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Le rôle des intellectuelles antillaises dans la création de la négritude / Christine Dualé
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-02-2013
/ Canal-u.fr
DUALÉ Christine
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Le rôle des intellectuelles antillaises dans la création de la négritude / Christine Dualé. In journée d'étude "Les Amériques noires : identités et représentations", organisée par l'Institut de Recherches Intersites Études Culturelles (IRIEC) et l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 8 février 2013.Après avoir évoqué la généalogie masculine du concept de négritude, dans la France des années 30, par les intellectuels noirs fancophones (Damas, Césaire, Senghor...), cette communication s'intéresse à la généalogie féminine de la négritude. En effet, développant les thèmes des écrivains américains de la "Harlem Renaissance" (The New Negro, Alan Locke, 1925), les écrivaines antillaises Suzanne Lacascade, Paulette et Jane Nardal ainsi que Suzanne Césaire contribuèrent, dès 1924, à construire et à faire reconnaître une identité nègre. Elles publient, notamment dans La Dépêche Africaine, La Revue du Monde Noir et Tropiques, des textes qui dessinèrent les contours d'un humanisme du monde noir francophone, autour des questions coloniales, de « l'éveil de la conscience raciale », de la place des noirs dans la société française de l'époque, de l'assimilation, du métissage culturel, etc. Le rôle de ces intellectuelles avant-gardistes, qui participèrent aussi au développement de la littérature caribéenne, reste très méconnu. Mot(s) clés libre(s) : France (20e siècle), Renaissance de Harlem, littérature francophone (auteurs noirs), négritude, femmes écrivains noires, Césaire, Suzanne (1915-1966), Nardal, Paulette (1896 -1985 ), Nardal, Jane (190?–1993)
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Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
DOLISANE-EBOSSE Cécile
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Les créatrices silencieuses de la Harlem Renaissance et l'héritage africain : cas de la sculpteuse Augusta Savage et la peintre des "Story Quilt" Faith Ringgold / Cécile Dolisane Ebosse, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Les mémoires oubliées de la création artistique des femmes de la Harlem Renaissance méritent d'être exhumées, vivifiées et édifiées comme appartenant au patrimoine culturel mondial. Carrefour cuturel du monde noir, ce mouvement a fait connaître Langston Hugues, Claude Mac Kay et Alain Lockes et bien d'autres encore. Mais le talent féminin des personnalités telles la sculpteuses Augusta Savage, qui vouait un culte à Léopold sedar Senghor, et Faith Ringgold, qui a dédié un buste à W.E.B Dubois, sont très peu connues dans l'aire francophone. Pourtant leurs productions artistiques étaient essentiellement consacrées à la cause et à la libération des peuples opprimés. Il s'agit, à n'en pas douter, dans une approche socio-historique et genre, de la responsabilité culturelle et politique de la femme créatrice dans l'avancement de l'humanité en arborant la vitalité de l'art nègre. Mais qui se souvient encore de celles qui ont contribué à cet humanisme de la différence ? Quelles sont les raisons de cette amnésie collective ? Mot(s) clés libre(s) : Renaissance de Harlem, femmes artistes noires américaines, Augusta Savage ( 1892-1962), Faith Ringgold (1930-….)
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Giordano Bruno, du monde clos à l'univers infini / Alain Blanchard
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
BLANCHARD Alain
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Giordano Bruno, du monde clos à l'univers infini / Alain Blanchard. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014.Toutes les civilisations
comportent une cosmologie, c'est-à-dire une description de
la géographie et de l'histoire de l'univers dans sa
totalité. Le Modèle géocentrique d'Aristote sera ainsi le
modèle de référence en occident pendant presque deux
millénaires. Il est coutume de dire que Copernic sera
celui qui apportera une nouvelle vision cosmologique plus proche de l'approche moderne. Pourtant le modèle de
Copernic reste proche de celle d'Aristote: un univers fini
et centré (sur la Terre pour Aristote, sur le soleil pour
Copernic). Au contraire, Giordano Bruno va élaborer une
remise en cause bien plus radicale et bien plus profonde.
Sa vision, celle d'un univers infini, dans lequel le
Soleil est un astre analogue à une infinité d'autres, la
plupart invisibles, pose des bases qui sont celles
sur lesquelles seront construites les cosmologies
ultérieures jusqu'au modèle actuel du Big Bang. D'une façon qui peut
paraître paradoxale, la question de l'infinité de l'univers
se pose encore aujourd'hui et échappe peut-être au
champ des investigations scientifiques. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, Bruno Giordano (1548-1600), astronomie de la Renaissance
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Découper l’histoire. Qu’est-ce qu’une période historique ?
/ Serge BLERALD, Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 19-03-2014
/ Canal-u.fr
ANHEIM Étienne, SEBASTIANI Silvia, BOUCHERON Patrick, LAMOUROUX Christian, LE GOFF Jacques
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"Ni thèse, ni synthèse, cet essai peut
être lu comme l’aboutissement d’une longue recherche. Et d’une réflexion
sur l’histoire, sur les périodes de l’histoire occidentale, au centre
de laquelle le Moyen Âge est mon compagnon depuis 1950. Il s’agit donc
d’un ouvrage que je porte en moi depuis longtemps, des idées qui me
tiennent à cœur.
Écrit en 2013, à
l’heure où les effets quotidiens de la mondialisation sont de plus en
plus tangibles, ce livre-parcours pose des questions sur les diverses
manières de concevoir les périodisations dans l’histoire : les
continuités, les ruptures, les manières de repenser la mémoire de
l’histoire.
Traitant du problème
général du passage d’une période à l’autre, j’examine un cas particulier
: la prétendue nouveauté de la « Renaissance » et son rapport au Moyen
Âge auquel j’ai consacré avec passion ma vie de chercheur.
Reste
le problème de savoir si l’histoire est une et continue ou sectionnée
en compartiments ? ou encore : s’il faut vraiment découper l’histoire en
tranches?"
Jacques Le Goff
Intervenants :
Étienne Anheim, Université Saint-Quentin-en-Yvelines ;
Patrick Boucheron, Université Paris I ;
Christian Lamouroux,EHESS ;
Silvia Sebastiani, EHESS. Mot(s) clés libre(s) : Chine, historiographie, continuité, Renaissance, Moyen-Âge, Jacques Le Goff, Lumières
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