Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
HIT Paris 2009 - Echanges sécurisés et automatisés de données médicales
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 28-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
VAILLE Laurent, CANAL Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Thème : Des organisation plus performantes. S'organiser pour le partage de données.Titre : Echanges sécurisés et automatisés entre le dossier patient de l’Institut Claudius Regaud et le Dossier commun régional de cancérologie du réseau Oncomip.Public cible : managers hospitaliers, ingénieurs, professionnels de santé, industrielsDans le cadre de sa participation au réseau Oncomip, l'institut Claudius Regaud s'est orienté vers une alimentation automatisée du DCC avec utilisation directe des informations de son dossier médical interne et mise en oeuvre d'un processus humain permettant de qualifier l'information transmise. De même, il intègre automatiquement dans son propre dossier médical, les informations détenues par la plate-forme régionale.Intervenants : Laurent Vaillé, Chef de Projet Informatique, réseau ONCOMIPDr. Pierre Canal, Directeur du Système d'Information Hospitalière de l'Institut Claudius RegaudSCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : communication, convergence, coordination, HIT Paris 2009, information, interopérabilité, organisation, référentiels, réseaux, santé, SI, TIC
|
Accéder à la ressource
|
|
EEMIS 2007 : Identification du patient dans les SI de santé
/ 17-07-2008
/ Canal-U - OAI Archive
UMVF - Université Médicale Virtuelle Francophone, Quantin Catherine
Voir le résumé
Voir le résumé
Il y a trois types de pays ou l'on identifie les patients : des pays ou l'identification nationale unique est prévue et organisée, des pays ou l'identification est de l'ordre de la région, des pays indécis comme les Etats Unis. Mot(s) clés libre(s) : Droit de la santé, Epidémiologie, Informatique médicale, Médecine du travail, Médecine légale
|
Accéder à la ressource
|
|
EEMIS 2007 : Méthodologie des systèmes d'information : la sécurité, CPS
/ 20-07-2007
/ Canal-U - OAI Archive
UMVF - Université Médicale Virtuelle Francophone
Voir le résumé
Voir le résumé
Méthodologie des systèmes d'information : la sécurité, CPS par D. Lepère. Mot(s) clés libre(s) : CORTE, EEMIS, sécurité, SI, Système d'information
|
Accéder à la ressource
|
|
/ VSP - Vidéo Sud Production, Région PACA, INRIA, Université de Nice Sophia Antipolis, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique
/ 31-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Towsley Don
Voir le résumé
Voir le résumé
Mot(s) clés libre(s) : bittorent, internet, network management, P2P, performance evaluation, swarming, traffic flow
|
Accéder à la ressource
|
|
IPM 2007. Histoire de la création d'UNIT, les réseaux OAI et ORI
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 29-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
TOUZOT Gilbert
Voir le résumé
Voir le résumé
Gilbert Touzot revient sur l'auto-appropriation des TICE pour la formation des enseignants Mot(s) clés libre(s) : Gilbert Touzot, IPM 2007, OAI, ORI, Strasbourg, TICE, UNIT
|
Accéder à la ressource
|
|
/ INRIA
/ 02-12-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Tjalsma Heiko
|
|
/ INRIA
/ 02-12-2009
/ Canal-U - OAI Archive
Tise Ellen, Moreira Joao
|
|
Codes correcteurs quantiques
/ INRIA (Institut national de recherche en informatique et automatique)
/ 04-04-2013
/ Canal-u.fr
TILLICH Jean-Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
Un ordinateur quantique tire parti de certains phénomènes quantiques de la matière. Arriver à construire un ordinateur de ce type, de taille même modeste, présente un enjeu certain. En effet, il a été montré qu'une telle machine permet d'effectuer certains calculs difficiles, comme factoriser de grands nombres qui sont hors de portée d'un ordinateur classique. Cela aurait notamment des répercussions importantes en cryptographie : tous les systèmes de chiffrement à clé publique qui sont utilisés actuellement seraient menacés par un tel ordinateur.
De petits calculateurs quantiques ont déjà été construits durant ces quinze dernières années. La difficulté fondamentale pour construire un ordinateur de taille suffisante pour factoriser les nombres entiers utilisés dans les protocoles cryptographiques actuels réside dans le fait que les bits quantiques sont beaucoup plus fragiles que les bits classiques. Ils subissent quelle que soit la technologie mise en oeuvre des phénomènes de décohérence qui altèrent très rapidement leur état. Ce phénomène peut être combattu en utilisant des codes correcteurs quantiques qui parviennent à compenser un tel phénomène. Pour l'instant, les solutions à l'étude reposent essentiellement sur une multitude d'étages constitués par de petits codes correcteurs quantiques.
Le domaine des codes correcteurs classiques a élaboré au fil du temps des solutions beaucoup plus performantes que la concaténation de petits codes, comme les turbo-codes ou les codes LDPC. Obtenir des versions quantiques satisfaisantes de ces familles de codes classiques permettrait d'avoir des familles de codes correcteurs quantiques qui sont à la fois raisonnablement simples à mettre en oeuvre et beaucoup plus performantes que les solutions actuelles. L'exposé fera un survol de cette question et expliquera notamment :
comment ça marche un turbo-code classique,
les problèmes spécifiques que pose la généralisation de ces familles de codes au cadre quantique,
quels sont les progrès récents sur cette question qui permettent d'être optimistes sur le succès d'une telle approche. Mot(s) clés libre(s) : quantique, ordinateur quantique, code correcteur quantique
|
Accéder à la ressource
|
|
FORMATIC - Paris 2011 : Le terminal tactile au lit du patient
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 08-02-2011
/ Canal-U - OAI Archive
THOURET Arnaud, BOUR Pierre
Voir le résumé
Voir le résumé
FORMATIC - Paris 2011 : Le terminal tactile au lit du patient. Du confort hôtelier à l’optimisation de l’information au lit des patients. Expérience aux Hôpitaux privés de Metz.Résumé : Les projets consistant à mettre en place des solutions de terminaux tactiles aux lits des patients pour l’amélioration du confort hôtelier sont de plus en plus nombreux. Ces solutions permettent une ouverture des patients sur l’extérieur, un lien avec les proches.Un autre enjeu clé de la mise en place de ces solutions est l’utilisation de ce terminal multimédia non seulement comme un outil de divertissement, mais surtout comme un outil d’information, de communication, et de saisie d’information clé par le personnel de soin et administratif de l’établissement dans un objectif d’amélioration de l’information donnée aux patients, la qualité et la traçabilité.Les exemples de gains d’efficacité d’un système d’information au lit du patient sont nombreux :. Saisie du reporting de bio nettoyage en chambre. Saisie du questionnaire de satisfaction. Prise de constante automatisée, circuit du médicament. Information santé fournit au patient en fonction du type de pathologie. Suivi qualitatif de la douleurDans ce contexte où ce type de projet apporte un gain d’efficacité à de nombreux département au sein d’un hôpital, comment fédérer l’ensemble des ressources autour de ce type de projet stratégique ? Comment réussir à mettre en place un modèle financier qui prend en compte l’ensemble des économies liés à ce type de projet ? Comment fédérer en interne les ressources, et quels moyens apportés pour la conduite du changement, clé de la réussite dans la mise en place de projet complexe ?Auteur : Arnaud THOURET (Directeur Général de TMM Software), Pierre BOUR (DSI Hôpitaux privés de Metz)Conférence enregistrée lors du congrès international FORMATIC PARIS 2011. Atelier TIC et pratiques innovantes au sein des structures de santé. Réalisation, production : Canalu UN/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : FORMATIC Paris 2011, hôpital, lit du patient, multimédia, SIH, technologies numériques, terminal tactile, TIC
|
Accéder à la ressource
|
|
Reconnaissance d’objets, une problématique résolue ? / Has object vision been solved?
/ INRIA (Institut national de recherche en informatique et automatique)
/ 10-07-2015
/ Canal-u.fr
THORPE Simon
Voir le résumé
Voir le résumé
The ability of humans to identify and categorize objects in complex
natural scenes has long been thought to be beyond the capacities of
artificial vision systems. However, recent progress in Deep Learning and
Convolutional Neural Networks has demonstrated that simple feed-forward
processing architectures composed of less than 10 layers of neurons can
achieve human levels of performance in object recognition tasks. It is
interesting to note that such processing architectures have a very
similar structure to the primate visual system. Could it be that we are
close to understanding how our brains recognize stimuli? I will argue
that the main problem with the current state of the art in computer
vision is that the learning procedures used are totally unrealistic.
Essentially, building such a system requires hundreds of millions of
training cycles of supervised learning. By contrast, our own visual
systems can learn new stimuli in a few tens of presentations. I will
suggest that more biologically realistic learning mechanisms based on
spike-based processing and Spike Time Dependent Plasticity (STDP) may be
much closer to the way our own visual systems operate, and allow our
visual systems to learn about objects in the visual world on the basis
of experience. Mot(s) clés libre(s) : neurosciences, information visuelle, extraction valeur des images
|
Accéder à la ressource
|
|