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CESU: Débat 1: Questions
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 30-11-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence.DEBAT N°1: Le fait qu'un enseignant en soins d'urgence doive être un soignant de niveau de qualification professionnelle supérieur à celui des apprenants pose-t-il problème? Modérateur: Dr jean-Calude BartierL’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67Débat 1Le fait qu’un enseignant en soins d’urgence doive être un soignant de niveau de qualification professionnelle supérieurou égal à celui des apprenants pose-t-il problème ?Jusqu’en 2006, les dispositifs de formation à l’urgence proposésaux professionnels de santé étaient ceux du ministèrede l’Intérieur. Il s’agit en particulier de l’attestation de formation aux premiers secours (AFPS). Cette formation repose sur une approche pédagogique démonstrative. Toute personne, y compris non soignante, ayant suivi une formation d’une cinquantaine d’heures est susceptible d’enseigner l’AFPS.L’AFGSU a été créée en 2006, afin de répondre aux spécificitésde la formation des soignants dans le domaine de l’urgence : pratique professionnelle en milieu de soins auprès de patients, connaissances antérieures et, souvent,expérience en matière d’urgence, etc. L’approche pédagogique repose sur la méthode de la découverte.Ces choix pédagogiques ont conduit les experts à recommanderque les formateurs AFGSU aient un niveau de qualificationsupérieur ou égal à celui des apprenants (par exemple, un infirmier peut enseigner à des infirmiers et des aides-soignants, mais pas à des médecins), pour être en mesure d’explorer et de prendre en compte adéquatementles connaissances antérieures de ces derniers dans la démarche d’apprentissageDe nombreux formateurs de CESU se sont alors retrouvés exclus de formations auxquelles ils participaient antérieurement.Certains contestent la situation actuelle.Dr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67ModérateurDéfenseurs du OUIDr Ismaël HSSAINMédecin urgentiste au SAMU - CESU 68Dr Hubert TONNELIERMédecin anesthésiste au SAMU 88Défenseurs du NONDr Carole AMSALLEMMédecin urgentiste au SAMU - CESU 80Ysabelle THOMASCadre de santé au CESU 38 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110 Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude, FACON Laurent
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3Doit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
BARTIER jean-claude, FACON Laurent, DANAN Jane-Laure, CHARLES Didier, NEMITZ Bernard
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3: QuestionsDoit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
CHARLES Didier
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3Doit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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CESU: Débat n°3 Enseigner aux professionnels des gestes ne relevant pas de leurs compétences
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 01-12-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DANAN Jane-Laure
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XXIV Colloque national des CESU au palais des congrès de Strasbourg du 30 novembre au 2 décembre 2011. CESU: Centre d'Enseignement des Soins d'Urgence. L’auteur n’a pas transmis de conflit d’intérêt concernant les données diffusées dans cette vidéo ou publiées dans la référence citée. Organisateur: CESU 67 70 rue de l'Engelbreit 672000 STRASBOURG colloquedescesu@chru-strasbourg.fr 0369553110Débat 3Doit-on enseigner aux professionnels de santé des gestes ne relevant pas de leur compétence, mais qu’ils sont amenés à réaliser sur le terrain ?La pratique de certains professionnels de santé n’est pas encadrée par un décret d’actes. D’autres soignants, comme les infirmiers, bénéficient d’un dispositif réglementaireprécis quant aux actes relevant ou non de leur compétence. Il précise si ces actions peuvent être réaliséesdans le cadre du rôle propre, du rôle sur prescription, ou du rôle en présence d’un médecin.Les professionnels de santé, notamment les médecins, méconnaissent souvent ces décrets d’actes, et, plus globalement,les actions qui relèvent – ou non – de la compétenced’une catégorie donnée de soignants. Par ailleurs, les représentations selon lesquelles les situations d’urgenceautorisent à outrepasser les compétences légales du quotidien sont très ancrées dans l’esprit des professionnelsde santé. Enfin, en ce qui concerne plus particulièrementles infirmiers, le décret d’actes peut donner lieu à des interprétations variables, dans la mesure où il précise « qu’en cas d’urgence (...), l’infirmier ou l’infirmièredécide des gestes à pratiquer en attendant que puisse intervenir un médecin ».Ces éléments conduisent les professionnels de santé à réaliser en situation d’urgence des actes dont le caractèrelégal est contestable. Il s’agit, par exemple, de la mesure de la glycémie capillaire, de la préparation de médicaments injectables, ou encore, de l’aspiration dans une canule de trachéotomie par l’ambulancier ou l’aide-soignant, du contrôle des voies aériennes supérieures par l’infirmier, etc.Dès lors, est-il légitime de considérer qu’étant donné que certains professionnels de santé sont amenés à réaliser « illégalement » des gestes dans leur pratique quotidienne ou exceptionnelle de l’urgence, il est souhaitable de leur enseigner afin qu’ils puissent les maitriser ? Par ailleurs, comment ces pratiques « illégales » doivent-elles être encadrées (mise en place de procédures, présence médicale,etc.) ?ModérateurPr Bernard NEMITZProfesseur à la faculté de médecine d’AmiensDéfenseurs du OUIDr Jean-Claude BARTIERMédecin anesthésiste au SAMU 67Laurent FACONAmbulancier à l’IFA Croix-Rouge Ile-de-FranceDéfenseurs du NONDidier CHARLESJuriste du Sou MédicalJane-Laure DANANDirectrice d’école paramédicale (IFSI de Laxou) Mot(s) clés libre(s) : 2011, CESU, enseignement, soins, Strasbourg, urgence
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IPM 2007
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
DARMONI Stéfan J.
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L'objectif est de couvrir le maximun des cours concernant la recherche documentaire par une mutualisation de ces cours. Expérience de Rouen.
Pr Stéphan J. Darmoni Université de Rouen. Mot(s) clés libre(s) : DARMONI, documentation, IPM 2007, Strasbourg, TICE
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IPM 2007 - Bilan d'activité de l'UMVF et projet 2007/2012
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 31-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BENHAMOU Albert-Claude
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Le projet se construit progressivement jusqu'en 2012. La faculté de Caen a voté son adhésion à l'UMVF. Une sous commisssion de l'évaluation a été créée. Il est important de rentrer dans le web 3.0. pour la moissonnabilité des ressources : elles peuvent être prélevées par d'autres acteurs. Des partenariats sont développés avec l'INSERM ,ou l'école de Haute Santé publique. Les moteurs de recherche sur l'UMVF doivent être efficaces. les ressources doivent pouvoir être mises sur podcast. Des visioconférences IP fonctionnent bien. L'objectif est d'intégrer dans l'UMVF des ressources de qualité de pays francophones. le wiki permet cette intégration.
SCD médecine Nancy 1 mpa Mot(s) clés libre(s) : bilan, IPM 2007 Strasbourg, moteur recherche, ORI-OAI, podcast, site collaboratif, UMVF
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IPM 2007 - C2i niveau 2 métiers de la santé
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
GILLOIS Pierre
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L'objectif est d'apporter des compétences à des étudiants avant qu'ils ne se trouvent sur l'exercice de leur métiers dans des dimensions professionnelles, déontologiques et citoyennes.
Pierre Gillois MCU-PH Faculté de Médecine de Nancy Mot(s) clés libre(s) : C2i, GILLOIS, IPM 2007, Strasbourg, TICE
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IPM 2007 - Comment intégrer le e-learning dans le DMP?
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CINQUALBRE Jacques
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On a beaucoup glosé sur le DMP mais il va se mettre en place. L'intrusion est le gros problème posé par le dossier médical. le patient peut demander à ce que certaines données soient masquées. On peut même masquer le masquage. Néanmoins il faut que ce dossier soit réalisable. On peut imaginer de lui donner un langage commun qui permettrat de rassembler des données hétérogènes.
SCD médecine nancy 1 mpa Mot(s) clés libre(s) : apprentissage en ligne, données, dossier médical personnel, exercice médical, information, IPM 2007 Strasbourg
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IPM 2007 - Contexte de mise en place du C2i métiers de la santé
/ CERIMES, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BELLIER Jean-Paul
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Exposé de la politique de certification de la C2i au niveau du ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche. La politique du développement de la société de l'information est un enjeu prioritaire tant au niveau du développement des compétences, que des équipements et de la formation. Mot(s) clés libre(s) : C2i, IPM 2007, Jean-Paul BELLIER, SDTICE, Strasbourg, TICE
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