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La danse tahitienne en France
/ Gisèle DE BARROS, Cannelle MARICAN
/ Canal-u.fr
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De nombreux tahitiens vivent en France métropolitaine, loin de leur île d'origine. Certains d'entre eux, pour ne pas oublier d'où ils viennent ou juste par passion, font de la danse tahitienne en France.Dans cette vidéo vous ferez la connaissance de Tahia Cambet, professeure de danse tahitienne à Paris. Elle transmet sa passion pour cette danse à ses élèves d'origines diverses, dont certaines sont tahitiennes. Nous avons pu la suivre lors de ses différents cours de danse.Vous retrouverez aussi son témoignage ainsi que celui d'une de ses élèves, elle aussi venue de Tahiti. Mot(s) clés libre(s) : danse, Danse folklorique, polynésie, danse tahitienne, Tahiti, cours de danse, Tahia
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Vivre une double culture - Témoignage d'un couple métis
/ Tessa MARENELLY, Armelle TURPIN
/ Canal-u.fr
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Angela est française et Yoshifumi est japonais. En couple depuis quatre ans, ils nous expliquent comment l'interculturalité de leur couple façonne leur histoire. Mot(s) clés libre(s) : communication interculturelle, interculturel, dialogue interculturel, double culture
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La parole du soufflet de forge en pays Gbaya
/ Paulette Roulon-Doko
/ Canal-u.fr
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Au cœur de l’Afrique centrale, en
République Centrafricaine, vivent les Gbaya 'bodoe, qui sont des villageois
vivant, à 900 mètres d’altitude, dans une savane arborée où ils s’adonnent à la
chasse, à la cueillette et aussi aux cultures vivrières. Culture de tradition
orale, ils accordent une très grande importance à la parole dont le maniement
constitue un savoir très valorisé.
Dans cette culture, un certain nombre
de bruits, quelle qu’en soit l’origine, sont interprétés en terme de paroles.
Souvent, lorsqu’un bruit est traduit en parole, il y a dans l’onomatopée même
qui permet d’imiter ce bruit, un rythme qui fait croire à un énoncé. Il ne
s’agit pas là d’une interprétation individuelle. Il y a consensus sur
l’interprétation donnée. Ainsi les feux allumés pour les grandes chasse font
entendre gɛ̀lɛ̀m báà qui signifie
« promptement attrape [les herbes] » et est compris comme un
encouragement que s’envoient entre elles les flammes qui brûlent les herbes
sèches. Quant au bruit de la toux il est
toujours rendu par ʔám tɛ́ ʔɔ́ hɛ̰̀
qui signifie « je vais dormir ici ». Il
en va de même pour la simple reproduction des bruits sous forme d’onomatopées
dont la forme, parfaitement figée,
renvoie toujours à la même référence. Ainsi la musique du balafon ou la
sanza est exprimée par une suite de ʔílɛ́ŋ
ʔílɛ́ŋ et celle du tambour par gìɗɛ̰̀ gìɗɛ̰̀.
De même, le bruit des soufflets de forge qu’on peut entendre dans l’extrait
suivant est rendu par une suite rythmée de tìkpìrí
ou de tùkpùrú.
Dans ce conte pour décrire l’activité
de la forge, c’est la mention du bruit fort et régulier du soufflet tùkpùrú tùkpùrú qui est systématiquement utilisée. Mot(s) clés libre(s) : conte, forges, République Centrafricaine
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Cassava in the Gbaya Region
/ Paulette Roulon-Doko
/ Canal-u.fr
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Version anglaise du film "Le manioc en pays Gbaya" Mot(s) clés libre(s) : République Centrafricaine
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Yvonne Treis : Au bord du silence
Chants traditionnels du pays baskeet
/ MARYLINE LEDUCQ
/ Canal-u.fr
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« C’est
par hasard que j’ai rencontré Kammtso Kammo. Et j’ai connu son histoire plus
tard. A l’époque, je ne savais pas. » La rencontre avec ce chef de clan,
l’un des derniers gardiens des chants et des contes de sa communauté, est
décisive pour Yvonne Treis. Linguiste et intéressée par le Baskeet, une
langue omotique parlée en Ethiopie, la chercheuse comprend la richesse et la
fragilité extrême de cette culture qu’elle vient à peine de découvrir.
Parcourant la campagne, elle se consacre alors à recueillir des traditions
langagières et musicales aujourd’hui au bord de disparaître.Avec Yvonne Treis, linguiste au LLACAN (Langage, langues et cultures d'Afrique noire) CNRS / INALCO Mot(s) clés libre(s) : musique, linguistique, tradition
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L'arabe de Juba
/ Maryline Leducq
/ Canal-u.fr
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Connaissez-vous l'arabe de Juba ? Le première épisode de la collection
"Langues rares" nous fait découvrir cette langue parlée au Soudan du
sud par la majorité de la population. Rare dans sa genèse et l'avenir
problématique...Avec : Stefano Manfredi (SEDYL) Mot(s) clés libre(s) : Soudan
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Le faible rôle de l’État dans l’évolution de la langue française
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
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Cette manifestation a été organisée dans le cadre de la
conférence annuelle de l’Association for French Language Studies (AFLS,)
organisée par le CRISCO du 17 au 19 juin 2015 : La
linguistique du français vernaculaire : analyses synchroniques, perspectives
diachroniques et applications didactiques.Anthony Lodge est, depuis 2008, professeur émerite de linguistique
française à l’Université de Saint-Andrews (R-U). Il a enseigné la
linguistique française dans trois universités britanniques – Aberdeen
(1967-1984), Newcastle (1984-1995), Saint Andrews (1995-2008). Tout au
long de sa carrière il s’est intéressé à l’enseignement du français
langue étrangère (publ. Le Français en faculté -1979) et à l’édition de textes médiévaux (publ. Le Livre des Manières d’Etienne de Fougères - 1979, The Earliest Branches of the Roman de Renart - 2001). Il s’est intéressé également à la langue occitane, et en
particulier aux archives médiévales de Montferrand (Puy-de-Dôme) (publ. Les comptes des consuls de Montferrand -1985, 2006, 2010). En linguistique historique il a publié deux ouvrages importants – Le Français. Histoire d’un dialecte devenu langue (1997) et A Sociolinguistic History of Parisian French (2004). Avec Jacques Durand et Richard Towell il a fondé en 1989 la revue Journal of French Language Studies (CUP).Résumé de la communicationDans la grande tradition républicaine, l'histoire de la langue française est
surtout le fait de l'état et de la grande littérature. Le français entre dans la
vie de la Nation au IXe siècle (Serments de Strasbourg 843), et
s'élabore progressivement au cours du moyen âge sous la plume de poètes,
chroniqueurs et administrateurs. Il est pris directement en main, à la
Renaissance, par une monarchie qui vise, d'un côté, l'anéantissement des
dialectes (Villers-Cotterêts 1539), et, de l'autre, la création d'une langue
classique modèle de logique, de clarté et d'élégance (Académie française 1637).
Cette grande tâche fut menée à bien par les grammairiens et grands auteurs de
l'Ancien Régime, mais il a fallu la Révolution et surtout la Troisième
République, pour que la population générale puisse en bénéficier. Le grand
regret de nos jours c'est que ce précieux héritage national soit si souvent
négligé et défiguré.Tout cela serait bien beau, s'il donnait une vision quelque peu réaliste du
passé de la langue. Peut-on réduire le français à la seule langue officielle, à
la belle langue ? Les millions de Français ordinaires n'ont-ils joué aucun rôle
dans l'évolution de leurs propres façons de parler ? Chacun sait que le français
est issu non pas de la belle langue latine, du latin officiel, mais du latin
parlé par des millions de Romains ordinaires. Qu'en serait-il d'une histoire du
français qui mette au milieu de la scène les locuteurs français ordinaires,
agissant collectivement et inconsciemment ? On y verrait une réduction du rôle
de l'état et des grands auteurs, mais le résultat ne serait-il pas plus conforme
à ce que nous savons aujourd'hui sur les modalités du changement linguistique
? Mot(s) clés libre(s) : pouvoir, evolution, Linguistique
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Les catholiques chinois de Paris, métissages culturels et intergénérationnels
/ Hélène Genevois, Aude Cateland, Zoé Rialan
/ Canal-u.fr
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Au coeur du triangle de Choisy dans le 13ème arrondissement de Paris : Notre-Dame de Chine, première église chinoise de France. Père Paul An nous présente l'Eglise et ses missions, la place de la foi pour la communauté chinoise de Paris, l'importance de leurs origines et de leur langue dans les célébrations ainsi que l'entraide au sein de la communauté. Les liens forts qui les unissent leur permettent également d'être très ouvert et accueillant envers les français qui se rapprochent de leur paroisse.
La célébration du nouvel an chinois nous permet d'assister à plusieurs métissages :
un premier franco-chinois, entre touristes, simples curieux, et fidèles.
un second entre les prêtres catholiques et les lions, symboles de la culture traditionnelle chinoise,
enfin un intergénérationnel : enfants, parents et grands-parents se retrouvent pour l'occasion. Mot(s) clés libre(s) : métissage, paris, 13ème arrondissement, mandarin, asiatique, diaspora chinoise, communauté chinoise, Communautés ethniques et religieuses, catholicisme, france
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Xavier Garnier (Professeur à l’Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3 - THALIM, Théoriie et histoire des arts et des littératures de la modernité) : « Ecrivains swahilis entre injonctions normatives contradictoires »
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
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Xavier Garnier (Professeur à l’Université Sorbonne Nouvelle, Paris 3, UMR 7172-THALIM, Théoriie et histoire des arts et des littératures de la modernité, ED 120 - Littérature française et comparée) : « Ecrivains swahilis entre injonctions normatives contradictoires »
Cette conférence a été donnée dans le cadre de l'opération de recherche ELLAF "discours canoniques dans leurs modalités linguistiques" coordonnée par Sandra Bornand.
La littérature écrite en kiswahili s’est développée, dans le courant du vingtième siècle,
dans le contexte d’une standardisation de la langue pilotée de façon institutionnelle à
l’échelle de l’Afrique de l’Est à l’époque coloniale, puis de la Tanzanie à partir des années
60. Les écrivains ont été sollicités pour assister et prolonger le travail de standardisation
de la langue et se sont souvent retrouvés en situation de tension par rapport à leur
propre expérience de la langue. Ces conflits entre les normes qui sont associées aux
différentes représentations de la langue sont au cœur des dynamiques de
développement de la littérature swahilie moderne. Ils ont pu donner lieu à des querelles
littéraires, dont nous montrerons l’enjeu politique profond. Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, UPS2259, ELLAF, Discours canoniques, Xavier Garnier, Ecrivains swahilis entre injonctions normatives contradictoires, Ecrivains swahilis
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Rey Siñu, traduction du "Petit Prince" en créole casamançais
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
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Ce vendredi 29 mai 2015 a eu lieu la présentation officielle de "Rey Siñu" (éditeur Tintenfass), traduction du livre "Le petit prince" d’Antoine de Saint-Exupéry en créole casamançais.
Cette présentation, s'est déroulée en présence de Nicolas Quint, chercheur au CNRS en linguistique au laboratoire du LLACAN ( Langage, Langues et Cultures d'Afriques noire), et Joseph Jean François Nunez, doctorant au LLACAN, co-traducteurs de cette édition en créole de casamance Ce lancement officiel du Petit Prince en casamançais à Paris a été l'occasion d'une lecture d'extraits en casamançais ainsi qu'en capverdien et en plusieurs variantes du portugais, et aussi d'écouter le musicien capverdien Téofilo ChantreLe lancement de ce livre à eu l'honneur de la présence de : - Philippe Barbry, ambassadeur de France au Cap-Vert- José Filipe de Moraes Cabral, ambassadeur du Portugal en France- Paul Badji, ambassadeur du Sénégal en France- Edison Luiz da Rosa Junior, attaché culturel de l'ambassade du Brésil
en FranceUn projet mené à bien grâce aux soutiens de :- La librairie Portugaise & Brésilienne de Paris (Michel Chandeigne)- Projet de recherche LABEX EFL du CNRS,- L’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF)Librairie Portugaise - 19/21 rue des Fossés Saint-Jacques, Place de l’Estrapade, 75005 Paris. Mot(s) clés libre(s) : LLACAN, Petit prince créole casamançais, Noel Bernard Biaguy, Joseph Jean François Nunez, éditeur Tintenfass, Rey Siñu, Teofilo Chantre, Michel Chandeigne, - La librairie Portugaise & Brésilienne de Paris, UPS2259, Nicolas Quint, créole casamançais
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