Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
L'individualisme - François de Singly
/ UTLS au lycée
/ 07-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
Voir le résumé
Voir le résumé
Une conférence de l'UTLS au LycéeL'individualisme par François de SinglyLycée Richelieu (92 Rueil Malmaison) Mot(s) clés libre(s) : individualisme, sociologie
|
Accéder à la ressource
|
|
Art et culture - Michel Guérin
/ UTLS au lycée
/ 27-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
Voir le résumé
Voir le résumé
Les notions d’art et de culture sont traditionnellement associées. L’art nourrit la culture et la pratique et la réception des arts forment la culture. Mais ces deux notions sont-elles réellement indissociables ? Professeur des Universités, Michel Guérin amène un éclairage historique et esthétique sur cette ambigüité. Une conférence de l'UTLS au lycée (conférence en audio uniquement) avec Michel Guérin. Lycée Pierre et Marie Curie (Menton 06). En partenariat avec la région PACA Mot(s) clés libre(s) : art, création, culture, esthétique, histoire, philosophie de l'art, sociologie de la culture, sociologie de l’art
|
Accéder à la ressource
|
|
Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - Introduction
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
TUBELLA Imma, RAINHORN Jean-Daniel, IVANOVITCH Alexandra, CHECOLA Laurent, AUTHEMAN Charles
Voir le résumé
Voir le résumé
La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
|
Accéder à la ressource
|
|
Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - I.Tubella
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
TUBELLA Imma
Voir le résumé
Voir le résumé
La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
|
Accéder à la ressource
|
|
Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - Conclusion
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
TUBELLA Imma, RAINHORN Jean-Daniel, IVANOVITCH Alexandra, CHECOLA Laurent, AUTHEMAN Charles
Voir le résumé
Voir le résumé
La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
|
Accéder à la ressource
|
|
Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - Atelier écriture/débat
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
TUBELLA Imma, RAINHORN Jean-Daniel, IVANOVITCH Alexandra, CHECOLA Laurent, AUTHEMAN Charles
Voir le résumé
Voir le résumé
La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
|
Accéder à la ressource
|
|
Passé et avenir du travail
/ Mission 2000 en France
/ 01-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
TOURAINE Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Le 1er Mai a d'abord été la célébration d'une action syndicale, menée à l'échelle mondiale, et destinée à obtenir la journée de huit heures ; initiative partie des Etats-Unis,dans un climat d'affrontements sociaux particulièrement vifs, en particulier dans les chemins de fer, et qui a conduit progressivement les gouvernements, et plus tard l'Organisation Internationale du Travail, à limiter fortement la durée du travail. L'importance historique de cette journée pourrait aussi entretenir l'idée que ces commémorations, comme l'action ouvrière et comme l'idée de travail elle-même, si importantes dans les sociétés qu'on appelait avant tout des sociétés industrielles, appartiennent au passé plus qu'à l'avenir. Nous savons bien que le 1er Mai, fête du travail, est surtout un jour sans travail ; on dirait presque : la fête du printemps. On peut ajouter que le travail n'apparaît plus en général comme le lieu central d'une société, même si en fait personne ne conteste son caractère indispensable et sa présence massive, aussi bien dans les sociétés que dans les vies individuelles. On parle moins de travail, très peu de travailleurs, encore moins de classe ouvrière, car la population active s'est diversifiée, et la part qu'y occupe le monde ouvrier proprement dit, a reculé très fortement et est destinée à diminuer encore. Beaucoup l'ont dit : notre société est moins une société de production que de consommation et de communication et le développement de secteurs nouveaux d'activité a amené à penser que la production et donc le travail occupaient une place de moins en moins importante dans nos sociétés et surtout dans notre avenir. Si j'ai évoqué ces thèmes qui ont retenu l'attention de beaucoup au cours de ces dernières années, c'est pour définir dès le départ le but que je me fixe dans cette conférence. Je veux essayer de vous montrer que l'idée de fin du travail n'a aucun fondement, ni dans la réalité objective de l'économie, ni dans la conscience des attitudes et des pratiques de ceux qui travaillent, comme de ceux qui n'ont pas de travail. On peut donc trouver un but polémique dans mon propos, mais ce n'est évidemment pas sur un ton polémique que je veux m'exprimer. Mot(s) clés libre(s) : sociologie du travail, travail
|
Accéder à la ressource
|
|
Passé et avenir du travail
/ Mission 2000 en France
/ 01-05-2000
/ Canal-u.fr
TOURAINE Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Le 1er Mai a d'abord été la célébration d'une action syndicale, menée à l'échelle mondiale, et destinée à obtenir la journée de huit heures ; initiative partie des Etats-Unis,dans un climat d'affrontements sociaux particulièrement vifs, en particulier dans les chemins de fer, et qui a conduit progressivement les gouvernements, et plus tard l'Organisation Internationale du Travail, à limiter fortement la durée du travail. L'importance historique de cette journée pourrait aussi entretenir l'idée que ces commémorations, comme l'action ouvrière et comme l'idée de travail elle-même, si importantes dans les sociétés qu'on appelait avant tout des sociétés industrielles, appartiennent au passé plus qu'à l'avenir. Nous savons bien que le 1er Mai, fête du travail, est surtout un jour sans travail ; on dirait presque : la fête du printemps. On peut ajouter que le travail n'apparaît plus en général comme le lieu central d'une société, même si en fait personne ne conteste son caractère indispensable et sa présence massive, aussi bien dans les sociétés que dans les vies individuelles. On parle moins de travail, très peu de travailleurs, encore moins de classe ouvrière, car la population active s'est diversifiée, et la part qu'y occupe le monde ouvrier proprement dit, a reculé très fortement et est destinée à diminuer encore. Beaucoup l'ont dit : notre société est moins une société de production que de consommation et de communication et le développement de secteurs nouveaux d'activité a amené à penser que la production et donc le travail occupaient une place de moins en moins importante dans nos sociétés et surtout dans notre avenir. Si j'ai évoqué ces thèmes qui ont retenu l'attention de beaucoup au cours de ces dernières années, c'est pour définir dès le départ le but que je me fixe dans cette conférence. Je veux essayer de vous montrer que l'idée de fin du travail n'a aucun fondement, ni dans la réalité objective de l'économie, ni dans la conscience des attitudes et des pratiques de ceux qui travaillent, comme de ceux qui n'ont pas de travail. On peut donc trouver un but polémique dans mon propos, mais ce n'est évidemment pas sur un ton polémique que je veux m'exprimer. Mot(s) clés libre(s) : travail, sociologie du travail
|
Accéder à la ressource
|
|
Le parcours d'un sociologue : Entretien avec Alain Touraine
/ Pierre GAUGE, Marc FERRO
/ 21-06-2001
/ Canal-u.fr
TOURAINE Alain, WIEVIORKA Michel, KHOSROKHAVAR Farhad, DUBET François, GUILLEMARD Anne-Marie, PERALVA Angelina
Voir le résumé
Voir le résumé
Alain Touraine évoque ses travaux sur la conscience ouvrière et l'action collective. Il montre comment s'est effectué le passage de la société industrielle vers un autre type de société. A ces fins, ses interlocuteurs rappellent la méthode de l'intervention sociologique qu'il a inventée. Par ailleurs, en dehors de son intérêt pour l'Amérique latine, Alain Touraine examine ici la place du sujet dans les sciences sociales et réfléchit aux conditions de la démocratie. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, sociologie du travail, Amérique latine, histoire, sciences politiques, Révolutions
|
Accéder à la ressource
|
|
Tourisme et culture surgelée
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
TILROE Anna
Voir le résumé
Voir le résumé
L'art et la culture deviennent de plus en plus des produits comme les autres, et les stratégies de marketing commencent à égaler celles du commerce. Le monde de l'art, par exemple, se manifeste aujourd'hui comme festival permanent avec, à tous moments, des biennales partout sur le globe. En même temps le rôle de l'artiste change rapidement en celui d'un amuseur. Pourtant il y a conscience générale de la qualité de l'art et la culture, en tant qu'expression d'expériences, de sentiments et de manières de pensée individuelles et collectives, ainsi que de leur capacité de former une mémoire commune. Cela se voit en particulier quand une nation, une ville ou une communauté s'en servent pour se construire une identité. A l'industrie de tourisme une telle construction d'identité culturelle au niveau locale ou nationale, est fortement favorable. Elle la pousse même jusqu'à un cliché aisément reconnu par les masses: le cliché d'un monde paradisiaque. Par conséquent la mémoire collective est aplatie, l'expérience personnelle nivelée et les développements culturels et artistiques dérobés de leurs acuités et ambiguïtés. Mais cette culture surgelée, est-elle bien capable de chasser le Grand Ennui ? Mot(s) clés libre(s) : commerce de l'art, culture et mondialisation, économie de la culture, histoire de l'art, industrie culturelle, instrumentalisation de la culture, marketing de la culture, sociologie de la culture, sociologie des loisirs, tourisme culturel
|
Accéder à la ressource
|
|