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IPM 2007. Chaîne éditoriale : SCENARI à propos de cas cliniques de pharmacie
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
GALLAND Françoise
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Françoise Galland, Directrice du STIC et chargée de mission TICE à Angers, nous parle d'un "cas clinique" qui se veut transversal et peut concerner toutes les universités numériques thématiques. On peut casser les disciplines et considérer le patient dans sa totalité.
SCD médecine Nancy 1 Mot(s) clés libre(s) : cas clinique, IPM 2007, pédagogie, pharmacie, université thématique, vidéos
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IPM 2007. Allocution de bienvenue par Gilbert WENTZ
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 29-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
WENTZ Gilbert
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Strasbourg forme avec les régions voisines du bas Wurtemberg un triangle d'or pour la formation universitaire. L'Ulp consacre l'excellence universitaire , et se place à la 4ème place (selon le classement de Shangai) en France (un prix Nobel)(9 membres de l'Académie des sciences). L'ULP a à son actif plus de 45 start up. Le grand défi de la médecine est une médecine personnalisée basée sur la technologie. Strasbourg est une ville charnière, d'histoire, de culture , classée au patrimoine de l'humanité, ville européenne, à 2h020 de Paris. La ville est candidate au titre de capitale européenne pour 2013.
SCD médecine Nancy 1 mpa Mot(s) clés libre(s) : culture, IPM 2007, recherche, Strasbourg, ULP, université, valorisation
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IPM 2007 - Les UNT et l'UMVF dans l'organisation de l'enseignement supérieur à l'ère numérique
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 29-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
ISAAC Henri
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L'université a de plus en plus de publics virtuels. L'idéal est de faciliter l'accès au numérique. L'UMVF fait office de pionnier. Les infrastructures sont la . Les technologies ne sont pas une finalité mais un moyen. Les taux d'échecs sont scandaleux en licence et le numérique doit contribuer à améliorer la pédagogie et le tutorat. Il faut aussi faire sauter un certain nombre de verrous quant à la production de la recherche. L'université datant du moyen-age survivra t'elle à l'ère du numérique ?
SCD médecine Nancy 1 Mot(s) clés libre(s) : enseignement, IPM 2007, numérique, pédagogie, Strasbourg, UMVF, Université numérique thématique
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IPM 2006 - Université à l'ère du numérique : au service de la solidarité ?
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 30-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BENHAMOU Albert-Claude
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Albert-Claude BENHAMOU nous présente le thème suivant : l'université à l'ère du numérique, au service de la solidarité ?
Générique
Auteur: BENHAMOU Albert-Claude Réalisation: SPI-EAO & CERIMES Mot(s) clés libre(s) : IPM 2006, UMVF, université numérique
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IPM 2006 - Rôle de l'université dans l'hôpital virtuel
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 31-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BENNANI Othmani
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Othmani BENNANI nous présente le thème suivant : le rôle de l'université dans l'hôpital vituel
Origine
Canal-U Médecine et Santé
Générique
Auteur: BENNANI Othmani Réalisation: SPI-EAO & CERIMES Mot(s) clés libre(s) : IPM 2006, université
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Frédéric PALETOU (IRAP/OV-GSO, OMP) : "De Hipparque à l'Observatoire Virtuel : 2000 ans de données astronomiques"
/ Canal-u.fr
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Intervention à la journée d'étude "Données en partage : enjeux et
acteurs des données de la recherche aujourd’hui", organisée par Médiad’Oc, l’Observatoire Midi-Pyrénées et l'URFIST de Toulouse à la Maison de la Recherche et de la Valorisation de Toulouse le 15 juin 2015. Mot(s) clés libre(s) : Université fédérale Toulouse Midi-Pyrénées, Données de la recherche, Journée d'étude
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Forum Nîmois - Charles GIDE - BITTOUN -17 fevrier 2016
/ Canal-u.fr
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 1 février 2016, à la maison du protestantisme à Nîmes Jacques
Bittoun.
Nous accueillons ce soir un savant multiple. Jacques Bittoun
est en effet Docteur en médecine de l’Université Paris Descartes, et Docteur en sciences physiques, de
l’Université Paris Sud, où il est devenu
Professeur de biophysique et de médecine nucléaire. Il a dirigé
successivement deux centres d’imagerie par résonance magnétique nucléaire à l’hôpital
Bicêtre et à Jolliot Curie.
Il est donc – il était plutôt- de ces hommes qui, après vous
avoir soumis à de mini-Tchernobyl, vous annoncent quelquefois des petites
noirceurs ou blancheurs suspectes qui peuvent vous conduire au tombeau, après
une sévère calvitie. Mais qui peuvent aussi en détruisant ces sales petites
bêtes vous permettre de survivre plus ou moins longtemps.
Il est aussi, précise la bio rédigée façon anglo-saxonne,
l’auteur de 114 articles dans les revues à comité de lecture, dont 76 en
anglais, et de 20 chapitres dans divers livres.
Si j’ai cru bon de l’inviter, après une conversation dans un
long courrier présidentiel– de temps en temps on peut faire un peu people !-
c’est parce qu’il était en train de finaliser, ou avait même finalisé, une réunion – on ne doit pas dire une
« fusion »- de 18 établissements, dont deux universités, Paris sud, et Paris-Versailles-St Quentin, avec
diverses « grandes écoles »- j’espère ne pas en oublier, Agro Paris
tech, Centrale Supelec, CEA, Ecoles (au pluriel) normales supérieures, Ecole Polytechnique,
Ecole nationale de la statistique et des études économiques, HEC Paris,
Institut d’optique, Institut des hautes études scientifiques, Telecom, INRA,
INSERM, IRIA (institut de recherche dédié au numérique), ONERA ( aérospatiale),
Université d’Evry, reconnue parait-il, pour la génomique. Encore y-a-t-il aussi
des membres associés importants dont je vous épargne la liste.
Cette fusion très importante, et qui a dû être
particulièrement difficile puisqu’elle regroupait les « grandes écoles les
plus prestigieuses » et les plus jalouses de leurs renommée, n’ pas été la
seule en France. Ainsi, dans Paris Ville, s’est formée une autre fusion entre
Paris –Sorbonne, et Pierre et Marie Curie. Dans notre région, vous le savez,
Montpellier 1 (Droit Sciences eco, Médecine, Dentaire..) et Montpellier 2 (Sciences)
ont fusionné, ainsi que les universités de Nîmes, dont je salue la présence
d’un Vide Président et l’Université de Béziers, avec diverses antennes à Sète,
Perpignan…. Montpellier III Paul Valery (lettres et sciences humaines) n’a pas
souhaité s’y joindre. J’avais invité sa présidente pour qu’elle vienne nous
exposer ses raisons, mais elle est en déplacement.
Pourquoi ces fusions ? C’est ce que va nous expliquer
Jacques Bittoun. Mais j’ai quelques questions à poser
Est-ce un problème de lisibilité à l’étranger ? Tout le
monde connait- et reconnait- Oxford et
Cambridge, MIT, Stanford, Harvard, UCLA… Mais ce sont les plus grandes.
Comme en Allemagne, Iéna ou enseigna Hegel qui regarda admiratif défiler les
troupes de Napoléon, ou Francfort à cause
de son école philosophique avec Adorno, Walter Benjamin, exilé aux Etats-Unis,
puis Marcuse, Habermas, Axel Noneth. De
la France, à part la Sorbonne, contemporaine d’Oxford, les étrangers, sauf ceux
qui y ont fait leurs études, ne connaissent pas nos universités de province. Même pas la faculté
de médecine de Montpellier pourtant créée au XIIIème siècle, comme la
Sorbonne !
Mais aux Etats-Unis comme en Allemagne, et en Espagne, il y
a, comme chez nous, des centaines
d’autres universités tout aussi peu connues que les nôtres
Ce qui, je crois, rend quand même nos universités moins
« people » si j’ose dire dans la mondialisation, c’est qu’elles ont
été jusqu’à présent médiatiquement concurrencées, en quelque sorte, par nos fameuses grandes écoles, dont trois
très importantes l’X, centrale et HEC viennent de fusionner avec Paris Sud dans
Paris Saclay. La « réunion » de ces grandes écoles et de nos
universités doit donc aider à la lisibilité de notre enseignement supérieur.
Les fusions visent-elles le nombre ? Harvard a un peu
plus de 6.000 étudiants, le MIT 10.000, Stanford 15.000, Oxford 22.000, 17.000
à Cambridge. Or, si nous prenons Montpellier 3, pas encore fusionnée, elle
compte déjà 19.000 étudiants, et Montpellier tout court, fusionnée en compte 40.000.
Paris Descartes avait déjà 38.000 étudiants.
Ce n’est donc pas directement le nombre qui est motif de fusion. Ce n’est pas lui qui fait que
l’on progressera dans le fameux classement de Shanghai, dont j’aimerais bien
que vous disiez un mot.
En tous cas, à mon avis, Il me reste deux raisons qui peuvent
vraiment justifier ces fusions. Mais c’est une question que je pose ?
D’abord, l’importance des frais de scolarité fait qu’avec
10/20.000 étudiants, une grande université américaine ou anglaise s’en tire
aisément, d’autant qu’elle jouit, comme nos grandes écoles, d’un attachement de
la part de leurs anciens élèves qui versent d’importantes contributions. Je ne
crois pas qu’aucun ancien étudiant de Montpellier 1 ait versé quoique ce soit à
cette brave université, et les dons d’anciens polytechniciens ou centraliens à
leur Ecole ne me paraissent pas non plus massifs
En tous cas, multiplier les étudiants, à des dizaines de
milliers, avec des frais de quelques
centaines d’euro, c’est une façon, pour nos universités, de réduire leur
mendicité auprès des administrations diverses. Mais ce n’est pas une bonne
méthode et, à mon sens, ne pourra pas durer. Pour autant, dans l’autre sens, le
niveau atteint aux Etats-Unis est insupportable : les étudiants s’endettent
quelquefois pour vingt ans. Ca ne durera pas non plus longtemps. Il faut
trouver le juste prix.
Et puis- et c’est toujours une question- est-ce que la
fusion, notamment avec les grandes écoles, ne multiplie pas les opportunités de
croisement des savoirs, ce qui est aujourd’hui, pour toutes les sciences, un
facteur de développement. Est-ce que ces fusions ne vont pas permettre, en
additionnant les prix Nobel, d’exposer comme les grandes universités
américaines, 75 ou 80 prix Nobel ?
Voilà toutes mes questions quantitatives.
Mais j’en ai une autre, plus qualitative. Un point sur lequel
nous avons déjà du retard, mais très rattrapable. Je veux parler des cours et
des modalités d’enseignement et de contrôle.
Plus précisément, je veux parler des « FLOT » (formation
en ligne ouverte à tous) ou encore « CLOM » (cours en ligne ouverts
et massifs) ou encore « ouverts aux
masses », ce qui donne « MOOC » en anglais : massive open
on line course.
Très sincèrement, l’ayant pratiqué 30 ans, je crois à la
disparition définitive des cours magistraux en amphi, souvent bondés, du moins en début d’année…..
Je pense que faire enregistrer des cours par les meilleurs d’entre nous (pour l’économie par exemple, Aglietta sur la
Chine, ou la Monnaie), Daniel Cohen et/ou Jérémie Rifkin, pour le développement
du capitalisme, Stiglitz pour les inégalités) , proposer aux étudiants de
visualiser ces cours, soit en collectif, soit en individuel, puis les réunir
ensuite par groupe de 20/30 pour répondre à leurs questions, serait un mode
d’enseignement bien plus efficace. Je crois d’ailleurs savoir que vous vous en
êtes rapprochés en médecine.
Je crois aussi qu’enregistrer ces cours et les diffuser
ensuite dans le monde entier, comme font déjà les américains, en les faisant
payer, à petit prix, multiplié par des milliers de télé-étudiants, ou en
faisant payer le diplôme, que l’on peut
très bien obtenir ensuite par voie numérique, ce système peut permettre à nos
universités
-
De
cesser de perdre du temps en cours magistraux désuets
-
De
permettre aux étudiants de revenir et revenir à telle ou telle notion qu’ils
n’ont pas comprise
-
De
multiplier les recettes
-
De
contribuer bien plus efficacement à la diffusion du savoir
Par parenthèse, je vous signale que notre cher vidéaste, mon collègue
Jean louis Monino, a créé un système numérique permettant ces contrôles et
notations, agréé par le Rectorat.
Que pensez-vous de tout cela, Jacques Bittoun ? Mot(s) clés libre(s) : fusion d'universités, université
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FORMATIC 2009 - L'émergence de la logique communautaire dans la gestion des structures de santé
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 05-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
NIFLE Roger
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Titre : Formatic 2009 - L'émergence de la logique communautaire dans la gestion des structures de santéVisioconférence.Intervenant : Roger Nifle : Président Université de prospective humaine, Directeur Institut Cohérences - ParisSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : crise, Europe, Formatic Santé 2009, hôpital, internet, mutation, socio-performance communautaire, TIC, Université de Prospectives Humaines, UPH
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FNESI 2010 – Paris : L’évolution des formations.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 26-11-2010
/ Canal-U - OAI Archive
SANZALONE Eric
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L’évolution des formations : de l’accumulation des connaissances à la mise en œuvre des compétences. Table ronde.Propos préliminaires : Réingénierie des formations paramédicales, impact au regard de l’activité liée aux soins, à l’enseignement et à l’apprentissage, et sur l’évolution professionnelle et personnelle.Conférence enregistrée lors 10ème Congrès National des Etudiants en Soins Infirmiers (FNESI) – Paris le 26 novembre 2010 - L’évolution générale de l’offre de soins. Quelle formation pour les infirmiers de demain ?Modérateur : Clément SOULIER.Intervenant : SANZALONE Eric - SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : DGOS, FNESI Paris 2010, formation paramédicale, FTLV, LMD, réingénierie, soins infirmiers, université
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FNESI 2010 – Paris : Les enjeux de l’évolution de la profession d’infirmière.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 26-11-2010
/ Canal-U - OAI Archive
KOZLOWSKI Joëlle
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La profession d’infirmière est entrée dans une phase révolutionnaire depuis septembre 2009, avec pour objectif le devenir de la profession. Il y a actuellement 30 000 étudiants par an en formation de santé et de social. La mise en place de cette réforme est l’occasion de faire le point sur des éléments importants : le maillage territorial et la mission de soins à toute la population, les enjeux financiers, la taille des structures, les conditions de vie, de formations professionnalisantes et de stages encadrés par les « pairs », de filières LMD sont autant de paramètres à prendre en compte sans oublier le versant politique. Conférence enregistrée lors du 10ème Congrès National des Etudiants en Soins Infirmiers (FNESI) – Paris le 26 novembre 2010 - L’évolution générale de l’offre de soins. Quelle formation pour les infirmiers de demain ?Modérateur : Clément SOULIER.Intervenant : KOZLOWSKI Joëlle - Vice-Présidente de la formation infirmière (CEFIEC).SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : CEFIEC, DGOS, FNESI Paris 2010, LMD, réforme, réingénierie, santé publique, soins infirmiers, université
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