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Titre
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Le rôle du logement dans la structuration du Nord Est parisien - 2/4
/ 08-11-2011
/ Canal-u.fr
VOLDMAN Danièle
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La création en 1915 de l’Office départemental d’habitations à bon marché de la Seine est à l’origine de la construction d’un grand nombre de logements destinés aux classes populaires. Mais cet organisme n’a pas seulement été un grand constructeur. Ses membres, longtemps recrutés parmi les personnalités réformatrices et de gauche, avaient une pensée du territoire et de l’aménagement de la région parisienne. Tout au long du siècle, la création de cités-jardins, les projets de réseaux de transport, l’attention au rapport entre le lieu d’habitation et celui du travail, ont donné aux promoteurs du logement social un rôle de structuration dans cette portion du territoire francilien.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : urbanisme, Bassin Parisien, logement social, développement territorial
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L’université en banlieue nord entre 1960 et 1990 - 3/3
/ 06-12-2011
/ Canal-u.fr
Vadelorge Loïc
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Quelles ont été les logiques contradictoires qui ont conduit à la création d’un espace universitaire complexe et fortement concurrentiel au nord de Paris entre la fin des années 1960 et le début des années 1990 ? Après des premiers projets d’implantation des années 1955-1968, le début des années 1970 verra la création officielle des universités de Vincennes et de Saint-Denis-Villetaneuse. L’État ne pilote plus réellement le développement universitaire de la banlieue nord. Après 15 ans d’hésitations et de projets contradictoires, le lancement à la fin des années 1980 des universités nouvelles de Cergy et Marne-la-Vallée pose les bases d’une mise en concurrence généralisée des équipements et des politiques universitaires sur le territoire.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : université, développement territorial, Nord est parisien
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L’université en banlieue nord entre 1960 et 1990 - 2/3
/ 06-12-2011
/ Canal-u.fr
Vadelorge Loïc
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Quelles ont été les logiques contradictoires qui ont conduit à la création d’un espace universitaire complexe et fortement concurrentiel au nord de Paris entre la fin des années 1960 et le début des années 1990 ? Après des premiers projets d’implantation des années 1955-1968, le début des années 1970 verra la création officielle des universités de Vincennes et de Saint-Denis-Villetaneuse. L’État ne pilote plus réellement le développement universitaire de la banlieue nord. Après 15 ans d’hésitations et de projets contradictoires, le lancement à la fin des années 1980 des universités nouvelles de Cergy et Marne-la-Vallée pose les bases d’une mise en concurrence généralisée des équipements et des politiques universitaires sur le territoire.
Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : université, développement territorial, Nord est parisien
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EEMIS 2011 : PACS régionaux et territoriaux :composante indispensable d'une DMP?
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 20-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
THIERRY Jean-Pierre
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EEMIS 2011 : PACS régionaux et territoriaux :composante indispensable d'une DMP?Conférence enregistrée lors de la "Sixième Ecole d' Eté Méditérranéenne d'Information En Santé" sur le thème "Systèmes d'Information : de l'hôpital au territoire, bilan et perspectives"du 18 au 22 juillet 2011à Corte (Corse). Conférences organisés par Associations AIM et AMIS, en partenariat avec l'Université de Corse - Institut universitaire de Santé et Service de Formation Continue et l'Agence Régionale de Santé (ARS Corse)Intervenant: Jean-Pierre Thierry Mot(s) clés libre(s) : composante, DMP, EEMIS, PACS, régionaux, territoriaux
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Les instances territoriales turques et l'Europe
/ 23-04-2009
/ Canal-u.fr
TEK Hande
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Video konferans :
jeudi 23 avril 2009
Les instances territoriales turques et l'Europe - Hande Tek Mot(s) clés libre(s) : Turquie, adhésion, relations Union Européenne-Turquie, Europe, Instances territoriales
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Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon : Des cartes et des images
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 08-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
PIEGAY Hervé, JOLIVEAU Thierry
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Comprendre les changements territoriaux et environnementauxLa Géomatique a pour objet le développement et l’utilisation d'outils et de méthodes servant à intégrer, organiser, représenter et analyser les données géographiques (Figure 1). Elle intègre par l’informatique des savoir-faire et des techniques telles que les Systèmes d’Information Géographique, la télédétection, la cartographie, la topographie, le GPS (Global Positionning System), ou encore les services de géolocalisation... Elle intéresse tant les gestionnaires que les scientifiques confrontés à l'organisation et à la gestion spatiales des territoires. La multiplication au cours de la dernière décennie des données géonumériques et l'émergence de nouveaux outils d'acquisition renouvèlent les approches scientifiques permettant de mieux comprendre les changements affectant les territoires et l'environnement. L'objet de cette conférence est ainsi triple : - présenter les principaux outils géomatiques et leur intérêt dans l'étude des phénomènes géographiques, - mettre en lumière à partir d'exemples et de logiques scientifiques contrastés les mutations de l'espace, - ouvrir laréflexion sur les champs thématiques émergeants résultant des avancées technologiques dans le domaine de la télédétection et de l’appropriation de ces outils géographiques (GoogleEarth, GPS navigator, plateformes Web collaborative) par différents acteurs et notamment le grand public, à l’origine de nouvelles pratiques et denouvelles logiques d’action. Après une brève introduction de l’histoire de la cartographie et de l’image, s’attachant notamment à souligner l’évolution des supports et des modes de représentation de l’information géographique au cours du 20ème siècle, nous introduirons les conséquences de la révolution numérique qui a touché le domaine dans les années quatre-vingt dix tant au niveau de la cartographie que de l’imagerie. L’apparition de nouveaux vecteurs (satellites à très haute résolution, drone) (Figure 2) et de nouveaux capteurs (hyper-spectraux, thermiques, radar) ouvre également de nouvelles perspectives en matière de caractérisation des objets géographiques. Dans un second temps seront présentés quelques exemples illustrant différents modes de représentation des territoires et de l’environnement élaborés par les chercheurs de la plateforme ISIG : sensibilité au bruit, visibilité paysagère, localisation des faits de délinquance, extension du tissu urbain, caractérisation des lits fluviaux. Ces travaux permettront alors d’ouvrir la réflexion sur les différents modes de représentation des dynamiques temporelles enregistrées par les territoires et l’environnement. Plusieurs exemples seront ainsi présentés afin de visualiser l’urbanisation progressive de l’agglomération lyonnaise, la dynamique des paysages et leur simulation future (Figure 3), les changements fluviaux à l’échelle de tronçons de plusieurs dizaines de kilomètres ou de secteurs plus restreints sur lesquels des actions de restauration ont été réalisées. Dépassant la combinaison d’états temporels, il s’agit de replacer la dynamique de changement dans le contexte des causalités et des conséquences et d’aborder les enjeux scientifiques qui se posent aujourd’hui autour du traitement de l’information temporelle. Directeur de la production : Christophe PorlierInterview et réalisation : Pascal GrzywaczImage et montage : Sébastien BoudinEncodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : cartes, changements territoriaux, environnement, géolocalisation, géomatique, images
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Des cartes et des images : Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 08-02-2008
/ Canal-u.fr
PIÉGAY Hervé, JOLIVEAU Thierry
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Comprendre les changements territoriaux et environnementaux
La Géomatique a pour objet le développement et l’utilisation d'outils et de méthodes servant à intégrer, organiser, représenter et analyser les données géographiques (Figure 1). Elle intègre par l’informatique des savoir-faire et des techniques telles que les Systèmes d’Information Géographique, la télédétection, la cartographie, la topographie, le GPS (Global Positionning
System), ou encore les services de géolocalisation...
Elle intéresse tant les gestionnaires que les scientifiques confrontés à l'organisation et à la gestion spatiales des territoires. La multiplication au cours de la dernière décennie des données géonumériques et l'émergence de nouveaux outils d'acquisition renouvèlent les approches scientifiques permettant de mieux comprendre les changements affectant les territoires et l'environnement. L'objet de cette conférence est ainsi triple : - présenter les principaux outils géomatiques et leur intérêt dans l'étude des phénomènes géographiques, - mettre en lumière à partir d'exemples et de logiques scientifiques contrastés les mutations de l'espace, - ouvrir laréflexion sur les champs thématiques émergeants résultant des avancées technologiques dans le domaine de la télédétection et de l’appropriation de ces outils géographiques (GoogleEarth, GPS navigator, plateformes Web collaborative) par différents acteurs et notamment le grand public, à l’origine de nouvelles pratiques et de
nouvelles logiques d’action.
Après une brève introduction de l’histoire de la cartographie et de l’image, s’attachant notamment à souligner l’évolution des supports et des modes de représentation de l’information géographique au cours du 20ème siècle, nous introduirons les conséquences de la révolution numérique qui a touché le domaine dans les années quatre-vingt dix tant au niveau de la cartographie que de l’imagerie.
L’apparition de nouveaux vecteurs (satellites à très haute résolution, drone) (Figure 2) et de nouveaux capteurs (hyper-spectraux, thermiques, radar) ouvre également de nouvelles perspectives en matière de caractérisation des objets géographiques. Dans un second temps seront présentés quelques exemples illustrant différents modes de représentation des territoires et de l’environnement élaborés par les chercheurs de la plateforme ISIG : sensibilité au bruit, visibilité paysagère, localisation des faits de délinquance, extension du tissu urbain, caractérisation des lits fluviaux.
Ces travaux permettront alors d’ouvrir la réflexion sur les différents modes de représentation des dynamiques temporelles enregistrées par les territoires et l’environnement. Plusieurs exemples seront ainsi présentés afin de visualiser l’urbanisation progressive de l’agglomération lyonnaise, la dynamique des paysages et leur simulation future (Figure 3), les changements fluviaux à l’échelle de tronçons de plusieurs dizaines de kilomètres ou de secteurs plus restreints sur lesquels des actions de restauration ont été réalisées. Dépassant la combinaison d’états temporels, il s’agit de replacer la dynamique de changement dans le contexte des causalités et des conséquences et d’aborder les enjeux scientifiques qui se posent aujourd’hui autour du traitement de l’information temporelle.
Directeur de la production : Christophe Porlier
Interview et réalisation : Pascal Grzywacz
Image et montage : Sébastien Boudin
Encodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : environnement, géomatique, images, cartes, changements territoriaux, géolocalisation
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ARP - Dispositifs de prise en charge coordonnée territoriale par Mme. Charlotte PETITPREZ.
/ CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 17-06-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PETITPREZ Charlotte
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Mme. Charlotte PETITPREZ présente les dispositifs de prise en charge coordonnée territoriale. Mot(s) clés libre(s) : Assises Régionales Picardie, Dispositifs de prise en charge coordonnée territoriale, Mme. Charlotte PETITPREZ
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EMOIS Nancy 2011 - A quelle distance de chez soi se fait-on hospitaliser ?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MINODIER Christelle
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Titre : A quelle distance de chez soi se fait-on hospitaliser ?Résumé : L’accessibilité géographique aux services de santé peut être définie de deux façons différentes : théorique en mesurant la distance à l’établissement le plus proche et effective en calculant la distance réellement parcourue par un patient pour se faire soigner. C’est à cette dernière que l’on s’intéresse ici, en essayant d’identifier les inégalités territoriales.Méthode : Une méthode d’imputation aléatoire pondérée a tout d’abord été utilisée pour affecter un code communal de résidence du patient à chaque séjour du PMSI-MCO 2008. Grâce au logiciel Odomatrix de l’INRA, un temps de trajet est ensuite calculé entre commune de résidence du patient et commune d’implantation de l’établissement. Les temps par discipline (médecine, chirurgie, obstétrique), pathologie (produit OAP), région ou département sont enfin déterminés en calculant les temps de parcours médians plutôt que moyens, de manière à neutraliser les temps atypiques obtenus pour les vacanciers.Résultats : Le temps de parcours médian toutes pathologies confondues est de 21 minutes. Il est logiquement plus faible pour les patients atteints de pathologies bénignes que pour ceux touchés par des pathologies complexes. Les premiers vont majoritairement se faire soigner dans des centres hospitaliers, tandis que les seconds n’ont d’autre choix que de se rendre dans un centre hospitalier universitaire ou régional, souvent plus éloigné.Au niveau géographique, il y a peu d’écarts entre les régions. L’hétérogénéité s’observe davantage entre les départements, y compris parfois ceux d’une même région. Les temps de parcours sont ainsi plus faibles dans les départements très urbanisés, denses en population et en capacités d’accueil.Discussion/Conclusion : Le choix d'un individu en matière de recours hospitalier n'est pas nécessairement celui du service le plus proche. Il est basé sur le rapport entre la distance, la qualité des services offerts, l'accessibilité, la réputation… Il serait utile de mesurer les écarts entre distances théorique et effective et d’en connaître les principaux déterminants.Intervenant : MINODIER Christelle (Direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques - Ministère chargé de la santé, Paris).Conférence enregistrée lors des journées EMOIS 2011 à Nancy. Session : utilisation de l’information médicale pour la prévision d’activités (nouveaux SROS, EPRD, CPOM) ; analyse de l’activitéModérateurs : Michel NAIDITCH (IRDES - Paris), Philippe OBERLIN (chargé de recherche, ministère de la santé et des sports - Paris).Réalisation, production : Canalu U/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : EMOIS Nancy 2011, hospitalisation, imputation aléatoire pondérée, inégalités territoriales, PMSI
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Pauvreté et globalisation
/ UTLS au lycée
/ 27-03-2008
/ Canal-u.fr
MESPLÉ SOMPS Sandrine
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Une conférence de l'UTLS au Lycée,
avec Sandrine Mesplé Somps (chargée de recherche à l'IRD),
Lycée L'Ermitage (Maisons Laffitte, 78) Mot(s) clés libre(s) : développement, mondialisation, pauvreté, tiers monde, inégalités territoriales, macroéconomie
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