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Gaillac : faire du bio ! Faire du terroir ?
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
POUZENC Michaël, TULET Jean-Christian
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Le cas du Gaillac est particulièrement illustratif d’un essor rapide du bio participant à un repositionnement de l’ensemble du vignoble. La viticulture bio peut-elle se passer du terroir et d’un modèle AOC qui s’essouffle, ou constitue-t-elle un moyen de reformuler le terroir et d’actualiser l’AOC, en phase avec les nouvelles attentes des consommateurs ? Face à cette interrogation, nous nous sommes intéressés ici aux producteurs bio, à leurs représentations et leurs pratiques. L’analyse d’une douzaine d’entretiens semi-directifs nous conduit à identifier des groupes portant autant de pôles de redéfinition du terroir, tout à tour recentré sur l’écosystème local, offert à la créativité ou réactivé dans le prolongement de l’AOC. Mot(s) clés libre(s) : histoire, territoire, terroir, viticulture biologique, Gaillac, vins naturels, appellations d'origine contrôlée
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L'expression aromatique des rosés: lien avec la couleur
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Université Bordeaux Segalen - DCAM
/ 04-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
POUZALGUES Nathalie
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9e matinée des Œnologues - Bordeaux >> Goût du vin : la pratique Patricia Taillandier, Impact des phases fermentaires sur le goût du vin Nathalie Pouzalgues, L’expression aromatique des rosés : lien avec la couleur Jean Lhéritier, Philippe Chabert, Jean-Claude Berrouet, Vin et consommateur : qui doit s’adapter ? Les attentes des consommateurs, les contraintes de marché, l’apparition des agences de notation… façonnent le goût pour le vin, ses arômes, sa couleur. Ce produit du patrimoine est en effet tributaire de facteurs socio-économiques. Dans ce contexte, il est juste de se demander qui du consommateur ou du vin doit s’adapter à l’autre. Spécialistes de la question vinicole, Patricia Taillandier, Nathalie Pouzalgues, Jean Lhéritier, Philippe Chabert et Jean-Claude Berrouet apportent quelques éléments de réponse Mot(s) clés libre(s) : arômes, oenologie, rosés, vin
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Cafés des Sciences Nancy 2008 - L’œnologie est-elle une science ?
/ SPI-EAO, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 18-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
PARISI Jean-Marie, PEYRON Dominique, MANGEOT Jean Michel
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Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRA. Résumé : A quelques jours du Beaujolais nouveau, c’est l’occasion d’explorer un sujet apprécié de nombreux amateurs : le vin. De la sélection des vignes à la dégustation, l’œnologie est une affaire de spécialistes ! Cette rencontre a lieu dans le cadre de la Fête de la Science 2008. Intervenants : - Dominique Peyron, Maître de Conférences à l'Institut Universitaire de la Vigne et du Vin - Université de Bourgogne- Jean-Marie Parisi, professeur de Physique, oenophile et dégustateur passionné - Jean-Michel Mangeot, producteur, domaine Régina (côtes de Toul) SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : analyse sensorielle, AOC, Cafés des Sciences Nancy Université, cépage, chimie, dégustation, oenologie, polyphénols, raisin, terroir, vin
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Premières observations de l’élevage matriciel grâce à la nano-oxygénation
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 09-03-2012
/ Canal-u.fr
PAETZOLD Michael
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VALORISER SON ELEVAGE POUR SIGNER SON VIN
10e matinée des Œnologues - Bordeaux
>> Autres aspects de l’élevage et expériences de vignerons
Michael Paetzold, Premières observations de l’élevage matriciel grâce à la nano-oxygénation
L’élevage est toute la partie de la vie du vin située entre la fin des phases fermentaires et l’étape de préparation des vins à leur conditionnement. Historiquement, la barrique est passée d’un outil de transport à un véritable instrument d’élevage pour les grands vins.
Nous vivons depuis une quinzaine d’années une révolution avec consécutivement l’invention de dispositifs d’oxygénation des vins mais aussi et depuis peu l’autorisation légale d’utiliser des morceaux de bois à usage œnologique alternatifs à la barrique.
L’association des œnologues de Bordeaux a souhaité faire un point sur cette étape déterminante pour le style et le goût futur du vin. Déjà Pasteur écrivait : « C’est l’oxygène qui fait le vin ». Nous verrons donc l’influence de cet élément en association avec le bois. Mot(s) clés libre(s) : bois, élevage, oenologie, barrique, oxygénation, vin
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La Contraviesa, un vignoble d’altitude
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
PAEGELOW Martin, TULET Jean-Christian
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Situé entre la mer Méditerranée et la Sierra Nevada, le massif de la Contraviesa est une montagne littorale andalouse culminant à 1400 m. Ce milieu d’altitude, à pentes fortes et ne disposant que d’une ressource en eau très limitée, est traditionnellement caractérisé par un triptyque de cultures pérennes : amandier-figuier-vigne.
Cette polyculture ancestrale est sur le déclin depuis les années 1970.
Sur la base d’interviews et s’appuyant sur la connaissance de chercheurs locaux, ce film souligne quatre aspects principaux, tout en inscrivant l’ensemble dans une perspective de mutations de la vitiviniculture à l’échelle du sud-ouest européen :
1. La viticulture traditionnelle,
2. Les initiatives de reconversion vers une production de qualité
3. La spécificité géographique de ce vignoble d’altitude
4. La redynamisation du vignoble en tant que pivot d’un concept économique intégré d’agrotourisme. Mot(s) clés libre(s) : qualité, cépages, polyculture, bodegas, Grenade, Contraviesa, vignoble d'altitude, vins, vignes, minifundio, pylloxéra
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Bretts et vins au naturel : une question d'équilibre
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
NIAUTOU Florent
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13e Matinée des
Oenologues de Bordeaux / "Cherchons la p'tite Brett"
Le vin est le fruit d’une transformation par une communauté microbienne d’un milieu naturel biologiquement instable. Certaines phases de son élaboration, fermentations alcoolique et malolactique, sont bien maîtrisées à ce jour, en partie grâce aux levains du commerce. Il est, bien entendu, possible de faire du vin sans utiliser ces outils, mais il faut alors s’en remettre à dame nature et accepter de perdre un peu de maîtrise sur la sélection d’une microflore active. Cette démarche, parfois motivée par la recherche d’une complexité aromatique, peut s’avérer exceptionnelle, mais aussi être malheureusement catastrophique. Produire un vin bio au sens technique du terme ne peut se limiter à une liste de pratiques d’usages qui diffèrent en fonction du cahier des charges d’une charte donnée, qu’elle soit règlementaire ou privée. Cette démarche témoigne d’une dérive liée à notre formation scientifique, à une façon de penser. Notre approche, plutôt cartésienne est parfaitement adaptée à l’étude de systèmes stables où l’on peut se focaliser sur une cause afin d’en éviter les effets, en essayant, au passage, d’y apporter une explication logique. Le vin doit être considéré comme un milieu vivant dans sa complexité. Nous pourrions parler d’un « écosystème » complexe avec des interactions dynamiques entre les éléments et leur environnement: un système en mouvement perpétuel où la notion d’équilibre est fondamentale. Le rationalisme analytique n’est alors plus suffisant pour appréhender ce système où la notion d’interaction supplante la simple relation de cause à effet qui domine la science classique. À défaut de connaitre parfaitement les Bretts, il faut s’intéresser à la nature et la forme de l’interaction. L’optimisation de la gestion de ces populations indésirables passe par une évolution de notre façon de penser: on pourrait parler d’approche systémique. L’objectif pratique est d’apporter une méthodologie qui nous conduise à objectiver notre approche, d’apporter un outil d’aide à la décision qui nous permette d’adapter au mieux nos pratiques oenologiques tout en respectant un milieu vivant.En agriculture biologique, la prévention doit rester la règle prioritaire, les altérations microbiennes, les maladies en général ne doivent être considérées que comme le signal d’une situation de déséquilibre. La tâche reste délicate, car il faut trouver le juste compromis entre le « vivre avec la nature » en respectant la complexité des équilibres naturels sans rationalisation excessive et le « contrôle de la nature » qui peut facilement dériver vers son exploitation. Mot(s) clés libre(s) : oenologie, Brettanomyces, Phénols, vin
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Raisonner les pratiques œnologiques à l'échelle d'une union de caves coopératives
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
MONDIN Pascal
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES
ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Intrants oenologiques - exigences et enjeux
Pascal Mondin, Raisonner les pratiques œnologiques à l'échelle d'une union de caves coopératives
Etre directeur
technique d’une structure coopérative multi-site oblige à réfléchir sur la
façon de mettre en avant les avantages de chaque entité tout en ayant pour
objectif la qualité des vins, la rentabilité et la meilleure rémunération
possible pour l’adhérent.
Une vigne est plantée pour 35 ans, cela nous oblige
à travailler sur le long terme. Le marché du vin de Bordeaux connaît des
fluctuations de plus en plus rapprochées et ce avec des amplitudes plus
marquées.
Nous devons donc en même temps être très réactifs.
Ceci étant établi, nous nous devons aussi de
produire dans des conditions de respect de notre environnement et des gens qui
y vivent. Pour cela, nos structures travaillent au raisonnement des pratiques
culturales, des intrants phytosanitaires et oenologiques. Nous avons choisi le
référentiel Agri-confiance depuis plus de 10 ans. Nous adaptons donc l’utilisation
des itinéraires oenologiques en fonction des exigences du marché tout en tenant
compte des contraintes budgétaires et environnementales.
Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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Tanins et dérivés de levure, gadgets ou catalyseurs ?
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 09-03-2012
/ Canal-u.fr
MOINE Virginie
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VALORISER SON ELEVAGE POUR SIGNER SON VIN
10e matinée des Œnologues - Bordeaux
>> Autres aspects de l’élevage et expériences de vignerons
Virginie Moine, Tanins et dérivés de levure, gadgets et catalyseurs ?
L’élevage est toute la partie de la vie du vin située entre la fin des phases fermentaires et l’étape de préparation des vins à leur conditionnement. Historiquement, la barrique est passée d’un outil de transport à un véritable instrument d’élevage pour les grands vins.
Nous vivons depuis une quinzaine d’années une révolution avec consécutivement l’invention de dispositifs d’oxygénation des vins mais aussi et depuis peu l’autorisation légale d’utiliser des morceaux de bois à usage œnologique alternatifs à la barrique.
L’association des œnologues de Bordeaux a souhaité faire un point sur cette étape déterminante pour le style et le goût futur du vin. Déjà Pasteur écrivait : « C’est l’oxygène qui fait le vin ». Nous verrons donc l’influence de cet élément en association avec le bois. Mot(s) clés libre(s) : bois, élevage, oenologie, barrique, oxygénation, vin
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Vin de garde en Bordelais : pratique de l'oxygène, vinification et élevage
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 09-03-2012
/ Canal-u.fr
MITJAVILE François
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VALORISER SON ELEVAGE POUR SIGNER SON VIN
10e matinée des
Œnologues - Bordeaux
>> Débat : L’élevage comme signature : expériences croisées de terrain
François Mitjavile, Vin de garde en Bordelais: pratique de l'oxygène, vinification et élevage
L’élevage est toute la partie de la
vie du vin située entre la fin des phases fermentaires et l’étape de
préparation des vins à leur conditionnement. Historiquement, la barrique est
passée d’un outil de transport à un véritable instrument d’élevage pour les
grands vins.
Nous vivons depuis une quinzaine d’années une révolution avec consécutivement
l’invention de dispositifs d’oxygénation des vins mais aussi et depuis peu
l’autorisation légale d’utiliser des morceaux de bois à usage œnologique
alternatifs à la barrique.
L’association des œnologues de Bordeaux
a souhaité faire un point sur cette étape déterminante pour le style et le goût
futur du vin. Déjà Pasteur écrivait : « C’est l’oxygène qui fait le vin ». Nous
verrons donc l’influence de cet élément en association avec le bois. Mot(s) clés libre(s) : bois, élevage, oenologie, barrique, oxygénation, vin
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Le point sur les méthodes de quantification de Brettanomyces Bruxellensis
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 20-03-2015
/ Canal-u.fr
MAUPEU Julie
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13e Matinée des
Oenologues de Bordeaux / "Cherchons la p'tite Brett"
L'analyse microbiologique du vin est un outil indispensable dans la prévision des risques d'altération de la qualité organoleptique et visuelle du vin. Concernant plus précisément la lutte contre la production des phénols volatils, l’enjeu majeur est la détection précoce de Brettanomyces bruxellensis. Autrefois négligée, la microbiologie est aujourd’hui de plus en plus prise en compte par les producteurs, devenus plus réceptifs aux aspects microbiologiques de la vinification. L'analyse microbiologique peut donner deux types d’informations: le nombre de microorganismes présents et/ou leur nature avec plus ou moins de spécificité. Les deux informations couplées ne sont pas toujours nécessaires; le dénombrement peut parfois être suffisant. Cependant, dans la prévision des risques ou le diagnostic d'altération, il est souvent nécessaire de connaître la nature des micro-organismes et de les identifier au niveau de l'espèce. Les méthodes courantes font essentiellement appel à la microbiologie dite « classique » avec les méthodes microscopiques, très rapides, mais peu sensibles et sans possibilité d'identification. Parmi ces méthodes classiques, se retrouvent aussi les méthodes de culture sur milieu nutritif gélosé qui sont très utilisées du fait de leur faible coût et de leur seuil de détection très bas. Cependant, elles ont deux inconvénients majeurs: les délais de réponse en raison de la lenteur de développement des microorganismes et l'impossibilité de discriminer ces microorganismes au niveau de l’espèce. S'agissant de B. bruxellensis, sept jours au minimum sont nécessaires et les milieux de culture les plus discriminants permettent d’exclure les Saccharomyces, mais pas de nombreuses autres espèces de levures non-Saccharomyces. Le dénombrement spécifique de B. bruxellensis n'est donc pas possible de cette façon. D'un autre côté, les techniques microscopiques ou bien la cytométrie de flux, bien que séduisantes par leur rapidité manquent aussi de spécificité et quelquefois de sensibilité. Aucune de ces méthodes n'est donc compatible avec la réactivité et la spécificité parfois nécessaires pour intervenir afin de limiter un développement excessif de B. bruxellensis.Aujourd'hui, après des années d'utilisation la technique la mieux éprouvée, alliant spécificité vis-à-vis de l’espèce et rapidité (moins d’une journée) est la PCR quantitative (qPCR). Inscrite au Recueil international des méthodes d’analyses de l’OIV depuis 2011, la quantification de B. bruxellensis par q PCR se généralise dans les laboratoires d’analyses oenologiques. Récemment, de nouvelles techniques émergent ou sont améliorées comme la cytométrie de flux, rendue depuis peu spécifique de l’espèce B. bruxellensis en utilisant l'immunofluorescence. Cette technique semble présenter des qualités intéressantes quant au délai de réponse et à la spécificité vis-à-vis de B. bruxellensis, mais, pour le moment, elle en est encore au stade du lancement. Mot(s) clés libre(s) : oenologie, Brettanomyces, Phénols, Vin
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