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Titre
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1- Ouverture du colloque
/ Thomas GUIFFARD
/ 26-11-2015
/ Canal-u.fr
BOST Hubert, PORTIER Philippe, OLLITRAULT Sylvie
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Hubert Bost, président de l’EPHE
Sylvie Ollitrault, directrice adjointe de l’Institut des sciences humaines et sociales (INSHS) du CNRS
Philippe Portier, directeur du GSRL : Ouverture du colloque Mot(s) clés libre(s) : laïcités, sciences des religions
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6- La sécularité mexicaine : entre le retour de la religion dans l’espace public et la consolidation d’une République laïque
/ Thomas GUIFFARD
/ 26-11-2015
/ Canal-u.fr
BLANCARTE Roberto
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Roberto Blancarte (El Colegio de México) Mot(s) clés libre(s) : laïcités, sciences des religions
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Argent et religion font-ils bon ménage ?
/ 20-02-2014
/ Canal-u.fr
BERGTHOLD Marion-Jacques, FEIX Marc, RIVELINE C., WEILL Laurent
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Intervenants : M-J. BergtholdM. FeixM.c RivelineM.l Weill Mot(s) clés libre(s) : économie, religion
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4- Enjeux Laïques et Sécularisation - 1er débat
/ Thomas GUIFFARD
/ 26-11-2015
/ Canal-u.fr
BAUBÉROT Jean, WILLAIME Jean-Paul, DE POLIGNAC François
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Débat présidé par François De Polignac (EPHE)
Jean Baubérot (EPHE) et Jean-Paul Willaime (EPHE) Mot(s) clés libre(s) : laïcités, sciences des religions
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2- Jean Baubérot : La sociologie de la laïcité, dépassement de la sociologie de la religion ?
/ Thomas GUIFFARD
/ 26-11-2015
/ Canal-u.fr
BAUBÉROT Jean
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Jean Baubérot (EPHE) Mot(s) clés libre(s) : laïcités, sciences des religions
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L’iconoclasme à Byzance
/ 24-09-2012
/ Canal-u.fr
AUZEPY Marie-France
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L’iconoclasme – le fait d’interdire le culte rendu aux images religieuses et la représentation du Christ, de sa mère et des saints – a été déclenché en 730 dans l’empire byzantin par les empereurs eux-mêmes. Il ne s’agit donc pas d’une réaction populaire, mais d’une politique religieuse impériale, étendue à l’Église tout entière par un concile qui se voulait en 754 œcuménique. Il est très mal connu, car l’orthodoxie, religion de l’image – l’icône –, s’est construite contre lui et a fait disparaître presque toutes les sources le concernant, à l’exception de sources polémiques, violemment anti-iconoclastes. En plus de l’ignorance à son propos, l’iconoclasme byzantin a eu toujours très mauvaise réputation. La conférence s’attachera à en expliquer quelques traits : continuité d’une tendance aniconique(*) déjà présente dans l’Église, crainte de l’idolâtrie et de la colère divine qu’elle entraîne, place centrale de l’Eucharistie, de l’onction qui sacralise le prêtre chargé de l’exécution du rite, et du chant. Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : orthodoxie, iconoclasme, Byzance, Constantinople, icônes, images religieuses
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Moïse dans tous ses états
/ 05-10-2015
/ Canal-u.fr
ATTIAS Jean-Chistophe
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Selon la tradition, Moïse aurait écrit les cinq premiers livres de la Bible. Il s’y dépeint de façon surprenante : avec et contre Dieu ; avec et contre son peuple ; porteur des Tables de la Loi, qu’il brise ; prophète bègue, guide vers une Terre promise dont l’entrée lui reste interdite, mort dont nul ne connaît le tombeau... De quoi dérouter celles et ceux qui s’imaginent Moïse taillé d’un bloc, d’autant qu’il est aussi revendiqué et réinventé par le christianisme et par l’islam. Sans oublier Freud, la psychanalyse et le cinéma.
Au fil d’une série de portraits possibles, Jean-Christophe Attias suit les métamorphoses, dans les textes et à travers les âges, du libérateur des Hébreux. Et il y découvre un Moïse fragile, maître d’un judaïsme de l’esprit, de l’errance et de l’inachèvement. Mot(s) clés libre(s) : christianisme, bible, Islam, judaïsme, Dieu, Moïse
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La spiritualité de l’image en islam shi’ite : le cas des icones de poche
/ 14-01-2013
/ Canal-u.fr
Amir-Moezzi Mohammad Ali
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Selon une idée, aussi persistante qu’erronée, la représentation imagée des êtres vivants est interdite en islam. La destruction des Bouddhas de Bamyan par les Talibans en 2001 conforta encore plus cette idée dans l’opinion publique. La problématique est beaucoup plus complexe et les prises de position ont été des plus diverses selon les époques, les lieux et les cultures en terres d’islam. Schématiquement, l’approche rigoriste des juristes-théologiens est confronté aux goûts esthétiques de l’élite profane ainsi qu’au culte populaire des saints mais s’adapte à ceux-ci beaucoup plus souvent qu’on ne le pense. L’islam iranien en général et l’islam shi’ite en particulier ont eu, depuis de nombreux siècles, une attitude ouverte à l’égard de l’image de l’être humain, y compris celle des personnages religieux les plus saints. La conférence s’attachera principalement à l’examen d’un certain nombre d’« icônes de poche », représentant le portrait peint de ‘Alî, premier Imam – « Guide par excellence » – des shi’ites. L’objet semble constituer, dans certaines confréries mystiques, un support de contemplation : pratique initiatique consistant à atteindre la vision du « Guide de lumière » dans le centre subtil du cœur.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : Islam, icônes
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Le jihad - Makrâm Abbes
/ UTLS - la suite
/ 07-10-2007
/ Canal-U - OAI Archive
ABBES Makram
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Depuis l’avènement du 11 septembre, d'abord en tant que donnée historique fondamentale qui a bouleversé les relations internationales, ensuite, et surtout, en tant que concept qui a permis d’isoler certains éléments du réel et de fournir une grille de lecture pour tout ce qui touche à la guerre, à l’ennemi, aux problèmes du droit et de la sécurité, l’islam s’est trouvé au centre des débats induits par ce grand tournant du début du XXIème siècle. Le concept du 11 septembre a initié une nouvelle figure de l’ennemi (le jihadiste) qui n’a rien à voir avec celles de l'ennemi classique représenté par un Etat, et respectueux, peu ou prou, de ce que les doctrines classiques de la guerre appelaient "la guerre régulière" ou "la guerre en forme", celle qui obéit à des codes, à certaines lois faisant une large place au droit ou à la morale. Visiblement, cet ennemi ne respecte aucun code, aucune loi puisqu'il situe le combat non pas entre des entités politiques et juridiques bien déterminées, mais plutôt entre, d'un côté, des groupes agissant au nom de l’islam, et, de l'autre, des cibles potentielles non identifiables pouvant varier d’un pays à l’autre. En raison de la naissance de cette figure d’un ennemi insaisissable, se réclamant d’une doctrine terrifiante et monstrueuse, fondée sur la barbarisation de l’Autre, qu’il soit arabo-musulman ou occidental, les discours portant sur la conception de la guerre en islam ont eu tendance, récemment, à accréditer l'idée d'un islam foncièrement belliciste et guerrier, dans lequel l'ennemi est forcément ontologisé et prédéfini. Certaines lectures qui se veulent savantes et académiques font même de l’islam une exception sur le plan militaire, puisqu’il serait le seul à prôner la doctrine de la guerre fondée sur la violence aveugle et la conversion forcée, une guerre totale et pérenne qui doit continuer, au nom d'un horizon théologique macabre, jusqu'à la fin des temps. Ainsi, pour l'un des auteurs représentatifs de ce type de lectures, l'islam serait passé par deux phases : celle, dans un premier temps, du
jihâd en tant que combat meurtrier où il a cherché à soumettre les autres peuples par la violence, et celle, dans un deuxième temps, après l’épuisement de ses forces militaires, d'un
jihâd plus méritoire, le combat contre soi-même. «Malheureusement, dit l'auteur, il s’avère que [l'islam] est toujours miné par la violence extrême (terrorisme, assassinat et suicides), et l’on s’interroge légitimement pour savoir si elle n’a pas quelque base dans sa culture. » La naissance de cette figure du
jihâdiste, associée à celle du musulman conquérant du VIIème siècle serait ainsi le socle de cette représentation d’un islam qui a toujours mobilisé les mêmes raisons (la croyance) pour faire la guerre et dans lequel la théologie est à la fois le moteur et le
télos du politique. Le seul changement, d'après ces lectures, c'est que du combattant tellurique qui a sillonné les terres au nom de Dieu au VIIème siècle, on est passé au combattant aérien qui fend les airs à l'aube du XXIème siècle. Mais la nature du combat, ainsi que la conception et la représentation de la l'activité guerrière sont et seront toujours les mêmes. Mot(s) clés libre(s) : islam, jihad, religion
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« Commenter la Règle de Benoit de Nursie à la période moderne (xvie - xixe siècles) : nécessité structurelle et visibilité spirituelle.»
/ Canal-u.fr
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Dans le cadre des Jeudis du LEM, la conférence de Daniel Odon Hurel porte sur le thème « Commenter la Règle de Benoit de Nursie à la période moderne (xvie - xixe siècles) : nécessité structurelle et visibilité spirituelle.» Mot(s) clés libre(s) : règle, monachisme
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