Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Émile Benveniste et Jean-Luc Nancy : la personne et la présence temporelle / Marc Derycke
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 25-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DERYCKE Marc
Voir le résumé
Voir le résumé
Émile Benveniste et Jean-Luc Nancy : la personne et la présence temporelle / Marc DERYCKE. In "L'Impersonnel", colloque international organisé par le Laboratoire ERRAPHIS (Équipe de Recherches sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs) et EuroPhilosophie dans le cadre du programme ANR “Subjectivité et aliénation. Université Toulouse II-Le Mirail, 24-25 juin 2010. Mot(s) clés libre(s) : conscience de soi (philosophie), Emile Benveniste (1902-1976), Francis Ponge (1899-1988), herméneutique, identité (philosophie), Jacques Lacan (1901-1981), sujet (psychologie)
|
Accéder à la ressource
|
|
Les biotechnologies
/ UTLS - la suite
/ 22-01-2004
/ Canal-U - OAI Archive
DEBRU Claude
Voir le résumé
Voir le résumé
Les biotechnologies actuelles sont l'objet d'un vif débat de société. On examinera les fondements scientifiques et philosophiques des biotechnologies, fondements qui restent mal connus du public comme reste mal connu l'esprit des développements actuels des sciences de la vie. Les biotechnologies ne constituent pas une anti-nature ou une contre-nature, mais une nature possible et réalisable. Les biotechnologies actuelles, qui ont été largement anticipées tout au long du vingtième siècle, résultent de la confluence des pratiques d'amélioration des espèces végétales et animales, phytotechnie et zootechnie et de transformation des produits agricoles (pratiques extrêmement anciennes) d'une part, et d'autre part des développements de la biologie moléculaire des années soixante qui ont mis en évidence les outils cellulaires (enzymes de restriction, trasncriptase réverse, et autres enzymes) utilisés par la suite dans les biotechnologies. Les biotechnologies sont rendues possibles par un certain nombre de propriétés de la matière vivante, au premier rang desquelles la malléabilité et la stabilité. Elles ne font qu'étendre le "jeu des possibles" et le "bricolage moléculaire" , que François Jacob a établis comme caractéristiques essentielles de l'évolution biologique. Les biotechnologies représentent, comme l'a dit Manfred Eigen, une "évolution dirigée" reposant sur les mêmes mécanismes que ceux de l'évolution biologique, reproduite et prolongée in vitro. Sur le plan philosophique, les biotechnologies sont fondées sur la réalisabilité du possible, caractère sur lequel les philosophes ont souvent insisté, et sur la proximité entre nature et technique, qu'ils ont également très souvent reconnue. Certain des plus notables des philosophes récents qui ont étudié les techniques ont insisté sur leur caractère humain. En conclusion, les biotechnologies contemporaines en expansion posent certains problèmes qui ne pourront être résolus que par la discussion rationnelle fondée sur une information rigoureuse et non sur des jugements a priori. A cet égard, il convient de souligner que la philosophie ne va pas nécessairement dans le sens de l'opinion quelle qu'elle soit. Mot(s) clés libre(s) : biotechnologie, diversité, évolution dirigée, pratiques
|
Accéder à la ressource
|
|
La nature est-elle impersonnelle ? Une typologie des singularités chez Deleuze / Didier Debaise
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 25-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
DEBAISE Didier
Voir le résumé
Voir le résumé
Deleuze : la nature est-elle impersonnelle ? Une typologie des singularités chez Deleuze / Didier DEBAISE. In "L'Impersonnel", colloque international organisé par le Laboratoire ERRAPHIS (Equipe de Recherches sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs) et EuroPhilosophie dans le cadre du programme ANR “Subjectivité et aliénation. Université Toulouse II-Le Mirail, 24-25 juin 2010. Mot(s) clés libre(s) : Gilles Deleuze (1925-1995), monadologie, singularité (métaphysique), sujet (philosophie)
|
Accéder à la ressource
|
|
Débat entre auteures d’essai historique et de fiction romanesque (part-two)
/ Christian Bailly, ENS de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Martine Watrelot
/ 27-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
De Kerangal Maylis
Voir le résumé
Voir le résumé
Maylis de Kerangal (auteure de Naissance d’un pont) et Michelle Perrot (auteure de Histoire de chambres) débattent des relations entre histoire et littérature telles qu’elles se nouent dans l’écriture professionnelle. Mot(s) clés libre(s) : citations littéraires, écriture, essai, histoire des femmes, histoire du temps présent, modernité, roman, Travail de documentation
|
Accéder à la ressource
|
|
Jean Dausset: l'homme est unique
/ Jean-Louis BERDOT, Studio Vidéo UNIVERSITE PARIS 7 DENIS-DIDEROT
/ 23-02-2004
/ Canal-U - OAI Archive
DAUSSET Jean
Voir le résumé
Voir le résumé
Film sur la vie de Jean Dausset à l'occasion de la scéance donnée au Collège de France en son honneur. Mot(s) clés libre(s) : histocompatibilité, HLA, immunogénétique
|
Accéder à la ressource
|
|
Lacan, du sujet au symptôme / Jean-Claude Coste
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 25-06-2010
/ Canal-U - OAI Archive
COSTE Jean-Claude
Voir le résumé
Voir le résumé
Lacan, du sujet au symptôme / Jean-Claude COSTE. Colloque international organisé par le Laboratoire ERRAPHIS (Equipe de Recherches sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs) et EuroPhilosophie dans le cadre du programme ANR “Subjectivité et aliénation. Université Toulouse II-Le Mirail, 24-25 juin 2010. Mot(s) clés libre(s) : Jacques Lacan (1901-1981), sujet (psychologie)
|
Accéder à la ressource
|
|
La naissance de la médecine scientifique (par Pierre Corvol)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 30-09-2014
/ Canal-u.fr
CORVOL Pierre, MONTENOT Jean
Voir le résumé
Voir le résumé
La naissance de la médecine scientifiqueDans La Maison Nuncingen (1837), Balzac met en scène une conversation entre quatre journalistes échauffés par un bon repas. L’un des commensaux, Émile Blondet, déclare sur un ton qu’on imagine volontiers sentencieux : « La médecine moderne, dont le plus beau titre de gloire est d’avoir, de 1799 à 1837, passé de l’état conjectural à l’état de science positive, et ce par l’influence de la grande École analyste de Paris, a démontré que, dans une certaine période, l’homme s’est complètement renouvelé… ». Quel crédit accorder à l’assertion que Balzac fait tenir à son personnage ?Que la médecine ait d’abord été – et cela depuis ses origines plus ou moins liées à la magie ou à la sorcellerie – sinon un art de guérir à tout le moins un ensemble de techniques destinées à soulager l’homme malade, personne n’en disconviendra. Mais à quel moment cet art est-il devenu une science, et si l’on reprend les termes que Balzac emprunte certainement à Auguste Comte « une science positive » ?En quelques décennies, à partir du début du XIXe siècle les progrès de la physiologie, de l’anatomie clinique (Xavier Bichat), la naissance de l’épidémiologie, le développement de la médecine expérimentale (Claude Bernard), l’introduction de nouveaux outils de mesure et l’introduction de la statistique ont révolutionné la médecine instaurant de nouveaux rapports entre la théorie et la pratique, modifiant profondément la relation du médecin au malade. Ces progrès incontestables de la médecine ont beaucoup contribué à affermir le crédit et l’estime accordés par un grand nombre aux sciences et aux techniques.Pierre Corvol se propose de retracer quelques uns de ces moments cruciaux qui ont conduit à faire de la médecine sinon une science du moins, selon une formule empruntée Georges Canguilhem, une « somme de sciences appliquées ».Cette conférence s’adresse à tous, élèves des filières commerciales, scientifiques ou littéraires, et tout particulièrement aux élèves de classes préparatoires littéraires qui ont le thème de la « science » au programme de leurs concours de cette année.Conférence du docteur Pierre Corvol(Professeur émérite au Collège de France) Mot(s) clés libre(s) : vaccination, EBM : evidence based medicine, essai thérapeutique, épidémiologie, mesure glycémie, système circulatoire, histologie, milieu intérieur, Claude Bernard, anatomopathologie, industrie pharmaceutique, biostatistique
|
Accéder à la ressource
|
|
De la chimie de synthèse à la biologie de synthèse (10)
/ groupe ouest audiovisuel, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 05-05-2009
/ Canal-U - OAI Archive
COLLEGE DE FRANCE, O'MALLEY Maureen
Voir le résumé
Voir le résumé
De la chimie de synthèse à la biologie de synthèseFrom Synthetic Chemistry to Synthetic BiologyConférence internationalemardi 5 mai 2009amphithéâtre Maurice HalbwachsCollège de France11 place Marcelin-Berthelot - 75005 Paris15h50 Maureen O’MALLEY (Egenis, University of Exeter)Epistemological Distinctions in SyntheticBiology Mot(s) clés libre(s) : biologie synthétique, biologie systémique, chimie de synthèse, épistémologie, génie génétique, génome, ingénierie de la biologie
|
Accéder à la ressource
|
|
Autour de littérature et philosophie (1) / Anne Coignard
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-06-2014
/ Canal-u.fr
COIGNARD Anne
Voir le résumé
Voir le résumé
Autour de littérature et philosophie (1) / Anne Coignard, in journée d'études "Le lecteurs et ses autres (2)" organisée, sous la responsabilité scientifique de Marie-Josée Fourtanier, par le
laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence,
en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA CREATIS) en collaboration avec l'Équipe de Recherche sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs (ERRAPHIS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 20 juin 2014. Dans le prolongement des travaux sur la lecture subjective menés autour du "Texte du lecteur" et du séminaire "Réception des oeuvres et créativité des lecteurs-auditeurs-spectateurs", les différents intervenants de la seconde saison ont interrogé, sans souci d'inventaire, les autres du
lecteur. Par ce vocable, dont l'emploi peut sembler énigmatique, nous
entendons, entre autres, les souvenirs enfouis issus de l'histoire
personnelle du lecteur, les scénarios fantasmatiques tissés par son
inconscient et activés par les oeuvres de fiction, le bruissement des
diverses communautés interprétatives auxquelles il participe, le frayage
des langages et des langages qui médiatisent son apport aux autres et
au monde. Mot(s) clés libre(s) : lecture (subjectivité), réception des oeuvres, lecture (appréciation), esthétique de la réception, philosophie et littérature, Marcel Proust (1871-1922), herméneutique littéraire
|
Accéder à la ressource
|
|
L’espoir à l’épreuve du progrès
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 22-03-2006
/ Canal-U - OAI Archive
COIFFET Jean-Claude
Voir le résumé
Voir le résumé
Comment aider l’homme à sortir de la désespérance où le plonge l’angoisse existentielle de nos sociétés modernes individualistes ? Par l’espoir ou par le progrès, deux réponses distinctes, pour ne pas dire diamétralement opposées puisque l’espoir est une attente irraisonnée alors que le progrès est une action volontaire, un effort engagé.Ainsi, l’espoir, par la passivité, l’inaction dont il s’accompagne, faute de changer les choses, ramènera sans cesse l’homme à la désespérance car ses espoirs seront tôt ou tard déçus. En revanche, comme l’ont développé les stoïciens, le progrès, généré par l’éducation, la connaissance et le raisonnement seul permettra à l’homme d’affronter son destin et de parvenir à la sagesse et la félicité. Ces deux attitudes face au désespoir humain ont entretenu des rapports complexes et conflictuels durant l’histoire, influençant alternativement différentes époques. Ainsi, la pensée progressiste qui se développe avec Sénèque, marque à nouveau l’humanisme de la renaissance et des lumières, et plus tard la pensée de Marx sur le progrès social. Or, à toutes ces époques, cette idée de progrès a fini par être dévoyée et s’est transformée en messianisme irrationnel, le progrès, conçu comme une force extérieure qui ne nécessite ni volonté ni effort, devenant la projection dans l’avenir d’une société idéale ou d’un homme nouveau : l’espoir renaît alors, qui aboutira de nouveau au désenchantement et à la désespérance.Le XXe siècle avec ses crises, ses guerres, ses génocides… sera l’expression la plus évidente de cette déviation du sens du progrès vers ce nouvel espoir messianique. Mais cette nouvelle situation désespérée au sens philosophique du terme devrait conduire l’homme à se reprendre en main, à s’engager activement, seule réponse possible car efficace.La conférence a été donnée à l'Université Victor Segalen Bordeaux 2 dans le cadre du cycle de conférences "L'invité du Mercredi" / Saison 2005-2006 sur le thème "L'espoir". Service culturel Université Victor Segalen de Bordeaux 2 / DCAM / Mot(s) clés libre(s) : désespoir, destin et fatalisme, déterminisme, espérance, libre arbitre, philosophie hellénistique, progrès, raison
|
Accéder à la ressource
|
|