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Titre
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Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - Introduction
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
TUBELLA Imma, RAINHORN Jean-Daniel, IVANOVITCH Alexandra, CHECOLA Laurent, AUTHEMAN Charles
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La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
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Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - J-D. Rainhorn
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
RAINHORN Jean-Daniel
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La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
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Le numérique, la biotechnologie et la littérature dystopique - L.Checola
/ FMSH Production
/ 15-12-2015
/ Canal-u.fr
CHECOLA Laurent
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La lecture des romans d'anticipation sociale nous renvoie à des événements qui font souvent les gros titres de l'actualité: surveillance du courrier électronique et des conversations téléphoniques; identification des comportements grâce aux ordinateurs, aux téléphones portables ou aux cartes de crédit; connaissance intime des individus par le recueil des données sur leur santé; utilisation de drogues ou d'implants pour modifier le fonctionnement du cerveau; nouvelles formes de reproduction humaine; remplacement des organes défaillants; etc. La technologie d'aujourd'hui n'est-elle pas en train de rejoindre les intuitions de la littérature dystopique? Une séance introductive qui posera les grandes questions qui seront débattues au cours du séminaire. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, sociologie, liberté, utopie, dystopie
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Les modes d'apprentissage : anciens et nouveaux médias de l'enseignement
/ Mission 2000 en France
/ 28-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CASPAR Pierre
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De tout temps les modes et les conditions d'accès au savoir ont constitué un enjeu majeur pour le développement des personnes et des groupes sociaux. Ainsi, les " lieux de savoir " (temples, monastères, universités, musées
) ont-ils joué des fonctions centrales pour la création, la conservation, la protection, et la transmission des savoirs. Ces fonctions se trouvent profondément bouleversées aujourd'hui par l'entrée dans ce que l'on appelle désormais une " société de la connaissance ". Le développement des réseaux dont, bien sûr, Internet, l'apparition de formes de mondialisation, de mutualisation mais aussi de commercialisation des savoirs, la dématérialisation des économies et le développement quasi-exponentiel des investissements immatériels rendent les processus d'actualisation ou de renouvellement des compétences plus indispensables que jamais. Ils obligent aussi à les intégrer dans des architectures éducatives, plus proches de l'acte de travail et de la vie quotidienne, mais beaucoup plus complexes que dans les années 1980. L'Union Européenne a dans cet esprit mis en exergue le concept de " formation tout au long de la vie ". C'est dans ce cadre que se dessinent aujourd'hui les nouveaux territoires de la formation des adultes, dont l'évolution dépasse de loin la simple appropriation des médias offerts par les technologies de traitement de l'information et de télécommunication. Les "métiers du savoir" et les activités de celles et ceux qui s'y engagent, ou qui y font appel, s'en trouvent considérablement bouleversés en retour. Mot(s) clés libre(s) : apprentissage, formation adultes, nouvelles technologies de l'information et de la communication, savoir
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L’agriculture 2.0 en marche - J.-M. Bournigal, IRSTEA
/ Canal-u.fr
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Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : Technologies de l'Information et de la Communication, agriculture de précision, informatique embarquée, objets connectés, agroéquipements
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Monique Linard
/ Jean-Pierre Pivin, Ruben Ibanez, Pascal Roche, INRP/TECNE, IUFM Academie de Versailles
/ 01-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, TRAULLET Claude
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Linguiste de formation, Monique Linard, a commencé par enseigner l’anglais dans le Secondaire. Elle est ensuite entrée à l’Université Paris 10 - Nanterre, où elle a poursuivi sa carrière en Sciences de l’Education. Dans les années 70, elle crée une filière d’enseignement et de recherche en pédagogie audiovisuelle. Au début des années 1980, elle s’intéresse aux questions de la connaissance et de l’apprentissage médiatisés par ordinateur. De 1992 à 1995, elle dirige à Lyon-Ecully un laboratoire CNRS de Sciences Humaines et Sociales consacré à divers aspects de la formation et de la communication liés aux TIC. Elle est actuellement Professeur Emérite de l’Université.Extraits vidéos du CD Rom "Une approche multimédia des idées et des personnes". Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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Passé et avenir du livre
/ Mission 2000 en France
/ 23-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHARTIER Roger
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Cette conférence voudrait examiner les différentes mutations que la nouvelle textualité électronique propose ou impose aux catégories et pratiques qui ont régi - et régissent encore - notre rapport à la culture écrite. L'exposé s'attachera avant tout à trois ordres de questions. Tout d'abord, il s'agit d'examiner les nouvelles possibilités offertes par l'écrit électronique à la création littéraire ou à l'argumentation scientifique. Quels sont les effets sur l'invention romanesque ou poétique d'un mode de composition des textes qui leur donne mobilité, malléabilité et ouverture ? Et quelles sont les nouvelles ressources mises à disposition du raisonnement logique et philosophique, de la démonstration savante, du récit et de la démonstration historiques ? Il faut ensuite s'interroger sur les conditions techniques, économiques et juridiques qui gouvernent l'édition électronique des oeuvres. Comment repenser les notions classiques de propriété littéraire, copyright et droit d'auteur et comment définir le " livre " électronique. Enfin, un dernier questionnement portera sur la place et la fonction de la bibliothèque dans ce nouvel univers. La communication à distance des textes signifie-t-elle sa condamnation puisque chaque lecteur se trouve à même de lire là où il se trouve catalogues et collections ? Ou bien ne faut-il pas plutôt opposer à ce diagnostic de mort annoncée les rôles nouveaux dont la bibliothèque peut être investie, à la fois comme conservatoire du patrimoine écrit, instrument d'apprentissage des nouvelles techniques et lieu d'échanges autour des oeuvres ? Mot(s) clés libre(s) : édition électronique, livre, livres et lecture, nouvelles technologies de l'information et de la communication
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Regard des satellites sur l’agriculture mondiale - P. Kosuth, Agropolis Montpellier
/ Canal-u.fr
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Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, agroéquipements, imagerie satellitaire, recherche pluridisciplinaire, prévisionnisme
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole / Hervé Lipp
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LIPP Hervé
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole / Hervé Lipp, iin "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015. L’enseignement technique agricole accueille un public d’apprenants ayant fortement évolué au cours des dernières années. En effet, les apprenants à besoins éducatifs particuliers sont en constante
augmentation comme le démontre les enquêtes du ministère de l’agriculture sur le projet d’accueil individualisé (PAI). Les demandes de PAI ne cessent de croître ainsi que, dans une moindre mesure, les projets personnalisés de scolarisation (PPS). En tant qu’enseignant,
Hervé Lipp a adapté progressivement ses pratiques d’évaluation pour favoriser la réussite de chacun (cf. loi de 2005). Une grande partie du public, auprès duquel il enseigne, a des difficultés dans la rédaction, l'écriture et de compréhension des consignes. Mais malgré ces
difficultés, ces apprenants ont des points forts à savoir la motivation pour un projet professionnel et la facilité d'expression orale.
L'objectif est « d’utiliser » ces points forts pour compenser au mieux les difficultés de ces apprenants. Pour certains des apprenants ayant les difficultés cités ci-dessus, des troubles d’apprentissage spécifiques ont été diagnostiqués (dyslexie, dysorthographie, ...)
(INSERM, 2007). Pour d’autres, les problèmes peuvent provenir de multiples facteurs tels qu’un manque de travail, des difficultés d’adaptation lors du passage du collège au lycée... Pour mettre en évidence les adaptations réalisées dans ses pratiques d’évaluation,
Hervé Lipp s’appuie sur deux exemples d’évaluation fréquente dans les disciplines techniques. La première situation d’évaluation vise à évaluer la maîtrise d’un vocabulaire technique par les apprenants. Afin de limiter les difficultés liées au stock lexical, il met en œuvre cette évaluation à l’aide d’un outil numérique. Ainsi, l’élève n’a pas besoin d’écrire le vocabulaire mais doit sélectionner les termes techniques pertinents au problème qui lui est posé. En effet, l’objectif d’évaluation se situe bien dans la capacité de l’apprenant à repérer le nom des éléments et non pas de vérifier s’il est capable de bien
orthographier tel ou tel mot. Par ailleurs, l’outil numérique permet d’adapter l’ergonomie du support en fonction des besoins individuels. Le second exemple est une situation d’évaluation formative afin d’identifier le niveau de compréhension des apprenants au cours du processus d’apprentissage et d’envisager des régulations. Les élèves ont un support papier dont la mise en forme a été adaptée pour limiter les difficultés de lecture et limiter le passage d’un support à un autre lors de l’écriture. Une attention particulière est apportée à la
formulation des questions afin qu’il ne puisse pas y avoir d’ambiguïté.
Lors de la mise en œuvre de l’évaluation, sont utilisés à la fois le support papier et la verbalisation orale des consignes afin de s’assurer que chaque apprenant ait bien compris les attentes. Cette réflexion a été conduite par le groupe d’appui à la professionnalisation (GAP) « Dys » du ministère de l’agriculture. L’évolution de ces pratiques d’évaluation a permis de constater plusieurs effets. La plupart des élèves arrive à réaliser l’ensemble de l’évaluation dans le temps imparti. Les réponses, même si elles peuvent être incorrectes, sont en adéquation avec le sens de la question ce qui signifie qu’il y a une meilleure compréhension des consignes. De plus, il est possible de constater une nette diminution des demandes d’explication de la part des élèves au cours de l’évaluation. Les résultats obtenus par les apprenants sont également à la hausse. Et ces derniers sollicitent les autres enseignants à faire de même. De plus, les élèves semblent moins stressés lorsqu’ils réalisent une évaluation adaptée. Enfin, le constat est que les aides apportées aux élèves ayant des troubles d’apprentissage reconnus (dyslexie, dysorthographie...) profitent à
l’ensemble des élèves de la classe. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement, intégration scolaire, enseignement agricole (France)
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole [st LSF] / Hervé Lipp
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LIPP Hervé
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Rendre l'évaluation plus accessible en cours de mécanique dans l'enseignement agricole / Hervé Lipp, in in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015.* version sous-titrée en langue des signes française.L’enseignement technique agricole accueille un public d’apprenants ayant fortement évolué au cours des dernières années. En effet, les apprenants à besoins éducatifs particuliers sont en constante augmentation comme le démontre les enquêtes du ministère de l’agriculture sur le projet d’accueil individualisé (PAI). Les demandes de PAI ne cessent de croître ainsi que, dans une moindre mesure, les projets personnalisés de scolarisation (PPS). En tant qu’enseignant, Hervé Lipp a adapté progressivement ses pratiques d’évaluation pour favoriser la réussite de chacun (cf. loi de 2005). Une grande partie du public, auprès duquel il enseigne, a des difficultés dans la rédaction, l'écriture et de compréhension des consignes. Mais malgré ces difficultés, ces apprenants ont des points forts, à savoir la motivation pour un projet professionnel et la facilité d'expression orale. L'objectif est "d’utiliser" ces points forts pour compenser au mieux les difficultés de ces apprenants. Pour certains des apprenants ayant les difficultés cités ci-dessus, des troubles d’apprentissage spécifiques ont été diagnostiqués (dyslexie, dysorthographie, ...) (INSERM, 2007). Pour d’autres, les problèmes peuvent provenir de multiples facteurs tels qu’un manque de travail, des difficultés d’adaptation lors du passage du collège au lycée... Pour mettre en évidence les adaptations réalisées dans ses pratiques d’évaluation, Hervé Lipp s’appuie sur deux exemples d’évaluation fréquente dans les disciplines techniques. La première situation d’évaluation vise à évaluer la maîtrise d’un vocabulaire technique par les apprenants. Afin de limiter les difficultés liées au stock lexical, il met en œuvre cette évaluation à l’aide d’un outil numérique. Ainsi, l’élève n’a pas besoin d’écrire le vocabulaire mais doit sélectionner les termes techniques pertinents au problème qui lui est posé. En effet, l’objectif d’évaluation se situe bien dans la capacité de l’apprenant à repérer le nom des éléments et non pas de vérifier s’il est capable de bien orthographier tel ou tel mot. Par ailleurs, l’outil numérique permet d’adapter l’ergonomie du support en fonction des besoins individuels. Le second exemple est une situation d’évaluation formative afin d’identifier le niveau de compréhension des apprenants au cours du processus d’apprentissage et d’envisager des régulations. Les élèves ont un support papier dont la mise en forme a été adaptée pour limiter les difficultés de lecture et limiter le passage d’un support à un autre lors de l’écriture. Une attention particulière est apportée à la formulation des questions afin qu’il ne puisse pas y avoir d’ambiguïté. Lors de la mise en œuvre de l’évaluation, sont utilisés à la fois le support papier et la verbalisation orale des consignes afin de s’assurer que chaque apprenant ait bien compris les attentes. Cette réflexion a été conduite par le groupe d’appui à la professionnalisation (GAP) « Dys » du ministère de l’agriculture. L’évolution de ces pratiques d’évaluation a permis de constater plusieurs effets. La plupart des élèves arrive à réaliser l’ensemble de l’évaluation dans le temps imparti. Les réponses, même si elles peuvent être incorrectes, sont en adéquation avec le sens de la question ce qui signifie qu’il y a une meilleure compréhension des consignes. De plus, il est possible de constater une nette diminution des demandes d’explication de la part des élèves au cours de l’évaluation. Les résultats obtenus par les apprenants sont également à la hausse. Et ces derniers sollicitent les autres enseignants à faire de même. De plus, les élèves semblent moins stressés lorsqu’ils réalisent une évaluation adaptée. Enfin, le constat est que les aides apportées aux élèves ayant des troubles d’apprentissage reconnus (dyslexie, dysorthographie...) profitent à l’ensemble des élèves de la classe. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement, intégration scolaire, enseignement agricole (France)
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