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Social mix strategies in urban renewal: paradoxical effects ? [VF] / Christine Lelévrier
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LELÉVRIER Christine
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Social mix strategies in urban renewal: paradoxical effects ? / Christine Lelévrier [version avec traduction simultanée en français]. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011. Plénière 4 : Approaches, pratices and challenges of mixité in different urban contexts, 7 juillet 2011.Social mix is a powerful category of housing and urban policies in France. The idea that urban and social diversity is a condition for a “balanced” and “peaceful” city life is not new and almost as old as urban planning and social housing. But, the strength of this notion has increased since the middle of the 1990’s. As in other countries, (the French) national government and local authorities consider social mix as a condition for community cohesion and social inclusion, a sort of public answer to poverty and ethnic concentration in cities and more recently, as a principle for sustainable development and territorial equality (Fenton, Turnstall, 2006). As in other countries as well, housing and especially social housing on one hand, area-based policies on the other hand, are the main public tools for implementing social mix strategies. In 2003, an ambitious urban renewal programme, focused on deprived neighbourhoods and based on housing diversification, followed up the debate about perverse effects of social mix strategies applied to poor areas. - Are urban renewal strategies successfull at diversifying housing and population in the neighbourhoods ?- Does social diversification mean more social capital and social interactions in the neighbourhoods ?- What are the benefits from urban renewal for the inhabitants, the “outsiders” and the “managers” of those neighbourhoods ?The findings from research conducted since 2004 highlight two mains processes of change: re-clustering and fragmentation (Lelévrier, 2010). Those urban and social effects could be seen as paradoxical ones, in reference to social mix public attempts, proceeding from a holistic and dualistic spatial representation of the city and the neighbourhood: instead of mixing, urban renewal just displaces poverty and instead of reenforcing cohesion, it enhances boundaries and distance between social groups. But the assessment could be different if the new private small residences are the opportunity for the “neighbourhoods children”, part of them coming from the immigrant families, to upgrade their residential careers and stay in the familiar neighbourhood while being able to keep social distance… Those changes encountered not national but local social housing managers -a way to stabilize “good tenants”, as well as private one- a way to endow their investments.> La communication est traduite en français par Mme Solange Hibbs (directrice du Département Centre de Traduction, d'Interprétation et de Médiation linguistique (CETIM) de l'université Toulouse II-Le Mirail). Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, logement social, mixité sociale, politique du logement, ségrégation urbaine, sociologie de l'habitat, urbanisme (aspect social)
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/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEES Loretta
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Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, gentrification (Londres), Londres (quartier de Southwark), marché immobilier, politique du logement (Royaume-Uni), rénovation urbaine, rénovation urbaine (participation des citoyens), urbanisme (aspect social)
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The grammar of "mixed communities": urban injustice and the Aylesbury Estate [VF] / Loretta Lees
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 07-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
LEES Loretta
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The grammar of "mixed communities": urban injustice and the Aylesbury Estate [version française] / Loretta Lees. In "Mixité : an urban and housing issue? Mixing people, housing and activities as urban challenge of the future", 23ème colloque international de l'European Network for Housing Research (ENHR), organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) à l'Université Toulouse II-Le Mirail, 5-8 juillet 2011. Plénière 4 : Approaches, pratices and challenges of mixité in different urban contexts, 7 juillet 2011.Now that New Labour’s era of urban renaissance in the UK has hit the buffers of both an economic downturn and a change of government it is time to reflect on the urban injustices it has left in its wake. In this paper I focus on the urban injustices that have been practiced on the Aylesbury Estate in London. I look at how the sociomateriality of the Aylesbury was discursively constructed by those with power in order to further their goals of regeneration, that is state-led gentrification, into a new ‘mixed income’, new-build community. I question the truth claims that have been made about the Aylesbury as a ‘sink estate’ and argue that they served dominant interests. I look at how choices have been closed down for the estate’s residents and how their support for the regeneration programme has been misrepresented.In so doing I expose a variety of unjust practices that have been, and are being, enacted on the Aylesbury Estate. But importantly I look at what the residents think about the whole process (seeking alternative knowledges, imaginaries, logics) and how they are resisting dominant interests and practices. In so doing I question not just the policy of mixed communities (the new urban renewal) but also the way that it has been forced upon low income communities.> La communication est traduite en français en simultané par un interprète de l'Association Internationale des Interprètes de Conférence-AIIC). Mot(s) clés libre(s) : cohésion sociale, gentrification (Londres), Londres (quartier de Southwark), marché immobilier, politique du logement (Royaume-Uni), rénovation urbaine, rénovation urbaine (participation des citoyens), urbanisme (aspect social)
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Projet de réhabilitation de la caserne de pompiers de la Benauge à Bordeaux / Mathieu Lebecq
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LEBECQ Mathieu
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Centre d'ar(t)chitecture et de design, PFE 2008 : projet de réhabilitation de la caserne de pompiers de la Benauge construite par Ferret, Salier, Courtois en 1954 à Bordeaux. Mathieu LEBECQ. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Mathieu Lebecq présente un projet (cas d'école ?) de réhabilitation et réaffectation en centre d'architecture et de design de la caserne de la Bénauge de Bordeaux, classée au Patrimoine du XXe siècle en 2008 et emblématique de la rive droite avec une extraordinaire vue sur le Bordeaux ancien. Le projet présenté, posant la problématique du passage d'une architecture du passée vers celle du présent, cherche à préserver l'image générale et l'identité du bâtiment tel que conçu initialement par ses auteurs, les architectes Claude Ferret, Yves Salier et Adrien Courtois, inspirés par les théories fonctionnalistes du Bauhaus et de Le Corbusier. La tour d'exercice serait transformée en ateliers d'artistes, les logements des pompiers deviendraient des logements étudiants, le garage et les locaux administratifs, des salles d'exposition...[Avertissement : le conférencier n'ayant pas encore autorisé le droit de diffuser les images de son projet architectural, nous avons le regret de ne pouvoir les faire apparaître à l'image. En remplacement, nous vous proposons les images de la caserne de la Benauge telle qu'elle se présente actuellement.] Mot(s) clés libre(s) : architecture (conservation et rénovation), architecture (XXe siècle), caserne de pompiers (Bordeaux), programme de réhabilitation urbaine, projet architectural
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Les magiciens de la lumière
/ Christine AZEMAR, Serge GUYON
/ 26-03-2009
/ Canal-u.fr
LAUGINIE Pierre, SARFATI Alain
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Paris,
1840 : Hippolyte Fizeau et Léon Foucault, étudiants à la Faculté de médecine ont
une passion pour la
physique. François Arago, Directeur de l'Observatoire de
Paris, va leur confier un important travail : la lumière est-elle de nature
corpusculaire ou ondulatoire !
Dans la
lignée de Galilée, Römer et Bradley, Fizeau réalise en 1849 la première mesure
purement terrestre de la vitesse de la lumière.
En
1861, Urbain Le Verrier nouveau Directeur de l'Observatoire commande à Foucault
une mesure d’une précision jusque là inégalée.
Avec
l’aide des plus grands artisans de l’époque, Foucault relèvera ce défi en 1862.
La
vitesse de la lumière devient désormais un outil de choix pour la mesure des
distances astronomiques Mot(s) clés libre(s) : vitesse de la lumière, miroir tournant, Léon Foucault, Observatoire de Paris, Hyppolyte Fizeau, Römer, François Arago, Urbain Le Verrier, Froment, Cavaillé-Coll,, roue dentée Galilée
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Des étudiants mesurent la vitesse de la lumière à la manière de Léon Foucault
/ Christine AZEMAR, Serge GUYON
/ 04-10-2010
/ Canal-u.fr
LAUGINIE Pierre, SARFATI Alain
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Séquence qui montre des étudiants de la Faculté des Sciences
d’Orsay mesurant la vitesse de la lumière selon la méthode du miroir tournant
de Léon Foucault. Tout d'abord ils installent l'expérience, puis ils font des mesures et enfin leurs résultats sont interprétés.Séquence intégrée dans les bonus d'un film historique " Les magiciens de la lumière"(60 min) qui relate les mesures de la vitesse de la lumière de Galilée à Léon Foucault, notamment sa célèbre mesure de 1862, reproduite dans la séquence présentée. Mot(s) clés libre(s) : vitesse de la lumière, miroir tournant, Léon Foucault, Observatoire de Paris, Hyppolyte Fizeau, Römer, François Arago, Urbain Le Verrier, Froment, Cavaillé-Coll,
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La péri-urbanisation en France
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 29-06-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LABORIE Jean-Paul, LE CORRE Sébastien
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Le péri-urbain est un espace complexe et polymorphe à l'interface de la ville et de la campagne, il peut être décrit selon différents indicateurs. De multiples moteurs sont à l'oeuvre pour créer ces espaces où les fonctions s'accumulent (habitats, commerces, activités). Sous cet angle, le périurbain apparaît comme une zone d'enjeux forts pour la gouvernance et la planification spatiale. (Entretien réalisé le 29 juin 2006)GénériqueInterview : Sébastien LE CORRE - Réalisation et post-production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : Centre Audiovisuel et Multimédia, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, géographie urbaine, périurbanisation, relations villes-campagnes
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Paris, ville de riches? Les évolutions de la sociologie parisienne
/ UTLS - la suite
/ 07-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
JEAN-MARIE Audry
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Depuis un demi siècle, les recensements de population successifs montrent une augmentation continue des cadres dans la population de Paris, au détriment des ouvriers et des employés. Un seuil a été franchi avec le dernier recensement de 1999 : pour la première fois - et cela n'est vrai qu'à Paris et dans certaines banlieues cossues - le nombre de « cadres et de professions intellectuelles supérieures » (394 000) a dépassé celui des ouvriers et des employés réunis (392 000). Un risque se précise dans le long terme : celui d'une population aisée homogène qui étendrait son empire à tous les quartiers, réduisant le Paris populaire à ses franges périphériques. Paris deviendrait une ville de riches. Qu'on l'appelle ségrégation, embourgeoisement ou gentrification, cette tendance est à l'opposé des valeurs de mixité qui sont l'essence de la ville. Le scénario est-il écrit d'avance ? Oui si l'on s'en tient aux conditions qui déterminent aujourd'hui la valorisation de l'espace parisien : une situation de ville capitale au coeur d'une des grandes métropoles mondiales ; une évolution de la structure des emplois favorable aux cols blancs très qualifiés ; des évolutions immobilières favorables aux locataires les plus solvables et aux acquéreurs aisés ; un effet culturel de regain d'intérêt des ménages à hauts revenus pour les quartiers du centre et les anciens faubourgs. Pour tenter d'enrayer la machine à exclure ou freiner son rythme, il faut continuer à augmenter le nombre de logements sociaux dans la capitale mais aussi développer une politique ambitieuse d'aménagement du territoire régional. Mot(s) clés libre(s) : embourgeoisement, gentrification, Paris, ségrégation, sociologie urbaine, urbanisme
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Paris, ville de riches ? Les évolutions de la sociologie parisienne
/ UTLS - la suite
/ 07-11-2003
/ Canal-u.fr
JEAN-MARIE Audry
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Depuis un demi siècle, les recensements de population successifs montrent une augmentation continue des cadres dans la population de Paris, au détriment des ouvriers et des employés. Un seuil a été franchi avec le dernier recensement de 1999 : pour la première fois - et cela n'est vrai qu'à Paris et dans certaines banlieues cossues - le nombre de « cadres et de professions intellectuelles supérieures » (394 000) a dépassé celui des ouvriers et des employés réunis (392 000). Un risque se précise dans le long terme : celui d'une population aisée homogène qui étendrait son empire à tous les quartiers, réduisant le Paris populaire à ses franges périphériques. Paris deviendrait une ville de riches.
Qu'on l'appelle ségrégation, embourgeoisement ou gentrification, cette tendance est à l'opposé des valeurs de mixité qui sont l'essence de la ville. Le scénario est-il écrit d'avance ? Oui si l'on s'en tient aux conditions qui déterminent aujourd'hui la valorisation de l'espace parisien : une situation de ville capitale au coeur d'une des grandes métropoles mondiales ; une évolution de la structure des emplois favorable aux cols blancs très qualifiés ; des évolutions immobilières favorables aux locataires les plus solvables et aux acquéreurs aisés ; un effet culturel de regain d'intérêt des ménages à hauts revenus pour les quartiers du centre et les anciens faubourgs. Pour tenter d'enrayer la machine à exclure ou freiner son rythme, il faut continuer à augmenter le nombre de logements sociaux dans la capitale mais aussi développer une politique ambitieuse d'aménagement du territoire régional. Mot(s) clés libre(s) : urbanisme, sociologie urbaine, Paris, embourgeoisement, gentrification, ségrégation
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ENS Lyon - Conjuguer bien commun, aspiration à l'autonomie et refus des contraintes (M-C Jaillet)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 17-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
JAILLET Marie-Christine, WORMSER Gérard
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L'individu a été longtemps encadré par des systèmes de valeurs qui donnaient du sens à sa vie. Il était inséré dans des groupes organisés : la famille, l’usine, le syndicat, le parti... Il était établi dans des lieux : le quartier, la commune, le village... Cela produisait un individu relativement sécurisé, disposant d’une place (pas toujours choisie) dans la société.Aujourd’hui, ce système s'est désagrégé. Les relations doivent obéir au principe de la satisfaction et du libre choix. Mais l'individu y a gagné en liberté et en autonomie. Mot(s) clés libre(s) : autonomie, diversité sociale, ENS Lyon, Gérard Wormser, groupes organisés, individu, insécurité, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, liberté, libre choix, Marie-Christine Jaillet, mixité, sécurité, ségrégation urbaine, système de valeurs, ville
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