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Social business : What does it mean?
/ 12-12-2012
/ Canal-u.fr
YUNUS Muhammad
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Principale différence entre social business et économie conventionnelle:
leur principale mission respective. But de l’économie conventionnelle:
maximisation des profits. Objectif du social business: résoudre les
problèmes sociaux. Profits réinvestis dans l’entreprise et non
distribués aux investisseurs.
Main difference between social and conventionnal business : mission.
Goal of conventionnal business: maximization of profits. Goal of social
business: resolve social issues. Profits are reinvested within the
company and not distributed to shareholders.
Pour aller plus loin:
M. Yunus, Building Social Business: The New Kind of Capitalism That Serves Humanity’s Most Pressing Needs,
Public affair, 2010.
M. Yunus, Vers un monde sans pauvreté,
Lattès, 1997.
S. Darnil et M. Leroul, 80 Hommes pour changer le monde : Entreprendre pour la planète,
Le Livre de Poche, 2006.
Plus de vidéos de Muhammad Yunus sur TVDMA.org Mot(s) clés libre(s) : économie, développement durable, enjeux mondiaux, Inde, enjeux politiques, économie sociale et solidaire, économie sociale
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001 - Présentation du colloque Mai 68 en quarantaine
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
WINKIN Yves
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Effets sociaux et politiques de mai 68. Pratiques, acteurs, représentations Ouverture du colloque La classe politique prise de panique en mai 1968 : Comment la guerre civile fut évitée ?Entre l’ancien et le nouveau : les grèves ouvrières de mai-juin 68 Recompositions de l’extrême-gauche dans l’après-68 Quand des paysans deviennent « soixante-huitards ». Conversions politiques et subversion des normes professionnelles Les féminismes des années 1970, entre théories et pratiques Discussion Maspero et l’édition politique en 1968La question pédagogiqueDiscussion La question de l’autorité et la restauration Discussion De toutes les couleurs, peinture d’histoire Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Ouverture session Les transformations de la philosophie française et le legs de 68 : les enjeux politiques du tournant des années 1970-1980 Discussion Révolte, insurrection, soulèvement : analyse de quelques modèles de lutte DiscussionMarxisme hétérodoxe et pensée libertaireDiscussion Avec et contre la théorie critique au nom de 68 Discussion Éros récidive Le lacano-marxisme de Deleuze et de Guattari Discussion Faire lever les devenirs : la question du devenir-révolutionnaire chez Gilles DeleuzeDiscussionFoucault et les " années 68 "Effets artistiques et littéraires de Mai 68. Transformations plastiques, déstabilisations génériques, nouveaux dispositifs de créationDu cinéma direct au documentaire : les évolutions du cinéma militant Un ciel enfermé dans l’eau/juin 1968 Du temps des ’’avant-gardes’’"Nous n’écrirons pas les Mémoires d’un âne" Modèles critiques et pratiques sonores Kiaï ! (écritures / impacts / action) Clôture du colloque Clôture Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : émeutes, félix guattari (19030-1992), féminisme, france (1968), gilles Deleuze (1925-1995), histoire, histoire universelle (1945-1970), lutte des classes, mai 68, mouvements sociaux (1945-1970), pensée libertaire
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Les séries TV et le soap opera
/ UTLS - la suite
/ 12-07-2004
/ Canal-U - OAI Archive
WINCKLER Martin
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En France, la télévision est considérée comme un support « impur », inapte à véhiculer des productions artistiques conçues spécifiquement pour elle. Il n'en va pas de même partout. Aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne, où spectacle populaire et production artistique vont toujours de pair (et ont toujours été indépendants du pouvoir), les productions télévisées sont infiniment plus audacieuses et plus inventives qu'en France. Le mépris habituellement réservé aux « séries » et aux « soaps » par les intellectuels français repose sur une seule chose : leur ignorance profonde de ce genre, certes populaire, mais aussi créatif que la bande dessinée, les « mauvais » genres littéraires que sont le roman policier et la science-fiction et le théâtre expérimental. Infiniment plus proches de la réalité que ne l'est le cinéma, les téléfictions établissent avec leur public une relation particulière - liée aux conditions de diffusion et de réception - et portent sur le monde un regard incisif, critique et extrêmement anti-conformiste. Cette conférence visera d'une part à définir ce que sont les séries télévisées et les « soap operas », à en brosser un panorama thématique et analytique avec quelques extraits de séries récentes en guise d'illustration visuelle, et de montrer qu'il s'agit aussi de fictions accomplies. Il sera en particulier question de séries telles que « Friends », « Les Soprano », « Urgences », « Oz » « New York District », « Homicide », « Buffy contre les vampires » ou « A la Maison Blanche ». Mot(s) clés libre(s) : art d'écrire, censure, états-unis, feuilletons télévisés, france, genres télévisés, intellectuels français (influence), séries télévisées, soap opéras (télévision), télévision, télévision (aspect social)
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Les projets individuels
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 30-09-2015
/ Canal-u.fr
WIEVIORKA Michel, ROUSSIGNOL Philippe, FUSAI Guillaume, SAPIRO Gisèle
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REUNION D’INFORMATION PSL
Moderateur:
Gisèle SAPIRO, EHESS
Présentation : Philippe ROUSSIGNOL, PCN (Point de Contact National) European Research Council
Témoignages :
Guillaume FUSAI, PCN Actions Marie Skłodowska-Curie
Michel WIEVIORKA, membre du Conseil Scientifique de l’ERC et ex-évaluateur
Pascal BURESI, lauréat ERC (Starting Grant, projet IGAMWI) Mot(s) clés libre(s) : financement, sciences humaines et sociales, collaboration scientifique, recherche
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De justes inégalités - John RAWLS (par Astrid von Busekist) [réédité 2015]
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 09-02-2012
/ Canal-u.fr
von BUSEKIST Astrid
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John Rawls est un auteur américain qui a réveillé la philosophie politique, qui a pris au sérieux les critiques de ses contempteurs, et qui s'est impliqué dans la vie politique américaine. C'est un auteur classique, qui doit beaucoup à la pensée de Kant.Son ouvrage le plus connu, Théorie de la justice, répond à une question fondamentale de la philosophie politique : selon quels principes ordonner une société juste ? Trois grands principes, que l'auteur écartera successivement, se présentent traditionnellement : le mérite, l'utilité, la liberté.1. Le mérite moralUne société est juste, les institutions sont bien ordonnées si elle donne aux individus en fonction de la valeur de leur contribution à la société. Variante aristotélicienne : déterminer la meilleure adéquation entre les talents de l’individu et leur rôle social (les meilleures flûtes vont aux meilleurs joueurs)2. L’utilitéSi les institutions permettent de maximiser le bien-être agrégé, si elles permettent la somme de satisfaction la plus élevée pour l’ensemble des sociétaires, elles sont justes. La valeur des choses est fonction de leur utilité, il n’y a pas de valeur intrinsèque des choses ou des êtres.3. Libertarisme- Je suis propriétaire de moi-même. L’individu est souverain et ne peut pas être contraint par une quelconque emprise ou entreprise collective.- Toutes les transactions sont justes si elles sont volontaires. La justice se déduit du respect des droits individuels fondamentaux et du respect des termes initiaux du contrat.- Ce que j’améliore par mon travail devient mien.Le libéralisme politique rawlsien tire les principes de la justice de l’opinion que vont en avoir les acteurs de la société après une délibération impartiale. « Les principes de justice, écrit Rawls, sont (ceux que des) individus libres et rationnels, désireux de favoriser leurs propres intérêts et placés dans une situation initiale d’égalité, accepteraient et définiraient (comme) les termes fondamentaux de leur association » (p. 152-152). Il convient donc que ces principes soient établis à l’issue d’une délibération commune.La singularité de la solution de Rawls est illustrée par un exemple imaginé par le prix Nobel d’économie Amartya Sen dans The Idea of Justice, 2010, p. 12-15. Trois enfants se chamaillent pour une flûte. Anne est la seule à savoir en jouer. Bob est le plus pauvre, il n’a pas de jouets du tout. Clara a travaillé dur pour fabriquer la flûte. À qui doit aller la flûte ? Pour l’utilitariste et pour Aristote, à Anne : son plaisir sera le plus grand, elle sait en jouer. Pour le libertarien, pour Locke (et le marxiste), à Clara : elle a droit aux fruits de son labeur. Pour Rawls, il faudrait que les enfants se mettent d’accord.Antoine de La Taille Mot(s) clés libre(s) : contrat social, A Theory of Justice, libertarisme, Amartya Sen, droit politique, égalité des chances, mérite, libéralisme, philosophie politique, The Idea of Justice
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Le rôle du logement dans la structuration du Nord Est parisien - 4/4
/ 08-11-2011
/ Canal-u.fr
VOLDMAN Danièle
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La création en 1915 de l’Office départemental d’habitations à bon marché de la Seine est à l’origine de la construction d’un grand nombre de logements destinés aux classes populaires. Mais cet organisme n’a pas seulement été un grand constructeur. Ses membres, longtemps recrutés parmi les personnalités réformatrices et de gauche, avaient une pensée du territoire et de l’aménagement de la région parisienne. Tout au long du siècle, la création de cités-jardins, les projets de réseaux de transport, l’attention au rapport entre le lieu d’habitation et celui du travail, ont donné aux promoteurs du logement social un rôle de structuration dans cette portion du territoire francilien.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : Bassin Parisien, logement social, développement territorial
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Le rôle du logement dans la structuration du Nord Est parisien - 3/4
/ 08-11-2011
/ Canal-u.fr
VOLDMAN Danièle
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La création en 1915 de l’Office départemental d’habitations à bon marché de la Seine est à l’origine de la construction d’un grand nombre de logements destinés aux classes populaires. Mais cet organisme n’a pas seulement été un grand constructeur. Ses membres, longtemps recrutés parmi les personnalités réformatrices et de gauche, avaient une pensée du territoire et de l’aménagement de la région parisienne. Tout au long du siècle, la création de cités-jardins, les projets de réseaux de transport, l’attention au rapport entre le lieu d’habitation et celui du travail, ont donné aux promoteurs du logement social un rôle de structuration dans cette portion du territoire francilien.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : Bassin Parisien, logement social, développement territorial
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Le rôle du logement dans la structuration du Nord Est parisien - 2/4
/ 08-11-2011
/ Canal-u.fr
VOLDMAN Danièle
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La création en 1915 de l’Office départemental d’habitations à bon marché de la Seine est à l’origine de la construction d’un grand nombre de logements destinés aux classes populaires. Mais cet organisme n’a pas seulement été un grand constructeur. Ses membres, longtemps recrutés parmi les personnalités réformatrices et de gauche, avaient une pensée du territoire et de l’aménagement de la région parisienne. Tout au long du siècle, la création de cités-jardins, les projets de réseaux de transport, l’attention au rapport entre le lieu d’habitation et celui du travail, ont donné aux promoteurs du logement social un rôle de structuration dans cette portion du territoire francilien.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : urbanisme, Bassin Parisien, logement social, développement territorial
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Le rôle du logement dans la structuration du Nord Est parisien - 1/4
/ 08-11-2011
/ Canal-u.fr
VOLDMAN Danièle
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La création en 1915 de l’Office départemental d’habitations à bon marché de la Seine est à l’origine de la construction d’un grand nombre de logements destinés aux classes populaires. Mais cet organisme n’a pas seulement été un grand constructeur. Ses membres, longtemps recrutés parmi les personnalités réformatrices et de gauche, avaient une pensée du territoire et de l’aménagement de la région parisienne. Tout au long du siècle, la création de cités-jardins, les projets de réseaux de transport, l’attention au rapport entre le lieu d’habitation et celui du travail, ont donné aux promoteurs du logement social un rôle de structuration dans cette portion du territoire francilien.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, Bassin Parisien, logement social (France)
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Contexte politico-économique, social et architectural de la construction de l'UTM / Danièle Voldman
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
VOLDMAN Danièle
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Contexte politico-économique, social et architectural de la construction de l'UTM. Danièle VOLDMAN. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Pendant les Trente glorieuses (1945-1975), la France va connaître une période d'épanouissement social et économique, une période d'expansion démographique accompagnée d'un développement urbain sans précédent. Sur le plan de la construction, les façons de bâtir, les conditions de commandes publiques, les formes architecturales ont beaucoup évolué. C'est pendant cette période que le Mouvement moderne va s'épanouir.En 1945, la France connaît une grave crise structurelle du logement depuis plus de 50 ans dû en partie au "moratoire des loyers" décrété pendant la guerre de 14, aux destructions de la guerre et à la reprise démographique (baby boom). Certains quartiers urbains sont insalubres, les logements populaires manquent [cf Rouen en 1951]. A partir de 1945 et jusqu'en 1970, les gouvernements français successifs et le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme (MRU) vont mettre en place une gigantesque politique de construction, grâce notamment à une nouvelle législation (notamment la loi du 31 décembre 1958 constituant les ZUP et transférant aux préfets l'autorité pour l'acquisition des terrains), à de nouvelles procédures pour soutenir les bailleurs sociaux et les entrepreneurs pour une plus grande production de logements et l'industrialisation des techniques du secteur du bâtiment.Malgré ces efforts et la construction rapide de cités d'urgence et de grands ensembles [Cité Rotterdam à Strasbourg], la crise du logement s'aggravera à tel point que des milliers de personnes expulsées meurent dans la rue (cf. l'alerte de l'abbé Pierre en 1954) avant de commencer à obtenir des résultats dans les années 1960, Avec la loi d'éradication des bidonvilles (1964), le dernier bidonville à Nice disparaîtra en 1976. Suivant les préconisations de la Charte d'Athènes et du Mouvement moderne, "l'urbanisme aux champs", dans les proches périphéries des villes, prend son ampleur pour voir à la fin des années 70, une France couverte de quartiers neufs et de villes nouvelles : les 200 logements à Aix-en-Provence et La Tourette à Marseille de Fernand Pouillon, Le Serpentin -les Courtillières- d'Emile Alliaud à Pantin, la cité FFF à Athis-Mons, Cela se fera peut-être au détriment de la question sociale et de l'aménagement du territoire et ce, malgré la création de la DATAR en 1963 et les objectifs des huit "métropoles d'équilibre" qui, recevant les financements pour ce faire, devaient constituer de vrais quartiers de ville -pas seulement des ensembles d'habitations- avec des emplois et des équipements. C'est de cette façon que Toulouse a été désignée comme métropole d'équilibre devant recevoir une université, l'université du Mirail.[Avertissement : le conférencier n'ayant pas encore autorisé le droit de diffuser les photographies afférentes à son intervention, nous avons le regret de ne pouvoir les faire apparaître à l'image. Toutefois, certains liens inclus dans le résumé, mènent à des articles ou à des images des projets architecturaux cités.] Mot(s) clés libre(s) : grands ensembles, logement social, Mouvement moderne (architecture), politique du logement (France), programmes de construction (France), urbanisation (1945-1975), zones à urbaniser en priorité
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