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Science Infos 13/01/2010
/ André DAUTIGNY, David ZAVAGLIA, BioTV
/ 13-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DAUTIGNY André, ZAVAGLIA David, FREIXANET Alain
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10e numéro de Science infos.Science Infos est le premier journal scientifique du web, produit et réalisé par des scientifiques de Bio-TV. Environnement : Bilan du sommet de Copenhague sur le climatZoologie : Le langage des singes Mones de CampbellMédecine : Le MarseillevirusEspaceL'appel à l'aide de la NASALa météorite du 21 novembre 2009Dossier : "Toucher l'Espace", une exposition sur les météorites à l'université Pierre et Marie Curie (Paris Jussieu).High-Tech : Une pile à base de papierInsolite : Le premier message de l'humanité aux extra-terrestres Mot(s) clés libre(s) : Copenhague, Marseillevirus, Météorites, Mones de Campbell, Nasa, pile
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Science Infos 07/12/2009
/ André DAUTIGNY, David ZAVAGLIA, BioTV
/ 07-12-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DAUTIGNY André, ZAVAGLIA David, FREIXANET Alain
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9e numéro de Science infos.Science Infos est le premier journal scientifique du web, produit et réalisé par des scientifiques de Bio-TV. Zoologie : Le génome du cheval vient d'être publié dans la revue ScienceEspaceNouveau sattelite SMOSDossier : La fête de la Science - UPMC - Le robot DomeoMédecine : INSERM Lille, équipe de Nathalie Cartier et Patrick Aubourg : Thérapie génique pour traiter l'adrénoleucodystrophieHigh-Tech : Jaguar : supercalculateur des laboratoires CrayInsolite : Urine humaine pour fertiliser les plants de tomates Mot(s) clés libre(s) : adrénoleucodystrophie, Cray, Génome du cheval, Jaguar, SMOS, thérapie génique
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Science Infos 02/11/2009
/ André DAUTIGNY, David ZAVAGLIA, BioTV
/ 06-07-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DAUTIGNY André, ZAVAGLIA David, FREIXANET Alain
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8e numéro de Science infos.Science Infos est le premier journal scientifique du web, produit et réalisé par des scientifiques de Bio-TV. Zoologie : Empreintes de Sauropodes géantsPlus ancien hominidé HardyEspaceConfirmation de la présence d'eau sur la luneTéléscope HubbleDossier : Le logiciel d'enseignement à distance "DistEns", Vientiane, Laos.Médecine : INSERM Lille, équipe de François Patou : greffe de cellule de pancréas pour traiter le diabète insulinodépendant.High-Tech : Japon, Honda, U3X , un véhicule a une seule roue.Insolite : Les anti-prix Nobel et le prix Ignobel. Mot(s) clés libre(s) : anti prix-Nobel, dinosaure géant, distens, eau sur la lune, enseignement à distance, François Patou, greffe de pancréas, Hardy, hominidés, hubble, Laos, U3X
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Science Infos 07/04/2010
/ André DAUTIGNY
/ 07-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DAUTIGNY André, FREIXANET Alain, ZAVAGLIA David
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13e numéro de Science Infos Science Infos est le premier journal scientifique du web, produit et réalisé par des scientifiques de Bio-TV. Zoologie : les caméléons, l'homme de Cro-MagnonEnvironnement : la protection des manchots du CapEspace : la météorite responsable de la disparition des dinosauresMédecine : la cigarette électroniqueDossier du jour : la semaine du cerveau - maladie de Parkinson - épilepsieHi-Tech : le logiciel Open Vibe ou comment contrôler un ordinateur par la penséeInsolite : l'attirance pour la musique chez les bébés Mot(s) clés libre(s) : Caméléon, cerveau, Cro Magnon, épilepsie, manchots du Cap, météorite, neuroanat, Parkinson, rythme musique bébés
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Heidegger, l’art, la technique (par Jean-François Courtine)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 03-02-2014
/ Canal-u.fr
COURTINE Jean-François
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Conférence de Jean-François CourtineHeidegger, l’art, la techniqueRésumé de la première séance(lundi 3 février 2014)Dans cette première séance, il s’est agi de montrer en quoi la pensée de Heidegger sur l'essence de la technique était redevable aux deux essais de Ernst Jünger sur la « totale Mobilmachung » (La Mobilisation totale 1930, traduit par Marc Buhot de Launay dans L'État universel, TEL, Gallimard, 1990) et sur la figure du travailleur (Le Travailleur, 1932, traduit par Julien Hervier, Christian Bourgois, 1989). Ces essais témoignent de l'acuité du regard de l'écrivain allemand sur le monde moderne dominé par la technique. Jünger – alors auteur connu pour ses célèbres récits de guerre, Les orages d'acier, Le Boqueteau 125 etc. – y met en lumière certains traits de la technique moderne qu’il analyse sous l’angle de la « mobilisation du monde par la figure du Travailleur ». Cette « figure » (all. die Gestalt) du « Travailleur » (all. der Arbeiter) est à concevoir comme un nouveau type humain propre à l'époque moderne. C’est un type universel qui ne saurait être rapporté à une classe sociale au sens où l’entendait Marx (et les courants de pensée qui s’en réclament auxquels Jünger s’opposait). La figure du « Travailleur » serait plutôt, ainsi que devait le remarquer Heidegger plus tard, « une sobre dénomination de ce que Nietzsche appelle le surhomme » [GA 90, p. 257]. Quoi qu’il en soit, pour Jünger, le formidable bouleversement qui s’était accompli avec la Grande Guerre exigeait un nouveau regard, une nouvelle manière de voir clair dans ce qui est. Avec la guerre industrielle et totale, c’est le « caractère de puissance inhérent à la technique » qui se serait dévoilé. Jünger aborde ce phénomène de la technique moderne en en excluant « tout élément économique ou progressiste » (Le Travailleur, p. 207). Ce processus dynamique de la « mobilisation totale » sous la figure du « Travailleur » a encore pour caractéristique d’échapper à tout contrôle et pour conséquence de transformer le monde d'un côté en un « gigantesque chantier perpétuel » et de l'autre en « un musée » (ibid. p.253). Dans cette perspective, une mobilité sans limites (ni dans le temps, ni dans l’espace) et un incessant affairement organisationnel créent « un mode de vie [qui] ressemble […] à une course mortelle où il faut bander toutes ses énergies pour ne pas rester sur le carreau » (ibid. p.223).Dans un deuxième temps, on s’est efforcé de montrer en quoi la réflexion heideggérienne sur la technique se distinguait de celle de Jünger [1]. On a ainsi rappelé que, mu par la relecture/réinterprétation de l’œuvre de Nietzsche et par ses analyse du "nihilisme" comme trait de l'époque contemporaine, Heidegger avait articulé certains aspects de la description de Jünger à sa propre conception de l'histoire de la métaphysique entendue comme « histoire de l'être » (Seinsgeschichte). Il a alors été question plus particulièrement d’un "concept" clé de la réflexion de Heidegger, celui de la Machenschaft – un mot qu’on rend d’ordinaire par "machination", "manœuvre", "manigance", mais qui désigne dans le contexte le "règne de l'efficience", de la "faisabilité". Le mot est formé à partir du verbe allemand machen "faire". La Machenschaft préfigure et annonce, dans le cheminement heideggérien, le fameux Gestell – "dispositif d'arraisonnement" ou "dispositif", autre « Grundwort » (terme fondamental) qui désigne, à partir de la fin des années 1940, « l'essence de la technique » (das Wesen der Technik). Dans cette dernière expression, il faut souligner que Wesen (essence) ne doit pas être compris de la manière abstraite et anhistorique qui est traditionnellement associée à la notion d’essence ou d’essentia. Au contraire, dans l’usage qu’en fait Heidegger, Wesen doit être entendu comme ce qui porte, de manière sous-jacente et immédiatement inapparente, le déploiement du phénomène auquel il est associé (ici la technique) et ce dans une temporalité spécifique, en l’occurrence celle de l'être, temporalité qui diffère de la conscience historique que les hommes en ont. Cette analyse de la Machenschaft a été esquissée en fin de séance à partir de la lecture du début du § 61 des Beiträge zur Philosophie (traduit en français récemment sous le titre: Apports à la Philosophie, cf. texte 1 de l'exemplier distribué). L'accent a été mis sur un paradoxe tout à fait surprenant : ce qui étend son règne sans partage aujourd'hui, à savoir le déferlement planétaire de la toute puissance de la technique (et les types de rapports au monde et à ce qui est qui en est induit), aurait son noyau germinatif dans une « décision » [2] de la philosophie grecque, décision qui se lit dans les œuvres de Platon et d’Aristote [3] réinterprétées en la circonstance (non sans une certaine violence herméneutique) par Heidegger. Cette « décision » aurait tenu dans le fait de penser la « nature » (en grec, la phusis, φύσις) à l'horizon de la technè (« le « savoir faire », « l’art » gr. τέχνη) comme « fabriquer », comme « faire humain ». Ce moment originaire de la Machenschaft aurait constitué le premier temps d’une Entmachtung de la phusis (comprendre « d’une "dépotentialisation" », « de l'évidement du pouvoir de la nature », de son « émasculation », pourrait-on presque dire en forçant le trait). Cette Entmachtung de la nature ne se peut comprendre que relativement à la conception de la phusis qui, selon Heidegger, prédominait chez les premiers penseurs grecs avant donc Platon et Aristote. Chez ces penseurs qualifiés significativement par Aristote de « physiologues », (oi phusiologoi = « ceux qui parlent de et à partir de la nature »), dominait la représentation d’une phusis sur-puissante (übermächtig) à ce point que toute pensée (noein, νοεῖν) et toute parole (logos, λόγος) étaient éprouvées comme appartenant au déploiement essentiel de la phusis (exemplier, texte n°3). En contrepoint, on peut aussi se faire une idée de la « surpuissance » de la nature en prenant la mesure de la violence et du pouvoir propres de la technè qui y répond en relisant avec les lunettes de Heidegger (et de Hölderlin – cf. GA 40, p.168, texte 5 de l'exemplier, v. aussi le cours sur « L’Ister » GA 53, été 1942) le premier Stasimon (« chant » qu’exécutait le chœur dans la Tragédie antique) de l’Antigone de Sophocle. Heidegger commente en effet « τὸ μηχανόεν τέχνας [...] ἔων » des v. 364-365 en s’appuyant sur ce terme de Machenschaft qu’il comprend en un sens « non péjoratif » comme ce « qui s’annonce à nous dans le mot grec τέχνη », lequel est un « savoir [Wissen] » qui « consiste à pouvoir “mettre-en-œuvre” l’être au titre d'un étant à chaque fois tel et tel ». À ce stade, la puissance ou le pouvoir violent de la τέχνη ne dégénère pas encore en puissance sans mesure, en violence déchainée ou en sauvagerie barbare. C’est en ce point que se noue le lien entre la réflexion sur la Machenschaft et la τέχνη d’un côté et la pensée heideggérienne de l'œuvre d'art de l’autre.Ce serait donc dans ce premier pas encore imperceptible, dans ce “premier commencement” que, de manière “destinale”, se serait amorcé ce qui ne se réalisera pleinement que bien plus tard comme accomplissement de la métaphysique : le règne de l’essence de la technique moderne. Cet empire de la Machenschaft, devenu celui du Gestell, s’atteste notamment dans le fait que, pour l'homme contemporain, il n'y a plus d'objets, autrement dit plus de choses qui lui font face (en allemand, Gegenstände). L’homme arraisonné par le Dispositif a affaire désormais à des choses qu’il a toujours déjà prises en vue comme fonds ou stock disponible (en allemand, Bestände) : « Ce qui se tient au sens du fonds disponible [Bestand] ne se tient plus en nous faisant face comme objet [Gegenstand] [GA 7, 17- Essais et conférences, « La question de la technique », p. 23]. La sur-puissance initiale de la nature, vidée de sa puissance propre (l’Entmachtung) est, au terme du processus, supplantée par la “puissance de sommation” du Gestell. Cette puissance n’est pas le fait de quelques uns (les « chefs » ou tous ceux qui croient pouvoir en contrôler le déchaînement). Le danger qui menace essentiellement l’homme est qu'il n’atteigne pas son propre (ni dans son agir, ni dans sa parole, ni dans rapport aux choses) et soit exproprié de son être.[1] On lit, dans le tome 90 (p.40) de la GA, intitulé Zu Jünger : « Le Travailleur d’Ernst Jünger constitue la métaphysique (élaborée à partir de la position de fond de la métaphysique nietzschéenne) du “communisme” impérial bien compris, c’est-à-dire débarrassé de toutes ses représentations “bourgeoises”».[2] Ici décision n’est pas à comprendre comme s’il s’agissait un acte réfléchi de la volonté éclairée par la raison. Dans la pensée de Heidegger, la “décision” dont il s’agit ici relève non de l’idiosyncrasie des philosophes, mais de ce qu’il appelle l’ouverture de la vérité de l’être, ouverture où se joue à chaque fois la différence entre l’étant et l’être et auxquels les philosophes ont à faire face.[3] Dans les Beiträge, Heidegger emploie l’expression de « philosophie platonico-aristotélicienne » (GA 65, p.211) Mot(s) clés libre(s) : technè, Essence (philosophie), efficience (philosophie), der Arbeiter, La Mobilisation totale, Machenschaft, Wesen, Gestell, Technik, phusis, arraisonnement (philosophie)
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Dürer, Schiller, Heidegger : l'œuvre d'art, la chose, le monde (par Jean-François Courtine)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 11-02-2014
/ Canal-u.fr
COURTINE Jean-François
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Dürer, Schiller, Heidegger : l'œuvre d'art, la chose, le mondeLa semaine dernière, après avoir envisagé dans son contexte (l’œuvre de Ernst Jünger : La mobilisation totale, Le travailleur), puis amorcé l’étude de quelques termes directeurs de la réflexion heideggérienne consacrée à « l’essence de la technique » : la Machenschaft comme l’empire du faire et de l’efficience, le Ge-stell, comme dispositif général de mise à disposition et d’exploitation de tout ce qui est, nous étudierons lors de la séance du mardi 11 février une autre entente et une autre accentuation de la tekhnè, au titre de l’art et de l’œuvre d’art.Sur cet autre version de la pro-duction (Hervor-bringen) et de la monstration (« épiphanie »), nous suivrons, à partir d’un séminaire (1936-1937) pour étudiants débutants consacré à Schiller (Les lettres sur l’éducation du genre humain), le statut ontologique de l’œuvre d’art, comme ouverture au monde et possible reconquête des choses appréhendées dans leur singularité et leur heccéité (haecceitas). Mot(s) clés libre(s) : ontologie, Friedrich von Schiller, heccéité, haecceitas, tekhnè, épiphanie, Albrecht Dürer, oeuvre d'art, phénoménologie, Martin Heidegger, art pictural
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Collège de France - Wilfrid Sellars : Science et métaphysique-Jean-Baptiste Rauzy
/ Damien POIVET, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 29-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COLLEGE DE FRANCE
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Wilfrid Sellars : Science et métaphysique28-29 mai 2009amphithéâtre Guillaume BudéCollège de France - 11, place Marcelin-Berthelot, 75005 Pariscolloque organisé par la chaire de Philosophie du Langage et de la Connaissance(Pr. Jacques Bouveresse) du Collège de France11h10 Jean-Baptiste Rauzy, Université de ProvenceLa conception citationnelle de l’abstraction Mot(s) clés libre(s) : abstraction, citations, philosophie du langage, Wilfrid Sellars
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/ Damien POIVET, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 29-05-2009
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Mot(s) clés libre(s) : expérience, théorie de la connaissance, Wilfrid Sellars
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/ Damien POIVET, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 28-05-2009
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Mot(s) clés libre(s) : empirisme, théorie de la connaissance, Wilfrid Sellars
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Collège de France - Wilfrid Sellars : Science et métaphysique - Michael Williams
/ Damien POIVET, Loïc QUENTIN, COLLEGE DE FRANCE, CERIMES
/ 28-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
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Wilfrid Sellars : Science et métaphysique28-29 mai 2009amphithéâtre Guillaume BudéCollège de France - 11, place Marcelin-Berthelot, 75005 Pariscolloque organisé par la chaire de Philosophie du Langage et de la Connaissance(Pr. Jacques Bouveresse) du Collège de France9h30 Michael Williams, Johns Hopkins University Inferentialism and Ontology Mot(s) clés libre(s) : philosophie du langage, pragmatisme, vérité, Wilfrid Sellars
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