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c Jubilé André Calas- Alain Trembleau
/ André DAUTIGNY, Alain FREIXANET, BioTV
/ 11-04-2008
/ Canal-U - OAI Archive
TREMBLEAU Alain
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Voir les autres programmes du jubilé André Calas :
a-Jubilé André Calas - présentation
b-Jubilé André Calas - Andrée Tixier-Vidal
c-Jubilé André Calas - Alain Trembleau
d-Jubilé André Calas - Bennis
e-Jubilé André Calas - Gérard Alonso
f-Jubilé André Calas - Olivier Kah
g-Jubilé André Calas - Yves Tillet
h-Jubilé André Calas - Olivier Bosler
i-Jubilé André Calas - Mikhail Ugrumov
j-Jubilé André Calas - Massimiliano Beltrano
k-Jubilé André Calas - Marc Landry
l-Jubilé André Calas - Brigitte Oteniente
m-Jubilé André Calas - André Calas Mot(s) clés libre(s) : Développement du système nerveux, neurogenèse adulte, plasticité des réseaux neuronaux chez l’animal adulte, traduction locale axonale et dendritique d’ARNm
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Développement et évolution du système nerveux
/ Mission 2000 en France
/ 24-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PROCHIANTZ Alain
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Conférence du 24 janvier 2000 par Alain Prochiantz. On découvrit dans les années 1970, chez une mouche, la Drosophile, des mutations conduisant au remplacement de tout ou partie d'un organe par un autre organe. On observa, par exemple, des transformations de type antenne-patte, aile-balancier, ou aile-oeil. Ces mutations ont été dites homéotiques, l'organe d'un segment étant remplacé par l'organe homologue d'un autre segment. Les gènes homéotiques codent pour des facteurs de transcription qui, en se fixant sur des séquences promotrices, régulent l'expression d'autres gènes. Ces observations ont conduit à découvrir, dans tous les embranchements du règne animal, la présence de gènes présentant de fortes homologies de structure avec les gènes homéotiques de la Drosophile et de conclure que ces gènes régulent le développement morphologique des vertébrés. Par ailleurs, ces homologies entre gènes de vertébrés et d'arthropodes doublées de similitudes dans leur organisation chromosomique "démontrent" l'existence d'un ancêtre commun aux vertébrés et aux arthropodes qui aurait vécu il y a environ 600 millions d'années. Tout en traçant notre lien de parenté avec les arthropodes, cette conférence montre aussi à quel point nous sommes différents de ces cousins dont nous nous sommes séparés il y a environ 600 millions d'années. On voit donc apparaître ici deux stratégies d'adaptation. Chez les invertébrés, la forme adulte de l'organisme et ses comportements sont presque présents dans la structure génétique. Chez les vertébrés, les stratégies de développement, tout en définissant un plan contraignant, laissent une grande liberté aux détails de la construction cérébrale dont des aspects importants de la structure se modifient tout au long de l'existence. De ce fait, chez les vertébrés et au plus haut point chez l'homme, c'est l'histoire même des individus qui s'inscrit dans la structure cérébrale par un processus ininterrompu d'individuation. Mot(s) clés libre(s) : adaptation, embryologie, épigénétique, évolution des espèces, génétique du développement, neurobiologie, neurogenèse, neurone, neuroscience, oeuf, réseaux neuronaux, système nerveux, système sensoriel
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Encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles : le risque pour la santé
/ Mission 2000 en France
/ 12-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DORMONT Dominique
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Les encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) ont été décrites chez l'homme et les animaux : Kuru, maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), insomnie fatale familiale, chez l'homme ; tremblante du mouton et de la chèvre, encéphalopathie du vison, maladie du dépérissement chronique des ruminants sauvages, encéphalopathies spongiforme du chat et encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) chez l'animal. Toutes ces maladies ont des lésions histopathologiques très proches constituées d'une mort neuronale, d'une gliose et d'une spongiose, et elles sont transmissibles au sein de la même espèce, et expérimentalement d'une espèce à l'autre. Ces maladies humaines et animales sont induites par des agents transmissibles non conventionnels (ATNC), appelés "prions" ou "virinos". Ces agents restent inconnus à ce jour. S.B. Prusiner et ses collaborateurs ont décrit, à la fin des années 70, la principale caractéristique moléculaire de ces maladies : il s'agit d'une accumulation d'une protéine de l'hôte sous une forme modifiée. Les deux formes diffèrent seulement dans leurs propriétés physico-chimiques qui seraient la conséquence d'une modification de la structure secondaire ou organisation en trois dimensions. L'hypothèse la plus couramment admise en 1998 est que l'agent infectieux est composé de la protéine sous sa forme pathologique ; la propagation de la conformation pathologique s'effectuerait par l'acquisition, par la protéine normale, de la conformation anomale de la protéine infectieuse avec laquelle elle est associée. Récemment, une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) est apparue en Grande Bretagne (48 cas) et, à un moindre degré, en France (2 cas) et en République d'Irlande (1 cas). Cette nouvelle variante touche des individus jeunes, sans facteurs de risques génétiques ou iatrogènes et se traduit par une clinique particulière et une neuropathologie tout à fait spécifique, inconnue dans les autres formes de MCJ. L'implication de l'agent de l'encéphalopathie bovine spongiforme dans l'émergence du nvMCJ est maintenant démontrée ; les conséquences en termes de santé publique du passage de l'agent bovin à l'homme ne sont pas encore totalement évaluées. Mot(s) clés libre(s) : cannibalisme, cerveau, encéphalopathie subaïgue spongiforme, farine animale, hérédité, hormone de croissance, Kuru, maladie de Creutzfeld-Jacob, prion, santé, système nerveux central
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Être et ne pas être un animal
/ UTLS - la suite
/ 21-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
PROCHIANTZ Alain
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Il n'y a que des individus dans la nature. Mais qu'est-ce qu'un individu ? Le sens de ce terme est-il le même pour tous : bactéries, plantes, oiseaux, souris, êtres humains ? La réponse, selon le conférencier, réside dans l'étude du développement, dans les gènes architectes qui tracent le plan du corps et nous éclairent sur l'évolution des espèces. Elle se trouve aussi dans l'histoire, toujours singulière, de tout individu. Mettant en perspective les données les plus récentes de sa discipline, il suggère que, par la grâce de quelques mutations et l'aventure évolutive de son cortex, l'Homme est comme sorti de la nature et il propose une distinction radicale entre nous et les autres espèces. Mot(s) clés libre(s) : animal, biologie du développement, être humain, évolution des espèces, génétique, Homo sapiens, neurobiologie, neurosciences, système nerveux
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L'électrophysiologie moléculaire
/ BioTV
/ 10-09-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LEGENDRE Pascal, DAUTIGNY André
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Les techniques d'électrophysiologie ont permis, en étudiant la propagation des signaux électriques entre les cellules nerveuses, de montrer comment le système nerveux gère l'information pour produire des comportements adaptés au milieu externe et interne. Depuis une vingtaine d'années des techniques nouvelles (patch clamp) ont révolutionné notre vision du fonctionnement su système nerveux central en donnant accès aux propriétés fonctionnelles des protéines-canaux qui sont à l'origine de l'activité électrique du système nerveux. Ces techniques associées à la biologie moléculaire ont élargi considérablement notre compréhension de certaines maladies génétiques qui conduisent à un dysfonctionnement du cerveau. Mot(s) clés libre(s) : cellule nerveuse, électrophysiologie, neurobiologie, neurone, neuroscience, patch-clamp, potentiel d'action, système nerveux
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La cellule de Schwann.
/ BioTV
/ 25-11-2002
/ Canal-U - OAI Archive
PHAM-DINH Danielle, AMEDEE Thierry
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Son interaction avec les nerfs passe par un vocabulaire (neuromédiateurs...) et une grammaire (récepteurs, canaux ioniques...) qui modulent les transmissions nerveuses et synaptiques. La vision obsolète de la cellule gliale, Cendrillon toute dévouée de sa Seigneurie Le Neurone, cède aujourd'hui le pas devant le concept d'interactions neuro-gliales. Ces interactions intimes et vitales pour chacun des acteurs utilisent un vocabulaire (neuromédiateurs, facteurs de croissance, molécules d'adhésion...) et une grammaire (récepteurs, canaux ioniques, mécanismes de transduction, régulation de l'expression génomique) d'une grande richesse. Dans cette première émission nous commencerons notre voyage linguistique et grammatical par la périphérie en nous plongeant dans le dialogue intime entre la cellule de Schwann et le neurone. Puis dans une seconde émission nous nous lancerons à l'assaut des multiples cellules gliales du système nerveux central. Mot(s) clés libre(s) : cellule de schwann, myéline, neuroscience, système nerveux périphérique
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La sécurité alimentaire N8 - Vache folle : évaluation des risques et principe de précaution
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 27-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
BACKCHINE Serge
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Le Professeur Serge BAKCHINE fait une brève description de la maladie de Creutzfeld Jakob et de l'encéphalopathie spongiforme bovine. Il nous présente les caractéristiques de ces maladies, les organes principalement touchés, leurs dépistages et leurs transmissions.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : alimentation, Compagnie des Experts, Cour d'Appel de Reims, Creutzfeldt Jakob, encéphalopathie spongiforme bovine, ESST, prion, sécurité alimentaire, système nerveux, vache folle
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Le cerveau : de la biologie moléculaire aux sciences cognitives
/ Mission 2000 en France
/ 03-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHANGEUX Jean-Pierre
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L'apport de multiples disciplines de recherche, qui incluent la biologie moléculaire, la physiologie nerveuse, les sciences du comportement et l'anthropologie, converge vers une conception synthétique des fonctions supérieures du cerveau de l'homme, qui s'inscrit dans l'emboîtement de multiples évolutions au niveau des gènes, du réseau neuronal, de l'expérience individuelle et des acquis socioculturels. Mot(s) clés libre(s) : cellule nerveuse, cerveau, neurobiologie, neurologie, neurone, neuroscience, neurotransmetteur, sciences cognitives, synapse, système nerveux
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Le cerveau : de la biologie moléculaire aux sciences cognitives
/ Mission 2000 en France
/ 03-01-2000
/ Canal-u.fr
CHANGEUX Jean-Pierre
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L'apport de multiples disciplines de recherche, qui incluent la biologie moléculaire, la physiologie nerveuse, les sciences du comportement et l'anthropologie, converge vers une conception synthétique des fonctions supérieures du cerveau de l'homme, qui s'inscrit dans l'emboîtement de multiples évolutions au niveau des gènes, du réseau neuronal, de l'expérience individuelle et des acquis socioculturels. Mot(s) clés libre(s) : cellule nerveuse, neurotransmetteur, neurologie, neurobiologie, système nerveux, sciences cognitives, neuroscience, neurone, cerveau, synapse
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Le cerveau de la connaissance: physiologie de la cognition et images du cerveau
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 03-02-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MAZOYER Bernard
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L'existence de relations entre cerveau et pensée a alimenté de nombreuses querelles philosophiques, et ce en raison de l'absence de techniques d'observation du fonctionnement normal de cet organe. A la fin du 19e siècle, physiologistes et neurochirurgiens ont établi que les fonctions cognitives généraient des modifications localisées de la circulation sanguine cérébrale, et que des stimulations ou des lésions du cortex pouvaient provoquer une interruption ou un trouble de leur exécution. Jusqu'aux années 1980, cette dernière approche - la neuropsychologie - a constitué la méthode expérimentale prédominante pour l'étude des relations entres structures et fonctions cérébrales. Elle est cependant limitée parce qu'elle tente d'inférer le fonctionnement du cerveau normal à partir de l'observation de dysfonctionnements de cerveaux lésés. Dans ce contexte, la mise au point au cours des années 1990 de techniques d'imagerie numérique tridimensionnelle permettant d'observer de façon externe chez l'homme vivant l'organisation fonctionnelle de son cerveau, constitue une véritable révolution. La tomographie par émission de positons, l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle et la magnétoencéphalographie sont désormais à même de fournir des cartes spatio-temporelles des événements électriques et métaboliques qui sous-tendent les activités mentales. Ces nouvelles approches des fonctions cognitives ont déjà fourni de nombreux résultats en démontrant que les activités cognitives avaient pour base une modulation d'activité neuronale. Elles devraient également permettre dans l'avenir une nouvelle approche des dysfonctionnements cognitifs apparaissant au détours des maladies neurologiques et psychiatriques. Mot(s) clés libre(s) : cerveau, fonction cognitive, imagerie cérébrale, imagerie médicale, imagerie par résonance magnétique, IRM, magnétoencéphalographie, neurone, neuropsychologie, neuroscience, pensée, sciences cognitives, système nerveux, tomographie
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