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La scène en tant que dispositif de révolte. Étude sur le théâtre d’Emma Dante / Anna Mirabella
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
MIRABELLA Anna
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La scène en tant que dispositif de révolte. Étude sur le théâtre d’Emma Dante / Anna Mirabella, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Rompre le silence : le théâtre des femmes.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : théâtre italien (20e-21e siècles), Emma Dante (1967-....), femmes dans les arts du spectacle
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La Farsa del Santissimo Sacramento, pièce anonyme, source possible de Sanchez de Badajoz/ C. Mérique
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MÉRIQUE Cyril
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La Farsa del Santissimo Sacramento de 1521 : une pièce anonyme à la genèse de l'auto sacramental et une source possible de Diego Sanchez de Badajoz. Cyril MÉRIQUE. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 1 : Origine des mots, origine des noms (22 mars 2010).La Farsa del Santísimo Sacramento de 1521 constitue un terminus a quo dans l’histoire du théâtre religieux eucharistique dans la mesure où c’est la première pièce datée qui fasse explicitement allusion au Saint Sacrement. Mais le texte de la Farsa est d’autant plus intéressant qu’il précède de très peu les premières pièces religieuses du célèbre curé de Talavera la Real, Diego Sánchez de Badajoz. Or, on ne peut manquer de remarquer les similitudes entre la Farsa de 1521 et plusieurs pièces eucharistiques de Diego Sánchez de Badajoz. L’auteur anonyme de la Farsa de 1521 a- t-il été l’une des sources du curé d’Estrémadure ? La Farsa en question se situe-t-elle vraiment à la genèse de l’auto sacramental ? Cette étude essaye d’analyser différents éléments théâtraux constitutifs de la Farsa anonyme, qui seront, peut-être, à l’origine de l’auto sacramental, et seront donc repris par les auteurs de drames eucharistiques immédiatement postérieurs, comme Diego Sánchez de Badajoz. Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole, théâtre espagnol
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Schnaps theater
/ Luc MEICHLER, Gisèle MEICHLER, Les Films de l'Observatoire, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M), LGM, Images Plus
/ 31-10-1997
/ Canal-U - OAI Archive
MEICHLER Luc, MEICHLER Gisèle
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En compagnie de Jean-Michel Clavey, acteur et metteur en scène du Théâtre Alsacien de Guebwiller, travailleur frontalier à Bâle, nous traversons les coulisses d’une certaine qualité de vie dans le Haut-Rhin.Les bouilleurs de cru constituent une espèce en voie de disparition. Le théâtre alsacien subit le recul du dialecte. Mais leurs pratiques font encore bel et bien partie de la réalité villageoise de l’Alsace d’aujourd’hui.De distillation en répétition théâtrale, nous approchons ses paradoxes, son histoire, sa culture populaire, son petit théâtre quotidien… Mot(s) clés libre(s) : Alsace, amateur, art, bouilleur de cru, changements culturels, culture, dialecte, distillation, eau de vie, héritage culturel, identité, populaire, savoir-faire, schnaps, spectacle, théâtre, tradition, travail
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Sans commentaires
/ Jean-Baptiste MATHIEU, Les Films de l'Observatoire
/ 30-09-1998
/ Canal-U - OAI Archive
MATHIEU Jean-Baptiste
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Tourné en 1996 tout au long des répétitions de Commentaires de Georges Aperghis, le film observe le travail, les fulgurances et les vertiges du compositeur-metteur en scène et de ses interprètes, comme des funambules inventant à chaque pas leur propre fil. Sous nos yeux, se dévoile l'incroyable surgissement d'un spectacle de théâtre musical qui s'est construit au gré de la fantaisie musicale et poétique de Georges Aperghis. Mot(s) clés libre(s) : art du spectacle, chant, composition musicale, déconstruction, direction d’acteur, gestuelle, jeu théâtral, mise en scène théâtrale, musique contemporaine, narration, théâtre musical, vidéographie
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Bussang, Peuple du théâtre - Théâtre du Peuple
/ Richard LIOGER, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M), Les Films de l'Observatoire
/ 30-11-1998
/ Canal-U - OAI Archive
LIOGER Richard
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Ce film est une chronique, réalisée au cours de l’année 1998, du plus vieux théâtre populaire français, le Théâtre du Peuple, situé dans le village vosgien de Bussang. Amateurs et professionnels de tous âges nous font part de leur vision de ce théâtre, né à la fin du XIXème siècle, du rêve d’un fils d’industriel vosgien Maurice Pottecher. Des points de vue souvent divergents qui nous aident à comprendre ce qui fait la magie de cette entreprise, sa spécificité centenaire, l’alliance qu’elle réalise chaque année entre professionnels et amateurs, et le pari qu’elle tient de faire venir, dans ce lieu particulier, un public qui n’est pas celui des théâtres citadins. Mot(s) clés libre(s) : Bussang (Vosges), théâtre
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Théâtre antique et enjeux contemporains : créer dans l’écart / Pierre Letessier, Jean-Claude Bastos, Gregory Bourut
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 12-02-2016
/ Canal-u.fr
LETESSIER Pierrre, BASTOS Jean-Claude, BOURUT Grégory, GARELLI Marie-Hélène
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Théâtre antique et enjeux contemporains : créer dans l’écart / Pierre Letessier, Jean-Claude Bastos, Gregory Bourut, in 4ème séance du séminaire "Le passé au présent : les passeurs du patrimoine. 2. Transformation, recréation", organisé, sous la responsabilité de Jean-Yves Laurichesse, par le laboratoire Patrimoine, Littérature, Histoire (PLH) de l'Université Toulouse Jean Jaurès. Toulouse, Théâtre Daniel Sorano, 12 février 2016.
Et
si, loin d’être « moderne » comme nous l’aimerions, le théâtre antique
était « autre » ? S’il appartenait à un territoire si éloigné et
différent du nôtre que notre lecture ne saurait s’en faire que dans
l’écart et la recréation ? La séance abordera cette question à propos de
la mise en scène de l’Antigone de Brecht par Gregory Bourut, donnée au
Théâtre Sorano du 9 au 12 février 2016. Double écart et double jeu que
cette relecture d’une recréation ? Comment, par l’écart ou malgré lui,
peut-on rejoindre les enjeux contemporains ?
Table ronde animée par Marie-Hélène Garelli (professeur de langues anciennes,
Université Toulouse Jean Jaurès.
Intervenants
- Pierre LETESSIER (maître de conférences à l’Institut d’Études
Théâtrales, Université Paris 3-Sorbonne Nouvelle),
- Jean-Claude BASTOS (comédien et metteur en scène,
responsable de l’espace de création Gare aux Artistes, Toulouse),
- Gregory BOURUT (comédien et metteur en scène, Compagnie Blutack
Theatre). Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, mise en scène théâtrale, théâtre français contemporain, tragédie grecque
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LAWTON Lesley
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Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), littérature anglaise (histoire et critique), mort (au théâtre), Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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Cyrano de Bergerac ou la mise en scène d’un mythe, avec Georges Lavaudant
/ 16-02-2015
/ Canal-u.fr
LAVAUDANT Georges
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Comme le télescope ou le microscope, le théâtre fait exister sous nos yeux des entités que nous ne pourrions pas observer ailleurs ni autrement. Certaines sont assez mémorables pour mériter un nom propre. Ce nom devient alors un mythe, une formule capable de résumer la ligne d’un destin : Oedipe, Hamlet, Richard III, Alceste, entre autres. Et puis Cyrano de Bergerac. Le "monstre" Cyrano. Comme Richard III, Cyrano est d’abord d’une monstruosité littérale, physique, qui le met à part du reste de l’humanité. Mais il ne s’en tient pas là. Contre l’exclusion dont il se sent frappé, il nourrit l’ambition d’être à lui-même sa propre oeuvre d’art. A la laideur, il oppose la pure beauté – du mot et du geste, de l’attitude et du costume, du "panache". Le parcours de Georges Lavaudant, artiste, homme de théâtre, est nourri de la rencontre avec ces figures mythiques, dont il explore avec nous le pouvoir de fascination. Mot(s) clés libre(s) : Théatre, mythe, Cyranno de Bergerac
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2. Le Paradoxe du spectaculaire ou spectaculaire en (tant que) paradoxe / André Lascombes
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LASCOMBES André
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"La Théâtralité de Everyman". Journée d'étude organisée par Wendy Harding et Lesley Lawton du Laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université de Toulouse II-Le Mirail en collaboration avec le Musée des Augustins. Toulouse, 9 janvier 2009.André Lascombes explore les ambiguïtés de la dimension spectaculaire de l’œuvre : il montre le paradoxe de cette pièce de théâtre qui refuse d’exploiter pleinement cette dimension spectaculaire. Mot(s) clés libre(s) : Everyman (étude littéraire), littérature anglaise, Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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Le château de mon souci
/ 29-02-2016
/ Canal-u.fr
Lambert-wild Jean, Garutti Gérald
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Qui était Richard III ? Au moment
où son corps est retrouvé et enfin enterré à Leicester avec les honneurs
qu’on lui doit, confronter le personnage historique au personnage
théâtral construit par Shakespeare permet de comprendre comment le
fantôme de ce
roi d’Angleterre est devenu la figure attirante et repoussante de la conquête du pouvoir.
Sa devise ? « Loyaulté me lie ». Richard III se trouve à
l’intersection de plusieurs mondes, à défendre seul un pont qui
s’effondre. Il est prêt à sacrifier tout son royaume pour un cheval, non
pour s’enfuir, mais pour continuer à se battre ! La « loyaulté le
lie » : il ne s’enfuira pas, jusqu’au bout fidèle à ses engagements.
Ainsi se révèle l’issue fatale, et peut-être le désir secret de Richard.
Un homme, hanté par le néant qui l’habite, s’éreinte à combler cette
béance intérieure, qui, au final, l’engloutit. Mot(s) clés libre(s) : Théâtre, histoire, shakespear
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