Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
HARDING Wendy
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), moralités anglaises, Pieter van Diest (Elckerlijc), sacrements (au théâtre), théâtre anglais (Moyen Age)
|
Accéder à la ressource
|
|
Le voci nel teatro d’avanguardia dal silenzio al grido / Alessandro Ghignoli
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
GHIGNOLI Alessandro
Voir le résumé
Voir le résumé
Le voci nel teatro d’avanguardia dal silenzio al grido / Alessandro Ghignoli, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Rompre les frontières : transgressions, échanges, rencontres.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XX siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : théâtre italien (20e-21e siècles)
|
Accéder à la ressource
|
|
Le Théâtre Picard "Chés Cabotans d'Amiens"
/ Pauline MASSOL, Adeline SPRIET, Archives audiovisuelles Langes et Cultures du Monde (ALCM)
/ 03-04-2016
/ Canal-u.fr
DUPONT Jean-Bernard
Voir le résumé
Voir le résumé
En plein essor pendant le XIXe siècle, les théâtres de marionnettes disparaissent peu à peu après la première guerre mondiale notamment à cause de l'arrivée du cinéma. Cependant, à Amiens on voit naître une troupe de marionnettistes picards, appelée "Chés Cabotans d'Amiens" et dont le but est de continuer à faire vivre le patrimoine culturel de la région.
Le Théâtre Chés Cabotans d'Amiens, c'est aussi une manière de faire perdurer la Langue Picarde. Depuis le début du XXe siècle, alors que l'on prône le français "national", l'usage du picard s'est vu peu à peu disparaître. Le théâtre est le dernier lieu en Picardie où la langue régionale est parlée de manière officielle, d'où l'importance de celui-ci.
Le théâtre qui se situe au coeur du quartier Saint Leu à Amiens se produit aujourd'hui encore plusieurs fois par semaine pour le plaisir des plus jeunes comme des plus âgés. Mot(s) clés libre(s) : patrimoine culturel, Picardie, Picard, Théâtre de marionnettes, Chés Cabotans, Saint Leu, Marionnettes, Théâtre, arts et traditions populaires, langues régionales, amiens, protection du patrimoine culturel, patrimoine culturel populaire
|
Accéder à la ressource
|
|
Pérégrinations théâtrales de Jean Potocki / Marek Dembowski
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 14-04-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DEMBOWSKI Marek
Voir le résumé
Voir le résumé
Pérégrinations théâtrales de Jean Potocki / Marek Dembowski. In colloque "Jean Potocki. Pérégrinations", organisé par la section de slavistique de l'UFR de Langues, Littératures et Civilisations Étrangères de l'Université Toulouse II-Le Mirail dans le cadre de la "Semaine polonaise". Toulouse : Université-Toulouse II-Le Mirail, 14-15 avril 2011.Thématique 3 : D'un genre à l'autre, 14 avril 2011. Mot(s) clés libre(s) : Jan Potocki (1761-1815), littérature polonaise (18e siècle), théâtre polonais (18e siècle)
|
Accéder à la ressource
|
|
Danses classiques indiennes
/ Julie BELLO, Hajar MOUCHFIQ
/ 27-04-2015
/ Canal-u.fr
DEDIEU Eva
Voir le résumé
Voir le résumé
Cette vidéo présente les danses traditionnelles du sud de l’Inde et plus précisement du Tamil Nadu (தமிழ் நாடு). Notamment du Bharata natyam, des danses folkloriques et du théâtre dansé. Ces pratiques vous sont présentées par Chantal Vadrot, présidente de l’association Anjali Mudra. Les images proviennent des répétitions et spectacles créés par l’association. Mot(s) clés libre(s) : danse, Inde, Danses classiques, Bharata Natyam, Théâtre dansé, Danses folkloriques
|
Accéder à la ressource
|
|
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DEBAX Jean-Paul
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), littérature anglaise-histoire et critique, moralités anglaises, Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
|
Accéder à la ressource
|
|
Saverio La Ruina et Mario Perrotta : enjeux de la mémoire et engagement dans le théâtre
"di parole" italien / Daniele Comberiati
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
COMBERIATI Daniele
Voir le résumé
Voir le résumé
Saverio La Ruina et Mario Perrotta : enjeux de la mémoire et engagement dans le théâtre "di parole" italien / Daniele Comberiati, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Rompre les frontières : transgressions, échanges, rencontres.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : théâtre italien (20e-21e siècles), metteurs en scène de théâtre italiens
|
Accéder à la ressource
|
|
Le «Theatro Negro» d'Antonio Callado : l'imprescriptible marginalité de Chica da Silva dans "O Tesouro de Chica da Silva" (1958) / Marie-Noëlle Ciccia
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
CICCIA Marie-Noëlle
Voir le résumé
Voir le résumé
Le «Theatro Negro» d'Antonio Callado : l'imprescriptible marginalité de Chica da Silva dans "O Tesouro de Chica da Silva" (1958) / Marie-Noëlle Ciccia, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations", organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 4 : Récits identitaires.O Tesouro de Chica da Silva (1958) est l'une des qutre pièces qui constituent la production dramatique portant l'appellation «Theatro Negro», du brésilien Antonio Callado (1917-1997). Dans les années 1950, Callado apporte une contribution estimable à la lutte contre la discrimination que subissent les Noirs dans le domaine théâtral en écrivant des rôles inspirés de héros historiques pour des acteurs de couleur, rôles jusque là joués par des blancs grimés. Il entend ainsi œuvrer, à sa manière, à extraire le Noir de la marginalité de la société brésilienne. Ce sont les notions de marginalité et de marginalisation déclinées sur plusieurs plans qui sont analysés dans la pièce choisie par Marie-Noëlle Ciccia. D'une part, les temps et l'espace subissent le processus suivant : la région inhospitalière du Minas du XVIIIe siècle, au temps de l'exploitation aurifère et diamantifère, est fortement périphérique, donc marginale par rapport à la métropole portugaise. D'autre part, cette marginalisation de l'espace atteint inévitablement les hommes qui y vivent, des maîtres blancs aux esclaves noirs. La marginalité se nourrit d'elle-même et finit par produire des stéréotypes que Callado met en scène. En somme la marginalité devient ici la norme. La valorisation d'une héroïne noire, l'ex-esclave Chica da Silva, victorieuse de sa condition, devenue symbole de la lutte contre la discrimination raciale et même mythe moderne, est discutée dans cette communication qui tente de souligner ce qui paraît être un paradoxe. En effet, Callado manque, semble t-il, sa cible malgré le traitement résomument positif qu'il accorde à son héroïne, dans la mesure où il ne parvient pas à s'extraire des stéréotypes contre lesquels il entend précisément agir. Dans un temps et un espace marginalisés, les personnages -Noirs comme Blancs- sont victimes d'un processus de distanciation et d'éviction contre lesquelles le dramaturge ne propose pas de véritable échappatoire. Chica da Silva souffre ainsi dans cette pièce d'une insurmontable et indésirable marginalité. Mot(s) clés libre(s) : esclave (dans la littérature), Antonio Callado (1917-1997), Noirs (dans la littérature), théâtre brésilien (20e siècle)
|
Accéder à la ressource
|
|
Putes, folles et sorcières. Le théâtre au féminin de Franca Rame et Dacia Maraini / Antonella Capra
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 26-03-2015
/ Canal-u.fr
CAPRA Antonella
Voir le résumé
Voir le résumé
Putes, folles et sorcières. Le théâtre au féminin de Franca Rame et Dacia Maraini / Antonella Capra, in Journées d'études "Opera contro. L’œuvre de rupture sur la scène italienne contemporaine, de 1960 à nos jours", organisées, sous la responsabilité scientifique de Margherita Orsino et Antonella Capra, par Il Laboratorio et l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts Lettres Langues (IRPALL) de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 26-27 mars 2015.
Thématique : Rompre le silence : le théâtre des femmes.
Ces Journées d'étude se penchent sur un phénomène, voire un concept, qui a été intitulé « Opera contro » en écho au fameux film de Francesco Rosi, Les hommes contre (1970), film culte pour toute une génération engagée. Par là "l’œuvre de rupture" est entendue à la fois comme œuvre d’avant-garde (qui rompt avec l’esthétique préexistante) mais aussi comme œuvre qui a vocation à dénoncer, bannir, renverser, s’opposer à un statu quo, un aspect de la culture ou de la société voire tout un système sociopolitique. La question de la relation entre la littérature, et plus généralement "les arts", et l’engagement se pose en effet pour tout le XXe siècle (à commencer par la période des avant-gardes dites "historiques" dans le contexte de la Première Guerre mondiale par exemple) et passe ensuite par les polémiques et conflits internes à la néo-avant-garde lors des événements de mai 68. C’est aussi un sujet transversal, dont les problématiques sont complexes et nombreuses et touchent notamment la question de l'expérimentalisme et, en amont, du langage. C'est enfin une question toujours actuelle si l’on considère l’œuvre non comme un produit "fini" et détaché de toute autre entité, mais comme une « œuvre ouverte » en interaction avec le lecteur/public et plus généralement les lieux, cultures, arts, histoire : en bref ce qu’on pourrait résumer par « réalités individuelles et collectives ». Dans cet esprit, une attention particulière est réservée à l’édition et à la réception de ces œuvres à la fois "en opposition à" et "en marge de" la culture dominante. Mot(s) clés libre(s) : théâtre italien (20e-21e siècles), femmes metteurs en scène de théâtre, Dacia Maraini (1936-....), Franca Rame (1929-2013), féminisme et art, féminisme et littérature, littérature italienne (20e-21e siècles)
|
Accéder à la ressource
|
|
"Dans la Solitude des Champs de Coton" de B.-M. Koltès (par Christophe Bident)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 02-12-2013
/ Canal-u.fr
BIDENT Christophe, DOROSZCZUK Catherine
Voir le résumé
Voir le résumé
Christophe Bident est professeur à l’université de Picardie où il dirige le centre de recherches en art, il est l’auteur de nombreux ouvrages, notamment sur Blanchot, Maurice Blanchot, partenaire invisible, paru en 2008, et Koltès : Bernard Marie Koltès, Généalogies, paru en 2000, Voix de Koltès paru en 2005. Il présente, lors de sa conférence, deux ouvrages à paraître sur Koltès : un collectif, Dans la solitude de B.M. Koltès, revue Textuel, qui doit paraître en février, et un dernier ouvrage, Koltès, le sens du monde, à paraître en début d’année 2014. Il intervient auprès des étudiants de classes préparatoires littéraires (plus particulièrement les khâgneux) dans le cadre du programme des ENS en 2013-2014, qui a choisi de faire travailler les élèves sur Dans la solitude des champs de coton, pièce centrale dans les écrits et travaux de C. Bident, qu’il choisit d’aborder d’abord en tant qu’ancien metteur en scène, sensibilisant le public aux problèmes que pose la langue de Koltès, sa mémorisation, la diction particulière qu’impose son phrasé, mais aussi l’attribution des rôles, leur violence… Son travail de metteur en scène lui permet de revenir sur la mise en scène mythique de Patrice Chéreau. Il aborde ensuite le problème central de leur programme, celui du rapport entre théâtre et morale, autour de la question du dialogue éthique, et des enjeux de réflexion morale de la pièce. Les questions posées par les élèves sont enrichies par la présence du frère de l’écrivain, François Koltès, qui se prête volontiers à l’échange avec les étudiants, permettant une réflexion commune riche et vivante.Catherine Doroszczuk Mot(s) clés libre(s) : jeu théâtral, mise en scène théâtrale, analyse du discours littéraire, pièce de théâtre, Bernard-Marie Koltès, Patrice Chéreau, Samuel Beckett, François Koltès, théâtre français contemporain
|
Accéder à la ressource
|
|