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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
MENOZZI Bruna Ilde
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Mot(s) clés libre(s) : géographie historique, géographie rurale, Ligurie (Italie), paléobotanique, paléoenvironnement
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La fin de la prostitution urbaine ? / Lilian Mathieu
/ Franck DELPECH, SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-11-2014
/ Canal-u.fr
MATHIEU Lilian
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La fin de la prostitution urbaine ? / Lilian Mathieu. In journée d'étude "La prostitution urbaine en Europe du Moyen Âge à nos
jours" organisée par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, 19 novembre 2014.Considérée comme un problème sociétal, la prostitution est
périodiquement remise au cœur de l’actualité médiatique et législative. L’invariant du terme de
prostituée ne doit pas cacher le parcours historique d’une notion qui,
entre le XVIe siècle et aujourd’hui, s’est considérablement modifiée. L'évolution des normativités sexuelles, les logiques de gentrification des anciens quartiers centraux, les politiques de moralisation d'espaces urbains réservés à la consommation familiales, la prédominance d'un traitement policier des problèmes sociaux... produisent une éviction par ruralisation de la prostitution. Mot(s) clés libre(s) : villes (croissance), France (21e siècle), ville (aspect social), prostitution urbaine, prostitution itinérante, prostitution rurale
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Plessage à Montaillé
/ 18-04-2004
/ Canal-u.fr
LIZET Bernadette
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Plessage à MontailléUn film de Bernadette Lizet et Henry Colomertourné à Montaillé (Sarthe) autome 2003 -printemps 2004avec le club des Aînés Ruraux de Montaillé :
Marcel Gautier et sa femme Lucette, Bernard Geffraye, Marcel Huon, Michel Huon, Marceau Jodeau, Claude Juignet, Bernard Lhermitte, Joël Lhermitte, Pierre Rigault, Daniel Rousseauenquête : Bernadette Lizet
images : Henry Colomer
montage : Barberine Feinberg
© 2004 -Bernadette Lizet - CNRS -MNHN
Nous sommes à Montaillé, petit bourg rural de l’est de la Sarthe, en 2004. Une équipe d’anciens agriculteurs, membres du Club des aînés ruraux, entreprend de « plesser » une haie, un demi-siècle après l’abandon de la pratique. Autrefois effectué tous les neuf ans, conformément à la coutume transcrite dans les baux ruraux, le plessage est une sorte de réparation cyclique de la barrière vivante, permettant de contenir au mieux les animaux, tout en fournissant du bois de fagot. Porté par la vague patrimoniale qui remet la vieille technique à l’honneur, le groupe éprouve son savoir-faire, dans un feu-roulant de commentaires et de plaisanteries ritualisées. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, Sarthe, Montaillé, technique, plessage, haie, coutume, tressage, taille, rural, ethnobotanique, film ethnographique, savoir-faire, vidéo, élevage, histoire, écologie, France
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La géo-prospective appliquée à la gestion de l'eau
/ Bruno BASTARD
/ 04-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
HOUET Thomas, VIDAL Franck
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Depuis les années 1950, les paysages fragmentés bretons (occupation du sol, bocage, fonds de vallées humides) ont subi de profondes transformations. Ces évolutions ont induit des changements, notamment sur la qualité des eaux. Dans le cadre de la mise en place des schémas d’aménagement et de gestion de l’eau (SAGE) les travaux présentés portent sur le développement de scénarios exploratoires et de scénarios prospectifs au sein d’un système d’information géographique, à une échelle fine (bassin versant) afin de dégager et de cartographier les évolutions potentielles des paysages agricoles bretons dans les prochaines années. Cette mise au point méthodologique, technique et scientifique est désormais transposable à d’autres problématiques environnementales mais également à d’autres milieux ou régions géographiques.Auteur : Thomas HOUET, Interview : Franck VIDAL Mot(s) clés libre(s) : aménagement, bocage, Bretagne, eaux, Environnement et risques, évolutions, géographie rurale, géomatique, occupation du sol, paysage, paysages fragmentés, pollution, risques, SAGE, système d'information géographique
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L'agroforesterie marqueur du paysage kéralais
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 25-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GUILLERME Sylvie, VIDAL Franck
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Le Kerala est un État du sud-ouest de la péninsule indienne, entre mer et montagne, de près de 820 habitants au km². Il est caractérisé par une occupation traditionnelle du sol et des paysages de type agroforestier : autour d’un habitat essentiellement dispersé, les keralais ont aménagé l’étagement, sur de petites superficies, de systèmes productifs cumulant des cultures au sol (tubercules, manioc, maraîchage…) et des cultures arborées (bois d’œuvre, épices, cocotiers…). Les fonds de vallées humides étant, traditionnellement, occupés par la riziculture. Depuis quelques années, de profonds changements dans le mode de vie mais aussi dans les systèmes de production des keralais induisent une reconstruction complète des paysages et d’importants bouleversements environnementaux. Mot(s) clés libre(s) : agriculture durable, agroforesterie, cultures maraîchères, Kerala (Inde), keralais (peuple de l'Inde), paysage rural, système agraire
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L’invisible initiation : devenir filles et garçons dans les sociétés rurales d’Europe
/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau
/ 09-02-2015
/ Canal-u.fr
FABRE Daniel
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Daniel Fabre, Ethnologue, anthropologue, directeur d’études, École des hautes études en sciences socialesLes sociétés rurales européennes depuis l'époque moderne ne connaissent pas les grands rites initiatiques qui marquent, dans d'autres sociétés, le passage à l'âge adulte. Pourtant la distinction entre les deux sexes et l'accès à la maturité sociale sont des principes centraux dans l'organisation et la reproduction des sociétés villageoises du vieux continent. L'initiation y est donc remplacée par un trajet initiatique discret et même invisible. Il passe, pour les garçons, par des expériences de transgression des frontières – entre sauvage et domestique, vivants et morts, masculin et féminin. On les voit se manifester avec force au moment du carnaval. Les filles, pour leur part, apprennent à donner sens aux transformations qui adviennent dans leur corps en interprétant, en particulier, certaines techniques du travail féminin. Cette séparation, profonde, se convertit quand vient l'âge de la fréquentation amoureuse. Alors, les deux sexes se rencontrent et trouvent dans les langages qui les identifient et les séparent les éléments d'une communication et d'un rapprochement. À moins que, figés dans le passage qui les a fait grandir, certaines filles et certains garçons ne s'installent dans une forme de folie. La folie de ceux dont le trajet initiatique s'est interrompu.Toutes les Conférences du Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : initiation sociale, anthroplogie, sociétés rurales, Europe, carnaval
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La sorcellerie, compagne secrète du migrant : échappées de la jeunesse du Cameroun / Eric De Rosny
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 17-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DE ROSNY Éric
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« La sorcellerie, compagne secrète du migrant. Les échappées de la jeunesse du Cameroun ». Eric de Rosny, enseignant en anthropologie de la santé à l’université catholique d’Afrique Centrale, Yaoundé (Cameroun). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Association AMADES, Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP) : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire].Session C: Circulations des malades et des thérapeutes : mobilités sanitaires et négociations thérapeutiques. Atelier C2 : Quand les tradi-thérapeutes migrent.Tandis que toutes les classes de la société, journalistes en tête, réprouvent officiellement et à haute voix les pratiques de sorcellerie, force est de constater la résistance de celles-ci et même leur progression aujourd’hui par comparaison avec le temps des indépendances. Ce phénomène irritant se manifeste dans l’ensemble des pays au sud du Sahara. Ici, il ne sera question que du Cameroun qui n’est d’ailleurs pas le pays le plus affecté. Or cette persistance de la sorcellerie dans le monde moderne africain touche paradoxalement les migrants censés s’émanciper de leur pays d’origine. Ils sont enclins à attribuer maux, maladies et malheurs à la sorcellerie. La thèse de cette contribution est de montrer que la responsabilité en incombe principalement à leur famille d’origine qui, sans le dire, emploie la sorcellerie comme une sorte de tactique pour retenir en elle-même et de loin ceux et celles qu’elle a peut-être encouragés à partir mais sur lesquels elle entend garder prise. Cette stratégie inavouée n’est pas nouvelle. Lors des grandes migrations de la jeunesse paysanne vers la ville, avant l’indépendance politique, déjà la famille faisait jouer le système de la sorcellerie pour gérer l’exode rural. On pouvait penser que la ville serait pour la jeunesse le terminus de sa migration, elle s’est avérée n’être qu’une étape. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie de la santé, émigrés, ethnomédecine (Cameroun), exode rural (Cameroun)
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Villages fantômes / José María Cuesta
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-05-2005
/ Canal-u.fr
CUESTA José María
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Dans le Sobrarbe, en Aragon (Espagne), des dizaines de villages furent abandonnés entre les années 1950 et 1965. Le processus de reproduction socio-économique s'est interrompu à ce moment là... mais il reste certains témoins et quelques traces de ce qu'il s'est passé. De manière scientifique, ce sont les mécanismes de l'émigration, anciens et plus récents, et les causes du dépeuplement que l'auteur étudie et essaie de faire connaître à travers ce film.
Un documentaire réalisé à partir de témoignages, s'appuyant sur une importante documentation et une riche iconographie : images d'hier et d'aujourd'hui, musiques, ambiances, tout un environnement sonore qui transporte dans un monde inconnu, celui d'un Sobrarbe peuplé de fantômes... les fantômes de ces villages à l'abandon qui, seuls, peuvent faire imaginer ce que pouvait représenter cette société paysanne vivant en autarcie.
[Version française : commentaire en français, entretiens en espagnol sous-titrés en français].
Film réalisé grâce au concours du Musée Pyrénéen (fonds Briet) et de la ville de Lourdes, des Musées de Huesca et San Juan de Plan (collections photographiques), de Max Daumas (collection personnelle). Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, exode rural, Sobrarbe (Espagne), Haut-Aragon (Espagne), Espagne (1950-1970), gestion des ressources en eau (Pyrénées)
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Pueblas fantasmas / José María Cuesta
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-09-2002
/ Canal-u.fr
CUESTA José María
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La Comarca de Sobrarbe comprende unos 2.000 km2 donde vivían unas 26.000 personas aprincipios del siglo XX y donde hoy no quedan más que 6.400 decenas de pueblos que fueron abandonados a partir de la década de 1950. La lectura del paisaje, la exploración de los archivos y los numerosos testimonios recibidos de los ancianos del lugar, permiten observar una forma tradicional de organización del territorio muy diferente a la reciente. Este film intenta explica los mecanismos de la emigración antigua y reciente, las causas y
mecanismos de la despoblación de la comarca altoaragonesa del Sobrarbe,
mostrando diversos testimonios personales
Dans le Sobrarbe, en Aragon (Espagne), des dizaines de villages furent abandonnés entre les années 1950 et 1965. Le processus de reproduction socio-économique s'est interrompu à ce moment là... mais il reste certains témoins et quelques traces de ce qu'il s'est passé. De manière scientifique, ce sont les mécanismes de l'émigration, anciens et plus récents, et les causes du dépeuplement que l'auteur étudie et essaie de faire connaître à travers ce film.
Un documentaire réalisé à partir de témoignages, s'appuyant sur une importante documentation et une riche iconographie : images d'hier et d'aujourd'hui, musiques, ambiances, tout un environnement sonore qui transporte dans un monde inconnu, celui d'un Sobrarbe peuplé de fantômes... les fantômes de ces villages à l'abandon qui, seuls, peuvent faire imaginer ce que pouvait représenter cette société paysanne vivant en autarcie.
Film réalisé grâce au concours du Musée Pyrénéen (fonds Briet) et de la ville de Lourdes, des collections photographiques des Musées de Huesca et San Juan de Plan, de Max Daumas (collection personnelle), des habitants de la vallée du Sobrarbe (archives familiales et témoignages).
> Voir la version courte (58 mn.) en français : "Villages fantômes". Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, exode rural, paysage rural, Sobrarbe (Espagne), Haut-Aragon (Espagne), Espagne (1950-1970), gestion des ressources en eau (Pyrénées)
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La nouvelle économie monde
/ UTLS - la suite
/ 25-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
COHEN Daniel
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pas de résumé Mot(s) clés libre(s) : commerce, exode rural, marchandise, mondialisation
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