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Accompagnement de l'entreprise et gestion du changement : la transition vers l'économie de fonctionnalité
/ Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Florent ALIAS, UVED
/ 11-03-2014
/ Canal-u.fr
BELLINI Béatrice
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Béatrice Bellini présente l'intérêt de la méthode NOVUS pour aider les entreprises à s'engager sur la voie de l'économie de fonctionnalité. Mot(s) clés libre(s) : gestion, entreprise, économie de fonctionnalité, méthode NOVUS
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1 - Conférence « Le capital au XXIe siècle. Dialogue avec les historiens et les sociologues »
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 02-04-2014
/ Canal-u.fr
BÉGUIN Katia, FORSE Michel, STANZIANI Alessandro, PIKETTY Thomas, LECHEVALIER Sébastien
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« Le capital au XXIe siècle. Dialogue avec les historiens et les sociologues »
Conférence-débat autour de l’ouvrage, « Le Capital au XXIe siècle », de Thomas Piketty, en présence de l’auteur.
Intervenants :
Katia Béguin (EHESS), Michel Forsé (CNRS), Alessandro Stanziani (EHESS). Cet évènement est animé par Sébastien Lechevalier (EHESS)
Organisateur : conférence organisée par les Cercles de formation de l’EHESS Mot(s) clés libre(s) : capital, economie
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Forum Nîmois - Charles GIDE - BEFFA 05 janvier 2015
/ 05-01-2016
/ Canal-u.fr
BEFFA Jean-Louis
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 5 janvier 2016, au Lycée Alphonse DAUDET de Nimes Jean-Louis BEFFA
Est-il encore utile de présenter Jean Louis Beffa,
aujourd’hui Président d’honneur d’une des plus anciennes, elle a été créée en
1665, et plus grande, entreprise
française : Saint-Gobain. Après Polytechnique et l’Ecole des mines, il y
est entré, sauf erreur, en 1974, après sept ans au Ministère de l’industrie
dans les carburants. Très vite il progresse et devient président de la filiale
Pont à mousson, en même temps que directeur des canalisations et de la
mécanique du groupe Saint-Gobain. Il aura dans cette fonction à gérer le
difficile problème de l’amiante dont on découvre alors la nocivité sournoise,
et qui, malheureusement, est incluse dans de nombreuses constructions.
Il devient directeur général du groupe en 1982, puis
président directeur général en 1986
Ce n’est pas qu’un grand ingénieur et grand dirigeant. Il est
aussi un collègue économiste éminent puisqu’il fonde avec le prix Nobel Robert
Solow, le centre Saint-Gobain pour la recherche en économie en 2002.
Il a été président de Saint-Gobain jusqu’en 2007.
En tant qu’ancien haut fonctionnaire, et contre le vent
dominant du libéralisme à tout crin, il rédige à la demande de Jacques Chirac, un
rapport prônant une nouvelle politique industrielle, dans laquelle l’Etat doit
jouer une rôle moteur ou central, à lui de nous le dire. Puis il fonde l’outil
d’une telle relance de l’industrie sous forme de l’Agence de l’innovation
industrielle
Il récidive en quelque sorte en 2012, avec un livre
intitulé : « La France doit choisir », toujours dans le sens
d’une vraie stratégie industrielle menée par l’Etat, pour résorber un déficit
commercial récurrent qu’il attribue, comme nous tous, à la lente
désindustrialisation qui se poursuit toujours. Et il recommande de revenir sur
les orientations trop libérales des
dernières décennies.
Toujours dans le même sens, il a publié au Seuil en 2015
« Les clés de la puissance ». Situant son analyse dans le cadre
géopolitique d’un duopole sino-américain dominant le monde, il propose ces
quatre « clés » qui sont l’industrie exportatrice, les nouvelles
technologies, l’énergie et les capacités militaires.
Je dois dire que je partage assez bien ses vues, mais je lui
propose ce soir, et soumets à sa critique, une analyse différenciée. Je combats
la vision faussement marxiste d’un capitalisme qui aurait commencé avec
l’industrialisation à la fin du XVIIIème siècle en Grande Bretagne, laquelle a
dominé le monde économique après l’effondrement français suite à la guerre de Sept
ans et la défaite militaire napoléonienne. Le capitalisme est bien plus ancien,
à mon sens.
En fait dès que les serfs ont commencé à sortir des domaines
seigneuriaux, à partir du XII-XIIIème siècle, pour vendre dans les villes les
surplus qui leur restaient après les prélèvements des seigneurs, il y a eu
capitalisme car chacun d’entre eux cherchaient à accumuler leurs bénéfices sur
leur tête, caput, capitis, capitalisme. Certains quittèrent les domaines et
s’installèrent à demeure dans les bourgs, formant les premiers bourgeois. Le
capitalisme est donc un phénomène naturel dès le début, et des centaines de milliers
de petites entreprises en sont la base. Qu’ensuite avec, effectivement
l’industrialisation, les entreprises aient grossi, soient devenues, dans
certains cas, des bagnes pour les ouvriers, et même leurs enfants, aucun
doute ! Mais le principe d’accumulation pour investir, lui, a toujours
existé. Marx le décrit d’ailleurs fort bien et fort justement, mais ceux qui
ont prétendu faire doctrine politique à partir de ses analyses, et faire
disparaître le profit, ont échoué et échoueront toujours. Il n’y a pas de
croissance économique donc d’emploi sans entreprises privées qui investissent
et embauchent, ce pour quoi elles doivent faire des profits, accumuler.
La structure de l’économie est toujours la même. A la base
des millions de très petites entreprises, avec moins de 10 salariés, puis en
France du moins, environ 165.000 PME, dont certains deviennent, selon la
classification moderne de l’INSEE, des Entreprises de taille intermédiaires (250
à 5.000 salariés et jusqu’à un milliard de chiffre d’affaires), enfin une
centaine de grandes et très grandes entreprises, dont les fameuses 40
d’Euronext, qui en fait structurent plus ou moins sous elles, le tissu
industriel.
Différence France-Allemagne. Nous n’avons, selon les chiffres
de notre ami Patrick Artus, environ 5.000 ETI en France contre 25.000 en Allemagne.
Or, ce sont elles qui sont au cœur de l’exportation. C’est l’explication de
notre déficit commercial récurrent, alors, notons le bien, que la facture
pétrolière française est bien plus faible que celle de l’Allemagne.
Les raisons de ce faible nombre d’ETI en France, toujours
selon Artus ? 1). Ayant, comme toutes nos entreprises, de trop faibles
fonds propres, elle sont vite absorbés par les grands groupes, qui savent mal
gérer d’en haut ces entreprises normalement familiales.2) Il y a en France des
obstacles évidents à l’accumulation, donc à l’investissement et l’emploi, que
l’actuel gouvernement tente de lever aujourd’hui, 3) enfin, la faiblesse des
fonds propres entraîne des difficultés de financement. J’ajoute, et j’en
termine, un facteur anthropologique. Nous sommes un pays, sauf en Alsace,
Bretagne, Pays Basque, de familles nucléaires égalitaires, alors que
l’Allemagne est un pays de famille souche. Chez nos voisins il y a toujours un
enfant pour reprendre l’entreprise, comme autrefois les terres. L’horizon du
chef d’entreprise est donc plus long qu’en France, ou dans un grand nombre de
cas, les enfants préfèrent la finance, les professions libérales. Horizon plus
long égale plus d’investissements plus lourds, et plus d’emplois !
On comprend donc bien qu’effectivement l’Etat doit pallier
ces défauts fondamentaux et jouer un rôle central dans le pilotage de
l’industrie. Mais, pour innover, rien de vaut la petite structure. Qui,
malheureusement, chez nous, ne trouve pas de fonds propres. Notre épargne est
moins entrepreneuriale, plus foncière, immobilière, boursière ! Comment ce pilotage étatique peut-il faire
éclore et fleurir, plus grossir, les « startup » qui devraient
devenir les géants de l’informatique et du net, qu’elles sont devenues aux
Etats-Unis ? C’est par cette question Jean Louis Beffa que je vous passe
avec beaucoup d’intérêt, la parole. Mot(s) clés libre(s) : entreprises, géopolitique, start-up
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Présentation de la mise en place de la nouvelle réglementation vinification Bio sur le terrain en 2012
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen
/ 15-03-2013
/ Canal-u.fr
BECQUET Stéphane
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LE VIN SE MET AU VERT: ATTENTES DES MARCHES, ASPECTS REGLEMENTAIRES
ET TECHNIQUES
11e Matinée des Oenologues
>> Segmentation du marché: quelle réalité pour le vin
biologique et les diverses chartes
Stéphane Becquet, Présentation de la mise en place de la nouvelle réglementation vinification Bio sur le terrain en 2012
La mise en place de la nouvelle réglementation européenne R UE
203-2012 Vin bio s’est effectuée pendant le millésime 2012. Elle avait déjà été
en partie anticipée en 2011, car les négociations avaient déjà bien avancé pendant
les vendanges 2011.
Depuis, une enquête a été réalisée par le Syndicat
des Vignerons Bio d’Aquitaine sur les pratiques œnologiques de ses adhérents.
Agronome et vinificateur, Stéphane Becquet nous en présente ici quelques
résultats. Mot(s) clés libre(s) : réglementation, pratiques, oenologie, vin bio
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La globalisation - Pierre Beckouche
/ UTLS au lycée
/ 01-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BECKOUCHE Pierre
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLa globalisation par Pierre Beckouche (géographe)Lycée Saint-Louis - Blanche de Castille (93 Villemonde) Mot(s) clés libre(s) : économie, mondialisation
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La globalisation
/ UTLS au lycée
/ 01-12-2010
/ Canal-u.fr
BECKOUCHE Pierre
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Une conférence de l'UTLS au Lycée
La globalisation par Pierre Beckouche (géographe)
Lycée Saint-Louis - Blanche de Castille (93 Villemonde) Mot(s) clés libre(s) : économie, mondialisation
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ANDès Table ronde 1
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 29-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Béati Angelo, Besson Davy, Laayoun Ali, Martinat Jacques
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Matinée ANDès, « Docteurs, acteurs de l’innovation ? L’exemple Rhônalpin »29 mai 2010, de 9h30 à 13h30, dans les locaux de l’INRP à Lyon. En ce début de XXIème siècle qui voit disparaitre le monde d’après-guerre, dans lequel les marchés sont saturés et les consommateurs moins passifs et aussi moins solvables, les entreprises font face à « l’impérieuse nécessité » d’innover. Qui dit « innover » évoque inévitablement la recherche et donc les chercheurs. Lorsqu’on demande aux entreprises d’expliquer leur politique d’innovation, la plupart répondent qu’elles consacrent X% de leur CA à la R&D, comme si c’était l’évidente démonstration de leur capacité à innover. Reste toujours présent dans les esprits, le modèle marquant de l’innovation des « Trente glorieuses », fondé sur la séquence linéaire :« recherche – technologie - innovation- accroissement du bien-être des utilisateurs » Pourtant, science et innovation ne sont pas nécessairement liées. Aujourd’hui, l’innovation est un processus complexe et collectif, impliquant des interactions quelquefois continues entre concepteurs, financeurs, réalisateurs et utilisateurs. En outre, plus de la moitié des innovations récentes est de type social, organisationnel ou commercial donc déconnectée des sciences exactes et de la technologie. En quoi, la contribution d’un professionnel formé par la recherche scientifique (issu des sciences exactes ou des sciences humaines), est déterminante pour ce processus d’innovation? C’est ce qui fait l’objet de notre débat : « Docteurs, acteurs de l’innovation » : une « évidence » à redécouvrir ou à revisiter.Pour avancer sur le sujet, nous donnons la parole aux professionnels qui font l’innovation ou qui accompagnent l’innovation en Rhône-Alpes. Mot(s) clés libre(s) : andès, docteur, emploi, entreprise, innovation, Lyon
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Le patriotisme économique : justifications et limites
/ UTLS - la suite
/ 20-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BAVEREZ Nicolas, PISANI-FERRY, JEAN/BAVEREZ, NICOLAS, PISANI-FERRY Jean
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Pas de résumé disponible pour le moment Mot(s) clés libre(s) : délocalisation, protectionnisme
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Le patriotisme économique : justifications et limites
/ UTLS - la suite
/ 20-10-2006
/ Canal-u.fr
BAVEREZ Nicolas, PISANI-FERRY, JEAN/BAVEREZ, NICOLAS, PISANI-FERRY Jean
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Débat entre Nicolas BAVEREZ (Economiste, avocat, magistrat à la cour des comptes) et Jean PISANI-FERRY (Directeur de BRUEGEL (Brussels European and global economic laboratory) et professeur associé à l'université de Paris-Dauphine)
Mot(s) clés libre(s) : protectionnisme, délocalisation
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Vivre et (parfois) mourir dans un monde plein
/ UTLS - la suite
/ 18-07-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BAUMAN Zygmunt
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Je ne prétends pas tenter ici une synthèse ; il est trop tôt pour esquisser un modèle général et encore moins exhaustif de la nouvelle condition humaine. Un modèle de ce type, aussi soigneusement élaboré qu'il soit, vieillirait avant même d'avoir atteint la maturité car la mondialisation de la condition humaine est loin d'être achevée et aucune des descriptions du mode d'unité planétaire et des dangers nouveaux qu'il comporte ne saurait prétendre être autre chose qu'un exercice de style, un récit voué à être révisé et repris sans fin. Je me contenterai donc ici de décrire et non d'analyser précisément trois orientations nouvelles et, à mon sens, fécondes du modèle de cohabitation planétaire et trois conséquences de ces orientations qui semblent peser très lourdement sur les origines et les formes changeantes de conflits contemporains, ainsi que sur les stratégies appliquées dans les luttes de pouvoir actuelles. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation
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