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La modernité : une greffe difficile sur le "grand village" / Pierre Weidknnet
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
WEIDKNNET Pierre
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La modernité : une greffe difficile sur le "grand village. Pierre WEIDKNNET. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Pierre Weidknnett contextualise la construction de l'université du Mirail dans la politique urbaine de Toulouse, ce "grand village (selon l'appellation de l'historien Jacques Godechot) qui voulait se faire métropole. Au XVIIIe siècle, Toulouse est une ville "sainte, sotte et sale", placée au cœur d'une région agricole et préservant son centre ville. Les grands travaux urbains (quais, Grand-rond, canal de Brienne...) seront à l'initiative des États du Languedoc et de l'Intendant royal, tout comme la localisation de l'industrie aéronautique et chimique à Toulouse sera le fait de décisions d'État jusque dans les années 1950. Après la Libération, le 1er maire, Raymond Badiou, mènera une politique de maîtrise budgétaire dans une vision malthusienne de limitation de la croissance qui explique probablement la construction en zone périphérique de manière un peu anarchique excepté à Colomiers qui sera appréciée à postériori comme une réussite. A cette période, le cas de Toulouse n'est pas isolé car à l'échelle nationale prévaut la doctrine "du graviérisme", de Jean-François Gravier, pour un développement des campagnes et ce malgré l'exode rural vers les villes et notamment Paris. En 1960, le PADOG ( Plan d'aménagement et d'organisation générale de l'agglomération parisienne) publie un aménagement de l'Ile-de-France avec pour sous-titre "Paris ne doit pas croître" et c'est dans ce contexte que Toulouse va devenir métropole d'équilibre. En 1958, la nomination du nouveau maire de Toulouse est une rupture en matière de développement urbain dans l'idée d'une croissance nécessaire de la ville face aux mutations des modes de vie qui s'imposent à elle et dans le cadre concurrentiel du Marché commun naissant. Dès lors et pour une durée d'une dizaine d'années, une grande politique d'infrastructure va simultanément mener un aménagement du centre ville (pénétrante des allées Jean Jaurès notamment) avec la construction de la ville nouvelle du Mirail dans laquelle prendra place naturellement l'université au demeurant dans l'objectif supplémentaire de renvoyer les étudiants vers la banlieue. Le Mirail est un nouveau centre à côté de la ville ancienne comme en ont été construit dans les pays d'Europe de l'Est à la même période, à ceci près qu'il n'y est pas tout à fait juxtaposé comme dans ces pays et que le rapport modernité et patrimoine n'y est pas identique. Une troisième période, celle du maire Pierre Baudis, dont la campagne électorale s'est faite sur le Mirail et sur la politique urbaine, enclenche une dynamique de réhabilitation et un processus de gentrification du centre ville. C'est le moment où le mot Mirail disparaît du vocabulaire au profit de "centre régional". Mot(s) clés libre(s) : gentrification, politique urbaine, Toulouse (1950-1970), Toulouse (quartier du Mirail), urbanisation, ville nouvelle
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Contexte politico-économique, social et architectural de la construction de l'UTM / Danièle Voldman
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
VOLDMAN Danièle
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Contexte politico-économique, social et architectural de la construction de l'UTM. Danièle VOLDMAN. In colloque "Conservation, restauration de l'architecture du Mouvement Moderne : l'exemple de l'Université de Toulouse-Le Mirail de Georges Candilis" organisé par l'Université de Toulouse II-Le Mirail en partenariat avec les universités de Rennes 2 et Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Université Toulouse II-Le Mirail / Musée Les Abattoirs, 8-10 avril 2010.Pendant les Trente glorieuses (1945-1975), la France va connaître une période d'épanouissement social et économique, une période d'expansion démographique accompagnée d'un développement urbain sans précédent. Sur le plan de la construction, les façons de bâtir, les conditions de commandes publiques, les formes architecturales ont beaucoup évolué. C'est pendant cette période que le Mouvement moderne va s'épanouir.En 1945, la France connaît une grave crise structurelle du logement depuis plus de 50 ans dû en partie au "moratoire des loyers" décrété pendant la guerre de 14, aux destructions de la guerre et à la reprise démographique (baby boom). Certains quartiers urbains sont insalubres, les logements populaires manquent [cf Rouen en 1951]. A partir de 1945 et jusqu'en 1970, les gouvernements français successifs et le Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme (MRU) vont mettre en place une gigantesque politique de construction, grâce notamment à une nouvelle législation (notamment la loi du 31 décembre 1958 constituant les ZUP et transférant aux préfets l'autorité pour l'acquisition des terrains), à de nouvelles procédures pour soutenir les bailleurs sociaux et les entrepreneurs pour une plus grande production de logements et l'industrialisation des techniques du secteur du bâtiment.Malgré ces efforts et la construction rapide de cités d'urgence et de grands ensembles [Cité Rotterdam à Strasbourg], la crise du logement s'aggravera à tel point que des milliers de personnes expulsées meurent dans la rue (cf. l'alerte de l'abbé Pierre en 1954) avant de commencer à obtenir des résultats dans les années 1960, Avec la loi d'éradication des bidonvilles (1964), le dernier bidonville à Nice disparaîtra en 1976. Suivant les préconisations de la Charte d'Athènes et du Mouvement moderne, "l'urbanisme aux champs", dans les proches périphéries des villes, prend son ampleur pour voir à la fin des années 70, une France couverte de quartiers neufs et de villes nouvelles : les 200 logements à Aix-en-Provence et La Tourette à Marseille de Fernand Pouillon, Le Serpentin -les Courtillières- d'Emile Alliaud à Pantin, la cité FFF à Athis-Mons, Cela se fera peut-être au détriment de la question sociale et de l'aménagement du territoire et ce, malgré la création de la DATAR en 1963 et les objectifs des huit "métropoles d'équilibre" qui, recevant les financements pour ce faire, devaient constituer de vrais quartiers de ville -pas seulement des ensembles d'habitations- avec des emplois et des équipements. C'est de cette façon que Toulouse a été désignée comme métropole d'équilibre devant recevoir une université, l'université du Mirail.[Avertissement : le conférencier n'ayant pas encore autorisé le droit de diffuser les photographies afférentes à son intervention, nous avons le regret de ne pouvoir les faire apparaître à l'image. Toutefois, certains liens inclus dans le résumé, mènent à des articles ou à des images des projets architecturaux cités.] Mot(s) clés libre(s) : grands ensembles, logement social, Mouvement moderne (architecture), politique du logement (France), programmes de construction (France), urbanisation (1945-1975), zones à urbaniser en priorité
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6ième rencontres nationales de l'information médicale en psychiatrie. L'urbanisation des systèmes d'information.
/ 11-05-2006
/ Canal-U - OAI Archive
LEONHARD Guy
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Mr Leonhard, informaticien au C.entre hospitalier de Saverne, décrit la démarche d'urbanisation des systèmes d'information et son application pratique à Saverne. L'urbanisation a pour objectif de simplifier la vision et l'usage du SI : il faut faire un découpage en bloc fonctionnel, avoir une vision transversale par métier. Le but est d'établir une grille de lecture et d'avoir une vision de la cible à atteindre.
Origine
Canal U/Médecine 2006
Générique
Réalisation : Canal U/Médecine 2006 SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : cartographie, GMSIH, Mirecourt, référentiel, SIH, stratégie, système d'information, urbanisation
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Les villes en Chine
/ UTLS - la suite
/ 09-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
GED Françoise
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En une décennie, la population urbaine chinoise a augmenté de 10% environ. Au regard d'une population globale évaluée à 1,3 milliard de personnes, cela revient à considérer que le double de la population de la France est devenue citadine en une dizaine d'années. L'impact sur le territoire est considérable, qu'il s'agisse des centres anciens, disparus ou en voie de l'être, des modes de vie, des mutations sociales et économiques des années 1990 qui ont transformé en biens marchands les prestations sociales du régime maoïste, en matière de santé, d'éducation, de logement notamment.Quels principes ont régi cette urbanisation forte et rapide ? La civilisation chinoise est par ailleurs célèbre pour la tradition urbaine qui servit de modèle à la construction de nombreuses capitales en Chine et jusqu'au Japon, ou encore par la déclinaison de modèles d'habitations, véritables entités urbaines au coeur des cités marchandes. Quelle considération a-t-on pour ce patrimoine hors pair et peut-on véritablement parler d'une stratégie de protection, face à la pression spéculative ou à la montée du tourisme intérieur ? Mot(s) clés libre(s) : chine, histoire, politique urbaine, quartiers anciens, spéculation financière, urbanisation, urbanisme, villes, villes (croissance)
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HIT Paris 2008 - Critères de choix d’une solution en ASP mutualisé
/ CERIMES, SPI-EAO, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 30-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
BERGOGNON Didier, VAILLANT Frédéric, ANDRE Pierre-Yves
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Résumé : La mutualisation et l’urbanisation des SIH passent par de nouveaux modèles. La mise en oeuvre d'un ERP transversal supprime l'interfaçage et simplifie le lien système administratif/production de soin. Le modèle du Saas (Software as a service), ou encore ASP, correspond à une nouvelle réponse technologique aux besoins des établissements confrontés à l'accélération de la mise en place de la T2A et à la mise en oeuvre d'un outil de production de soins. Décryptage de ses avantages et contraintes.Intervenants : BERGOGNON Didier, VAILLANT Frédéric, ANDRE Pierre-Yves.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : ASP, DIM, ERP, HIT Paris 2008, mutualisation, NTIC, SI, T2A, TICE, urbanisation
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