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Aux racines de la botanique : De l'Antiquité au début du XVIIIe (1/2)
/ Muséum national d'Histoire naturelle
/ 01-01-2012
/ Canal-u.fr
LAMY Denis
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Une première période allant de l’Antiquité au début de la
Renaissance est marquée par l’importance de l’herboristerie, des
connaissances horticoles et agronomiques, et par le mélange de
rationalité et d’imaginaire.
À l’âge classique (XVIIe siècle) et au siècle des Lumières (XVIIIe
siècle), la botanique s’organise autour de deux pôles : l’histoire des
plantes et la physique végétale. Le contexte est celui des grands
voyages et des débuts de la science expérimentale. La découverte de la
sexualité des plantes et les débats sur les classifications tiennent le
devant de la scène. Mot(s) clés libre(s) : botanique, Renaissance, Antiquité, Muséum national d'histoire naturelle
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Bruno et Sanchez, deux philosophes à Toulouse autour de 1580 / Didier Foucault
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
FOUCAULT Didier
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Bruno et Sanchez, deux philosophes à Toulouse autour de 1580 / Didier Foucault. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session I : Giordano Bruno, figure de l'errance, 9 octobre 2014.
Au cours de sa vie aventureuse, Giordano Bruno n'a fait qu'un court séjour à Toulouse entre 1579 et 1581. De ce passage, il ne reste que peu de traces. Parmi les contacts intellectuels qu'il a eus, le plus notoire concerne Francisco Sanchez (1551?-1623).
Ce médecin probablement d'origine marrane, née à la frontière entre le Portugal et l'Espagne, a effectué l'essentiel de sa carrière à Toulouse. Il s'y installe en 1575 et devient régent puis doyen de la faculté de médecine de la ville. Ses travaux universitaires ont été publiés après sa mort dans les Opera medica (1636). Sanchez est aussi l'auteur d'un traité philosophique, le Quod nihil scitur (Il n'est science de rien) qui le classe, aux côtés de Jean-François Pic de la Mirandole, Corneille, Agrippa et Montaigne, parmi les plus éminents représentants du scepticisme de la Renaissance. Bruno possédait un exemplaire de ce livre mais n'appréciait guère son contenu. En retraçant le parcours intellectuel de Francisco Sanchez, cette communication s'efforce de mettre en évidence l'apport propre du penseur ibérique et ce qui le distinguait de la démarche du philosophe italien dont il a, brièvement, croisé la route. Mot(s) clés libre(s) : humanisme de la Renaissance, philosophie de la Renaissance, Bruno Giordano (1548-1600), Francisco Sánchez (1550?-1623), Toulouse (16e siècle), scepticisme (philosophie)
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Coutume et connaissance empirique / Laurent Gerbier
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GERBIER Laurent
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La notion de coutume joue un rôle essentiel dans la description de la construction de la connaissance humaine à partir de l'expérience : elle permet en effet de comprendre le passage du particulier au général, ou du cas à la règle. Or ce processus qui gouverne la formation de la connaissance humaine (empirisme "gnoséologique") est également à l'œuvre dans la formation d'un savoir portant sur la vie politique de la cité (empirisme "civil") : on tentera donc de décrire, à partir de l'étude comparée de textes de Machiavel, La Boétie, Montaigne et Bacon, la convergence de ces deux empirismes, gnoséologique et civil, dans la pensée des Modernes.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : apprentissage des concepts, coutume (droit), droit coutumier, droit et littérature, empirisme, épistémologie, Étienne de la Boétie (1530-1563), Francis Bacon (1561-1626), humanisme de la Renaissance, Machiavel (1469-1527), Michel de Montaigne (1533-1592)
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Coutume et critique : sortir du système rhétorique / Sophie Peytavin
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
PEYTAVIN Sophie
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Que vaut la notion de coutume sur le terrain épistémologique ? La philosophie a toujours posé que la pensée véritable consistait en un élargissement par rapport aux idées spontanées, à la pensée coutumière. Mais à la fin de la Renaissance, se joue une interrogation plus fine sur les habitudes de pensée, qui ne vise plus la doxa mais la coutume intellectuelle savante. En effet le système rhétorique apparaît comme une tradition structurante ; la pensée se développe par référence aux autorités, sur le mode du déploiement des lieux et des exemples. Cette coutume a même tendance à devenir nature (seconde nature), tel est ce qui résulte des principes de l'éducation humaniste ou de la réflexion sur l'imitation créatrice. Or au moment où ces thèmes ne sont plus déclinés mais interrogés, voire critiqués (soit théoriquement, soit par la pratique textuelle), la notion de coutume prend sens dans le champ théorique. Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : coutume (droit), épistémologie, littérature française, pensée (philosophie), philosophie de la Renaissance
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Coutume, temporalités et territoires: regards sur la littérature juridique (16e-17e)/ M. Grinberg
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GRINBERG Martine
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Un des fondements de la coutume est son rapport au temps : quel changement, quels effets apporte la mise en écrit ordonné par le roi fin XVe et au XVIe siècle, commençant avec l'ordonnance de Montils-Lès-Tours édictée par le roi Charles VII en avril 1454 ? Cette question ne peut être envisagée qu'en parallèle avec une autre, celle de la place de la coutume dans le territoire du droit. C'est autour de ces deux axes de réflexion que les commentateurs de coutumes ont élaboré des théories, des constructions intellectuelles pour rendre compte des paradoxes de la coutume, des ambiguïtés de son statut. Un débat sans fin, passionné qui traverse toute l'époque moderne.La coutume : temporalités et territoires. Regards sur la littérature juridique (XVIe-XVIIIe). Martine Grinberg. Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : changement social, codification du droit (15e siècle), coutume (droit), droit coutumier, humanisme de la Renaissance
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Dawa Drolma (Bay Path University), " The Renaissance of Traditional Dzongsar Craft-making in the Meshö Valley: An Insider’s Perspective on New Economic Processes and Identity Transformations in Sino-Tibetan Borderlands "
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
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As a member of a deeply-rooted traditional craft-making family in the Meshö (Sman Shod) Valley of Kham region, I will present the results of my ongoing fieldwork and academic study on the renaissance of Buddhist craft-making that is beginning to flourish in the Sino-Tibetan borderlands. Meshö is a remote valley in Dergé County (Kandze Tibetan Autonomous Prefecture), Sichuan Province, where the majority of its 5,343 residents are agro-pastoralists. The area is famous for the monastery of Dzongsar, one of the largest monastic universities in Kham during the first half of the twentieth century. In the 1980s, when the renovation of the monastery was permitted, the lack of specialists in traditional handicrafts pushed the monastic authorities to establish workshops headed by the few remaining elderly craftsmen who retained traditional craft-making knowledge and skills. In the early twenty-first century, these workshops have become real schools of traditional crafts through local and foreign funding, and are now managed by a local NGO: Yuthok Yondengonpo Medical Association (YYMA). There are now more than 27 workshops, in which 13 different traditional crafts (lost-wax-casting, pottery, thangka painting, wood carving, etc.) are taught to around 450 apprentices. My paper will focus upon how new trade opportunities are transforming economic, familial, and community networks that surround these craft workshops. I will particularly deal with the demographic profile of teachers and apprentices, the challenges faced by local crafts workshops regarding modernization, and the raise of art and crafts entrepreneurs in Kham. I will also consider the reaction of local authorities to the rapid growth of the crafts industry.
International conference “Territories, Communities, and Exchanges in the
Sino-Tibetan Kham Borderlands,” Februray 18-20, 2016. This conference is
an outcome of a collaborative ERC-funded research project (Starting
grant no. 283870).
For more information, please visit the project's
Website: http://kham.cnrs.fr
Mot(s) clés libre(s) : UPS2259, CEH, Centre d'Etudes Himalayennes, The Renaissance of Traditional Dzongsar Craft-making in the Meshö Valley: An Insider’s Perspective on New Economic Processes and Identity Transformations in Sino-Tibetan Borderlands, Dawa Drolma, Territories, Communities, and Exchanges in the Kham Sino-Tibetan Borderlands, ERC (European Research Council), Bay Path University
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Découper l’histoire. Qu’est-ce qu’une période historique ?
/ Serge BLERALD, Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 19-03-2014
/ Canal-u.fr
ANHEIM Étienne, SEBASTIANI Silvia, BOUCHERON Patrick, LAMOUROUX Christian, LE GOFF Jacques
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"Ni thèse, ni synthèse, cet essai peut
être lu comme l’aboutissement d’une longue recherche. Et d’une réflexion
sur l’histoire, sur les périodes de l’histoire occidentale, au centre
de laquelle le Moyen Âge est mon compagnon depuis 1950. Il s’agit donc
d’un ouvrage que je porte en moi depuis longtemps, des idées qui me
tiennent à cœur.
Écrit en 2013, à
l’heure où les effets quotidiens de la mondialisation sont de plus en
plus tangibles, ce livre-parcours pose des questions sur les diverses
manières de concevoir les périodisations dans l’histoire : les
continuités, les ruptures, les manières de repenser la mémoire de
l’histoire.
Traitant du problème
général du passage d’une période à l’autre, j’examine un cas particulier
: la prétendue nouveauté de la « Renaissance » et son rapport au Moyen
Âge auquel j’ai consacré avec passion ma vie de chercheur.
Reste
le problème de savoir si l’histoire est une et continue ou sectionnée
en compartiments ? ou encore : s’il faut vraiment découper l’histoire en
tranches?"
Jacques Le Goff
Intervenants :
Étienne Anheim, Université Saint-Quentin-en-Yvelines ;
Patrick Boucheron, Université Paris I ;
Christian Lamouroux,EHESS ;
Silvia Sebastiani, EHESS. Mot(s) clés libre(s) : Chine, historiographie, continuité, Renaissance, Moyen-Âge, Jacques Le Goff, Lumières
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Fiction et vérité chez Giordano Bruno / Olivier Guerrier
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
GUERRIER Olivier
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Fiction et vérité chez Giordano Bruno / Olivier Guerrier. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session I : Giordano Bruno, figure de l'errance, 9 octobre 2014.Il s'agit ici, dans le
sillage de la déclaration du Sigillus sigillorum, « il n'est
(…)
de philosophe qui ne façonne ni ne peigne (…) et
l'intellect et ou bien la phantasia
ou bien n'est pas sans elle », ainsi que de travaux
faisant autorité sur la question, de revenir sur le
rapport entre philosophie et phantasia
comme entre fiction et vérité chez Bruno, dans sa théorie
comme dans sa pratique, le tout pouvant apparaître comme
le socle de bien des expériences intellectuelles et
littéraires de la Renaissance. Mot(s) clés libre(s) : littérature (esthétique), philosophie de la Renaissance, vérité (épistémologie), Bruno Giordano (1548-1600), fantaisie
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Giordano Bruno (1548-1600) : clôture / Alain Blanchard, Philippe Solal
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, BLANCHARD Alain
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Giordano Bruno (1548-1600) : clôture / Alain Blanchard, Philippe Solal. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, humanisme de la Renaissance, Bruno Giordano (1548-1600)
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Giordano Bruno et la science. Table ronde
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, VAUCLAIR Sylvie, BLANCHARD Alain
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Giordano Bruno et la science. Table ronde. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du
Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel
italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014. Table ronde avec Philippe Solal, Sylvie Vauclair et Alain Blanchard autour des thèmes suivants : héliocentrisme et puissance divine au XVIe, l'influence sur Giordano Bruno des savoirs grecs antiques via les traductions arabes, l'univers infini et la cosmologie moderne (après Epicure et Lucrèce), les relations entre théologie et philosophie, l'humilité chez Giordano Bruno, la position du scientifique, l'observation et l'expérimentation versus la position du philosophe (différence entre Galilée et Giordano Bruno), la science-fiction, l'imaginaire et les sciences, le concept d'univers pour Giordano Bruno, l'influence de Giordano Bruno sur la pensée moderne et contemporaine, etc. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, philosophie de la Renaissance, Bruno Giordano (1548-1600)
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