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Giordano Bruno, entre foi et raison / Philippe Solal
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe
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Giordano Bruno, entre foi et raison / Philippe Solal. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de
Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session 2 : Giordano Bruno philosophe, 10 octobre 2014.Giordano Bruno ne fut pas toujours « l’hérétique » que l’histoire nous a décrit. Il commença par être un dominicain modèle, et il fut même ordonné prêtre en 1573. Deux ans plus tard, il devint lecteur en théologie, et en apparence, il continua à vivre en dominicain modèle, soutenant des thèses sur la pensée de Thomas d’Aquin et de Pierre Lombard. C’est lorsqu’il commença à étudier avec assiduité les œuvres d’Érasme, humaniste considéré par la Sainte Église comme hérétique depuis 1559, et dont les livres étaient interdits, qu’il finit lui-même par entrer silencieusement en rébellion avec le dogme religieux. Par la suite, Giordano Bruno secoua le joug de la théologie, ce qui lui valut ses années d’errance et de clandestinité. Dans une époque où l’on considérait encore que la philosophie devait être « la servante de la théologie », il opéra une véritable subversion dans les rapports de subordination qui étaient alors établis entre foi et raison. Ce sont les moments clefs de cette subversion que cette communication tente de retracer. Mot(s) clés libre(s) : philosophie de la Renaissance, philosophie et religion, Bruno Giordano (1548-1600), foi et raison
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Giordano Bruno philosophe. Table ronde
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, BARRAU Aurélien
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Giordano Bruno. Table ronde. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratoriode l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du
Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session II : Giordano Bruno philosophe, 10 octobre 2014.Table ronde avec Aurélien Barrau, Philippe Solal et Tristan
Dagron autour des thèmes suivants : l'idée de mondes multiples et l'idée d'univers chez Giordano Bruno, macrocosme, microcosme et cosmos « ordonné », le scepticisme brunien, une représentation cosmogonique à l’aune de la philosophie, l’esthétique de Rabelais et la vision de Giordano Bruno : une culture commune au XVIe siècle, transmission et influence de la pensée brunienne sur la philosophie du XVIIe au XIXe, la théorie des cordes : pratique scientifique et rationalité... Mot(s) clés libre(s) : philosophie de la Renaissance, philosophie et religion, rapport au savoir, Bruno Giordano (1548-1600)
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Giordano Bruno et la science. Table ronde
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, VAUCLAIR Sylvie, BLANCHARD Alain
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Giordano Bruno et la science. Table ronde. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du
Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel
italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014. Table ronde avec Philippe Solal, Sylvie Vauclair et Alain Blanchard autour des thèmes suivants : héliocentrisme et puissance divine au XVIe, l'influence sur Giordano Bruno des savoirs grecs antiques via les traductions arabes, l'univers infini et la cosmologie moderne (après Epicure et Lucrèce), les relations entre théologie et philosophie, l'humilité chez Giordano Bruno, la position du scientifique, l'observation et l'expérimentation versus la position du philosophe (différence entre Galilée et Giordano Bruno), la science-fiction, l'imaginaire et les sciences, le concept d'univers pour Giordano Bruno, l'influence de Giordano Bruno sur la pensée moderne et contemporaine, etc. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, philosophie de la Renaissance, Bruno Giordano (1548-1600)
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Giordano Bruno (1548-1600) : clôture / Alain Blanchard, Philippe Solal
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, BLANCHARD Alain
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Giordano Bruno (1548-1600) : clôture / Alain Blanchard, Philippe Solal. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, humanisme de la Renaissance, Bruno Giordano (1548-1600)
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Coutume et critique : sortir du système rhétorique / Sophie Peytavin
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
PEYTAVIN Sophie
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Que vaut la notion de coutume sur le terrain épistémologique ? La philosophie a toujours posé que la pensée véritable consistait en un élargissement par rapport aux idées spontanées, à la pensée coutumière. Mais à la fin de la Renaissance, se joue une interrogation plus fine sur les habitudes de pensée, qui ne vise plus la doxa mais la coutume intellectuelle savante. En effet le système rhétorique apparaît comme une tradition structurante ; la pensée se développe par référence aux autorités, sur le mode du déploiement des lieux et des exemples. Cette coutume a même tendance à devenir nature (seconde nature), tel est ce qui résulte des principes de l'éducation humaniste ou de la réflexion sur l'imitation créatrice. Or au moment où ces thèmes ne sont plus déclinés mais interrogés, voire critiqués (soit théoriquement, soit par la pratique textuelle), la notion de coutume prend sens dans le champ théorique. Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : coutume (droit), épistémologie, littérature française, pensée (philosophie), philosophie de la Renaissance
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Politesse et point de vue dans les dialogues de la Renaissance italienne - Annick Paternoster
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 12-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Paternoster Annick
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CHAIRE DE PHYSIOLOGIE DE LA PERCEPTION ET DE L'ACTIONM. Alain BERTHOZ, ProfesseurSéminaire 2007-2008 sous forme de colloque internationalLA PLURALITÉ INTERPRÉTATIVEFONDEMENTS HISTORIQUES ET COGNITIFS DE LA NOTION DE POINT DE VUE.Organisé avec les Professeurs Brian Stock et Carlo Ossola12 et 13 Juin 2008Amphithéâtre Marguerite de Navarre16h45 Annick Paternoster, Politesse et point de vue dans les dialogues de la Renaissance italienneVoir la liste des vidéos Mot(s) clés libre(s) : dialogue, interprétation, Italie, pensée, pluralité, point de vue, Renaissance, représentation
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Habitude, coutume et accoutumance dans les théories de la fin du Moyen Age / Didier Ottaviani
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
OTTAVIANI Olivier
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Les théories de la connaissance médiévales et renaissantes insistent sur l'importance de l'habitus à la fois dans le champ spéculatif et le champ pratique. En étudiant la manière dont se constituent les habitudes des individus, il s'agit de s'interroger sur le rapport de celles-ci avec le cadre général de la vie en commun et le système législatif, afin de comprendre le jeu complexe de l'universel et du particulier dans les coutumes et les lois.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : coutumes, droit coutumier, épistémologie, France (Moyen age), France (Renaissance), littérature française
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Vivre dans l'infini : biographie et savoirs chez Giordano Bruno / Nuccio Ordine
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
ORDINE Nuccio
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Vivre dans l'infini : biographie et savoirs chez Giordano Bruno / Nuccio Ordine. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session I : Giordano Bruno, figure de l'errance, 9 octobre 2014.Giordano Bruno ne fut pas toujours « l’hérétique » que l’histoire nous a décrit. Il commença par être un dominicain modèle, et il fut même ordonné prêtre en 1573. Deux ans plus tard, il devint lecteur en théologie, et en apparence, il continua à vivre en dominicain modèle, soutenant des thèses sur la pensée de Thomas d’Aquin et de Pierre Lombard. C’est lorsqu’il commença à étudier avec assiduité les œuvres d’Érasme, humaniste considéré par la Sainte Église comme hérétique depuis 1559, et dont les livres étaient interdits, qu’il finit lui-même par entrer silencieusement en rébellion avec le dogme religieux. Par la suite, Giordano Bruno secoua le joug de la théologie, ce qui lui valut ses années d’errance et de clandestinité. Dans une
époque où l’on considérait encore que la philosophie devait être « la servante de la théologie », il opéra une véritable subversion dans les rapports de subordination qui étaient alors établis entre foi et raison. Ce sont les moments clefs de cette subversion que cette
communication tente de retracer. La nouvelle cosmologie héliocentrique de Giordano Bruno révolutionne toute connaissance : sa vision de l'infini libère des dogmes la littérature et la philosophie, la nature et l'univers. L'unité de la connaissance, la recherche (et non la possession) de la vérité, l'exaltation de la pluralité, la tolérance, la condamnation des génocides dans les Amériques, l'homogènéité de la matiére, l'importance de la "curiositas" : voilà quelques-uns des sujets fondamentaux discutés
dans ses œuvres. Bruno nous enseigne que le vrai philosophe ne peut pas séparer biographie et pensée : pour lui, en effet, vivre la connaissance
signifie aussi écrire sa propre vie. Mot(s) clés libre(s) : philosophie de la Renaissance, vérité (épistémologie), philosophie et littérature, rapport au savoir, Bruno Giordano (1548-1600), comique (dans la littérature)
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La renaissance en question
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne
/ 18-05-2015
/ Canal-u.fr
LE GALL Jean-Marie
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Depuis longtemps, la pertinence du terme de Renaissance, pour désigner la période des 15e-16e siècle en Europe, est discutée. Trois types de remise en cause ont été adressés à cette idée de Renaissance. Les médiévistes invitent à minimiser son importance au vu des ruptures déjà opérées au Moyen Âge. Pour certains anthropologues, cette notion de Renaissance serait bien trop européo-centrée. Enfin, la force même de l’Italie dans la dynamique de la Renaissance a été nuancée.Cette vidéo est issue du MOOC "Découper le temps : les périodes de l'histoire". Mot(s) clés libre(s) : Italie, Renaissance
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Aux racines de la botanique : De l'Antiquité au début du XVIIIe (1/2)
/ Muséum national d'Histoire naturelle
/ 01-01-2012
/ Canal-u.fr
LAMY Denis
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Une première période allant de l’Antiquité au début de la
Renaissance est marquée par l’importance de l’herboristerie, des
connaissances horticoles et agronomiques, et par le mélange de
rationalité et d’imaginaire.
À l’âge classique (XVIIe siècle) et au siècle des Lumières (XVIIIe
siècle), la botanique s’organise autour de deux pôles : l’histoire des
plantes et la physique végétale. Le contexte est celui des grands
voyages et des débuts de la science expérimentale. La découverte de la
sexualité des plantes et les débats sur les classifications tiennent le
devant de la scène. Mot(s) clés libre(s) : botanique, Renaissance, Antiquité, Muséum national d'histoire naturelle
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