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Date
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Titre
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Besoins et économie - Jean Gadrey
/ UTLS au lycée
/ 17-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée, GADREY Jean
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Une conférence de l'UTLS au LycéeBesoins et économie par Jean Gadrey(économiste)Lycée Diderot (62 Carvin) Mot(s) clés libre(s) : economie, entreprise, production
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Le développement durable - Phillipe Boudes
/ UTLS au lycée
/ 25-11-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée, BOUDES Philippe
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Une conférence de l'UTLS au LycéeLe développement durable par Phillipe Boudes (sociologue) Mot(s) clés libre(s) : développement durable, écologie, énergie, environnement
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Pauvreté et globalisation - Sandrine Mesplé Somps
/ UTLS au lycée
/ 27-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au Lycée
avec Sandrine Mesplé Somps (chargée de recherche à l'IRD)
Lycée L'Ermitage (Maisons Laffitte, 78) Mot(s) clés libre(s) : mondialisation, pauvreté, tiers monde
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Besoins et économie
/ UTLS au lycée
/ 17-03-2011
/ Canal-u.fr
UTLS au lycée, GADREY Jean
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Une conférence de l'UTLS au Lycée
Besoins et économie par Jean Gadrey (économiste)
Lycée Diderot (62 Carvin) Mot(s) clés libre(s) : entreprise, économie, production, microéconomie
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Le reengineering : comment passer d'un domaine à l'autre ?
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2010
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS - la suite
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Une conférence du cycle : Qu'est-ce qu'un ingénieur aujourd'hui ? L'ingénieur, le génie, la machine du 10 au 14 janvier et du 16 au 19 janvier 2010, à 18h30 Le reengineering : comment passer d'un domaine à l'autre ? par Philippe Hedde, directeur général, IBM France et Franck Debouck, ingénieur Air France Mot(s) clés libre(s) : collaboration, culture scientifique, génie industriel, métier de l'ingénieur, processsus d'innovation, R&D, reengineering, technologies de l'information, transfert de technologie
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Les passionnés de la vigne et du vin
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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Le monde du vin a attiré depuis une quarantaine d’années d’importants investissements dans les vignobles et dans les caves. Peu d’autres activités agricoles ont, en Occident, suscité en effet depuis si longtemps autant d’intérêt et de passion de la part des hommes. Parmi les nouveaux venus à la viticulture, les profils et les origines sont très variés : monde de la culture, des arts, du cinéma, mais aussi de la finance, du BTP, enseignants, chercheurs, industriels, commerciaux, artisans, etc.
Quelques uns ont quitté la ville pour des raisons personnelles, de santé, changement de cadre de vie. Si certains propriétaires ont confié leur exploitation à un directeur, un œnologue ou un contremaitre (faisant office d’homme à tout faire), d’autres au contraire sont des passionnés.
Véritables autodidactes qui ont beaucoup circulé, observé, appris et qui souhaitent tout connaître, tout explorer dans la vitiviniculture moderne. Ils viennent au monde du vin avec des idées nouvelles, créatives, ils s’impliquent directement dans le travail de leurs vignes et dans l’élaboration des vins, leurs vins, cela dans une perspective, toujours, de qualité. C’est le profil et le cheminement de quelques-uns parmi ces nouveaux venus, ces passionnés, que nous voulons montrer à travers ce film documentaire.
Les questions de rentabilité, de diffusion/commercialisation de leur production ne sont pas étrangères à leurs idéaux, elles font nécessairement partie de leur volonté de réussir. Leurs vins ne sont pas ceux produits par la longue tradition paysanne et ils ne sont pas non plus destinés à une commercialisation locale mais plutôt orientés vers l’exportation et les marchés internationaux. Mot(s) clés libre(s) : territoires, cépages, viticulture bio, Gaillac, terroirs viticoles, Axarquía de Málaga, Contraviesa-Alpujarra, Valdepeñas, Castilla-La Mancha
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La Mancha : le plus vaste vignoble du monde
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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Avec aujourd’hui 450.000
hectares, le plus vaste vignoble du monde se situe en plein cœur de
l’Espagne, sur l’immense meseta de la Nouvelle-Castille. Sa
surface s’est contractée depuis 20 ans (il couvrait 720.000 ha en
1989), mais dans des proportions moindres que dans le cas du
Languedoc-Roussillon. D’autre part, cette diminution s’accompagne
d’une croissance des rendements qui font passer la production
totale de 20 millions d’hectolitres à plus de 25 millions en
2003/2004. Il n’est donc guère étonnant dans ce contexte, de
rencontrer la coopérative viti-vinicole la plus importante du monde,
avec des milliers de sociétaires.
Dans le cas de la D.O
Valdepeñas au contraire, le système coopératif ne joue plus qu’un
rôle mineur, au profit d’un petit nombre de « bodegueros »
et de négociants. Cette situation de monopole et les obligations
liées à la D.O entraîne d’ailleurs certains producteurs à se
contenter d’une appellation Vinos de la Tierra, ce qui leur permet
également une plus grande liberté de manœuvre, qu’ils mettent à
profit avec des initiatives très diverses.
Cette dynamique générale
est soutenue par un rapport qualité/prix parmi les plus intéressants
du monde viti-vinicole. Mot(s) clés libre(s) : La Mancha, appellations, dynamique rurale, durabilité, vignoble, coopérativisme, bodégas, conduites culturales
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La Liébana, ou le sauvetage, au XXIe siècle, d’un micro vignoble montagnard
/ Jean JIMENEZ, Université Virtuelle Environnement et Développement durable, SCPAM / DTICE - Université de Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2014
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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La Liébana est l’exemple d’un bassin intra montagnard bénéficiant de conditions climatiques relativement favorables. Celles-ci lui ont permis d’abriter un vignoble longtemps important puisqu’il couvrait jusqu’à 1000 hectares au Moyen-âge.
L’histoire récente de ce petit vignoble est celle d’une longue dégradation (phylloxéra, vieillissement des producteurs, exode rural), jusqu’à une période toute proche. Ce retournement de la conjoncture est surtout lié au tourisme local qui permet à une poignée de producteurs, s’appuyant également sur diverses aides institutionnelles, de se lancer dans la commercialisation du vin. Le succès dépasse leurs espérances entrainant la replantation de nouvelles parcelles de vignes. Mot(s) clés libre(s) : paysage, IGP, reprise agricole, bassin intra montagnard, Pics d'Europe, Liébana, vignoble, durabilité, Cantabrie, tourisme, territoire, Mencía
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Caféicultures. Venezuela. Le café malgré le pétrole / Jean-Christian Tulet
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-12-1998
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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La caféiculture du Venezuela est l'une des plus vieilles de l'Amérique du Sud. Elle a été aussi l'une des plus importantes, ce pays ayant été le deuxième producteur mondial à la fin du XIXème siècle. Depuis cette période, se sont construits une société et un paysage dont les caractéristiques se repèrent encore actuellement : terroirs caféicoles bien identifiés, haciendas aujourd'hui abandonnées, parfois transformées en musées, vieux villages caféicoles, traditions de consommation beaucoup plus élaborées qu'ailleurs. En privilégiant les activités et la consommation urbaine, le pétrole a ruiné la caféiculture comme bien d'autres activités agricoles. Dès lors, la plupart des plantations n'ont fait que végéter. Toutefois, depuis une dizaine d'années, une renaissance se manifeste avec le développement de plus en plus rapide de plantations nouvelles en variétés à haut rendement. Le Venezuela juxtapose ainsi, parfois dans un même terroir, des formes de production très anciennes et des plantations très technicisées. Il apparaît aujourd'hui à la fois comme un conservatoire et comme un champ d'expérimentation de techniques nouvelles.[Version française : commentaire en français, entretiens en espagnol sous-titrés en français]. Mot(s) clés libre(s) : caféiculture (Amérique latine), production agricole, caféiculture (aspect économique), Venezuela
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Caféicultures. Colombie, la fédération nationale des caféiculteurs : un empire menacé / Jean-Christian Tulet
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2004
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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C'est au XXe siècle seulement que la Colombie a rejoint les grands pays producteurs de café. Cette montée en puissance provient de la mise en place d'un très important front de colonisation intérieure, principalement à partir de la région de Medellin, qui occupe progressivement les vastes et nombreux versants montagnards situés plus au sud. Fondamentalement animée par de petits producteurs, cette colonisation à créé une identité nouvelle qui perdure encore très fortement aujourd'hui, celle du "païsa", le petit caféiculteur indépendant. L'autre élément favorable au développement et à la permanence de cette puissante caféiculture tient sans nul doute à l'existence de la Fédération Nationale des Caféiculteurs Colombiens (Federación Nacional de Cafeteros de Colombia).Le fonctionnement de cet organisme privé à fonctions publiques, né en 1927, a souvent été critiqué mais son existence et ses fonctions n'ont jamais été véritablement été discutées. La Fédération conserve un rôle majeur dans l'économie colombienne. Elle contrôle toujours l'essentiel de la filière nationale et assure la promotion des régions productrices. Toutefois la grave crise actuelle [la baisse des cours du café entre 1990 et 2004] remet en cause une partie des garanties qu'elle apportait aux caféiculteurs, alors que l'importance de celles-ci lui conférait une originalité certaine dans le monde des organisations nationales de producteurs. Face à la diminution de leurs revenus tirés de la production de café, les petits producteurs ont accru et diversifié la culture vivrière (banane, manioc, haricots, guanabana, etc).[Documentaire en version française avec entretiens en espagnol sous-titrés en français.]- Visionner aussi : "La caféiculture en Amérique Latine" (entretien filmé avec Jean-Christian Tulet, diffusé sur Canal-Géo). Mot(s) clés libre(s) : caféiculteurs (Colombie), caféiculture (aspect économique), colonisation intérieure (Colombie), commercialisation (produits agricoles), politique agricole (Colombie)
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