Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Le moment de Camus
/ ENS/UOH
/ 12-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
WORMS Frédéric
Voir le résumé
Voir le résumé
A partir d’une question fondamentale sur la condition métaphysique de l’homme révolté (« l’absurde commande-t-il la mort ? ») cette leçon étudie, à un moment philosophique précis (celui de la deuxième guerre mondiale en France) à travers L’Homme révolté et les Lettres à un ami allemand, les trois tâches assignées par Camus à la philosophie : établir une métaphysique de l’Absurde, une morale de la Révolte, puis nous ramener à l’unité primitive masquée par l’absurde et la révolte. La dernière partie de la leçon met en évidence les trois types de pratique littéraire choisis par Camus pour traduire chacune de ces taches philosophiques. Mot(s) clés libre(s) : Albert Camus, L'homme révolté, Lettres à un ami allemand, métaphysique, philosophie
|
Accéder à la ressource
|
|
Giordano Bruno, "Le banquet des Cendres". Quatrième dialogue : critique des professeurs d'Oxford [Lecture] / Philippe Solal, François Cortès
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, CORTÈS François
Voir le résumé
Voir le résumé
Giordano Bruno, "Le banquet des Cendres". Quatrième dialogue : critique des professeurs d'Oxford [Lecture] / Philippe Solal, François Cortès. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014.Critique des professeurs d'Oxford : lecture d'un extrait du quatrième dialogue du Banquet des Cendres,
1584 (Éditions de l'éclat, 2006, pp. 97-106). "Le Banquet des cendres" est le compte rendu d'un échange entre Bruno et deux docteurs de l'université d'Oxford en Angleterre ayant eu lieu le mercredi des Cendres du 14 février 1584. Bruno l'a rédigé sous forme de dialogue où il tient lui-même le rôle de Teofilo qui explique ses thèses à trois interlocuteurs. Les quatre personnages mis en scène s'entretiennent des propos tenus à la cour Whitehall par le Nolain (Bruno), dont les idées nouvelles furent malmenées par les théologiens Torquato et Nundinio (John Underhill). Pour comprendre, il faut savoir que Bruno, le Nolain et Teofilo sont le même personnage. Mot(s) clés libre(s) : Bruno Giordano (1548-1600)
|
Accéder à la ressource
|
|
Giordano Bruno philosophe. Table ronde
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, BARRAU Aurélien
Voir le résumé
Voir le résumé
Giordano Bruno. Table ronde. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratoriode l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du
Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session II : Giordano Bruno philosophe, 10 octobre 2014.Table ronde avec Aurélien Barrau, Philippe Solal et Tristan
Dagron autour des thèmes suivants : l'idée de mondes multiples et l'idée d'univers chez Giordano Bruno, macrocosme, microcosme et cosmos « ordonné », le scepticisme brunien, une représentation cosmogonique à l’aune de la philosophie, l’esthétique de Rabelais et la vision de Giordano Bruno : une culture commune au XVIe siècle, transmission et influence de la pensée brunienne sur la philosophie du XVIIe au XIXe, la théorie des cordes : pratique scientifique et rationalité... Mot(s) clés libre(s) : philosophie de la Renaissance, philosophie et religion, rapport au savoir, Bruno Giordano (1548-1600)
|
Accéder à la ressource
|
|
Giordano Bruno (1548-1600) : clôture / Alain Blanchard, Philippe Solal
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
SOLAL Philippe, BLANCHARD Alain
Voir le résumé
Voir le résumé
Giordano Bruno (1548-1600) : clôture / Alain Blanchard, Philippe Solal. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014. Mot(s) clés libre(s) : cosmologie, humanisme de la Renaissance, Bruno Giordano (1548-1600)
|
Accéder à la ressource
|
|
Giordano Bruno. "Le banquet des cendres" (1584) : À celui qui n'est pas content, exergue [Lecture] / Michel Segonzac
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
SEGONZAC Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
Giordano Bruno. "Le banquet des cendres" (1584) : À celui qui n'est pas
content, exergue [Lecture] / Michel Segonzac. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de
Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session I : Giordano Bruno, figure de l'errance, 9 octobre 2014.Lecture de l'exergue du Banquet des Cendres, de Giordano Bruno publié en 1584 (Paris, Éditions de l'éclat, 2006). Le Banquet des cendres est le compte rendu d'un échange entre Bruno et deux docteurs de l'université d'Oxford en Angleterre ayant eu lieu le mercredi des Cendres du 14 février 1584.
Bruno l'a rédigé sous forme de dialogue où il tient lui-même le rôle de Teofilo
qui explique ses thèses à trois interlocuteurs.
Les quatre personnages mis en scène s'entretiennent des propos tenus à
la cour Whitehall par le Nolain (Bruno), dont les idées nouvelles
furent malmenées
par les théologiens Torquato et Nundinio (John Underhill). Pour
comprendre, il faut savoir que
Bruno, le Nolain et Teofilo sont le même personnage. Mot(s) clés libre(s) : Bruno Giordano (1548-1600)
|
Accéder à la ressource
|
|
Giordano Bruno : phrases prononcées pendant son procès [Lecture] / Michel Segonzac
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 11-10-2014
/ Canal-u.fr
SEGONZAC Michel
Voir le résumé
Voir le résumé
Giordano Bruno : phrases prononcées pendant son procès [Lecture] / Michel Segonzac. In "Journées Giordano Bruno", organisées par l'Université de Toulouse en partenariat avec le Muséum de Toulouse, l’Institut Universitaire de France et Il Laboratorio
de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, sous l'égide du Consulat Général d'Italie et avec le soutien de l'Institut culturel italien de Marseille. Toulouse, 9-11 octobre 2014. Session III : Giordano Bruno et la science, 11 octobre 2014.Extraits de Giordano Bruno, Œuvres
complètes, Documents I Le procès, Paris, Éditions Les Belles Lettres, 2000. Mot(s) clés libre(s) : Bruno Giordano (1548-1600)
|
Accéder à la ressource
|
|
Adieu à l'esthétique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 27-12-2000
/ Canal-U - OAI Archive
SCHAEFFER Jean-Marie
Voir le résumé
Voir le résumé
La relation à l'esthétique se présente dans le cadre de ce que l'on considère généralement comme la philosophie de l'esprit. Il faut préciser que c'est une philosophie de « l'esprit naturalisé » qui considère que l'esprit humain, avec toute ses caractéristiques, la conscience, les articulations cognitives et les normes de conduites, s'inscrit dans la continuité de l'Histoire. Histoire qui est celle de l'évolution du vivant sur la planète Terre. C'est une philosophie pour laquelle l'esprit lui-même est une caractéristique biologique de l'être humain. C'est ce qu'on désigne par le terme « naturalisation ». Il faut préciser que cette conception est loin d'être acceptée par tous les philosophes. Beaucoup considèrent qu'elle a été totalement réfutée par la phénoménologie. Toutefois, c'est ce cadre qui est ici utilisé pour l'analyse de la relation à l'esthétique en ce qu'elle se réalise comme une conduite humaine. Et pour étudier une conduite humaine, il faut utiliser tout autant les outils de la psychologie cognitive, de l'éthologie, de l'histoire comparée des cultures, de l'ethnologie, que des travaux strictement philosophiques. Il s'agira donc d'une approche parcourant des horizons divers. Mot(s) clés libre(s) : art, esthétique, philosophie, philosophie analytique, psychologie de l'art
|
Accéder à la ressource
|
|
Chaos, imprédictibilité, hasard
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 05-08-2000
/ Canal-U - OAI Archive
RUELLE David
Voir le résumé
Voir le résumé
Le monde qui nous entoure paraît souvent imprévisible, plein de désordre et de hasard. Une partie de cette complexité du monde est maintenant devenue scientifiquement compréhensible grâce à la théorie du chaos déterministe. Cette théorie analyse quantitativement les limites à la prédictibilité d'une l'évolution temporelle déterministe : une faible incertitude initiale donne lieu dans certains cas à une incertitude croissante dans les prévisions, et cette incertitude devient inacceptable après un temps plus ou moins long. On comprend ainsi comment le hasard s'introduit inévitablement dans notre description du monde. L'exemple des prévisions météorologiques est à cet égard le plus frappant. Nous verrons comment les idées à ce sujet évoluent de Sénèque à Poincaré, puis nous discuterons comment le battement d'ailes du papillon de Lorenz peut affecter la météo, donnant lieu à des ouragans dévastateurs des milliers de kilomètres plus loin. Ainsi, la notion de chaos déterministe contribue non seulement à notre appréciation pratique des incertitudes du monde qui nous entoure, mais encore à la conceptualisation philosophique de ce que nous appelons cause et de ce que nous appelons hasard. Mot(s) clés libre(s) : causalité, effet papillon, équation d’évolution déterministe, hasard, Henri Poincaré, incertitude, mécanique quantique, physique mathématique, système déterministe, théorie du chaos
|
Accéder à la ressource
|
|
La découverte de la durée dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience, ou Bergson et la valse à trois temps (par Camille Riquier)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 25-03-2014
/ Canal-u.fr
RIQUIER Camille
Voir le résumé
Voir le résumé
La découverte de la durée dans l'Essai sur les données immédiates de la conscience de Bergson. Mot(s) clés libre(s) : espace-temps, chronologie, perception du temps, Temps vécu, durée, conscience de soi (philosophie), Gilles Deleuze, contribution au concept de temps, perception spatiale, spatialisation
|
Accéder à la ressource
|
|
2- L'art de la ville : Corps de/dans la ville / Jean-Luc NANCY
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 06-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
NANCY Jean-Luc
Voir le résumé
Voir le résumé
"Corps de/dans la ville". Jean-Luc NANCY. In colloque international: "L'Art de la Ville / The Art of the City" organisé par l'équipe Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), de l'Université de Toulouse 2-Le Mirail, 6 -8 novembre 2008.Dans un style à la fois érudit et ludique, prenant au pied de la lettre le thème "l'Art de la ville" et refusant l'idée de ville limitée à ses fonctions, le philosophe Jean-Luc Nancy présente une vision de la ville en tant que créatrice d'elle même, de sa propre œuvre, tout entièrement faite de son propre mouvement. D'un mouvement de prolifération indéfinie, de dispersion permanente, d'éloignement et de rapprochement mais aussi constitutive, tout autant que constituée, de la circulation et du mouvement des passants -"acteurs et spectateurs à la fois"- de la rencontre, "du rendez-vous qui est peut-être l'œuvre majeure de la ville".Pour Jean-Luc Nancy, "il y a un art de la ville. C'est un art du corps en mouvement, du sens prochain toujours renvoyé au lointain, un art d'une certaine insignifiance faisant réseau de signes -des signes qui ne sont pas des signes signifiants, pas tout à fait signifiants- un art du croisement, du frôlement, des pas, des passages, des directions et des errances".Aux confins du socio-politique et de l'histoire urbaine, empruntant à Duchamp, à Blanchot, à Nietzsche et aux situationnistes, convoquant éthymologie et linguistique, le philosophe accorde à la ville la possibilité d'offrir du sens commun, du renvoi entre les sujets et la ville : "pour qu’il y ait ville, il faut qu’il y ait véritablement l’invention du mode infini de circulation du sens qui est au fond ce qu'on appelle le monde moderne". Au tour ou au détour de cours et de boulevards, de flânerie en promenade, de trajectoires et de passages surtout, "être dans la ville c'est être "en ville" comme Heidegger dit « au monde »". Jean-Luc Nancy interroge aussi sur la capacité de la ville d'aujourd'hui à "rendre possible l'ensemble et l'avec", sur l'hypothèse de la fin de la ville à offrir la possibilité d'un "art du vivre ensemble". Extrait du texte de présentation du colloqueCe colloque s'intéressera à la manière dont l'art (la littérature, l'architecture, la peinture, la photographie, le cinéma...), à travers toutes les époques, aborde la ville. Sans vouloir cadastrer, archiver ou comprendre un lieu qui demeure dans le mouvement, nous envisagerons le renouvellement de la démarche artistique au contact du paysage urbain « [c]ircumambulate the city », disait Melville.Conscient de ses limites, l'art se réinvente pour approcher un lieu où l'évidence du concret se mêle aux dérives imaginaires. Il n'évoque pas seulement la ville en termes de cadre, de construction sociale ou symbolique, ou de surface sémiotique, saturée de textes et d'images, mais il accorde ses doutes et ses modulations aux traces et aux transmutations urbaines. Il semble ainsi esquisser une « poéthique » (M. Deguy) de la ville. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie urbaine, espace urbain, flânerie, vie urbaine, ville (philosophie), ville (thèmes et motifs)
|
Accéder à la ressource
|
|