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Les dangers qui menacent la Terre: chronique d'une fin du monde annoncée
/ 08-12-2012
/ Canal-u.fr
ARLOT Jean-Eudes
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Des annonces de fin du monde reviennent
régulièrement, relançant des peurs irraisonnées. Mais qu'en est-il vraiment ?
Qu'entend-on par "fin du monde"? Y a t il vraiment des raisons de
penser qu'une fin brutale de notre monde pourrait survenir ? Nous verrons qu'il
existe en effet de nombreux dangers pour la Terre, vaisseau spatial voyageant
dans l'espace, mais qu'en les connaissant mieux, il n'y a plus beaucoup de
raisons d'avoir peur.
Mot(s) clés libre(s) : fin du monde, espace, transport terrestre
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Un car rapide sénégalais au Musée de l'Homme de Paris : un chef-d'oeuvre d'art populaire, un “art parlant”
/ Canal-u.fr
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ARTISTES
El Hadj Kane & Pape Omar Pouye
ACTEURS
El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, les peintres, Malick Seck, l'apprenti, Pape Sall (mairie SICAP Liberté 3, Dakar), Ibrahima Diop & les voisins du chantieret les sons industriels des menuisiers métalliquesAUTEURS : Alain Epelboin & Ndiabou Sega Touré
COMMENTAIRES : Ndiabou Sega Touré & Alain
Epelboin
CAMÉRA, SON, MONTAGE, RÉALISATION : Alain Epelboin
REMERCIEMENTS : El Hadj Kane, Pape Omar Pouye, Pape Sall, Ibrahima Diop et les voisins du chantier, Alioune Thiam (CETUD Sénégal), la famille du défunt El Hadj El Kaba Touré, Mireille Gruska & Annie Marx, Studio ad hoc France.
RÉSUMÉ :Dans son exposition permanente, dans la partie consacrée à la mondialisation, le nouveau Musée de l'Homme de Paris présente un « car rapide » sénégalais, nommé aussi « super », « ndiaga ndiaye : c’est-à-dire un objet industriel du nord, mis au rebut, réapproprié par les artisans, artistes et tradipraticiens des suds. Ce film suit la réalisation des peintures décoratives et protectrices d’un fourgon Saviem Renailt Super-Goélette SG2 datant des années 1970, par deux peintres, spécialistes de cet art populaire, El Hadj Kane et Pape Omar Pouye, à la demande de deux anthropologues Alain Epelboin (CNRS-MNHN Paris) et Ndiabou Sega Touré (UCAD Dakar) en collaboration avec Studio ad hoc, chargé de la réalisation du projet.
L’action a lieu dans un parking de la mairie de SICAP Liberté 3 de Dakar servant d’entrepôt de matériaux de construction et abritant des ateliers de menuiserie métallique à ciel ouvert, avec une ambiance sonore déchirée régulièrement par les sons des scies, meuleuses et autres appareils à souder.
Tout en travaillant, les artistes se racontent, expliquent ce qu’il font, évoquent leur apprentissage auprès de leurs maitres, leurs propres apports artistiques, « leur touche », leur goût à exercer ce métier, leur fierté d’être des artistes. Les deux peintres soulignent leur conscience de réaliser un chef d’oeuvre d’art populaire sénégalais, qui représente le Sénégal et l’Afrique aux yeux des visiteurs d’un grand musée de Paris, sis face à la Tour Eifel, à proximité de l’esplanade du Trocadéro, le Parvis des droits de l'homme où des colporteurs sénégalais « clandestins » sont pourchassés par la police française.
Un art populaire, c’est-à-dire selon eux un art qui parle à tout le monde, sans distinction de classe ou d’âge, mais aussi un témoignage de l’histoire du Sénégal et de ses relations avec la France depuis le XIX ème siècle.
Il s’agit d’un de ces fourgons Super-Goélette Renault
SG2, peints en jaune et bleu, ornés de multiples motifs, couleurs, écritures, amulettes
et objets magiques. Ils assurent quotidiennement les transport en commun dans
les grandes villes du Sénégal, en concurrence avec les bus des grandes
compagnies étatiques et les taxis collectifs privés, voire les charrettes.
Des milliers de Sénégalais les empruntent chaque jour et nombreux sont ceux qui
en gardent, enfouis dans leur mémoire, des images émouvantes, des scènes, des
sons, des odeurs, des émotions datant de
leur jeunesse.
Les fourgons Super-Goélette Renault SAVIEM SG2 produits
de 1967 à 1982, succédant aux Goélettes Renault (1947-1965), ont été très
populaires, équipant massivement les entreprises, les administrations civiles
et militaires européennes. Au fur et à mesure de leurs mises en réforme, des
lots importants ont été revendus massivement dans les colonies françaises, puis
dans les pays francophones devenus indépendants, essentiellement en tant que
véhicules de transport en commun permettant de charger officiellement 25
passagers, sans compter les personnes debout et d’éventuels occupants de la
galerie ou marche-pied..
Dans chacun de ces pays, ces objets industriels du
Nord mis au rebut, ont été réinvestis par des savoir-faire autochtones,
des techniques, de mécanique, de tôlerie, de menuiserie métallique, qui ont
permis à une flotte importante de continuer à circuler jusqu’à présent, chaque
véhicule cumulant des millions de kilomètres.
Au Sénégal, ils ont été également investis de
générations en générations par un art décoratif et protecteur original, à base
de peintures multicolores, de nombreuses formules sentencieuses, morales, protectrices,
en wolof, arabe et français, mais aussi des amulettes, objets,
écritures, portraits de marabouts, « blindant » le véhicule contre
les jaloux, les malfaisants, les génies, générateurs de malchances, de pannes
et d’accidents.
Enfin, ces cars rapides sénégalais aux peintures caractéristiques
sont aussi devenus des sources d’inspiration de dessinateurs de bandes
dessinées, d'artistes, de peintres de tableaux et de peintures sous verre, suwers vendus
aux touristes.
Depuis 2005, le gouvernement sénégalais a confié au du
Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (CETUD) un programme de
renouvellement du parc de transports en commun. Les propriétaires des cars
rapides sont incités à les remplacer par des bus de marques indiennes et
asiatiques. Et c’est dans ce cadre que le CETUD a offert un de ces véhicules au
Musée de l’homme, lors d’une campagne de récupération à Saint Louis. Mot(s) clés libre(s) : pollution, deuxième vie des objets, savoirs populaires, tôlerie, menuiserie métallique, peintures décoratives, peintres, art, urbain, Saviem Super-Goélette SG2, Saint Louis, transport en commun, Sénégal, histoire, vidéo, récupération, Dakar, mécanique, arts et traditions populaires, art populaire, Musée de l'Homme de Paris
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Transport et logistique : un secteur stratégique dans un monde en accélération
/ Canal-u.fr
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Les instants métiers
Des professionnels s'expriment sur des secteurs d'activité dont ils sont spécialistes. L'objectif de ces rencontres avec des professionnels est d'apporter au public, en particulier lycéen, un éclairage, issu de la réalité du terrain, sur un secteur professionnel parfois mal connu ou marqué par des représentations erronées. Il s'agira à chaque fois de présenter ce que recouvre ce secteur, les perspectives qu'il offre, les possibilités ou difficultés d'accès, en résumé, des informations potentiellement très utiles dans le cadre d'un projet d'orientation.
Animé par Henri FICHTER, adjoint au Chef de Service Académique d'Information et d'Orientation
Intervenant(e)s :
Laetitia FEL, Assistante scientifique, Direction européenne de la qualité des médicaments et soins de santé, Conseil de l'Europe
Arnaud GENERET, Directeur adjoint, XPO Logistics
Roland LEHMANN, Déclarant en douane, Conseil de lEurope Privilèges et Immunités
Eric MINGUEZ, Assureur transport logistique, AEMM Assurance maritime & fluviale
Jean-Yves ROGNON, Consultant en organisation des transports (voyageurs) Mot(s) clés libre(s) : Métiers, Transports, pilotage des flux logistiques, orientation
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Le transport maritime à la voile au XXIème siècle
/ Canal-u.fr
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Le transport maritime actuel peine à apporter des réponses concrètes aux défis énergétiques du 21ème siècle. Les porte-conteneurs ne pourront pas faire face à la raréfaction des ressources pétrolières. Le transport à la voile peut alors être envisagé comme une alternative durable et respectueuse de l’environnement.Le directeur de la société TOWT (TransOceanic Wind Transport), fondée en 2009, présentera la démarche de transport à la voile qu’elle propose. Grâce au soutien de la Région Bretagne, TOWT a développé des partenariats avec des « vieux gréements ». Porteurs d’une tradition et symbolisant aussi la transition technologique, ces navires proposent une capacité logistique non négligeable.Le Biche, dernier thonier à voile groisillon restauré par l’association Les Amis du Biche, a acheminé sa première cargaison en 2013. Le président exposera comment l’association a participé à l’aventure.Par Guillaume LE GRAND, directeur de la société de transport TOWT Mot(s) clés libre(s) : transport, Voile
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En-quête d’un Havre
/ Canal-u.fr
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Auteurs, réalisateurs : Martin Benoist, Margaux Blandel-Coquet, Florian Hémont
À l'ère de la mondialisation par le conteneur, les villes portuaires se transforment. En-quête d’un Havre propose un regard sur certaines de ces mutations qui reconfigurent la relation entre le port et la ville.
Ce
programme s’inscrit dans le cadre des Ateliers « Création cinéma
documentaire et recherches en sciences humaines » : « Territoires :
lieux, corps, langage » qui ont bénéficié du jumelage d’éducation
artistique et culturelle 2014/2015 entre l’Université de Caen
Basse-Normandie (programme FRESH MRSH Caen/MSHB Rennes-et Mission
culture) et la Maison de l’Image Basse-Normandie, avec le soutien de la
DRAC Basse-Normandie, de l’Université Caen Basse-Normandie et de la
Région Basse-Normandie.
Les ateliers, coordonnés par Benoît
Raoulx (MRSH) et Jean-Marie Vinclair (Maison de l’Image
Basse-Normandie), ont réuni des jeunes réalisateurs en voie de
professionnalisation et des étudiants/chercheurs. Ils se sont déroulés
en plusieurs journées entre novembre 2014 et mars 2015 à la Maison de la
Recherche en Sciences Humaines et à la Maison de l’Etudiant de
l’université. Chantal Richard, cinéaste, a accompagné l’écriture et la
réalisation de ces films.
Daniela de Felice et Maxime Letissier sont
intervenus au stade du montage. Quatre courts-métrages documentaires
sont issus de ces échanges. Mot(s) clés libre(s) : industrie, infrastructures de transport, port
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