sujet de recherche mené par les membres du
laboratoire.
Cette année, la discussion s’est appuyée sur "L'argent des Dieux" en parallele du colloque organisé du 16 au 18 octobre 2014 .
Les invités ont débattu dans un premier temps des relations établies
entre les religions et l’argent de l’Antiquité jusqu’au Moyen-Âge.
Dans un deuxième temps a été abordée la place de l’économie religieuse dans les sociétés contemporaines.
Ont participé :
Jean-Marie Salamito, enseignant chercheur (Université Paris Sorbonne - Orient et Méditerranée)
Jonathan Cornillon, allocataire - moniteur (Université Paris Sorbonne)
Lionel Obadia, anthropologue (Université Lumière Lyon2)
Eric de Moulins-Beaufort, évêque-auxiliaire de Paris, superviseur du pôle ressources de l’archidiocèse de Paris
Le débat est organisé et animé par Isabelle Prieto Mot(s) clés libre(s) : rapport à la religion, histoire
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La croyance religieuse
/ Mission 2000 en France
/ 29-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
RICOEUR Paul
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Conférence de Paul Ricoeur : "La croyance religieuse" Mot(s) clés libre(s) : croyance, foi, religion
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Les rites de l’enfance à La Réunion : Sévé mayé
/ 20-09-1997
/ Canal-u.fr
POURCHEZ Laurence
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La cérémonie dite des "cheveux maillés", présente à l’île de La Réunion dans la majeure partie de la population, permet d’observer comment, au travers des différentes versions d’un rite de la petite enfance, les réunionnais affirment, par la recherche puis le refus d’une mémoire ancestrale, une nouvelle identité créole. Cette pratique rituelle apparaît comme le support d’une gestion de l’ethnicité particulière qui tient compte des diverses origines des habitants de l’île par la manifestation possible d’ancêtres issus des différents groupes en présence. Mais au delà de ce "marquage ancestral ", la pluralité des communautés concernées exprime la mixité, l’interpénétration des différents groupes, et révèle un processus de créolisation qui reconnaît les données issues des différentes origines ethniques des réunionnais, les intègre et les "mixe" selon un modèle nouveau, original et syncrétique. Mot(s) clés libre(s) : danse, Sévé Mayé, rasage, deviner, malbar, baptème, vierge noire, mixité ethnique, ancêtre, chant, cheveux maillés, rituel thérapeutique, musique, maladie, religion, vidéo, Réunion, syncrétisme, film ethnographique, petite enfance, devin guérisseur, Sainte-Marie
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Regards européens sur l’Islam (19e – 20e siècle) - François Pouillon
/ 08-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
POUILLON François
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Il est possible de parler de regards européens sur l’islam comme du développement, en Occident, d’une curiosité, puis d’une connaissance articulée qui, progressant avec le temps, a conduit à une meilleure compréhension de civilisations lointaines - et, pensait-on un peu, à un rapprochement entre les peuples. La vigoureuse récusation lancée par Edward Saïd dans son Orentalism (1978), qui analyse cette connaissance comme un instrument de domination, dans le cadre d’un projet colonial, invite à une remise en question.
Nous souhaitons le faire, sans suivre la thèse d’Ed. Saïd cependant, mais en montrant que les termes mêmes de la réflexion - l’opposition entre un observateur et un « objet » observé - ne vont pas de soi. À partir d’une large enquête conduite dans le cadre de l’élaboration d’un Dictionnaire historique et critique des orientalistes de langue française (pour paraître chez Karthala), nous voulons rétablir un peu la réalité des processus de connaissance (et de domination), et montrer qu’il y a une inextricable imbrication entre observateurs et observés.
Les représentations ne se construisent pas de façon unilatérale, comme dans un rêve, mais dans une relation où des discours tenus, des images produites, des choses alternativement exhibées ou cachée, conduisent à l’affirmation d’une identité collective, à la construction d’un patrimoine, aux rapports réfléchis entre une tradition locale et une modernité mondialisée. Même s’ils se présentent sous la forme d’essences intemporelles, occultant les processus anthropologiques dont ils sont les produits transitoires (hier comme objet d’uns science irénique, aujourd’hui inscrits dans un « choc des civilisations »), les objets sociaux et leurs images sont des formations réactives et rétrospectives terriblement inscrits dans l’histoire, et la dénonciation de certains « regards européens » occupe désormais une part importante dans leur construction. Mot(s) clés libre(s) : islam, religion
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Les religions face aux théories et aux politiques de la "race" 2
/ Jean René BORELLY
/ 03-06-2016
/ Canal-u.fr
PERIN Raffaella, SIBRE olivier, CARNEY Sebastien
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LES REACTIONS RELIGIEUSES FACE AUX POLITIQUES RACIALES (contestations , silence,participation )
INTERVANTS :
– Raffaella Perin (Université Ca’Foscari Venise)
« Le Saint-Siège face à l’idée de race dans les années 1930 »
Même si la revendication du « monogénisme », c'est à dire la croyance en une origine unique de l'homme, créature de Dieu, et par conséquent de l’unité du genre humain, avait été la base pour s'opposer au racisme grandissant en Europe, les problèmes pratiques des bouleversements causés par l'adoption des lois raciales en Allemagne et en Italie contraignent la Curie romaine et quelques personnalités catholiques à l’image de l'ethnologue Wilhelm Schmidt ou du théologien Mario Cordovani à aller plus loin dans
l'analyse et à utiliser le langage de la science pour exprimer le point de vue catholique sur la question de la « race ». Quels usages les catholiques faisaient-ils du mot « race » ? Quelle a été la position du pape Pie XI, à l’encontre du racisme d'Etat ? Dans quel terme exact ce dernier condamne-t-il le racisme dans son encyclique Mit brennender Sorge (1937) ?
- Olivier Sibre (LABEX EHNE/GSRL)
« L’Église catholique et le ‘‘sain nationalisme japonais’’ »
Le concept de « race » a ses méandres religieux et particulièrement catholiques. De fait, l’Eglise suit l’expansion européenne, et les défis du rapport aux cultures locales, mais aussi aux autorités locales coloniales. A ce titre, la situation du Japon émerge de façon singulière. L’Eglise y compte une présence pluri-séculaire, mais extrêmement faible numériquement, la plus faible d’Asie orientale encore aujourd’hui. Pourtant, l’engagement missionnaire et diplomatique est fort dès la redécouverte des chrétientés des environs de Nagasaki dans les années 1860. Le retour catholique après la « fermeture » Tukugawa correspond donc aux réformes de l’ère Meiji et aux transformations complexes et profondes du Japon contemporain. Dans ce cadre, l’idée nationale, le rapport à l’Etat, la constitution d’un « culte national », le problème de l’autorité impériale et le mimétisme colonial japonais voient politiques et idées s’affronter. En politique étrangère le Japon affirme le principe de l’égalité des races (1919), pour liquider définitivement le déclassement et l’inégalité de droit qu’il subit au sein du concert des puissances. Par la suite, considérant que sa mise à l’écart est l’expression d’un racisme anti-japonais, et donc anti-asiatique, le Japon s’autoproclame défenseur des Asiatiques, contre le racisme occidental. Dans ce contexte, l’Eglise catholique, confrontée au racisme, et à l’antisémitisme en Occident semble silencieuse, jusqu’à l’encyclique Mit Brennender Sorge de Pie XI. Dès 1938, le délégué apostolique à Tokyo publie un texte dans lequel il évoque le « sain nationalisme japonais », qu’il distingue du « mythe du sang et de la race », reprenant mot pour mot les termes de l’encyclique à destination des nazis. Or, ce document s’inscrit à la suite d’un long rapport (dubbio) pour la Secrétairerie d’Etat concernant les « rites civils et patriotiques japonais », établissant une analyse complète de la culture, de la société et de la politique au Japon depuis le XVIIIe siècle. La communication s’interroge donc sur la compréhension politico-religieuse de la « race » au Japon, à l’époque du « racisme triomphant », notamment via l’antisémitisme, en Europe. La communication s’attachera à la fois à mettre en lumière les ressorts de l’expertise catholique sur le Japon passé et contemporain, et les transferts éventuels d’analyse et de compréhension entre l’Occident contemporain et l’empire du soleil levant.
- Sébastien Carney (Université de Bretagne occidentale/CRBC)
« De la religion contre la race à la religion de la race. Christianisme et nationalisme bretons au début du XXe siècle. »
Dans la première partie du XXe siècle, les relations entre race et religion n'ont cessé d'être une préoccupation du nationalisme breton. Dès 1919, une équipe de jeunes gens regroupés autour de la revue Breiz Atao ! se persuade que la Bretagne a perdu la Grande Guerre, et que la participation des Bretons eux-mêmes à l'Union Sacrée témoignerait d'une dégénérescence favorisée par l’oeuvre de francisation menée par l’Église. Dans cette optique, une poignée de militants nationalistes bretons prétend alors régénérer la race en
la receltisant au contact des Irlandais, Gallois et Écossais. Mais ces contacts sont infructueux et ils se tournent bientôt vers l'Allemagne. Dans les années 1930, inspirés par le nazisme, quelques idéologues du Parti national breton s'intéressent aux théories nordicistes. Pour ces Bretons, Celtes et Germains font partie d'une grande voûte nordique, rempart de la civilisation en Europe. Mais après 1937 et l'encyclique Mit brennender Sorge, ces idées conduisent quelques militants catholiques à quitter le parti. L'affaire est grave, car ces dissidents privent le parti de leur dynamisme et de leur argent. Aussi doit-on les amadouer pour les faire revenir. Dès lors, les tenants du nordisme - Olier Mordrel surtout - s'efforcent d'établir un « racisme breton » compatible avec le christianisme. Pour convaincre, Mordrel sait qu'il doit recourir à l'appui de catholiques racistes, voire du clergé lui-même. Dans sa revue doctrinale Stur, il étaye son racisme en s'appuyant sur Le règne de la race, ouvrage de l'abbé Gantois, et sur les écrits d'ecclésiastiques allemands. Mais il ne trouve aucun soutien dans le clergé local : tout juste parvient-il à publier la lettre d'un « catholique averti » qui n'est vraisemblablement autre que lui-même. Mordrel ne peut convaincre sans s'attirer les bonnes grâces du milieu religieux dominant en Bretagne. Les efforts qu'il déploie lui valent la réponse globalement favorable de l'abbé Pierre-Jean Nédelec qui, dans la revue que les militants catholiques dissidents viennent de créer, se montre plutôt bienveillant avec le « racisme breton » et entame un dialogue avec Mordrel. Ce dialogue est interrompu par la guerre, qui porte les catholiques dissidents à la tête du Parti national breton, à la place de Mordrel. Soutenus par les Allemands, ils ne peuvent qu'adhérer à leur tour aux théories nordistes, sans toutefois bénéficier, eux non plus, d'un quelconque appui ecclésiastique dans ce domaine. Pour certains, ce n'est donc plus un racisme original qu'il faut proposer à la religion catholique, mais une religion nouvelle à la race nordique. Progressivement, l'activiste radical Célestin Lainé théorise une « foi nordique ». Puisant chez Nietzsche et chez Maître Eckhart, s'inspirant de l'Unabhängige Freikirche, « Église libre indépendante » de Friedrich Hielscher, il élabore un paganisme adapté à la race celte de guerriers dont il rêve. Lainé, autopropulsé druide, créé et dirige un ordre de moine-guerriers, auquel il donne des statuts, une liturgie, des rites. Mais ce paganisme est condamné par le mentor de Célestin Lainé : l'abbé nationaliste Jean-Marie Perrot. Lorsque ce dernier est abattu par la Résistance, la troupe de Lainé se baptise « Unité Perrot », du nom du prêtre-martyr. Pour autant, cette récupération ne signifie pas l'adhésion du clergé breton au racisme païen. Célestin Lainé lui-même sait qui dirige la conscience des Bretons : à l'enterrement de Perrot, le druide et ses hommes organisent une cérémonie funèbre païenne, mais, dans le secret de la sacristie, Lainé s'agenouille et baise l'anneau de Mgr Dupar
– Discussion Mot(s) clés libre(s) : religion et politique, religion et Etat, RELIGION ET RACE
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Art contemporain et tradition théologique. Table ronde / Lydie Parisse, Valère Novarina, Amador Vega
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-10-2015
/ Canal-u.fr
PARISSE Lydie, NOVARINA Valère, VEGA Amador
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Art contemporain et tradition théologique. Table ronde / Lydie Parisse, Valère Novarina, Amador Vega. Table ronde animée par Lydie Parisse, in séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 2. Transformation, recréation" organisé par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse-Jean Jaurès, 20 octobre 2015.
Contrairement aux théologies dites « positives », qui peuvent dire quelque chose sur le divin positivement, la tradition dite de « la voie négative » affirme que le problème du divin ne se laisse enfermer dans aucun appareil conceptuel. Or, une partie de la création moderne et contemporaine s’abreuve aux lectures des textes de cette tradition ancienne. Selon Valère Novarina, ces derniers contiennent l’essence du théâtre ; selon Amador Vega, ils sont à l’origine de l’art contemporain. Comment cette référence aux textes du passé peut-elle renouveler notre regard sur le langage, sur l’humain, sur la littérature, sur l’art ?
Cette rencontre-lecture est en lien avec le spectacle Le Vivier des noms qui se jouera au Théâtre Sorano de Toulouse du 17 au 19 novembre 2015.
Intervenants
Lydie Parisse, maître de conférences de
littérature française à l'Université Toulouse Jean-Jaurès,
Valère
Novarina, écrivain et metteur en scène,
Amador Vega, professeur
d’esthétique et de philosophie de la religion à l'Université Pompeu
Fabre de Barcelone. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, création artistique contemporaine (21e siècle), théâtre contemporain, patrimoine littéraire, mystique et littérature, littérature et religion
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La laïcité vue par un musulman
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 21-04-2004
/ Canal-U - OAI Archive
OUBROU Tarek
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Le principe de laïcité, inscrit dans la constitution, représente aujourd’hui un des fondements de la République française. Il repose sur deux principes : l’obligation de l’État de ne pas intervenir dans les convictions de chacun et l’égalité de tous devant la loi, quelle que soit leur religion. Mais dans le contexte actuel de réémergence du fait religieux et des revendications identitaires, comment négocier la pratique musulmane en France?La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2003-2004 sur le thème "Demain". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : coran, identification, intégration, islam, islam et état, laïcité, musulmans, religion, sécularisation
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Que font les artistes - Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 05-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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L’activité artistique et esthétique ne se limite pas à la seule production d’une œuvre mais se prolonge au-delà dans l’impact qu’elle provoque. En effet, l’artiste produit de nombreux effets : émotionnels, moraux, cognitifs mais aussi sociaux. C’est à ce phénomène que s’intéresse ici Yves Michaud, professeur de philosophie et spécialiste d’art contemporain.Une conférence de l'UTLS au lycée avec Yves Michaud (philosophe). Lycée Emile Duclaux, Aurillac (15) Mot(s) clés libre(s) : art et morale, art et politique, art et religion, artistes, esthétique, philosophie de l'art, sociologie de l’art
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Le respect - Yves Michaud
/ UTLS au lycée
/ 16-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MICHAUD Yves
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Une conférence de l'UTLS au lycée avec Yves MichaudLycée Jean Macé Mot(s) clés libre(s) : religion, respect, violence
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