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C3 - Les stratégies d’avenir du Japon : investissements économiques et scientifiques par JF Sabouret
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
SABOURET Jean-François
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« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008. Mot(s) clés libre(s) : éducation et état, enseignement supérieur, japon, japon (conditions économiques), japon (enseignement), politique publique (france), politique scientifique (japon)
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Le jugement entre Gnongoro et Sofine
/ Arghyro PAOURI
/ 29-06-2007
/ Canal-u.fr
Roulon-Doko Paulette
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Il s'agit de la présentation d'un jugement
traditionnel chez les Gbaya 'bodoé, population d'Afrique Centrale. Suivant le
déroulement en temps réel du jugement, le film montre les spécificités du
traitement de la parole dans cette culture de l'oralité. Société sans hiérarchie,
on peut apprécier la libre circulation des paroles entre les femmes et les
hommes de tout âge. Le film souligne les points forts de l'argumentation des
intervenants rapprochant pour ce faire des temps de parole distants. L'argument
de la nourriture est celui qui caractérise ce jugement particulier tandis que
les arguments concernant la mère et l'enfant, le rapport aux ancêtres et la
sorcellerie sont régulièrement attestés dans tout jugement traditionnel. L'enregistrement
vidéo a été tourné en août 1992 au village de Ndongué (R.C.A.) par
l'ethnolinguiste Paulette Roulon-Doko, spécialiste de la langue et de la
culture gbaya.. Mot(s) clés libre(s) : rupture, République Centrafricaine, parole
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Penser en langues | In Sprachen denken - Hans-Jörg Rheinberger
/ FMSH Production
/ 14-03-2016
/ Canal-u.fr
Rheinberger Hans-Jörg
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2ème rencontre franco-allemande de traducteurs en sciences humaines et sciences sociales
14, 15 et 16 mars à Paris
Organisée par les Editions Maison des sciences de l'homme, la 2ème rencontre "Penser en langues | In Sprachen denken" propose d’ouvrir une plate-forme de débat sur le statut intellectuel, culturel et social de la traduction et d’initier des coopérations à long terme entre la France et l’Allemagne.
Pendant trois jours, chercheurs, traducteurs et éditeurs discuteront ensemble de la traduction comme élément constitutif de la construction d’une pensée. Outre les conférences et débats ouverts au public, la manifestation mettra également l’accent sur le travail en ateliers.
Découvrez l'intégralité du programme
Bibliothèque allemande
Dans le cadre de cette rencontre, une des dernières publications de la collection Bibliothèque allemande, Sociologie de l'espace de Martina Löw sera présentée et un débat sera organisé à l'Institut Goethe en présence de l’auteur, de Marie-Pierre Lefeuvre (Université François Rabelais, Tours / Maison des Sciences de l’Homme Val de Loire, CITERES Equipe Construction Politique et Sociale des Territoires), d’Alain Bourdin (Lab’urba – École d’urbanisme de Paris- Université de paris Est / Directeur de la Revue Internationale d’urbanisme), modération Falk Bretschneider (EHESS).
Retrouvez toutes les informations sur le site Penser en langues
Lundi, 14 mars 2016
Goethe-Institut Paris // 17, avenue d'Iéna, 75116 Paris
14h00-14h30 : Mot d‘accueil
14h30-15h45 : Heinz Wismann (EHESS) : D’une langue à l’autre: l’Odyssée de la pensée
16h15-18h : Hans-Jörg Rheinberger (Max-Planck-Institut Berlin) : Derrida übersetzen ; en
présence de son traducteur Arthur Lochmann
18h-19h : Apéritif dinatoire
19h-20h30 : Débat autour de la parution en français du livre Sociologie de
l’espace de Martina Löw aux éditions de la maison des sciences de l'homme, traduit
par Didier Renault
en présence de l’auteur, de Marie-Pierre Lefeuvre (Université François Rabelais, Tours /
Maison des Sciences de l'Homme Val de Loire, CITERES Equipe Construction Politique et
Sociale des Territoires), d’Alain Bourdin (Lab'urba - École d'urbanisme de Paris- Université
de paris Est / Directeur de la Revue Internationale d'urbanisme), modération Falk
Bretschneider (EHESS) Mot(s) clés libre(s) : sémiologie, linguistique, littérature
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L'apprenti lecteur et ses autres / Agnès Perrin
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-06-2014
/ Canal-u.fr
PERRIN Agnès
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L'apprenti lecteur et ses autres / Agnès Perrin, in journée d'études "Le lecteurs et ses autres (2)" organisée, sous la responsabilité scientifique de Marie-Josée Fourtanier, par le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence,
en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA CREATIS) en collaboration avec l'Équipe de Recherche sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs (ERRAPHIS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 20 juin 2014. En s'appuyant, d'une part, sur les travaux en didactique (notamment le modèle de représentation du lecteur de Michel Picard et les formes modélisantes de l'activité fictionnalisante de Gérard Langlade et Nathalie Lacelle) et, d'autre part, sur des données d'observations en milieu scolaire, Agnès Perrin interroge la "fabrique" du jeune apprenti lecteur qui, selon elle, passe par les tous premiers apprentissages, par l'activité fantasmatique via la voix de l'adulte lisant. Elle cherche à démontrer comment se manifestent les autres de cet apprenti lecteur et comment la lecture littéraire peut précéder l'acquisition de l'autonomie de ce lecteur, voire la développer. Mot(s) clés libre(s) : lecture (subjectivité), lecture (apprentissage), enfant (livres et lectures), lecture et imagination
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Que peuvent nous apprendre les productions écrites des sourds ? / Marie Perini
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
PERINI Marie
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Que peuvent nous apprendre les productions écrites des sourds ? / Marie Perini, in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit", journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et l'équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique du laboratoire Cognition, Langue, Langages, Ergonomie (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014.
* conférence en français traduite en langue des signes française par Gaëlle Eichelberger.
Marie Perini s’intéresse aux particularités linguistiques fréquemment rencontrées
dans les écrits de sourds profonds prélinguaux. Elle s'interroge sur l’existence d’un système linguistique propre aux sourds, identifié dans la littérature comme « français sourd » (Lacerte, 1989 ; Nadeau, 1993) et sur les points communs éventuels de ce « français
sourd » avec les caractéristiques des lectes d’apprenants (Klein et
Perdue, 1993) ainsi que sur l’hypothèse d’un fonctionnement cognitif
spécifique à la surdité, qui expliquerait la présence, même chez les
sourds non signeurs, de formes linguistiques et de choix d’informations à
transmettre tout à fait spécifiques. Mot(s) clés libre(s) : langue des signes, écrits d'handicapés auditifs, écriture (étude et enseignement), écriture (difficultés)
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Le japonais dans le secondaire : une situation paradoxale / Gérald Peloux
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 15-11-2008
/ Canal-u.fr
PELOUX Gérald
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Le japonais dans le secondaire : une situation paradoxale / Gérald Peloux. In Le japonais, c’est possible. Etats généraux de l’enseignement du japonais en France. Séminaire organisé par le Comité pour l’enseignement du japonais en France (CEJF) à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Paris, École normale supérieure, 15 novembre 2008. (Réalisation vidéo, Université Toulouse II-Le Mirail).Thématique 1 : État des lieux et perspectives de l'enseignement du japonais.Le japonais, en tant que langue proposée dans le secondaire, doit faire face à une forte demande de la part d'élèves de plus en plus influencés par la culture populaire de ce pays. Mais dans le même temps, le nombre de postes d'enseignants et le nombre d'établissements proposant cette langue n'augmente pas, voire, aurait tendance à régresser. État des lieux de cette situation paradoxale. Mot(s) clés libre(s) : japonais (langue), enseignement secondaire, enseignement des langues vivantes
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A6 - Le japonais dans le secondaire : une situation paradoxale par Gérald Peloux
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 15-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
PELOUX Gérald
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« Le japonais, c’est possible. États généraux de l’enseignement du japonais en France ». Colloque organisé à l’occasion du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la France et le Japon. Université Toulouse II-Le Mirail, 15 novembre 2008.Le japonais, en tant que langue proposée dans le secondaire, doit faire face à une forte demande de la part d'élèves de plus en plus influencés par la culture populaire de ce pays. Mais dans le même temps, le nombre de postes d'enseignants et le nombre d'établissements proposant cette langue n'augmentent pas, voire, auraient tendance à régresser. État des lieux de cette situation paradoxale. Mot(s) clés libre(s) : enseignants (france), enseignement secondaire, étude et enseignement, influence japonaise, japonais (langue)
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Jacques Lordat (1773-1870) ou la naissance de la neuropsycholinguistique cognitive. Du vitalisme au cognitivisme ? / Jean-Luc Nespoulous
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-07-2015
/ Canal-u.fr
NESPOULOUS Jean-Luc
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Jacques Lordat (1773-1870) a fait une exceptionnelle carrière, d’une
cinquantaine d’années, à la Faculté de Médecine de Montpellier, dont il
fut un temps Doyen. Très tôt, il s’intéressa aux troubles du langage
consécutifs à des crises d’apoplexie (cf. sa description des troubles
manifestés par son collègue médecin et naturaliste, Pierre Marie
Auguste Broussonnet (1761-1807).
Ses observations le conduisirent à
une modélisation des différentes étapes de l’acte de parole –de sa
conception initiale jusqu’à sa réalisation ultime par les organes de la
phonation (à la manière d’un Garrett ou d’un Levelt)– et ce plusieurs
années avant qu’il ne souffre lui-même d’une aphasie transitoire (1825)
qui ne manqua pas d’alimenter la poursuite de sa réflexion sur le sujet
jusqu’à la fin de sa carrière.
Indiscutablement, Jacques Lordat fait rétrospectivement figure de fondateur de la neuropsycholinguistique cognitive.
* Diffusion de l'intégralité de la conférence organisée par le laboratoire Octogone à l'occasion du 25ème anniversaire du Laboratoire Lordat, à l'Université Toulouse-Jean Jaurès, le 9 juillet 2015. Mot(s) clés libre(s) : troubles du langage, neuropsycholinguistique, Jacques Lordat (1773-1870), recherches en sciences cognitives
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Un JE en construction - Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS Lyon
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 12-12-2008
/ Canal-u.fr
MORGENSTERN Aliyah
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Construction de la personne et auto-désignation chez l'enfant de 18 mois à 3 ans
Parler nous paraît aussi naturel que respirer, mais l’entrée de l’enfant dans la langue, aussi ancrée soit-elle dans son quotidien, fascine poètes, philosophes, biologistes, psychologues, médecins et linguistes et reste un processus encore auréolé de mystère malgré des milliers de pages de littérature sur la question.
Travailler sur l’acquisition, c’est aborder « l’enfant dans la langue » et donc à la fois s’émerveiller qu’un enfant puisse entrer dans le langage et aller aux racines de l’activité du linguiste. En suivant pas à pas l’entrée de l’enfant dans la langue, on peut observer directement comment le discours, l’histoire de l’enfant, son expérience, ses émotions, ses jeux, ses relations aux autres et au monde, l’aident à façonner sa grammaire et à se construire en tant que personne et sujet-parlant.
À la croisée de la linguistique de l'énonciation et de l'acquisition du langage, cette présentation avait pour objectif de développer des hypothèses sur le cheminement de l'enfant apprenti-énonciateur, à partir d'une analyse de la genèse de l'auto-désignation. L'enfant peut assimiler très tôt les représentations de lui-même que lui proposent verbalement les adultes et les reformuler dans son propre discours. Il est donc intéressant de se pencher sur l'acquisition des marques de première personne et notamment le phénomène du "renversement pronominal" (emploi de tu ou de il à la place de je), qui se rencontre au cours de la troisième année chez des enfants "tout venants", et disparaît au bout de quelques mois. L'analyse des conditions dans lesquelles ces renversements apparaissent et disparaissent peut nous éclairer sur la façon dont l'enfant arrive à différencier le moi et l'autre, à construire son identité dans l’altérité.
A la fin du processus d’acquisition, vers trois ans, l’enfant conjoint sujet de l’énoncé, sujet énonciateur, sujet sémantique, sujet de conversation dans une seule forme, JE, mais il lui a fallu passer par un mouvement de disjonction de ces différents plans en produisant différentes marqueurs s’écartant de la forme adulte avant de les conjoindre. L’enfant va comprendre que ces différentes facettes de lui-même qu’il a marquées par des formes différentes, (forme verbale nue, voyelle préverbale, tu, il, moi, je) n’altèrent en rien l’unité de son identité. Au terme du processus, l’enfant est énonciateur à part entière, il est capable de parler de lui en se jugeant à travers ce qu’il a été, ce qu’il est, ce qu’il aimerait être et ce qu’il sera dans le temps. Il s’est dégagé de l’autre et de sa parole, il s’est taillé sa place dans la co-énonciation.
Directeur de la production : Christophe Porlier
Interview et réalisation : Pascal Grzywacz
Image et montage : Sébastien Boudin
Encodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : langage, identité, enfant, acquisition, moi infantile
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Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS Lyon - Un JE en construction
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon
/ 12-12-2008
/ Canal-U - OAI Archive
MORGENSTERN Aliyah
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Construction de la personne et auto-désignation chez l'enfant de 18 mois à 3 ansParler nous paraît aussi naturel que respirer, mais l’entrée de l’enfant dans la langue, aussi ancrée soit-elle dans son quotidien, fascine poètes, philosophes, biologistes, psychologues, médecins et linguistes et reste un processus encore auréolé de mystère malgré des milliers de pages de littérature sur la question. Travailler sur l’acquisition, c’est aborder « l’enfant dans la langue » et donc à la fois s’émerveiller qu’un enfant puisse entrer dans le langage et aller aux racines de l’activité du linguiste. En suivant pas à pas l’entrée de l’enfant dans la langue, on peut observer directement comment le discours, l’histoire de l’enfant, son expérience, ses émotions, ses jeux, ses relations aux autres et au monde, l’aident à façonner sa grammaire et à se construire en tant que personne et sujet-parlant. À la croisée de la linguistique de l'énonciation et de l'acquisition du langage, cette présentation avait pour objectif de développer des hypothèses sur le cheminement de l'enfant apprenti-énonciateur, à partir d'une analyse de la genèse de l'auto-désignation. L'enfant peut assimiler très tôt les représentations de lui-même que lui proposent verbalement les adultes et les reformuler dans son propre discours. Il est donc intéressant de se pencher sur l'acquisition des marques de première personne et notamment le phénomène du "renversement pronominal" (emploi de tu ou de il à la place de je), qui se rencontre au cours de la troisième année chez des enfants "tout venants", et disparaît au bout de quelques mois. L'analyse des conditions dans lesquelles ces renversements apparaissent et disparaissent peut nous éclairer sur la façon dont l'enfant arrive à différencier le moi et l'autre, à construire son identité dans l’altérité. A la fin du processus d’acquisition, vers trois ans, l’enfant conjoint sujet de l’énoncé, sujet énonciateur, sujet sémantique, sujet de conversation dans une seule forme, JE, mais il lui a fallu passer par un mouvement de disjonction de ces différents plans en produisant différentes marqueurs s’écartant de la forme adulte avant de les conjoindre. L’enfant va comprendre que ces différentes facettes de lui-même qu’il a marquées par des formes différentes, (forme verbale nue, voyelle préverbale, tu, il, moi, je) n’altèrent en rien l’unité de son identité. Au terme du processus, l’enfant est énonciateur à part entière, il est capable de parler de lui en se jugeant à travers ce qu’il a été, ce qu’il est, ce qu’il aimerait être et ce qu’il sera dans le temps. Il s’est dégagé de l’autre et de sa parole, il s’est taillé sa place dans la co-énonciation. Directeur de la production : Christophe PorlierInterview et réalisation : Pascal GrzywaczImage et montage : Sébastien BoudinEncodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : acquisition, enfant, identité, langage, moi infantile
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