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À propos de Spinoza (Monique Schneider)
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 17-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
KLAJNMAN Adrien, SCHNEIDER Monique
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La cause amoureuse : Freud Spinoza RacineDans cet entretien, Monique Schneider revient sur les enjeux de son ouvrage « La cause amoureuse, Freud, Spinoza, Racine » (Seuil,2008).Elle reprend et développe un article de référence dans les études spinozistes françaises, intitulé « Le fini, l'autre et le savoir chez Spinoza et chez Freud », publié en 1977 dans le premier numéro des Cahiers Spinoza. La réflexion mène sur 3 points :d'abord, Spinoza fournit des éléments théoriques sur les affects qui permettent de mettre en perspective la fascination et la méfiance de Freud s'agissant de l'amour ; ensuite, il est possible de contester à partir de la psychanalyse la perception du spinozisme comme philosophie sans altérité, écrite par un philosophe du conatus célibataire et solitaire ; enfin, il apparaît fécond d'utiliser le spinozisme pour renouveler l'approche et les mots de la clinique psychanalytique. Mot(s) clés libre(s) : philosophie, Spinoza
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La souffrance psychique
/ UTLS - la suite
/ 15-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
SCHNEIDER Monique
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Parler de souffrance psychique ne revient pas à postuler une dualité physique, psychique dans les manifestations de la souffrance. Le souffrance physique est elle aussi instauratrice de souffrance psychique. On ne saurait toutefois instaurer un parallélisme entre ces deux modalités, dans la mesure où la souffrance psychique est repérable, non à l'intensité de sa manifestation, mais à la tentative d'extinction dont elle fait dont elle fait l'objet. Remarque d'une femme traversant une grave dépression : « Si seulement je pouvais être triste ». La souffrance psychique, dans certaines de ses formes, se caractérise par une apparente anesthésie. Les tentatives d'insonorisation prenant pour cible la souffrance psychique contraignent l'analyse à des stratégies d'approche indirecte. Seront notamment interrogés les liens entre la souffrance psychique et l'apparition de maladies organiques. Liens s'établissant par-delà un déni. Freud retranscrit le rêve d'une patiente ayant subi une opération à la mâchoire : dans le récit de rêve, la douleur est transférée sur un autre personnage, souffrant atrocement, pendant que la rêveuse se voit à l'Opéra, assistant à une représentation. Le rêve rend figurables les processus à l'oeuvre dans le psychisme et fait affleurer l'opération de déni. La rêveuse dit en rêve : « puisque ce n'est pas moi qui souffre ». Le processus de délégation et de transfert, agissant dans les stratégies de défense contre la souffrance, est particulièrement repérable dans les phénomènes consécutifs à un trauma. D'autres personnages sont impliqués pour devenir porteurs d'une souffrance faisant l'objet de stratégies de délocalisation. La souffrance psychique marque ainsi, non seulement l'être individuel, mais les processus de filiation. Mot(s) clés libre(s) : douleur psychique, rêves et souffrance, santé mentale, Sigmund Freud, souffrance, traumatisme psychique
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