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L'étude de la matière à toutes les échelles
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 25-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
PILENI Marie
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L' étude de la matière à toutes les échelles est un sujet très vaste qui nécessiterait plusieurs cours. Aussi, nous limiterons notre propos en tentant de répondre à la question : " Un même assemblage d'éléments organiques ou inorganiques peut-il exister à différentes échelles et qu'elles sont leurs propriétés spécifiques ? " Dans ce dessein, nous choisirons une même entité différant par le nombre d'atomes qui la constitue et nous chercherons à montrer que ses propriétés physiques ou catalytiques changent en fonction de leur dimension. Dans un second temps, nous associerons cette entité à elle-même afin de faire croître cet assemblage de quelques Angstrom au millimètre. Nous montrerons que, dans certains cas, l'organisation de ces entités induit l'apparition des propriétés spécifiques différant de l'élément isolé. Nous traiterons tout d'abord les matériaux inorganiques puis organiques. Mot(s) clés libre(s) : adsorption, auto-organisation des particules, catalyse, enzyme, fluorescence, liaison chimique, matériau, matière organique, nanochimie, nanomatériaux, superparamagnétisme
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Redonner à voir. Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible / Michel Paysant
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
PAYSANT Michel
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Redonner à voir / Michel Paysant. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 1 : Les échelles du visible. Scénographies du visible, de l'invu et de l'invisible, 9 décembre 2010.OnLAB (le laboratoire d’œuvres nouvelles) imaginé par l’artiste Michel Paysant est un projet de recherche au confluent de l’art, de la science et des techniques. Ce projet a été l’objet d’une première présentation au Musée du Louvre de novembre 2009 à mai 2010. Il a permis entre autre la création d’œuvres d’art à l’échelle nanoscopique et microscopique. Réalisées en étroite collaboration avec le musée du Louvre (Département des Antiquités orientales) et 3 grands laboratoires de recherche scientifique (le Laboratoire de Photonique et de Nanostructures (LPN) du CNRS, le Laboratoire de Spectrométrie Physique (LSP) de l’Université Joseph Fourier de Grenoble et le C2RMF/Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France), ces micro- et nano-réalisations, inspirées de l’architecture et de l’histoire de l’art, représentent des sites archéologiques du Proche Orient (Persépolis, Babylone, Suse, …) et des copies de certains chefs d’œuvre du musée. Les originaux « réinventés » à des échelles inédites ont ainsi interrogé le public sur les limites de la connaissance d’une œuvre à l’échelle de la seule perception rétinienne. L’exposition OnLAB a relié pendant plus d’un an le travail des conservateurs de musée, des chercheurs et des laboratoires partenaires à celui d’un artiste contemporain qui aborde les pratiques collaboratives, l’archivage, la muséologie, le statut de l’œuvre d’art et l’apport des nouvelles technologies dans l’art. Entre vision ad oculum et vision ad instrumentum, OnLAB représente un musée de l’an 3000. Dans ses dimensions fictionnelle et fonctionnelle, l’installation conçue par l’artiste a tenté de scénographier et de révéler l’imperceptible, l’invu et l’invisible. Outre l’historique du projet, la présentation met l’accent sur la collaboration entre Giancarlo Faini, (LPN) et Michel Paysant pour la création des œuvres nano (croisement des paroles et des compétences entre l’atelier, le laboratoire et le musée, création des œuvres, construction évolutive du lieu d’exposition, …) > Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : art et sciences, arts visuels, création artistique (21e siècle), imagerie scientifique, nanosciences (influence), nanotechnologies (réception)
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Quantum fireflies - Lucioles quantiques / Ludwig
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LUDWIG
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Quantum fireflies - Lucioles quantiques / Ludwig. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 4 : Visions et visées artistiques sur les nanos. L’inscription d’une esthétique nanotechnologique dans le contexte scientifique et artistique, 9 décembre 2010.Déluge lumineux conçu pour l’occasion, Quantum fireflies nous projette dans un champ ouvert, quantique, parcouru d’ondes, d’interférences, de flashes et d’éclairs. Résultat d’un workshop mené avec les étudiants en Master et Doctorat d’arts plastiques, cette installation explore la relation de dualité onde-particule telle qu’elle est envisagée en physique contemporaine, en privilégiant une approche bottom-up-bottom-up-bottom-bottom-up-up-…, pour une traversée des échelles concevables et inconcevables. De fantomatiques lucioles évoluent dans l’espace chargé de particules de brume, tout en générant vagues, vibrations et tremblements. Les corps sont irradiés, déformés d’ombre - toute frontière évaporée. Les énergies à l’œuvre à échelle nanométrique se retrouvent ici projetées en plein air, matérialisant peut-être un nouveau champ de probabilités. Mot(s) clés libre(s) : art contemporain (21e siècle), arts visuels et sciences, imagerie scientifique, nanosciences (influence), perception spatiale
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Les nanotubes et leurs applications
/ UTLS - la suite
/ 10-01-2002
/ Canal-U - OAI Archive
LOISEAU Annick
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Jusqu'en 1985, les seules formes cristallisées connues de carbone pur étaient le graphite et le diamant. En 1985 trois chercheurs R. Smalley, R. Curl (Rice University, Houston, USA) et H. Kroto (University of Sussex, Grande Bretagne) ont découvert une nouvelle forme de carbone, la molécule de C60 constituée de 60 atomes de carbone répartis sur les sommets d'un polyèdre régulier constitué de facettes hexagonales et pentagonales (Figure 1). Cette molécule a été appelée fullerène et tire son nom de l'architecte américain R. Buckminster Fuller qui construisit la géode du pavillon de l'exposition universelle de Montréal qui a la même forme géométrique. Il a fallu cependant attendre 1990 pour que soit mis au point par D. Huffman et W. Krätschmer (Université de Heidelberg, Allemagne) un procédé de synthèse qui a permis d'obtenir des quantités macroscopiques de ces molécules et notamment des cristaux. De ce moment date réellement le démarrage des études physiques et chimiques sur les fullerènes. La découverte des nanotubes de carbone est quant à elle due à S. Iijima (NEC, Tsukuba, Japon) qui l'identifie par microscopie électronique dans un sous produit de synthèse des fullerènes. Un nanotube de carbone est un objet tubulaire de dimension nanométrique en diamètre et de longueur micrométrique. Il est constitué d'un feuillet de graphite enroulé sur lui même de façon à former un cylindre fermé aux deux extrémités par deux demi-fullerènes (Figure 1). Depuis, différentes méthodes de synthèse spécifiques ont été mises au point et ont permis l'étude en laboratoire de la structure et des propriétés physiques et chimiques de ces objets. Ces recherches ont pris un essor extraordinaire tant sont spectaculaires à la fois la structure de cet objet et ses propriétés dans différents domaines allant de la mécanique à la nanochimie en passant par la nanoélectronique et les effets de pointe sous champ électrique. Des applications sont même d'ores et déjà à l'ordre du jour. La conférence aura pour objet de présenter l'état actuel des recherches sur les nanotubes et les enjeux pour les développements futurs. Elle se structurera de la façon suivante. Après avoir présenté le nanotube dans la famille des structures du carbone, je décrirai sa structure et son identification structurale et chimique à l'aide de la microscopie électronique en transmission dont je rappellerai le principe de façon simple. Je ferais le point ensuite sur les différentes méthodes de synthèse des nanotubes et sur les modèles qui sont actuellement avancés pour expliquer les mécanismes de formation de ces objets de façon à discuter du problème d'un dispositif de synthèse contrôlée à grande échelle, qui est un des enjeux pour les développements futurs d'applications et l'utilisation du nanotube comme nanomatériau. La dernière partie de l'exposé sera consacré aux propriétés extraordinaires de ces objets de façon à montrer l'intérêt unique que ces objets présentent aussi bien pour les sciences fondamentales que pour les applications. Concernant le développement d'applications potentielles, je m'efforcerai de mettre en relief les défis à relever pour passer de l'objet de laboratoire au nanomatériau et à son utilisation à une échelle macroscopique. Mot(s) clés libre(s) : cristal de carbone, fullerène, graphite, nanoélectronique, nanomatériaux, nanotube, structure tubulaire
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Les nanotubes : matériaux du futur
/ Mission 2000 en France
/ 12-10-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LOISEAU Annick
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La conférence aura pour objet de présenter l'état actuel des recherches sur les nanotubes et les enjeux pour les développements futurs. Elle se structurera de la façon suivante. Après avoir présenté le nanotube dans la famille des structures du carbone, je décrirai sa structure et son identification structurale et chimique à l'aide de la microscopie électronique en transmission dont je rappellerai le principe de façon simple. Je ferais le point ensuite sur les différentes méthodes de synthèse des nanotubes et sur les modèles qui sont actuellement avancés pour expliquer les mécanismes de formation de ces objets de façon à discuter du problème d'un dispositif de synthèse contrôlée à grande échelle, qui est un des enjeux pour les développements futurs d'applications et l'utilisation du nanotube comme nanomatériau. La dernière partie de l'exposé sera consacré aux propriétés extraordinaires de ces objets de façon à montrer l'intérêt unique que ces objets présentent aussi bien pour les sciences fondamentales que pour les applications. Concernant le développement d'applications potentielles, je m'efforcerai de mettre en relief les défis à relever pour passer de l'objet de laboratoire au nanomatériau et à son utilisation à une échelle macroscopique. Mot(s) clés libre(s) : cristal de carbone, fullerène, graphite, nanoélectronique, nanomatériaux, nanotube, structure tubulaire
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Les nanotechnologies comme question esthétique / Sacha Loeve
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LOEVE Sacha
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Les nanotechnologies comme question esthétique / Sacha Loeve. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 4 : Visions et visées artistiques. L'inscription d'une esthétique nanotechnologique dans le contexte scientifique et artistique, 9 décembre 2010. Plutôt qu’un paradigme scientifique ou une nouvelle révolution industrielle, les nanotechnologies ne seraient-elles pas avant tout un phénomène esthétique ? Si cette hypothèse mérite d’être prise au sérieux, il convient toutefois de préciser ce que l’on entend par "esthétique". Afin d’éviter tout esthétisme, ou "esthétisation" dépolitisante des productions scientifiques et techniques, ce terme est pris dans son acception étymologique de théorie de la connaissance sensible (du grec, sensation).Ainsi la question du « nano-art » est-elle considérée comme symptôme d’une transformation plus profonde des relations de l’humain et de la matérialité : la montée d’un nouveau sensible induite par les nano-dispositifs à partir d’un fond a-sensible. Ce processus est caractérisé comme : 1) régime d’imagination distinct de la représentation ; 2) promotion d’un ensemble transmodal en soi ; 3) manière de sentir travaillée par une tension entre deux modalités affectives de valuation (Dewey) : « banalisation » et « étrangement » de notre rapport à la matérialité. Abordées comme question esthétique, les nanotechnologies se révèlent être une imagotechnologie où l’image participe d’un schématisme débordant la seule vision. Mot(s) clés libre(s) : arts visuels (20e siècle), connaissance (philosophie), esthétique (philosophie), imagerie scientifique, nanosciences (réception), nanotechnologies (représentation)
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Images des nanosciences et de leurs acteurs dans les médias / Sylvie Laval, Muriel Lefebvre
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LAVAL Sylvie, LEFEBVRE Muriel
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Entre visibilité et invisibilité : images des nanosciences et de leurs acteurs dans les médias / Sylvie Laval, Muriel Lefebvre. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 5 : Transpositions et interprétations. Du macro au nano et inversement : quelles transpositions et interprétations pour le scientifique, l'artiste et le public ?, 10 décembre 2010. La recherche sur les nanosciences est à l’interface entre sciences et technologies, entre chimie, physique et biologie. Se pose alors la question des représentations visuelles de ce domaine situé à un carrefour de plusieurs disciplines scientifiques. Cet univers pluriel en rupture avec les frontières traditionnelles interroge directement l’identité des chercheurs. Comment ces chercheurs apparaissent-ils dans l’imagerie des nanos ? Sur quels objets travaillent-ils ? Comment rendre visible au grand public les spécificités de leurs domaines et de leurs démarches ? Pour aborder ce questionnement, les intervenantes étudient un corpus d’images extraites respectivement de deux sources : le CNRS et la revue "La Recherche". Le Cnrs Images, rattaché à la Direction de la communication, a pour mission de témoigner de la recherche (notamment celle conduite au sein du CNRS) par la photographie et l’audiovisuel. Nous confronterons ce corpus aux représentations visuelles proposées par la revue "La Recherche" dans ses articles sur les nanosciences parus entre 2003 -date à laquelle la question des recherches en nanosciences commencent à être médiatisées- et 2010. Ces communications interrogent d'abord sur le type d’images fixes proposées (virtuelles ou non, photographiques ou non, schématiques ou non, etc.) et analyse ce que ces images représentent (s’attachent-elles aux matériaux, montrent-elles les innovations technologiques, un processus, etc.). Comment ces images donnent-elles à voir les chercheurs ? Dans un deuxième temps, la question posée est à quoi servent ces images ? Ont-elles une valeur scientifique, une valeur informative ou illustrative ? En convoquant l’approche de Bessy & Chateauraynaud, Sylvie Laval et Muriel Lefebvre questionnent le rôle de prise ou d’emprise sur l’objet scientifique. A travers ces questionnements, seront posés les partis pris des photographes et des institutions pour mettre en scène de manière visuelle mais également esthétique les nanosciences et les acteurs de la recherche en nous demandant si la photographie permet de poser les questions éthiques et sociétales associées aujourd’hui à toute recherche sur les nanosciences. Mot(s) clés libre(s) : imagerie scientifique (interprétation), nanosciences (représentation), sémiologie de l'image
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Nanobiologie : la micromanipulation des molécules
/ UTLS - la suite
/ 17-01-2002
/ Canal-U - OAI Archive
JULICHER Franck
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Si l'on regarde une cellule vivante sous le microscope optique, il y a à l'évidence de nombreux phénomènes dynamiques actifs comme : la division et les mouvements cellulaires, le transport d'objets dans la cellule ou encore la formation et disparition de structures intracellulaires comme les organelles. Des macromolécules complexes, qui jouent le rôle de petites machines à l'échelle moléculaire, sont à l'origine de ces phénomènes actifs. Ces molécules agissent en grand nombre dans une cellule vivante, invisible dans le microscope optique du fait de leur petite taille de l'ordre de quelques nanomètres. Les prototypes de ces molécules sont les moteurs moléculaires qui consomment un carburant chimique qu'ils transforment en travail mécanique. Dans les dix dernières années, des techniques de micromanipulation ont permis d'étudier les propriétés mécaniques de ces molécules à l'échelle d'une molécule unique. Des techniques de fluorescence et de pince optique permettent de mesurer des forces de l'ordre de piconewtons et des déplacements de quelques nanomètres. Il existe toute une diversité de moteurs moléculaires : des moteurs linéaires qui se déplacent le long de filaments rigides ; des moteurs rotatifs, qui tournent dans une membrane cellulaire ; des systèmes de moteurs qui génèrent des mouvements oscillatoires, permettant la nage de certains organismes unicellulaires. Enfin, il y a des molécules qui se déplacent le long de la double hélice de l'ADN, le porteur du code génétique. Ces molécules ouvrent l'hélice, dupliquent le code ou créent une copie sur un brin d'ARN. L'étude des propriétés physiques de molécules individuelles par des techniques de micromanipulation est importante pour mieux comprendre leur fonctionnement dans des structures biologiques complexes. Finalement, la fusion de structures artificielles nanotechnologiques avec des molécules individuelles biologiques permet de créer artificiellement des systèmes moléculaires actifs qui représentent un premier pas vers une technologie de moteurs moléculaires. Mot(s) clés libre(s) : macromolécule biologique, micromanipulation des molécules, microstructuration, moteur cellulaire, nanobiologie, nanotechnologies, structure artificielle
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Cafés des Sciences Nancy 2010 - Sciences de demain : jamais sans les nanos.
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 09-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
JOUBERT Olivier, MONTAIGNE François, LAMOUROUX Emmanuel
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Les Cafés des Sciences sont organisés par les Universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, l’INRIA et le BGA.Résumé : Le préfixe « nano » vient du grec « nannos » qui signifie nain. Quatre lettres qui suffisent à nous faire plonger dans l’infiniment petit : le milliardième de mètre. Pour se représenter l’échelle, la différence de taille entre un atome et une balle de tennis est la même qu’entre une balle de tennis et la terre. Matériaux ultra-résistants, nano-médicaments pour une efficacité plus ciblée, miniaturisation électronique sont autant de domaines d’application possibles des nanosciences et des nanotechnologies. Un défit intellectuel et économique de taille pour la recherche qui s’approprie petit à petit un monde où les lois de la physique classique sont bouleversées. Quel est l’état actuel de nos connaissances ? Les nanos vont-elles révolutionner le monde industriel ? quels sont les risques encourus ?Intervenants : Olivier Joubert, PhD, Cibles Thérapeutiques, Formulation et Expertise préclinique du Médicament Dr François Montaigne, Institut Jean LamourEmmanuel Lamouroux, maître de conférences, Structure et Réactivité des Systèmes Moléculaires Complexes (SRSMC)SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : Cafés des Sciences Nancy 2010, cible, expertise, matériaux, médicaments, miniaturisation, nanoscience, nanotechnologie, SRSMC
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Starfighter / Alain Josseau
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
JOSSEAU Alain
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Starfighter / Alain Josseau. In "Images & mirages @ nanosciences", colloque international organisé par le Laboratoire Interdisciplinaire Solidarités, Sociétés, Territoires (LISST) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, le Centre d'Élaboration de Matériaux et d'Études Structurales (CEMES) rattaché à l'Institut de Physique du CNRS et le Laboratoire de Physique et Chimie de Nano-Objets (LPCNO) de l'INSA Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail / La Fabrique Culturelle, 9-10 décembre 2010. Thématique 2 : Les outils du visible. Les microscopes et leur imagerie : les filtres du réel et du visible, 9 décembre 2010. De la même manière que les objets nanométriques ont un rapport d’échelle avec notre monde appréhensible (1/1 000 000 000 ème de mètre), les outils de visualisation embarqués dans les opérations de combat ont un rapport de 1/10.000ème avec le mètre. L’appréhension des formes aux travers d’interfaces électroniques est sujette à caution et l’artiste prendra pour exemple l’événement surnommé "Collateral murder" survenu dans le quartier de Al Amin à Bagdad le 12 juillet 2007.> Communication suivie d'un débat avec le public. Mot(s) clés libre(s) : art contemporain (XXIe siècle), arts visuels et sciences, création (esthétique), imagerie scientifique (réception), nanosciences (influence)
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