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La recherche scientifique : confiance et vérité (par Bernard Michaux)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 25-11-2014
/ Canal-u.fr
MICHAUX Bernard
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Recherche scientifique : confiance et vérité.Posons que les sciences pensent, autrement dit qu’elles assument entièrement les questions philosophiques de la recherche de la vérité. Et ceci par la double construction de dispositifs expérimentaux et de cadres théoriques pour interpréter les faits ainsi produits.Or la recherche scientifique est une activité sociale mondialisée avec ses unités de laboratoires, ses réseaux d’information, ses institutions de publication, ses personnels spécialisés et hiérarchisés. La crédibilité, la fiabilité en sont le ciment. Cela passe par des techniques de communication qui tendent à obtenir la confiance.Comment peuvent être ainsi liées dans une même activité recherche de la vérité et rhétorique de la confiance ?Entre les formes du jugement on distingue le juger vrai et le tenir pour vrai. Il faut pourtant remettre en question cette distinction et analyser par quelles procédures, par quelles normes, quelles règles de savoir-faire et de faire-savoir, la confiance prend effectivement part à la recherche collective de la connaissance vraie.Bernard MICHAUX Mot(s) clés libre(s) : recherche fondamentale, culture scientifique, publications scientifiques, vérité (épistémologie), diffusion des résultats de la recherche, connaissance vraie, crédibilité, laboratoires de recherche, collectifs de recherche
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Synthèse des ateliers du colloque « Histoire et littérature » 1/4
/ Christian Bailly, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, École Normale Supérieure de Lyon, Martine Watrelot
/ 28-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MERCIER-FAIVRE Anne-Marie
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Intervention pour la synthèse des ateliers A2et B2 Littérature et représentation du social ; Lire le Moyen Age ; Au-delà de la représentation ; Politiques du patrimoine Mot(s) clés libre(s) : Littérature et représentation du social ; lire le Moyen Age ; au-delà de la représentation ; politiques du patrimoine
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Après la Cop 21 : quels acteurs pour une transition juste ?
/ FMSH Production
/ 07-03-2016
/ Canal-u.fr
MEDA Dominique, MORENA Edouard, PLEYERS Geoffrey, ROSEMBERG Anabella, POCHET Philippe
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Conférence organisée par la Chaire "reconversion écologique, travail, emploi et politiques sociales" (FMSH/Dauphine), le Laboratoire de Changement Social et Politique (dont les travaux portent sur les phénomènes sociaux et politiques envisagés dans leurs dimensions sociologique, philosophique, historique et esthétique et dans leurs déploiements internationaux et genrés) et l'Institut Veblen, avec le soutien de la Fondation de l'Ecologie Politique-FEP
Nos sociétés sont confrontées à une possibilité radicalement nouvelle : laisser notre planète devenir inhabitable, à moins de mettre en œuvre les moyens permettant de l’éviter. La prise de conscience que le rythme de croissance des sociétés occidentales est insoutenable, qu’elles doivent changer de cap et leurs membres de comportements, et plus généralement que nos modes de production et de consommation doivent – dans un délai relativement court d’une vingtaine d’années – être profondément revus, commence à se développer.
Comment de tels changements peuvent-ils s’opérer ?
Alerter sur le « péril climatique » ne suffira pas : la peur paralyse davantage qu’elle n’incite à agir. Il faut proposer un récit commun positif, qui mobilise le principe de justice sociale. Car les crises écologiques renforcent les inégalités, tout comme les inégalités accroissent les dégâts environnementaux.
Avec les interventions de :
Edouard Morena : chercheur, University of London Institute in Paris,
Philippe Pochet : directeur de l'Institut syndical européen,
Anabella Rosemberg : CSI.
Discussion : Geoffrey Pleyers (FNRS)
Mots-clés associés :
écologie, COP21, transition écologique
Sociologie Mot(s) clés libre(s) : sociologie, écologie, développement durable, COP21, transition écologique
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Des rapports littérature/histoire à l’École au moment de l’instauration de l’histoire des arts
/ Christian Bailly, ENS de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Martine Watrelot
/ 27-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MASSOL Jean-François
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Intervention pour la table ronde : « Histoire et Littérature de l’école au lycée : différences et complémentarités » Mot(s) clés libre(s) : collège, compétences, école primaire, histoire littéraire, programmes 2008, Socle commun
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Anti-humanisme et anarchie chez Reiner Schürmann / Alberto Martinengo
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 24-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MARTINENGO Alberto
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Anti-humanisme et anarchie chez Reiner Schürmann / Alberto MARTINENGO. In "L'Impersonnel", colloque international organisé par le Laboratoire ERRAPHIS (Equipe de Recherches sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs) et EuroPhilosophie dans le cadre du programme ANR “Subjectivité et aliénation. Université Toulouse II-Le Mirail, 24-25 juin 2010. Mot(s) clés libre(s) : Martin Heidegger (1889-1976), personne (philosophie), Reiner Schürmann (1941-1993), subjectivité (philosophie)
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La vérité des autres : épistémologie de la connaissance comparée / Patrice Maniglier
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 25-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MANIGLIER Patrice
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La vérité des autres : épistémologie de la connaissance comparée / Patrice MANIGLIER. In "L'Impersonnel", colloque international organisé par le Laboratoire ERRAPHIS (Equipe de Recherches sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs) et EuroPhilosophie dans le cadre du programme ANR “Subjectivité et aliénation. Université Toulouse II-Le Mirail, 24-25 juin 2010. Mot(s) clés libre(s) : cogito (philosophie), doute (philosophie), philosophie cartésienne, théorie de la connaissance
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Les limites de la connaissance physique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 26-07-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LEVY-LEBLOND Jean-Marc
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Il n'est pas indifférent que dans ce cycle de conférences sur "tous les savoirs", la question des limites de la connaissance n'ait été posée qu'à la physique. C'est sans doute son statut implicite de science modèle qui lui vaut cet honneur. C'est aussi que, depuis le début du vingtième siècle, la physique s'est à elle-même posé la question. " L'homme devrait garder son humilité devant la nature puisque la précision avec laquelle il peut l'observer rencontre des limitations intrinsèques. " Ainsi l'Encyclopædia Britannica conclut-elle son article sur le "principe d'incertitude" de Heisenberg. De fait, la révolution quantique a donné lieu à d'abondantes exégèses sur ce thème : l'impossibilité de mesurer à la fois la position et la vitesse des corpuscules signalerait une limite absolue de nos connaissances. La Nature elle-même refuserait de se laisser dévoiler, et notre science la plus avancée buterait ainsi sur des frontières infranchissables. L'impossibilité de dépasser la vitesse de la lumière, mise en évidence par Einstein, a été interprétée dans la même veine : nous ne pouvons savoir ce qui s'est passé sur le Soleil durant les huit dernières minutes, faute qu'aucun signal ne puisse nous en prévenir. Mais avec un recul de quelques décennies, cette conception résignée, traduite par des vocables qui paraissent aujourd'hui pour le moins inadaptés (relativité, incertitudes), a perdu sa pertinence. Loin d'imposer des bornes à notre savoir, ces découvertes ont au contraire permis à notre compréhension de considérables progrès, en réorientant nos conceptualisations et nos interrogations. Elles ont montré l'inadéquation au réel de nos formulations antérieures. Si certaines questions (" Que se passait-il sur le Soleil il y a deux minutes ? ", " Où est l'électron et à quelle vitesse va-t-il ? ") n'admettent pas de réponses, c'est qu'elles sont dépourvues de pertinence. De même, la question " Qu'y a-t-il sur la Terre à 30.000 kilomètres au Sud de Paris ? " est-elle rendue caduque par la rotondité de la Terre et la connaissance de sa circonférence (40.000 kilomètres) ; dira-t-on pour autant que cette découverte impose une limitation à la géographie ?Les mutations théoriques de la physique du vingtième siècle n'ont nullement découvert des limites intrinsèques à notre connaissance scientifique, mais, bien au contraire, lui ont ouvert de nouveaux espaces. En témoigne l'approfondissement considérable de notre maîtrise, intellectuelle mais aussi matérielle, du monde quantique. Mot(s) clés libre(s) : connaissance scientifique, épistémologie, philosophie des sciences, physique, théorie quantique
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Enseigner en classe virtuelle
/ 11-01-2016
/ Canal-u.fr
LEMAIRE Patrick
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Ce FOCUS TICE est dédié aux pratiques liées à l’utilisation d’une «salle virtuelle » dans un cadre pédagogique. Il se focalise plus particulièrement sur les points suivants :
Quelles sont les erreurs à ne pas commettre ?
Quelles sont les difficultés et les précautions à prendre ?
Découverte des atouts et des limites de cet outil de télé-présence. Mot(s) clés libre(s) : enseignement à distance, classes virtuelles, méthode d'apprentissage, méthode d'enseignement, Pédagogie Universitaire Numérique, télé-présence
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Petit retour aux sources de la connaissance
/ 05-02-2016
/ Canal-u.fr
LÉCUYER Roger
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On a longtemps cru que la représentation des connaissances supposait le langage et ne commençait donc que vers la fin de la seconde année. On a ensuite cru que la représentation commençait à partir du moment où un objet disparu était recherché, vers la fin de la première année. On sait maintenant que des propriétés physiques d’un objet disparu peuvent être prises en compte avant trois mois.
Si des savoirs peuvent ainsi exister à un âge aussi précoce, il faut trouver une explication à leur origine : quelques connaissances de base, sur lesquelles les autres peuvent se fonder, font-elle parties du patrimoine génétique, ou bien les bébés peuvent- ils appendre aussi tôt et aussi vite ? Si oui, comment ?
La conférence de Roger Lécuyer opposera ces deux hypothèses contradictoires. Mot(s) clés libre(s) : développement de l'enfant, patrimoine génétique, développement de la connaissance
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Le traitement du temps en automatique (cycle de cours et séminaires du collège de France en extérieur)
/ Région PACA, UNS, CNRS - Centre National de la Recherche Scientifique, INRIA (Institut national de recherche en informatique et automatique)
/ 15-01-2014
/ Canal-u.fr
Leblond Juliette
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Ce séminaire est associé au 1er cours à l'extérieur de Gérard Berry pour
le collège de France intitulé "Esterel et SCADE, de la recherche à
l'industrie : la vision labo"
Nous discuterons de différents modèles et traitement de problèmes d'automatique dans lesquels le temps joue un rôle essentiel. Après quelques rappels historiques, nous introduirons les modèles mathématiques classiques des systèmes dynamiques, qui s'expriment par des relations entre le temps continu ou discret, les entrées du système en fonction du temps, ses sorties, et son état interne. Le traitement technique de ces quantités dépend d'hypothèses sur le comportement en espace et en temps du modèle considéré. Les descriptions dites externes relient directement la sortie du système à ses entrées et au temps, tandis que les représentations internes font revenir aussi son état. Comme en physique, ce sont souvent des équations différentielles ordinaires (EDO) ou des équations aux dérivées partielles (EDP), avec éventuellement la présence de retard. Dans le cas linéaire, la description externe est une relation de convolution netre l'netrée et la sortie.
Nous verrons comment ces modèles temporels se prêtent à la formulation de propriétés de causalité, d'invariance dans le temps, de linéarité, de stabilité, de commandabilité, d'observabilité et d'optimalité en insistant sur des exemples linéaires et stationnaires : comment garder son cap en boucle ouverte ou fermée, comment planifier des trajectoires en temps minimal, comment stabiliser des structures fléxibles. Pour faire le lien avec le séminaire suivant , nous reformulerons ces questions en l'absence du temps, caché par diverses transformations temps-fréquence. Mot(s) clés libre(s) : invariance
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