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Témoignage de Robert Lefranc
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, Roger FRENOY, Romain LAPORTE, Sophie PENE, Thomas ZORITCHAK, Maison des Sciences de l'Homme Paris Nord, CERIMES, Université Paris Descartes
/ 13-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
RUBENACH Jacques, THIBAULT Françoise
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© CERIMES-MSH-FMSH-Université PARIS V>> à voir aussi:Le cinéma à l'école Mot(s) clés libre(s) : audiovisuel, nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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SIFEM 2006- Enquête concernant les NTIC
/ 02-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
KOHLER Chantal
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Chantal KHOLER vous présente les résultats de l'enquête concernant les Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC). Elle a été réalisée lors du colloque de la Société Internationale Francophone d'Education Médicale (SIFEM). pour la majorité des enseignants, ils utilisent power point pour la mise ligne de leurs cours. les deux freins essentiels sont les moyens humains et financiers.
Origine
CERIMES Canal-U Médecine et Santé
Générique
SIFEM 1er colloque - Beyrouth SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : enquête, nouvelles technologies de l'information et de la communication, NTIC, SIFEM
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Réunion "5+5 Éducation" à Biarritz : "Une éducation numérique de qualité pour tous"
/ CERIMES, Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, SDTICE
/ 29-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Chatel Luc, Ben Salem Hatem
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Luc Chatel, ministre de l'Éducation nationale, Porte-parole du Gouvernement, et Hatem Ben Salem, ministre tunisien de l'Éducation et de la Formation professionnelle, ont co-présidé, mardi 29 septembre à Biarritz, la première réunion "5+5 Éducation", sur le thème "Une éducation numérique de qualité pour tous".Ce premier "5+5 Éducation" rassemble dix ministres en charge de l'Éducation, représentant les cinq États de l'Union du Maghreb arabe (Algérie, Libye, Maroc, Mauritanie, Tunisie) et cinq États de l'Union européenne (Espagne, France, Italie, Malte, Portugal). Pour sa première édition, la réunion porte sur le développement du numérique à l'école, domaine qui a donné lieu depuis plusieurs années à des stratégies et à des projets distincts et variés selon les pays participants. Cette conférence est l'occasion pour les ministres et les délégations présents d'échanger sur les stratégies et les plans nationaux d'équipement et de diffusion des ressources numériques éducatives, ainsi que sur la formation des enseignants aux usages pédagogiques des TICE (technologies de l'information et de la communication pour l'Éducation). Elle permet également de mettre en commun des bonnes pratiques et de réfléchir aux meilleures méthodes pour créer des projets de coopération régionaux favorisant le développement du numérique dans les systèmes éducatifs des Pays Membres. Cette réunion peut par ailleurs constituer une force de propositions pour un sommet élargi à l'Union pour la Méditerranée. Un relevé de conclusions formalisera les résultats des travaux, qui devraient mettre en avant plusieurs mesures concrètes favorisant les coopérations interrégionales. Un prochain "5+5 Éducation", qui aura lieu en 2010 en Tunisie, permettra d'évaluer les progrès accomplis et d'aborder d'autres thématiques comme la formation professionnelle et l'enseignement des langues. * 9h - présentation des stratégies et plans nationaux, présidée par Luc Chatel (Tour de table image uniquement) Palais des Congrès "Le Bellevue" - Rotonde * 10h45 - réunion de travail présidée par le ministre tunisien Hatem Ben Salem, sur la formation des enseignants aux usages pédagogiques du numérique (Tour de table image uniquement) Palais des Congrès "Le Bellevue" - Rotonde * 12h15 - photo de groupe (image uniquement) Palais des Congrès "Le Bellevue" * 13h30 - réunion de synthèse (Tour de table image uniquement) Palais des Congrès "Le Bellevue" - Rotonde * 14h15 - point presse conjoint Palais des Congrès "Le Bellevue" Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, numérique, systèmes d'enseignement, TICE
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole [st LSF] / Hervé Lipp
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LIPP Hervé
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Rendre l'évaluation plus accessible en cours de mécanique dans l'enseignement agricole / Hervé Lipp, in in "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015.* version sous-titrée en langue des signes française.L’enseignement technique agricole accueille un public d’apprenants ayant fortement évolué au cours des dernières années. En effet, les apprenants à besoins éducatifs particuliers sont en constante augmentation comme le démontre les enquêtes du ministère de l’agriculture sur le projet d’accueil individualisé (PAI). Les demandes de PAI ne cessent de croître ainsi que, dans une moindre mesure, les projets personnalisés de scolarisation (PPS). En tant qu’enseignant, Hervé Lipp a adapté progressivement ses pratiques d’évaluation pour favoriser la réussite de chacun (cf. loi de 2005). Une grande partie du public, auprès duquel il enseigne, a des difficultés dans la rédaction, l'écriture et de compréhension des consignes. Mais malgré ces difficultés, ces apprenants ont des points forts, à savoir la motivation pour un projet professionnel et la facilité d'expression orale. L'objectif est "d’utiliser" ces points forts pour compenser au mieux les difficultés de ces apprenants. Pour certains des apprenants ayant les difficultés cités ci-dessus, des troubles d’apprentissage spécifiques ont été diagnostiqués (dyslexie, dysorthographie, ...) (INSERM, 2007). Pour d’autres, les problèmes peuvent provenir de multiples facteurs tels qu’un manque de travail, des difficultés d’adaptation lors du passage du collège au lycée... Pour mettre en évidence les adaptations réalisées dans ses pratiques d’évaluation, Hervé Lipp s’appuie sur deux exemples d’évaluation fréquente dans les disciplines techniques. La première situation d’évaluation vise à évaluer la maîtrise d’un vocabulaire technique par les apprenants. Afin de limiter les difficultés liées au stock lexical, il met en œuvre cette évaluation à l’aide d’un outil numérique. Ainsi, l’élève n’a pas besoin d’écrire le vocabulaire mais doit sélectionner les termes techniques pertinents au problème qui lui est posé. En effet, l’objectif d’évaluation se situe bien dans la capacité de l’apprenant à repérer le nom des éléments et non pas de vérifier s’il est capable de bien orthographier tel ou tel mot. Par ailleurs, l’outil numérique permet d’adapter l’ergonomie du support en fonction des besoins individuels. Le second exemple est une situation d’évaluation formative afin d’identifier le niveau de compréhension des apprenants au cours du processus d’apprentissage et d’envisager des régulations. Les élèves ont un support papier dont la mise en forme a été adaptée pour limiter les difficultés de lecture et limiter le passage d’un support à un autre lors de l’écriture. Une attention particulière est apportée à la formulation des questions afin qu’il ne puisse pas y avoir d’ambiguïté. Lors de la mise en œuvre de l’évaluation, sont utilisés à la fois le support papier et la verbalisation orale des consignes afin de s’assurer que chaque apprenant ait bien compris les attentes. Cette réflexion a été conduite par le groupe d’appui à la professionnalisation (GAP) « Dys » du ministère de l’agriculture. L’évolution de ces pratiques d’évaluation a permis de constater plusieurs effets. La plupart des élèves arrive à réaliser l’ensemble de l’évaluation dans le temps imparti. Les réponses, même si elles peuvent être incorrectes, sont en adéquation avec le sens de la question ce qui signifie qu’il y a une meilleure compréhension des consignes. De plus, il est possible de constater une nette diminution des demandes d’explication de la part des élèves au cours de l’évaluation. Les résultats obtenus par les apprenants sont également à la hausse. Et ces derniers sollicitent les autres enseignants à faire de même. De plus, les élèves semblent moins stressés lorsqu’ils réalisent une évaluation adaptée. Enfin, le constat est que les aides apportées aux élèves ayant des troubles d’apprentissage reconnus (dyslexie, dysorthographie...) profitent à l’ensemble des élèves de la classe. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement, intégration scolaire, enseignement agricole (France)
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole / Hervé Lipp
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 02-02-2015
/ Canal-u.fr
LIPP Hervé
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Rendre l'évaluation plus accessible en machinisme, matière technique de l'enseignement agricole / Hervé Lipp, iin "Éducation inclusive, la question de l'évaluation : des représentations aux pratiques évaluatives", colloque international organisé par le Laboratoire Éducation, Formation, Travail, Savoirs (EFTS) de l'Université Toulouse Jean Jaurès et l'École Nationale de Formation Agronomique (ENFA) de Toulouse-Auzeville. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 2-3 février 2015.Atelier 6 : Adaptations au geste évaluatif, 2 février 2015. L’enseignement technique agricole accueille un public d’apprenants ayant fortement évolué au cours des dernières années. En effet, les apprenants à besoins éducatifs particuliers sont en constante
augmentation comme le démontre les enquêtes du ministère de l’agriculture sur le projet d’accueil individualisé (PAI). Les demandes de PAI ne cessent de croître ainsi que, dans une moindre mesure, les projets personnalisés de scolarisation (PPS). En tant qu’enseignant,
Hervé Lipp a adapté progressivement ses pratiques d’évaluation pour favoriser la réussite de chacun (cf. loi de 2005). Une grande partie du public, auprès duquel il enseigne, a des difficultés dans la rédaction, l'écriture et de compréhension des consignes. Mais malgré ces
difficultés, ces apprenants ont des points forts à savoir la motivation pour un projet professionnel et la facilité d'expression orale.
L'objectif est « d’utiliser » ces points forts pour compenser au mieux les difficultés de ces apprenants. Pour certains des apprenants ayant les difficultés cités ci-dessus, des troubles d’apprentissage spécifiques ont été diagnostiqués (dyslexie, dysorthographie, ...)
(INSERM, 2007). Pour d’autres, les problèmes peuvent provenir de multiples facteurs tels qu’un manque de travail, des difficultés d’adaptation lors du passage du collège au lycée... Pour mettre en évidence les adaptations réalisées dans ses pratiques d’évaluation,
Hervé Lipp s’appuie sur deux exemples d’évaluation fréquente dans les disciplines techniques. La première situation d’évaluation vise à évaluer la maîtrise d’un vocabulaire technique par les apprenants. Afin de limiter les difficultés liées au stock lexical, il met en œuvre cette évaluation à l’aide d’un outil numérique. Ainsi, l’élève n’a pas besoin d’écrire le vocabulaire mais doit sélectionner les termes techniques pertinents au problème qui lui est posé. En effet, l’objectif d’évaluation se situe bien dans la capacité de l’apprenant à repérer le nom des éléments et non pas de vérifier s’il est capable de bien
orthographier tel ou tel mot. Par ailleurs, l’outil numérique permet d’adapter l’ergonomie du support en fonction des besoins individuels. Le second exemple est une situation d’évaluation formative afin d’identifier le niveau de compréhension des apprenants au cours du processus d’apprentissage et d’envisager des régulations. Les élèves ont un support papier dont la mise en forme a été adaptée pour limiter les difficultés de lecture et limiter le passage d’un support à un autre lors de l’écriture. Une attention particulière est apportée à la
formulation des questions afin qu’il ne puisse pas y avoir d’ambiguïté.
Lors de la mise en œuvre de l’évaluation, sont utilisés à la fois le support papier et la verbalisation orale des consignes afin de s’assurer que chaque apprenant ait bien compris les attentes. Cette réflexion a été conduite par le groupe d’appui à la professionnalisation (GAP) « Dys » du ministère de l’agriculture. L’évolution de ces pratiques d’évaluation a permis de constater plusieurs effets. La plupart des élèves arrive à réaliser l’ensemble de l’évaluation dans le temps imparti. Les réponses, même si elles peuvent être incorrectes, sont en adéquation avec le sens de la question ce qui signifie qu’il y a une meilleure compréhension des consignes. De plus, il est possible de constater une nette diminution des demandes d’explication de la part des élèves au cours de l’évaluation. Les résultats obtenus par les apprenants sont également à la hausse. Et ces derniers sollicitent les autres enseignants à faire de même. De plus, les élèves semblent moins stressés lorsqu’ils réalisent une évaluation adaptée. Enfin, le constat est que les aides apportées aux élèves ayant des troubles d’apprentissage reconnus (dyslexie, dysorthographie...) profitent à
l’ensemble des élèves de la classe. Mot(s) clés libre(s) : évaluation des compétences, technologies de l'information et de la communication dans l'enseignement, intégration scolaire, enseignement agricole (France)
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Regard des satellites sur l’agriculture mondiale - P. Kosuth, Agropolis Montpellier
/ Canal-u.fr
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Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, agroéquipements, imagerie satellitaire, recherche pluridisciplinaire, prévisionnisme
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Passé et avenir du livre
/ Mission 2000 en France
/ 23-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CHARTIER Roger
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Cette conférence voudrait examiner les différentes mutations que la nouvelle textualité électronique propose ou impose aux catégories et pratiques qui ont régi - et régissent encore - notre rapport à la culture écrite. L'exposé s'attachera avant tout à trois ordres de questions. Tout d'abord, il s'agit d'examiner les nouvelles possibilités offertes par l'écrit électronique à la création littéraire ou à l'argumentation scientifique. Quels sont les effets sur l'invention romanesque ou poétique d'un mode de composition des textes qui leur donne mobilité, malléabilité et ouverture ? Et quelles sont les nouvelles ressources mises à disposition du raisonnement logique et philosophique, de la démonstration savante, du récit et de la démonstration historiques ? Il faut ensuite s'interroger sur les conditions techniques, économiques et juridiques qui gouvernent l'édition électronique des oeuvres. Comment repenser les notions classiques de propriété littéraire, copyright et droit d'auteur et comment définir le " livre " électronique. Enfin, un dernier questionnement portera sur la place et la fonction de la bibliothèque dans ce nouvel univers. La communication à distance des textes signifie-t-elle sa condamnation puisque chaque lecteur se trouve à même de lire là où il se trouve catalogues et collections ? Ou bien ne faut-il pas plutôt opposer à ce diagnostic de mort annoncée les rôles nouveaux dont la bibliothèque peut être investie, à la fois comme conservatoire du patrimoine écrit, instrument d'apprentissage des nouvelles techniques et lieu d'échanges autour des oeuvres ? Mot(s) clés libre(s) : édition électronique, livre, livres et lecture, nouvelles technologies de l'information et de la communication
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Monique Linard
/ Jean-Pierre Pivin, Ruben Ibanez, Pascal Roche, INRP/TECNE, IUFM Academie de Versailles
/ 01-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
WALLET Jacques, TRAULLET Claude
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Linguiste de formation, Monique Linard, a commencé par enseigner l’anglais dans le Secondaire. Elle est ensuite entrée à l’Université Paris 10 - Nanterre, où elle a poursuivi sa carrière en Sciences de l’Education. Dans les années 70, elle crée une filière d’enseignement et de recherche en pédagogie audiovisuelle. Au début des années 1980, elle s’intéresse aux questions de la connaissance et de l’apprentissage médiatisés par ordinateur. De 1992 à 1995, elle dirige à Lyon-Ecully un laboratoire CNRS de Sciences Humaines et Sociales consacré à divers aspects de la formation et de la communication liés aux TIC. Elle est actuellement Professeur Emérite de l’Université.Extraits vidéos du CD Rom "Une approche multimédia des idées et des personnes". Mot(s) clés libre(s) : nouvelles technologies de l'information et de la communication, TICE
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L’agriculture 2.0 en marche - J.-M. Bournigal, IRSTEA
/ Canal-u.fr
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Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : Technologies de l'Information et de la Communication, agriculture de précision, informatique embarquée, objets connectés, agroéquipements
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Les modes d'apprentissage : anciens et nouveaux médias de l'enseignement
/ Mission 2000 en France
/ 28-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CASPAR Pierre
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De tout temps les modes et les conditions d'accès au savoir ont constitué un enjeu majeur pour le développement des personnes et des groupes sociaux. Ainsi, les " lieux de savoir " (temples, monastères, universités, musées
) ont-ils joué des fonctions centrales pour la création, la conservation, la protection, et la transmission des savoirs. Ces fonctions se trouvent profondément bouleversées aujourd'hui par l'entrée dans ce que l'on appelle désormais une " société de la connaissance ". Le développement des réseaux dont, bien sûr, Internet, l'apparition de formes de mondialisation, de mutualisation mais aussi de commercialisation des savoirs, la dématérialisation des économies et le développement quasi-exponentiel des investissements immatériels rendent les processus d'actualisation ou de renouvellement des compétences plus indispensables que jamais. Ils obligent aussi à les intégrer dans des architectures éducatives, plus proches de l'acte de travail et de la vie quotidienne, mais beaucoup plus complexes que dans les années 1980. L'Union Européenne a dans cet esprit mis en exergue le concept de " formation tout au long de la vie ". C'est dans ce cadre que se dessinent aujourd'hui les nouveaux territoires de la formation des adultes, dont l'évolution dépasse de loin la simple appropriation des médias offerts par les technologies de traitement de l'information et de télécommunication. Les "métiers du savoir" et les activités de celles et ceux qui s'y engagent, ou qui y font appel, s'en trouvent considérablement bouleversés en retour. Mot(s) clés libre(s) : apprentissage, formation adultes, nouvelles technologies de l'information et de la communication, savoir
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