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"Corps, Travail et Genre" 3ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
LE LAY Stéphane, RENAHY Nicolas, DEJOURS Christophe, RIVOAL Haude
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Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Séance présidée par Haude Rivoal, doctorante en sociologie au CRESPPA-GTM et discutée par Nicolas Renahy, directeur de recherches en sociologie au CESAER
“Corps, travail et genre en psychodynamique du travail”
Christophe Dejours, professeur titualaire de la chaire de Psychanalyse-Santé-Travail au CNAM.
L’introduction du genre dans la théorie psychanalytique de la sexualité par Laplanche sera au départ de la
présentation. Mis à l’épreuve de la clinique du travail, le concept d’assignation dégagé par Laplanche peut
être étendu aux catégories de classe, genre, race. L’identité subjective qui se constitue dans l’enfance en
réponse à l’assignation peut être remaniée par l’expérience du travail. Si les tâches sont genrées par la division
sociale du travail, l’intelligence requise pour les accomplir ne semble pas l’être : l’intelligence au travail
mobilise en effet dans le corps des propriétés qui semblent échapper aux différences de sexe et de
genre. Le travail de production (poièsis) exige pourtant, dans l’ombre, un autre travail de soi sur soi (Arbeit)
qui se traduit par des remaniements du corps subjectif. Ces derniers sont parfois une ressource
pour remettre en cause la domination de genre, tant dans la vie sociale que dans l’économie amoureuse.
« Le corps en-jeu-x »
Stéphane Le Lay, sociologue associé à l’équipe “psychodynamique du travail et de l’action” - CNAM-Paris 5
L’observation attentive des transformations intervenues depuis plusieurs années dans divers champs professionnels
amène à poser sans relâche la question de la place du corps dans l’organisation du travail.
Le corps est un enjeu de pouvoir, on le sait depuis longtemps, puisqu’il est ce sans quoi aucun travail
ne saurait être engagé, aucune production réalisée, aucun capital – économique, culturel, social
– accumulé, pour soi ou par autrui. Le corps est « outillé » par nos dispositions sociales. Mais il est également
« instrumentalisé » par le jeu des rapports sociaux interpénétrés qui forment une configuration sociale
donnée. Or, quoi de mieux que le jeu pour le travail d’incorporation ? Jouer pour développer ses dispositions.
Jouer pour s’incorporer à l’organisation du travail. Jouer pour tenter de s’en arracher, et souffler un peu. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
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Anthropologie de la famille
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 09-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
HERITIER Françoise
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"Parler de l'anthropologie de la famille nous confronte immédiatement au difficile problème de sa définition, ce qui peut paraître surprenant au commun des mortels que nous sommes, car comme le temps pour Saint-Augustin ; nous croyons tous savoir, d'expérience intime, ce que c'est. Il n'a pas été possible à ce jour d'en établir une définition qui ait valeur universelle alors même que la réalité de ce que ce terme recouvre se rencontre dans toutes les sociétés présentes et passées. Il est même avéré que le mode conjugal et monogamique que nous avons en tête, dans la mesure où il correspond à l'expérience vécue des sociétés occidentales, est le plus répandu. Mais il n'est pas le seul. L'expérience des sociétés qui non seulement admettent mais sont construites sur un principe de polygamie, polygynie ou polyandrie, montrent que la monogamie n'est pas un fait qui découle d'un ordre naturel. " Mot(s) clés libre(s) : clonage, contraception, exogamie, homosexualité, inceste, mariage, monogamie, PACS, procréation artificielle, religion musulmane, sexe
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"Corps, Travail et Genre" 2ème partie
/ Thomas GUIFFARD
/ 16-12-2015
/ Canal-u.fr
GUICHARD-CLAUDIC Yvonne, PAÏVA Michèle, BERCOT Régine
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Qu’il soit biologique ou social, physique ou politique, réel ou fantasmé, le mot de « corps » est polysémique. Il renvoie à de nombreux domaines de recherches comme la science, l’histoire, la sociologie ou encore la philosophie.
Corps sublimés, corps blessés, corps niés ou corps remaniés, nous ne pouvons réfuter l’importance des pratiques corporelles dans l’analyse du travail. Le corps utilisé comme « outil » n’échappe pas à une construction symbolique ou culturelle conduisant et dirigeant l’action. Les discours biologisants ont relayé une certaine idée des corps masculins et féminin qui n’est pas sans lien avec la construction des rapports sociaux de sexe, allant à l’encontre d’une illusion de libération des contraintes à l’oeuvre. Aujourd’hui encore, on questionne la libération du corps des femmes à travers le voile ou l’IVG alors que le corps des hommes n’en est pas moins soumis à un idéal de masculinité virile.
Mais au-delà de leur matérialité, les corps féminins et masculins ont une histoire : ils sont liés à des enjeux politiques, économiques et sociaux qui nous obligent à penser la dimension du genre dans l’analyse du corps au travail et du travail du corps. Celui-ci n’échappe pas à des formes d’intériorisation des normes sociales liées, entre autres, au genre.
Quel est le traitement réservé au corps par le travail ? Comment celui-ci s’adapte-t-il aux contraintes sociales ou aux contraintes de genre qui lui sont associées ?
Lors de cette journée d’étude, les intervenants sont invités à enrichir le débat en croisant à la fois la question des corps, du genre et du travail.
Si beaucoup de travaux ont pu se pencher sur le corps féminin au travail (la manière dont il est façonné, utilisé, abîmé), il est également intéressant de s’interroger sur le corps masculin au prisme des injonctions à la virilité : conduite de dépense, importance de la force, etc. seront autant de pistes de réflexions développées. Les interventions seront étendues aux croisements classe, race et genre.
Session 1: Séance présidée par Anne Jacquelin, doctorante en sociologie au CRESPPA-GTM et discutée par Régine Bercot, Professeure à Université Paris 8, UFR Philosophie-SHS, et chercheure du CRESPPA UMR 7217 - Genre, Travail, Mobilités
Ce que l’anatomie-politique des corps cancéreux donne à voir du travail des femmes.
Michelle Paiva, doctorante en sociologie (CRESPPA-GTM)
Le cancer est une maladie chronique et la première cause de mortalité en France. Le poumon est en tête de
liste des tumeurs les plus meurtrières : 21 326 décès chez les hommes et 8 623 décès chez les femmes
(INCa, 2015). Par ailleurs, les études sur les inégalités sociales de santé constatent le désavantage des ouvriers
par rapport aux cadres face au cancer, conséquence de l’inégale sollicitation de leur corps au travail.
Or, que se passe-t-il si, au-delà de la position sociale, on s’intéressait à la relation entre genre et cancer ?
Alors que le cancer ronge indistinctement des corps d’hommes et de femmes, le statut qu’on lui accorde
semble cependant respecter des logiques genrées. Dans cette communication, nous allons tenter de montrer
que si la relation entre le travail réalisé par les hommes et leur cancer est difficile à établir, pour les
femmes, elle demeure souvent impensée. À partir de l’exemple du cancer du poumon et du cancer du sein,
nous allons tenter d’illustrer le fait que la distinction des organes atteints par le cancer, suit une anatomie aussi
biologique que politique, dans laquelle l’(in)visibilité du travail des femmes représente un enjeu majeur.
Le corps féminin à l’épreuve du travail en mer
Yvonne Guichard-Claudic, Maîtresse de conférence en sociologie à l’Université de Brest
La profession de marin est traditionnellement considérée comme masculine et le groupe professionnel s’est
historiquement construit comme sexué. Les différences physiologiques entre hommes et femmes et surtout les
représentations qui leur sont associées ont longtemps conduit à considérer la féminisation de cette profession
comme impensable. Désormais, cette féminisation varie selon les métiers mais l’hégémonie masculine reste très
marquée. Comment dès lors, les femmes « font-elles avec » un corps souvent considéré comme un frein ou un
obstacle à leur intégration professionnelle ? On abordera ici la question de la force physique, et de l’adoption
ou non des manières de faire masculines. On évoquera la neutralisation du corps sexué dans un espace restreint
où femmes et hommes se côtoient jour et nuit. On s’intéressera aussi au traitement juridique et institutionnel
de la grossesse et de la maternité. Au final, à travers le prisme du corps au travail, en mettant en perspective ce
qui change et ce qui résiste, on se demandera dans quelle mesure cette féminisation affecte l’ordre de genre. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), corps et travail
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La mise en place de l'appareil génital
/ BioMedia-UPMC
/ 13-04-2010
/ Unisciel
Furelaud Gilles, Devos Nabila, Sabouret Amélie
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L'appareil génital se met en place lors du développement embryonnaire. Ce phénoméne est sous le contrôle de plusieurs génes et hormones , en relation avec les chromosomes sexuels présents. Le début de ce développement est commun chez l'homme et la femme . Les étapes suivantes permettent d'aboutir à un appareil génital définitif masculin ou féminin. Mot(s) clés libre(s) : Génétique, sexe, morphologie, détermination, Cytogénétique
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Contrôle génétique des différentes étapes de la différenciation sexuelle
/ BioMedia-UPMC
/ 13-04-2010
/ Unisciel
Furelaud Gilles, Devos Nabila, Sabouret Amélie
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Expression génique, détermination et différenciation sexuelles Mot(s) clés libre(s) : Géne Sry, différentiation, sexe, Cytogénétique
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Bases génétiques de la détermination du sexe
/ BioMedia-UPMC
/ 13-04-2010
/ Unisciel
Furelaud Gilles, Devos Nabila, Sabouret Amélie
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Tout corps humain contient 23 paires de chromosomes, portant les gènes, dans le noyau de chaque cellule. Ce bagage génétique provient en partie de la mère (23 chromosomes) et du père (23 chromosomes). La 23ème paire est différente selon le sexe : Les femmes héritent d'un chromosome X de chaque parent ; tandis que les hommes ont un chromosome Y provenant du père et un chromosome X de la mère. Les femmes sont donc XX et les hommes XY. Mot(s) clés libre(s) : génétique, sexe, caryotype, Cytogénétique
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ENS Lyon - Consentement, autonomie, égalité des sexes (Geneviève Fraisse)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 13-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
FRAISSE Geneviève, WORMSER Gérard
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La construction de la pensée de l’émancipation n’est pas seulement un acte de résistance et de subversion, mais aussi un raisonnement, une logique, une stratégie discursive. Les termes d’« autonomie », de « consentement » et d’« égalité » permettent d’éclairer la forme du débat actuel sur la controverse des sexes.L’autonomie (être source de sa propre loi) est l'aboutissement du « devenir sujet » des femmes à la fin du XXe siècle. Pourtant, ce devenir sujet dans l'autonomie économique et civique, par la maîtrise de la fécondité, le droit à l’avortement... ne supprime pas les relations qui font des femmes autant d'objets (d’échange, de communication, etc.). Le paradigme sujet/objet est aujourd’hui le plus heuristique. Dans ce contexte, il nous faut réfléchir à l’articulation de l’égalité et de la liberté, et ce à partir du mot « consentement ». Mot(s) clés libre(s) : autonomie, consentement, égalité des sexes, ENS Lyon, Geneviève Fraisse, Gérard Wormser, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, liberté, philosophie de l’égalité
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Les excès du genre : concept, image, nudité / Geneviève Fraisse
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 04-11-2015
/ Canal-u.fr
FRAISSE Geneviève
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Geneviève Fraisse, philosophe, directrice de recherche émérite au CNRS, a publié de nombreux ouvrages relatifs à la généalogie de la pensée
féministe ainsi qu'à la controverse sexe/genre d'un point de vue
épistémologique et politique.
Avec "Les Excès du genre" (éd. Lignes, 2014), Geneviève Fraisse offre une perspective sur la
polémique sexe/genre, la critique des stéréotypes et l'usage de la
nudité en politique. Avec l'oeil critique d'une chercheuse, elle privilégie résolument la généalogie de l'émancipation et l'examen de la
tradition philosophique, plutôt que la discussion sur les catégories et
les identités. Le concept de "genre", ni simple outil, ni théorie
radicale, est un pari philosophique. Philosophie pour distinguer
clairement ce qui relève d'un objet de pensée, d'un concept ou d'une
théorie. Et pour toutes disciplines, car l'enjeu est alors de comprendre
ses usages : comme un neutre, le genre, comme un pluriel, les genres
et, avec ou sans le mot "sexe" ? Aussi, ne l'oublions pas, ce mot est en
excès, car ce qu'il traite déborde l'ordre établi.
Conférence présentée à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, le 4 novembre 2015. Mot(s) clés libre(s) : rapports sociaux de sexe (genre), études sur le genre, recherches en sciences humaines et féminisme, sexualité et genre, études féministes (en philosophie)
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Les deux gouvernements : la famille et la cité
/ ENS-LSH/SCAM
/ 16-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
FRAISSE Geneviève
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéAprès avoir rappelé le lien qui unit, dans son parcours, la réflexion sur le politique et l'activité politique, Geneviève Fraisse revient sur un dossier qui est le sien, l'égalité des sexes, à travers le thème de la famille et de la cité. Sont notamment abordés les questions de la parité et du PACS. Elle montre comment l'avènement de ce qu'elle appelle la "démocratie exclusive", au lendemain de la Révolution, a produit, non en théorie mais dans les faits, l'exclusion des femmes, puis dissocie les deux concepts traditionnels de gouvernement et de représentation pour montrer qu'il a été paradoxalement plus facile pour les femmes d'accéder au gouvernement qu'à la représentation. Enfin et surtout, elle évoque la façon dont les penseurs (Rousseau, Aristote, Louis de Bonald, Tocqueville, Proudhon, Durkheim, Alain, Fourier) ont envisagé le lien entre famille et politique, entre sphère privée et sphère publique. Rousseau, dans la lignée aristotélicienne, dissocie radicalement les deux sphères ; Louis de Bonald insiste sur les dangers du divorce pour l'Etat ; Tocqueville pointe la contamination du modèle de l'individu démocratique dans la sphère familiale ; Charles Fourier envisage, dans le prolongement de l'égalité, la question de la rivalité entre les sexes... Enfin est évoqué le lien entre construction de l'identité démocratique et confusion des sexes : la structure démocratique permet-elle le maintien des différences sexuelles ? La communication est suivie d'une discussion avec le public.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia /Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : démocratie, différences entre sexe, égalité des sexes, femmes et politique, parité, représentation politique
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Egalité et pouvoir entre les sexes
/ Mission 2000 en France
/ 12-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
FRAISSE Geneviève
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"Je m'interroge sur les moyens de faire de la théorie sur cette affaire de la différence des sexes qui a aujourd'hui pour problématique la question de l'égalité des sexes, c'est-à-dire sur la possibilité de faire de la théorie politique. Ce n'est pas si simple. Il suffit de penser à la façon dont chacun d'entre nous discute du débat qui a lieu sur la parité depuis presque dix ans pour réaliser à quel point les opinions s'affrontent, et règnent sans que les connaissances nécessaires ne soient présentes pour établir une discussion. Disons que pour faire de la théorie politique à propos de la question des sexes, on se trouve d'abord et avant tout pris dans ces débats de "" café du commerce "" qui parfois sortent des cafés. Tout le problème est là. Au fond, est-ce qu'on peut faire entrer du savoir dans la sphère de l'opinion dans cette théorie politique ? et faire entrer du savoir dans la sphère de l'opinion c'est peut-être rééquilibrer quelque chose entre l'opinion et la vérité. Ce rapport entre opinion et vérité sera le fil conducteur des réflexions que je voudrais mener. " Mot(s) clés libre(s) : dignité, égalité, féminisme, genre, parité, pouvoir, sexe, souveraineté
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