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Visite Guidée
/ Canal-u.fr
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Fragment du film "Visite guidée"
Réalisé par Ugo Simon, Master IEP, Paris, Auditeur libre à l'EHESS Mot(s) clés libre(s) : tourisme, oeuvre d'art, auto représentation, court-métrage, selfie
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Tourisme et mobilité : héritages, évolutions, innovations, tendances
/ Mission 2000 en France
/ 18-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
URBAIN Jean-Didier
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Au regard de son ampleur contemporaine et de son développement permanent, le tourisme pose cette question fondamentale : pourquoi voyage-t-on ? Car la mobilité d'agrément a ceci de spécifique qu'elle oppose à la clarté des causes des voyages nécessaires, l'opacité d'un désir : que reste-t-il du voyage quand aucune raison vitale ne l'impose ! Aussi l'essor de la pratique touristique, bien qu'elle soit héritière et captatrice de modèles, ne peut se réduire à la diffusion d'un usage humaniste ou hédoniste de la mobilité initialement élitiste. A travers ses flux et ses destinations, sa diversification et ses inventions, ses formes et ses préférences, se devine l'attitude changeante d'un société dans sa relation au monde, à l'autre et à elle-même. Mot(s) clés libre(s) : tourisme, voyage
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Tourisme et culture surgelée
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
TILROE Anna
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L'art et la culture deviennent de plus en plus des produits comme les autres, et les stratégies de marketing commencent à égaler celles du commerce. Le monde de l'art, par exemple, se manifeste aujourd'hui comme festival permanent avec, à tous moments, des biennales partout sur le globe. En même temps le rôle de l'artiste change rapidement en celui d'un amuseur. Pourtant il y a conscience générale de la qualité de l'art et la culture, en tant qu'expression d'expériences, de sentiments et de manières de pensée individuelles et collectives, ainsi que de leur capacité de former une mémoire commune. Cela se voit en particulier quand une nation, une ville ou une communauté s'en servent pour se construire une identité. A l'industrie de tourisme une telle construction d'identité culturelle au niveau locale ou nationale, est fortement favorable. Elle la pousse même jusqu'à un cliché aisément reconnu par les masses: le cliché d'un monde paradisiaque. Par conséquent la mémoire collective est aplatie, l'expérience personnelle nivelée et les développements culturels et artistiques dérobés de leurs acuités et ambiguïtés. Mais cette culture surgelée, est-elle bien capable de chasser le Grand Ennui ? Mot(s) clés libre(s) : commerce de l'art, culture et mondialisation, économie de la culture, histoire de l'art, industrie culturelle, instrumentalisation de la culture, marketing de la culture, sociologie de la culture, sociologie des loisirs, tourisme culturel
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Muséalisation du monde ou Californication de l'Occident ?
/ Mission 2000 en France
/ 21-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
GUILBAUT Serge
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La chute du mur de Berlin a véritablement symbolisé en Occident le passage d'un monde binaire antagoniste et profondément divisé à un autre beaucoup plus souple, ouvert et libéré. Un monde nouveau qui, grâce à un développement ultra-rapide des technologies de communication a permis au libéralisme économique de dominer la planète et de transformer radicalement les manières de vivre et de voir. En effet, les canons esthétiques traditionnels laissent la place à une grande diversification souvent difficile à supporter pour beaucoup mais qui ouvre des horizons nouveaux en y intégrant des voix et des cultures différentes. Certains croient y voir là la preuve que la libéralisation des marchés entraîne également une libéralisation culturelle. La question se pose effectivement de savoir si l'ouverture des marchés culturels, la multiplication des musées ainsi que l'envahissement planétaire du tourisme libèrent les esprits ou s'il y a là au contraire une nouvelle forme de colonisation culturelle à travers la dissémination d'un style de vie qui s'apparente trop souvent à celui de la Californie. Il serait donc bon de se demander comme le fait un groupe pop à la mode si nous n'assistons pas à la Californication de l'occident plutôt qu'à la Muséalisation du monde ? Mot(s) clés libre(s) : culture, mondialisation, tourisme culturel
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Mobilités transnationales Cambodge - Vietnam pour le traitement des hépatites virales / Céline Dumas
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 17-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DUMAS Céline
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«Notes de recherche sur les mobilités transnationales entre le Cambodge et le Vietnam pour le traitement des hépatites virales», Céline DUMAS (CReCSS, Université Paul Cézanne, Aix-Marseille III). Colloque "Santé et mobilités au Nord et au Sud". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques, Association AMADES, 16-18 septembre 2009.Cession C : "Circulations des malades et des thérapeutes : mobilités sanitaires et négociations thérapeutiques". Atelier C1 : Tourisme médical et migrations sanitaires.L’épidémiologie des hépatites virales B et C est mal connue au Cambodge, cependant les premières estimations laissent penser que la prévalence de la première (prévalence Ag Hbs 8-9%) est similaire à celle retrouvée dans la plupart des pays limitrophes, alors que l’hépatite C semble bien plus fréquente (prévalence Ag VHC 6-8%) que dans les pays frontaliers.Depuis quelques années, leur prise en charge (suivi biologique, traitements selon les recommandations internationales) est possible à Phnom Penh et se pratique principalement dans les cliniques privées d’hépatologues spécialisés en infectiologie. Cependant, l’espace de soins et de prise en charge des hépatites virales ne se limite pas au territoire national. Il apparait qu’une partie des personnes atteintes reçoit (ou a reçu) des soins à l’étranger, essentiellement en Asie du Sud-Est, principalement à Hô-Chi Minh, Bangkok, Singapour. Mais on retrouve également des déplacements en fonction des liens avec les diasporas (France, Amérique de Nord) ou les liens familiaux (Chine).Notre présentation, qui se limite aux mobilités pour la prise en charge d’hépatites virales (B ou C) entre le Cambodge et le Vietnam, et particulièrement vers Hô-Chi-Minh, a pour objectif de décrire quelques parcours de soins hors des frontières nationales, d’analyser l’effet « miroir » de cet aller-retour sur les perceptions du système de soin cambodgiens et de ses médecins.Cette recherche a été menée dans le cadre du projet ANRS 12102 lors d’un terrain de trois mois à Phnom Penh et dans la province de Prey Veng en 2008 où des entretiens avec des malades et des professionnels de santé ont été menés à l’aide d’une assistante de recherche.Tout d’abord, nous rappellerons quelques particularités, dans le contexte des relations khméro-vietnamiennes, de l’histoire sociale du système de santé cambodgien depuis la fin du régime des Khmers Rouges. Ensuite, nous exposerons le parcours de malades et les raisons qui les ont décidé à obtenir un traitement au Vietnam. Les cas rapportés ressortent tous du déplacement volontaire, assis sur une décision personnelle, s’appuyant sur des réseaux de connaissances. Alors que Cambodgiens et Vietnamiens entretiennent des relations conflictuelles héritées de l’Histoire, où le Vietnam est souvent présenté comme « le frère ennemi », la santé semble être un domaine qui ne prend pas en compte ces inimitiés. Les médecins vietnamiens semblent correspondre à des stéréotypes laudatifs déjà anciens, développés par les colons français et paradoxalement repris par les malades cambodgiens. Les discours sur la prise en charge au Vietnam, les lieux de soins et les médecins vietnamiens permettent d’entrevoir comment sont perçus le système de santé et les médecins cambodgiens et sur quoi la concurrence pour les soins peut se jouer.En conclusion, nous discuterons à travers cet exemple khméro vietnamien, de l’importance relative des aspects de mondialisation et de globalisation en lien avec la santé d’une part, et de l’ancrage socioculturel et historique d’autre part au coeur des questions de déterritorialisation-reterritorialisation des espaces de santé . Mot(s) clés libre(s) : accès au soins médicaux, anthropologie de la santé, migrations (Cambodge), services de santé (Vietnam), tourisme médical
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Migration sanitaire : différents "voyages" sanitaires d'enfants comoriens / Juliette Sakoyan
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 17-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
SAKOYAN Juliette
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« Migration et mobilité sanitaires en contextes institutionnel et profane : différentes formes de "voyages" sanitaires d’enfants originaires des Comores ». Juliette SAKOYAN (Anthropologie de la santé, CReCSS, Aix-Marseille III). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques, Association AMADES, 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire] Cession C : Circulations des malades et des thérapeutes : mobilités sanitaires et négociations thérapeutiques. Atelier C1 : Tourisme médical et migrations sanitaires.Cette intervention est fondée sur un travail de thèse en anthropologie portant sur des migrations de soins de familles originaires de l’Union des Comores induites par la maladie d’un enfant, et plus particulièrement sur des trajectoires familiales entre l’Union des Comores, Mayotte, la Réunion et la métropole. On propose de décrire différentes formes de de « voyages » (traduction du terme employé par les familles) sanitaires d’enfants à l’extérieur des frontières nationales. Qu’est-ce qui détermine le cadre institutionnel ou profane d’une mobilité sanitaire et dans quelle mesure se transforme-t-elle en migration sanitaire, c’est à dire, découle-t-elle sur une installation induisant le plus souvent un réagencement biographique et familial ?Dans un premier temps on décrira le contexte géographique, historique et migratoire de l’archipel des Comores (Union des Comores et Mayotte). D’une part son positionnement de carrefour dans le canal du Mozambique et son histoire coloniale avec la France ont dessiné un espace politico-sanitaire singulier structuré par différents types de frontières (politiques, administratives, insulaires, culturelles) d’échelles et de territorialités variables. D’autre part, les Comoriens et particulièrement les Grand-Comoriens, ont accumulé un savoir pratique migratoire qui en fait aujourd’hui une diaspora disposant de divers réseaux en Afrique de l’ouest, de l’est, dans divers pays arabes, dans l’océan indien et surtout en France métropolitaine. Ainsi les mobilités pour raisons sanitaires -sans pour autant représenter un flux quantitativement significatif si tant est qu’elles soient quantifiables- bénéficient-elles d’un savoir migratoire préexistant tout en se confrontant à un espace de circulation fortement contraint.Dans un second temps on proposera une catégorisation des mobilités sanitaires de familles originaires de l’Union des Comores à partir de deux dimensions non exclusives. La dimension contextuelle de la trajectoire de soins concerne le cadre dans lequel le voyage sanitaire de l’enfant s’effectue. Il peut être institutionnel et encadré par le dispositif d’évacuation sanitaire existant entre Mayotte, la Réunion et la métropole mais aussi d’assise plus précaire entre l’Union des Comores et Mayotte ; ou profane c’est à dire être initié et organisé par les familles et la communauté comorienne. Bien souvent une trajectoire d’enfant commence dans un cadre profane et se poursuit institutionnellement à partir de Mayotte. La dimension biographique de la trajectoire de soins amène pour sa part à distinguer entre une mobilité sanitaire et une migration sanitaire. La première correspond à un aller-retour de l’enfant et des membres l’ayant éventuellement accompagné. La seconde correspond à des trajectoires plus complexes où, entre le village d’origine et l’établissement de soins le plus éloigné (en métropole), des ancrages quelquefois définitifs interviennent s’accompagnant de réagencements biographiques individuels et familiaux.Le troisième temps consistera à faire la genèse de ces trajectoires complexes et plus largement à analyser les liens entre les quatre formes de « voyages » sanitaires identifiées (migration institutionnelle, migration profane, mobilité institutionnelle, mobilité profane). Il s’agira de montrer comment ces différentes trajectoires sont fonction de la manière dont s’articulent l’espace politico-sanitaire dans lequel elles s’inscrivent avec les choix éthiques et biographiques des acteurs qui les conduisent. Dans un contexte de quasi absence de travaux sur le thème des mobilités/migrations sanitaires chez les malades, ce colloque sera finalement l’occasion de préciser la pratique migratoire d’accès aux soins et de la mettre en perspective dans un éclairage réciproque avec les catégories de migrations définies dans la littérature d’une part et avec le thème du pluralisme médical d’autre part. Mot(s) clés libre(s) : accès aux soins, anthropologie de la santé, Comores, enfants (soins), services sanitaires (France), tourisme médical, transnationalisme
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Les paysages fluviaux urbains
/ Bruno BASTARD, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 08-12-2006
/ Canal-U - OAI Archive
VALETTE Philippe, VIDAL Franck
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Dans l'histoire de l'expansion urbaine, bien souvent, les fleuves ont joué un rôle majeur. Les villes s'implantent le long de cours d'eau qui facilitent les échanges économiques, apportent le commerce, déterminent des passages. La ville s'agrandit alors en fonction du fleuve, distinguant rive gauche et rive droite, zone inondable et zone protégée. Domestiqué au XVIIIe siècle, le fleuve est abandonné et détourné de sa vocation première dans les années 1950. Dans les pays développés, depuis la fin du XXeme siècle, le fleuve « urbanisé » est désormais réhabilité dans sa fonction de paysage fluvial urbain, indice de l'émergence de la civilisation des loisirs.GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et post Production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et Moyens techniques : SCAM / Université de Toulouse Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09. Mot(s) clés libre(s) : aménagement des rives, cours d'eau (régularisation), cours d'eau (utilisation pour les loisirs), génie fluvial, paysage urbain, tourisme fluvial
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Les industries du voyage - Robert LANQUAR
/ UTLS - la suite
/ 11-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LANQUAR Robert
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Peut-on parler d'industrie pour un secteur économique où 99% des entreprises sont des PME, et à plus de 90% des microentreprises ? L'importance actuelle du tourisme est la conséquence d'une mesure sociale, la généralisation des congés payés en Europe, produit d'un modèle social que l'on ne retrouve pas ailleurs. Au moment où le libéralisme domine nos économies, on peut se poser des questions sur l'avenir des industries du voyage ou plutôt de l'offre touristique faite de produits et de services très divers et d'entreprises aux formes de gestion très variées. Des révolutions sont en cours dans l'offre touristique, non seulement résultats d'innovations technologiques comme celles de l'information et de la communication ou induites par le besoin de moins utiliser des ressources rares comme l'énergie ou l'eau, plus encore en raison de changements dans les habitudes des consommateurs mieux informés et mieux éduqués recherchant le cadre d'un développement durable tout en luttant contre la pauvreté et pour la mise en place d'une meilleure gouvernance dans les décisions concernant le développement touristique local. Ainsi en Méditerranée, lors du dernier Sommet de Barcelone du 28 novembre 2005, les chefs d'Etat et de gouvernement européens et méditerranéens ont pour la première fois décidé d'un programme de travail qui engagera une coopération visant à accroître la contribution du tourisme à la création d'emplois, au développement des infrastructures et à la compréhension interculturelle, tout en veillant à la viabilité environnementale. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, tourisme, voyage
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Les industries du voyage
/ UTLS - la suite
/ 11-01-2006
/ Canal-u.fr
LANQUAR Robert
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Peut-on parler d'industrie pour un secteur économique où 99% des entreprises sont des PME, et à plus de 90% des microentreprises ? L'importance actuelle du tourisme est la conséquence d'une mesure sociale, la généralisation des congés payés en Europe, produit d'un modèle social que l'on ne retrouve pas ailleurs. Au moment où le libéralisme domine nos économies, on peut se poser des questions sur l'avenir des industries du voyage ou plutôt de l'offre touristique faite de produits et de services très divers et d'entreprises aux formes de gestion très variées. Des révolutions sont en cours dans l'offre touristique, non seulement résultats d'innovations technologiques comme celles de l'information et de la communication ou induites par le besoin de moins utiliser des ressources rares comme l'énergie ou l'eau, plus encore en raison de changements dans les habitudes des consommateurs mieux informés et mieux éduqués recherchant le cadre d'un développement durable tout en luttant contre la pauvreté et pour la mise en place d'une meilleure gouvernance dans les décisions concernant le développement touristique local. Ainsi en Méditerranée, lors du dernier Sommet de Barcelone du 28 novembre 2005, les chefs d'Etat et de gouvernement européens et méditerranéens ont pour la première fois décidé d'un programme de travail qui engagera une coopération visant à accroître la contribution du tourisme à la création d'emplois, au développement des infrastructures et à la compréhension interculturelle, tout en veillant à la viabilité environnementale. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, tourisme, voyage
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Les enclaves transnationales du tourisme en Inde / Laurent Pordié
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 17-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
PORDIÉ Laurent
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« Les enclaves transnationales du tourisme en Inde », Laurent Pordié (Institut français de Pondichéry, Inde, Université de Heidelberg, Allemagne). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire].Séance plénière du 17 septembre 2009, présidée par Stéphanie Mulot (LISST, Université Toulouse 2). Sur la base de l'exemple de l'Inde, de son contexte sanitaire et de sa politique de santé, cette communication trace les grandes lignes de ce qui se voudrait être un programme anthropologique sur le tourisme médical, autour des axes de réflexions suivants :- Où s'établissent les nouveaux centre d'excellence et pour quelles raisons,- Comment se transforment les infrastructure de santé,- Comment se gagnent les parts de marché de santé à l'échelle nationale et internationale,- Comment se pose le problème de la traduction entre patient et thérapeute au plan du langage, des concepts médicaux, des techniques de soin,- Quel est le poids du tourisme sanitaire sur les transformations des techniques thérapeutiques. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie de la santé, migrations, politique de santé (Inde), tourisme médical, transnationalisme
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