Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Réseau de Blazé
/ Université Lyon-I, Unisciel
/ 2009
/ Unisciel
Bonnet Christophe
Voir le résumé
Voir le résumé
La diffraction par un réseau appliqué à la spectroscopie : cet exercice
illustre le fonctionnement d'un réseau de diffraction blazé, dont les
propriétés changent suivant le nombre de traits dont il est composé,
l'orientation de ces traits, l'angle d'incidence de la lumière sur celui-ci et
l'angle d'observation. Ainsi, suivant la configuration du spectromètre dans
lequel celui-ci est utilisé, chaque paramètre va jouer sur la résolution et sur
le spectre observé en sortie. Cet exercice permet d'étendre les possibilités
d'expériences par rapport aux travaux pratiques dans lesquels les paramètres de
nombre et d'orientation des traits sont impossibles à modifier par construction.
En particulier, il est possible de choisir la source de lumière utilisée
éclairant le réseau et le résultat est représenté sous forme d'une courbe et en
couleur. Mot(s) clés libre(s) : diffraction blazé, réseau de diffraction, ordre de diffraction, spectroscopie, spectromètre, spectre d'émission
|
Accéder à la ressource
|
|
Localiser et identifier une molécule
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 22-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHAQUIN Patrick
Voir le résumé
Voir le résumé
Au début du siècle, la caractérisation des molécules consistait essentiellement en tests chimiques donnant naissance à des précipités, des couleurs, voire des odeurs. Ces techniques ont été supplantées par des méthodes physiques, dans lesquelles les molécules, soumises à certaines stimulations fournissent, sous forme de diagramme, une réponse ou spectre. Plusieurs méthodes spectroscopiques étudient l'interaction avec la matière des ondes électromagnétiques dans divers domaines de longueur d'onde. Le domaine de l'infrarouge (IR) permet de reconnaître la présence de certaines liaisons ou groupements d'atomes et fournit une " empreinte digitale " caractéristique. Dans le domaine des ondes radio, la résonance magnétique nucléaire (RMN) s'applique en premier lieu au carbone et à l'hydrogène mais également à de nombreux autres éléments. Cette méthode a connu depuis 1960 d'extraordinaires développements. L'un des plus récents, la RMN à deux dimensions, met en évidence des connexions entre atomes d'où une véritable cartographie moléculaire. Dans le domaine de la lumière visible ou ultaviolette, les renseignements obtenus sont d'une moindre richesse, mais cette spectroscopie, avec d'ailleurs l'IR, permet l'étude de molécules hors de notre atteinte comme celles des atmosphères planétaires ou de l'espace interstellaire. Enfin la spectrométrie de masse (SM) étudie les fragmentations des molécules sous l'effet, par exemple, d'un bombardement d'électrons. Des masses de ces fragments on peut déduire leur formule chimique qui permet de reconstituer la molécule originelle. Par ailleurs, ces spectres fournissent une signature qui, traitée numériquement, permet une identification automatique si la molécule a déjà été répertoriée dans une bibliothèque. Cette technique, couplée avec une méthode de séparation telle que la chromatographie en phase gazeuse est d'une puissance inégalée pour l'analyse de mélanges complexes. Mot(s) clés libre(s) : chimie moléculaire, chromatographie, conformation, infra-rouge, IRM, micro-onde, modélisation, molécule, résonance magnétique nucléaire, spectrométrie de masse, spectroscopie, ultra-violet
|
Accéder à la ressource
|
|
Poussières du pôle
/ Jean-François Dars (CNRS Images), Anne Papillault (CNRS Images)
/ 01-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
Dars (CNRS Images) Jean-François, Papillault (CNRS Images) Anne
Voir le résumé
Voir le résumé
À trois reprises entre 2000 et 2006, Jean Duprat, physicien au Centre de spectrométrie nucléaire et de spectrométrie de masse (CSNSM) d'Orsay, s'est rendu avec son équipe à Concordia, la base scientifique franco-italienne du Pôle Sud, afin d'y collecter des micrométéorites, en fondant la neige qui les contient. Le but de ces campagnes et des études qui les suivent (recoupant les données recueillies par Stardust, la sonde de la NASA qui a rapporté fin 2006 des échantillons prélevés dans la queue de la comète Wild 2), est de comprendre grâce à des poussières témoins des premiers moments du système solaire primitif, comment notre étoile et son cortège de planètes se sont formées il y a 4,5 milliards d'années.GénériqueAuteurs-réalisateurs : Jean-François Dars (CNRS Images), Anne Papillault (CNRS Images) et Jean Duprat (CSNSM, UMR CNRS, Orsay). Production : CNRS Images Diffuseur : CNRS Images. www.cnrs.fr/cnrs-images/ Mot(s) clés libre(s) : comète, cosmochimie, étoile, matériau cométaire, météorite, micrométéorite, microsonde ionique, origines du système solaire, planète, spectrométrie de masse, Stardust, système solaire
|
Accéder à la ressource
|
|
Analyse de gaz par spectrométrie de masse
/ Ecole Centrale de Paris, Laboratoire de Physique Experimentale (LPE) - ECP
/ 01-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FOULET Gloria, WEHLING Franz
Voir le résumé
Voir le résumé
Il s'agit de montrer comment analyser les constituants d'un gaz en utilisant un spectromètre de masse. Le système est bien décomposé pour expliquer le fonctionnement et les utilisations possibles.Vidéo issue du projet VideoManip dont l'objectif est la réalisation de courtes séquences filmées, montrant des expériences réelles, qui seraient à la fois trop complexes pour être montées et montrées en amphi, et pas assez riches d'enseignement pour justifier un TP de plusieurs heures. Les sciences de l'ingénieur consistent à utiliser un phénomène physique pour construire un objet répondant à un besoin donné. Cela suppose de la part des scientifiques, des (futurs) ingénieurs et des (futurs) enseignants qui les forme(ro)nt une connaissance assez intime des phénomènes physiques exploitables. Dans le processus d'acquisition de cette connaissance, rien ne remplace la confrontation directe au phénomène étudié au travers de l'expérimentation. La "manip de cours" ou "manip d'amphi" (expérimentation par le professeur pendant le cours magistral) permet de confronter immédiatement les étudiants au phénomène étudié sans avoir à attendre qu'ils aient acquis suffisamment de compétence pour pouvoir manipuler eux-mêmes. Ce genre d'illustration représente un investissement important, tant pour la mise en place de l'expérimentation elle-même que pour celle des dispositifs annexes permettant de la faire visualiser par un grand auditoire. Mot(s) clés libre(s) : analyse de gaz, détection d'ions, ionisation, phase gazeuse, spectrométrie de masse
|
Accéder à la ressource
|
|
La spectrométrie d'électron Auger
/ Ecole Centrale de Paris, Laboratoire de Physique Experimentale (LPE) - ECP
/ 01-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
FOULET Gloria, WEHLING Franz
Voir le résumé
Voir le résumé
Descriptif de l'appareil et explication de l'obtention des images.Vidéo issue du projet VideoManip dont l'objectif est la réalisation de courtes séquences filmées, montrant des expériences réelles, qui seraient à la fois trop complexes pour être montées et montrées en amphi, et pas assez riches d'enseignement pour justifier un TP de plusieurs heures. Les sciences de l'ingénieur consistent à utiliser un phénomène physique pour construire un objet répondant à un besoin donné. Cela suppose de la part des scientifiques, des (futurs) ingénieurs et des (futurs) enseignants qui les forme(ro)nt une connaissance assez intime des phénomènes physiques exploitables. Dans le processus d'acquisition de cette connaissance, rien ne remplace la confrontation directe au phénomène étudié au travers de l'expérimentation. La "manip de cours" ou "manip d'amphi" (expérimentation par le professeur pendant le cours magistral) permet de confronter immédiatement les étudiants au phénomène étudié sans avoir à attendre qu'ils aient acquis suffisamment de compétence pour pouvoir manipuler eux-mêmes. Ce genre d'illustration représente un investissement important, tant pour la mise en place de l'expérimentation elle-même que pour celle des dispositifs annexes permettant de la faire visualiser par un grand auditoire. Mot(s) clés libre(s) : analyse de surface, électron Auger, spectrométrie électronique
|
Accéder à la ressource
|
|
Cafés des Sciences Nancy 2006 - Le dopage est-il plus rapide que la science ?
/ Sophie BAILLY
/ 06-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LAURE Patrick
Voir le résumé
Voir le résumé
Résumé : Les recherches en matière de dopage amènent à un constat terrifiant : la première prise de produits dopants commence dès 14 ans chez certains jeunes sportifs. Cependant, les éducateurs sportifs et les parents sont peu informés de ce phénomène et ne se sentent pas réellement concernés.Malgré les risques importants pour la santé des athlètes, certaines disciplines comme le cyclisme sont particulièrement touchées. Comment lutter contre ces conduites dopantes ? Bien souvent, il n’est pas suffisant d’interdire certains produits. Certaines substances, comme les hormones de croissance, sont très difficilement repérables lors des contrôles anti-dopage. Par ailleurs, doit-on sanctionner les produits courants, comme les compléments en fer ou les tranquillisants qui ne sont pas interdits mais mettent en danger la santé des sportifs en cas d’utilisation abusive ? Intervenants : Patrick Laure, médecin conseil à la Direction Régionale Jeunesse et Sports - Patricia Franck, biochimiste, CHU Nancy.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : amphétamines, café, Cafés des Sciences Nancy Université, circuit médicament, dépistage, dopage, molécules, performances, spectrométrie, sport
|
Accéder à la ressource
|
|
Marie Curie: la chimie de l'impondérable
/ Christine AZEMAR
/ 14-03-2011
/ Canal-u.fr
MEYER Georges
Voir le résumé
Voir le résumé
1911, Marie Curie reçoit le prix Nobel de chimie pour la découverte du
polonium et du radium. En suivant la démarche de Pierre et Marie Curie et en
utilisant l’électromètre mis au point par Pierre Curie, 2 étudiants vont
purifier et tenter d’isoler une « nouvelle substance » dont seules
les propriétés radioactives permettent de l’identifier. Pour cela, ils vont
tenter d’extraire le polonium d’un prélèvement d’1 gramme de pechblende qui
contient 60% d’oxyde d’uranium. Mot(s) clés libre(s) : polonium, uranium, pechblende, Marie Curie, Pierre Curie, électromètre, spectromètre alpha, prix Nobel, Académie des Sciences
|
Accéder à la ressource
|
|
Chaîne de mesure
/ Observatoire de Paris
/ 02-09-2008
/ Unisciel
Mosser Benoît
Voir le résumé
Voir le résumé
sous-chapitre du cours "Fenêtres sur l'Univers"
On peut diviser la chaîne de mesure en plusieurs étapes. Parfois, il peut être difficile de distinguer aisément leur rôle : d'une part, elles sont intimement liées dans la qualité de l'observation ; d'autre part, leur intégration dans une outil d'observation efficace peut les solidariser intimement. L'ambition néanmoins ce sous-chapitre : mettre un peu d'ordre.
- Collecter : Choisir un entonnoir à photons aux propriétés voulus, souvent le plus grand possible, et transformer le front d'onde initial en un front d'onde plus concentré.
- Mettre en forme : Travailler les photons pour les compter, les classer par couleur et/ou les repérer spatialement.
- Détecter : Convertir le signal lumineux en signal électrique, sans perdre aucune des propriétés gagnées par l'instrument.
- Analyser : Traduire en mesures physiquement pertinentes les observables.
- Traiter : Commencer (modestement) à traiter les mesures. Mot(s) clés libre(s) : astronomie, astrophysique, instrumentation, optique, spectrométrie, miroir, astrométrie, photométrie, imagerie, spectro-imagerie, détecteur, CCD, bruit, signal, Fourier, caméra, chaîne de mesure, traitement du signal
|
Accéder à la ressource
|
|
Fenêtres sur l'Univers
/ Observatoire de Paris
/ 02-09-2008
/ Unisciel
Mosser Benoît, Theureau Gilles, Gerbaldi Michèle
Voir le résumé
Voir le résumé
Le cours en ligne "Fenêtres sur l'Univers" est conçu pour l'accompagnement et l'approfondissement de notions d'astronomie et d'astrophysique. Il reste très proche de la physique, en privilégiant l'outil physique pour comprendre comment fonctionnent les concepts et les objets astronomiques.
Le cours comporte 4 chapitres
- Distance et temps : Se repérer, dans le temps comme dans l'espace, est à la base de toute bonne astrophysique. Il suffit, pour s'en convaincre, de penser à l'étape première de l'analyse d'un problème mécanique : la nécessaire identification d'un référentiel, càd d'un solide sur lequel appuyer l'étude, muni d'une horloge fiable et précise. Ce référentiel s'accompagne d'un repère, qui doit permettre des mesures précises. Ce chapitre aborde ainsi les mesures de temps et d'espace qui serviront à définir le cadre de travail de toute l'astronomie.
- Masse : Comment "peser" l'Univers et ses objets ? Ce chapitre aborde les droits et devoirs de l'interaction gravitationnelle, qui régit l'Univers à toute échelle, et répond lorsque c'est possible à la question pesée... euh, posée.
- Température : Sous le terme de température sont rassemblés les phénomènes énergétiques responsables et constitutifs du rayonnement d'un objet de l'Univers. Le lien entre la thématique astrophysique et la microphysique apporte la lumière. Et la température est toujours en embuscade, via le gaz parfait, via le corps noir, pour régenter les lois physiques.
- Instrumentation : L'astrophysique d'aujourd'hui s'appuie sur des outils instrumentaux de pointe.
Le but de ce chapitre est de parcourir quelques-uns des grands principes instrumentaux, qui permettent de comprendre le fonctionnement d'une chaîne de collecte du signal, en décortiquant les informations spatiale, spectrale, temporelle... présentes dans les signaux ténus observés. Mot(s) clés libre(s) : astronomie, temps, distance, mesure, triangulation, échelle des distances, gravitation, Newton, dynamique, binarité, exoplanètes, lois de Kepler, systèmes binaires, marées, problème à N corps, température, étoile, luminosité, magnitude, évolution stellaire, effet Doppler, corps noir, classification spectrale, diagramme Hertzsprung-Russell, instrumentation, optique, diffraction, interférence, spectrométrie, miroir, télescope, monture, astrométrie, photométrie, imagerie, spectro-imagerie, détecteur, CCD, bruit, signal, Fourier, caméra, optique adaptative, chaîne de mesure, traitement du signal
|
Accéder à la ressource
|
|
Instrumentation
/ Observatoire de Paris
/ 02-09-2008
/ Unisciel
Mosser Benoît
Voir le résumé
Voir le résumé
Quatrième chapitre du cours "Fenêtres sur l'Univers"
L'astrophysique d'aujourd'hui s'appuie sur des outils instrumentaux de pointe.
Le but de ce chapitre est de parcourir quelques-uns des grands principes instrumentaux, qui permettent de mesurer les informations spatiale, spectrale, temporelle... présentes dans les signaux astrophysiques. Il montre comment recueillir, décortiquer, investiguer, redresser et interpréter ces derniers. Mot(s) clés libre(s) : astronomie, astrophysique, instrumentation, optique, diffraction, interférence, spectrométrie, miroir, télescope, monture, astrométrie, photométrie, imagerie, spectro-imagerie, détecteur, CCD, bruit, signal, Fourier, caméra, optique adaptative, chaîne de mesure, traitement du signal
|
Accéder à la ressource
|
|