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Suburbex. L'exploration suburbaine : errance et anonymat / Bruce Bégout
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-02-2016
/ Canal-u.fr
BÉGOUT Bruce
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Suburbex. L'exploration suburbaine : errance et anonymat / Bruce Bégout, in séminaire "Poéthiques":
"Lieux communs", organisé par Nathalie Cochoy et Jean-Yves Laurichesse
(CAS / PLH-ELH), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8 mars 2016.
Illustration : "Utah", photographie d'Olivier Gaudin (2009).
Le philosophe Bruce Bégout a « longtemps arpenté les villes, à la fois physiquement et intellectuellement. [Il] essaie de créer une sorte de parcours à la fois philosophique mais aussi transdisciplinaire, utilisant toutes les ressources possibles, de la littérature, de la photographie, des sciences humaines et de l'histoire et pratiquant trois genres d'écritures pour explorer les nouveaux territoires, que ce soit le genre de l'analyse théorique pure, le genre de l'essai ou le genre de la fiction. »
Dans cette communication, Bruce Bégout s'intéresse aux friches, plus particulièrement à ce qu'il appelle le « le troisième âge de la friche qui est un élément central de la "suburbia" (...). Une suburbia marquée « par un effort de rationalisation en zones commerciales, zones de travail et zones d'habitations pavillonnaires et de cités, de l'homogénéisation des fonctions mais dont on s'aperçoit qu'il est un espace extrêmement chaotique (...) puisque sont rassemblés là des gens, des pratiques, des univers assez différents qui coexistent et montrent une hétérogénéité plus grande de modes de vie que la relative homogénéité culturelle et existentielle des centres-villes. » Pour Bruce Bégout, « la première caractéristique de la "suburbia" est qu'elle est souvent disqualifiée, qualifiée négativement : manque de de mixité, de proximité, d'équipements -notamment culturels, manque d'échanges et de sociabilité, manque de beauté. (...) Mais elle n'est pas simplement un espace du manque ; cette négativité est la positivité même de cet espace. (...) Pour les philosophes, les écrivains, les chercheurs, c'est un espace où il se passe quelque chose. Dans les marges de la ville disqualifiée, il y a la possibilité de l'émergence du sens, d'un sens qui aurait fait l'épreuve de la négativité et, au prix d'une éventuelle destruction, de la création. L'expérience de la négativité est présente dans l'expérience de ces ruines contemporaines que sont les friches qui comprennent les usines désaffectées, les cars abandonnés, les lieux oubliés de la modernité, jamais totalement vides ». Mot(s) clés libre(s) : friches urbaines, espace urbain, anthropologie urbaine, ville (philosophie), sociologie de la ville
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L'éthique de l'existentialisme
/ ENS/UOH
/ 12-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Caeymaex Florence
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L’inaboutissement de la morale de Sartre, loin de représenter l’échec de sa propre version de l’existentialisme, peut être envisagé positivement comme l’accomplissement de sa philosophie dans une dimension éthique ; l’éthique marque alors une distance de l’ordre du code moral (les valeurs, les règles et les prescriptions prises dans leur objectivité) – qui dépendent d’elle – et doit plutôt être comprise comme une pratique réfléchie de la liberté qui prend une direction à la fois originale et radicale. Mot(s) clés libre(s) : analyse existentielle, daseinsanalyse, éthique, existentialisme, Jean-Paul Sartre, Martin Heidegger, morale, ontologie
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JPPPE 2008 - Discours d'accueil
/ CERIMES, SPI-EAO, Canal U/Tice Médecine Santé
/ 10-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CAMUS Vincent
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Discours d'ouverture des journées psychiatrie, phénoménologie et philosophie de l'esprit - Tours les 10, 11 janvier 2008 Mot(s) clés libre(s) : introduction, Journées psychiatrie, JPPPE 2008, phénoménologie et philosophie de l'esprit, Tours
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JPPPE 2008 - L'intersubjectivité, perspective neuroscientifique et perspective phénoménologique
/ SPI-EAO, CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 11-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CERMOLACCE Michel
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Présentation de Michel Cermolacce Mot(s) clés libre(s) : intersubjectivité, journées psychiatrie, JPPPE 2008, phénoménologie et philosophie de l'esprit, Tours
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Les morales de Sartre, une logique de l'erreur
/ ENS/UOH
/ 12-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Cormann Grégory
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A partir des indications fragmentaires données par Sartre, il est possible de suivre sa tentative d’élaborer une morale à partir d’une « logique de l’erreur » qui n’est autre qu’une « logique des émotions ». De L’Esquisse d’une théorie des émotions au livre sur Flaubert, en passant par la psychanalyse existentielle, cette logique se décline comme une originale théorie de l’enfance qui, reprenant certains nœuds de la philosophie d’Alain, renoue les thèmes de la temporalité, de l’imagination et du social et nous oriente vers une philosophie de la culture. Mot(s) clés libre(s) : enfance, Esquisse d'une théorie des émotions, Jean-Paul Sartre, morale, philosophie, psychanalyse et philosophie
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À propos de Spinoza (Edwin Curley)
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH / Canal Philo / Service Commun Audiovisuel et Multimédia
/ 15-03-2007
/ Canal-U - OAI Archive
CURLEY Edwin, MOREAU Pierre-François
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Edwin Curley explique ici comment ses doutes religieux, la découverte de l'influence de Spinoza dans la littérature et le fait de donner et de suivre des cours sur Spinoza l'ont progressivement conduit à Spinoza et au spinozisme. Mot(s) clés libre(s) : philosophie, Spinoza
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Politique de l'autobiographie chez Sartre
/ ENS/UOH
/ 12-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Denis Benoît
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Entre le récit autobiographique de Roquentin dans La Nausée et les dernières biographies dialoguées et filmées des années soixante-dix, se profile toute une nébuleuse de textes autobiographiques aux régimes multiples ; loin d’être sans unité, cet ensemble de textes est relié par la paradoxale conception sartrienne de l’écriture de soi, conception qui mobilise tant sa philosophie que sa conception de la politique. Mot(s) clés libre(s) : autobiographie, biographies dialoguées, engagement, Jean-Paul Sartre, moi, philosophie, psychanalyse
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (1/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Première journée du colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté »- se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français.Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la "première" partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (2/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Seconde journée du Colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté » - se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français. Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la « première » partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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JPPPE 2008 - Pyschiatre relationnelle, phénoménologie pratique et neuroscience de l'enaction
/ SPI-EAO, CERIMES, Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport
/ 10-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DEPRAZ Natalie
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Présentation de Nathalie DEPRAZ : psychiatrie relationnelle, phénoménologie pratique et neuroscience de l'enaction : du LNA à l'ERIC. Mot(s) clés libre(s) : JPPPE 2008
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