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«Islamophobie»
/ Canal-u.fr
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Table-ronde animée par André BURGUIERE (EHESS/CRH)
Interventions de Nilüfer GÖLE (EHESS) et Fahrad KHOSROKAVAR (EHESS)
Discutante : Anne LE HUEROU (Université de Nanterre & EHESS) Mot(s) clés libre(s) : laïcité, intégration sociale, radicalisation, islamophobie
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« LIMITES FRONTIÈRES » : Qu’est-ce qu’un terrain ? Débat (2ème partie)
/ Thomas GUIFFARD
/ 14-04-2015
/ Canal-u.fr
DORLIN Elsa, CLAIR Isabelle, ROUCOUX Guillaume, GRECO Luca, ZASK Joëlle, ROUGE Rémi
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QU’EST-CE QU’UN TERRAIN ?
Organisation :
Isabelle Clair, Elsa Dorlin et Guillaume Roucoux
Pratique de recherche ancienne, et pendant
longtemps outil et label d’une seule discipline, le
‘terrain’ a été diversement approprié, et dès
lors redéfini, au gré des traditions de recherche.
En dépit de la portée critique de leurs pensées
et épistémologies, les féministes en France se
sont jusqu’à présent peu exprimées sur leurs
méthodologies et moins encore sur leurs mé-
thodes. Lors de cette table ronde, on discutera
des perturbations occasionnées par une définition
et une pratique féministes du terrain, et
inversement on s’intéressera aux incidences de
l’engagement sur le terrain pour les corpus
féministes.
La question du terrain permettra ainsi d’éprouver
les conceptions classiques de la relation
entre sujets et objets de connaissance, de
revenir sur les expressions d’entrée et de sortie
du terrain ; mais aussi de réfléchir à une déontologie
féministe du travail d’enquête. Enfin à
l’aune des clivages relatifs au divorce entre
sciences humaines et sciences sociales, on se
demandera : à quelles conditions le passage par
l’empirie est-il nécessaire pour saisir la
matérialité des rapports de domination ?TEXTES
« Le terrain comme performance scientifique »,
Guillaume Roucoux, EPHE et Paris 8, CresppaLabTop/Gral
et GSRL, sociologie
« Qu’est-ce qu’un terrain féministe ? », Isabelle
Clair, CNRS, Cresppa-GTM/Gral, sociologie
« Fouler le jardin des dominants », Elsa Dorlin,
Paris 8, Cresppa-LabTop/Gral, philosophie.
DISCUSSION
Luca Greco, Paris 3, CLESTHIA, sociolinguistique
Joëlle Zask, Aix-Marseille, IHP, philosophie Mot(s) clés libre(s) : terrain, Études féministes, Limites Frontières
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« LIMITES FRONTIÈRES » : Qu’est-ce qu’un terrain ?
/ Thomas GUIFFARD
/ 14-04-2015
/ Canal-u.fr
DORLIN Elsa, CLAIR Isabelle, ROUCOUX Guillaume, GRECO Luca, ZASK Joëlle, ROUGE Rémi
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QU’EST-CE QU’UN TERRAIN ?
Organisation :
Isabelle Clair, Elsa Dorlin et Guillaume Roucoux
Pratique de recherche ancienne, et pendant
longtemps outil et label d’une seule discipline, le
‘terrain’ a été diversement approprié, et dès
lors redéfini, au gré des traditions de recherche.
En dépit de la portée critique de leurs pensées
et épistémologies, les féministes en France se
sont jusqu’à présent peu exprimées sur leurs
méthodologies et moins encore sur leurs mé-
thodes. Lors de cette table ronde, on discutera
des perturbations occasionnées par une définition
et une pratique féministes du terrain, et
inversement on s’intéressera aux incidences de
l’engagement sur le terrain pour les corpus
féministes.
La question du terrain permettra ainsi d’éprouver
les conceptions classiques de la relation
entre sujets et objets de connaissance, de
revenir sur les expressions d’entrée et de sortie
du terrain ; mais aussi de réfléchir à une déontologie
féministe du travail d’enquête. Enfin à
l’aune des clivages relatifs au divorce entre
sciences humaines et sciences sociales, on se
demandera : à quelles conditions le passage par
l’empirie est-il nécessaire pour saisir la
matérialité des rapports de domination ?TEXTES
« Le terrain comme performance scientifique »,
Guillaume Roucoux, EPHE et Paris 8, CresppaLabTop/Gral
et GSRL, sociologie
« Qu’est-ce qu’un terrain féministe ? », Isabelle
Clair, CNRS, Cresppa-GTM/Gral, sociologie
« Fouler le jardin des dominants », Elsa Dorlin,
Paris 8, Cresppa-LabTop/Gral, philosophie.
DISCUSSION
Luca Greco, Paris 3, CLESTHIA, sociolinguistique
Joëlle Zask, Aix-Marseille, IHP, philosophie Mot(s) clés libre(s) : terrain, Études féministes, Limites Frontières
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« Comment je suis venu à l’École… ». Une passion de Jacques Le Goff
/ Direction de l'Audiovisuel de l'EHESS (Dir. Jean-Claude Penrad)
/ 04-04-2010
/ Canal-u.fr
LE GOFF Jacques, MAZON Brigitte
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Introduction aux extraits mis en ligne le 1er
juin 2014 dans La Lettre de l’EHESS par Brigitte Mazon, Responsable du service des archives de l’EHESS
Dans un entretien
accordé à Brigitte Mazon le 4 avril 2010, Jacques Le Goff raconte en toute
liberté comment il est arrivé à « l’École », alors sixième section de
l’Ecole pratique des hautes études. Au sortir de l’agrégation, en 1950, attiré par
l’enseignement en séminaires (plus particulièrement ceux de Maurice Lombard), il
a été recruté par Fernand Braudel comme chef de travaux d’abord (1960), puis nommé
premier maître-assistant de la section, avant d’être élu directeur d’études, en
1962.
L’heure venue de la
succession de Fernand Braudel (1972), il s’est donné pour mission de
« démocratiser » le fonctionnement de l’École, en organisant
préalablement, à Royaumont, un premier grand
séminaire de réflexion collective. C’est à son collègue et ami Roland Barthes
qu’il confia la synthèse et la coordination de ces rencontres qui ont fait date
dans les esprits de la seconde génération de l’École. Préservant le rôle du
président à la tête des trois instances, incitant les hommes et les disciplines
à se parler encore davantage, dans la tradition de la revue Annales
d’histoire économique et sociale, fondée
par Marc Bloch et Lucien Febvre en 1929, Jacques Le Goff a conduit la transformation
de la sixième section de l’École pratique des hautes études, en École des
hautes études en sciences sociales.
« Si devais résumer la passion que j’ai eue pour ce qui
est devenu l’École des hautes études en sciences sociales, pour ses horizons
pour ses activités, c’est le fait précisément qu’elle ouvrait les horizons les plus larges […] qu’il
y avait ce dialogue permanent, qui allait au-delà du dialogue, qui était une
sorte de mariage si je peux dire entre les sciences sociales, c’est-à-dire l’histoire, la géographie, l’économie, la
sociologie et l’ethnologie ».
Préférant
la notion de « multiplicité des civilisations » à celle, héritée de
la période Braudel, d’ « aires culturelles », Jacques Le Goff, homme
de dialogue, confie dans cette conversation enregistrée quelques anecdotes et témoignages,
autant de « traces » orales qu’il inscrivait volontiers comme une des
sources multiples de l’histoire. Mot(s) clés libre(s) : histoire, institutions, Fernand Braudel (1902-1985), EHESS, Jacques Le Goff
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Yves Gingras, "Nature et pertinence de la sociologie", session plénière du congrès 2015 de l'AFS
/ 29-06-2015
/ Canal-u.fr
GINGRAS Yves
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Session plénière du 6ème congrès de l'AFS, Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, 29 juin-2 juillet 2015
Yves Gingras est professeur à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) depuis 1986. Après l’obtention d’une maîtrise en physique de l'Université Laval, il compléta un doctorat en histoire et
en sociopolitique des sciences à l'Université de Montréal en 1984. Sa thèse intitulée « Les physiciens
canadiens : généalogie d’un groupe social, 1850-1950 », fut publiée en 1991 simultanément en anglais et en
français sous le titre suivant : Les origines de la recherche scientifique au Canada. À son actif, il a près d’une dizaine de monographies en tant qu’auteur, coauteur ou éditeur, une centaine
d’articles et près de deux cents conférences.
Le congrès 2015 de l'AFS était consacré au thème : "La sociologie, une science contre nature ?" Mot(s) clés libre(s) : sociologie, sociologie des sciences, épistémologie des sciences sociales, histoire de la sociologie, nature
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XXXVIIIe conférence Marc Bloch. Nancy Fraser : Sur les contradictions sociales du capitalisme contemporain
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 18-06-2015
/ Canal-u.fr
FRASER Nancy, HAUTCOEUR Pierre-Cyrille
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Conférence de Nancy Fraser, New School of New York
Grand amphithéâtre de la Sorbonne 14 juin 2016
Plus d'information Mot(s) clés libre(s) : sciences sociales, capitalisme
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XXXVIIe conférence Marc Bloch. Andrew Abbott : L'avenir des sciences sociales
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 18-06-2015
/ Canal-u.fr
ABBOTT Andrew, HAUTCOEUR Pierre-Cyrille
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Conférence de Andrew Abbott University of ChicagoGrand amphithéâtre de la Sorbonne 18 juin 2015“Parmi les tendances susceptibles de produire un changement rapide dans les sciences sociales, le plus important est l’existence d’un décalage entre leurs dimensions empiriques et normatives. On soutiendra ici l’idée que ce décalage entre, d’une part, la diversité des ontologies empiriques à notre disposition et, d’autre part, l’éventail plus réduit des ontologies normatives sur lesquelles nous nous appuyons, est problématique. De fait, la plupart des sciences sociales ont recours à ce qu’on pourrait qualifier de « contractualisme normatif ». Ontologie normative la plus courante dans les sciences sociales, ce dernier n’est cependant pas en mesure de nous permettre d’appréhender correctement les problèmes normatifs soulevés par les notions de « particularité », d’ « historicité » et de « diversité des valeurs ». La communication s’achève par une invitation à une analyse normative de la vie sociale qui soit plus ouverte, et avance l’argument selon lequel une telle analyse doit nécessairement être processuelle”Andrew AbbottPlus d'information Mot(s) clés libre(s) : sciences sociales, avenir
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Ville : un autre regard, le regard d'un autre (Marie Desplechin)
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, Grand Lyon, Économie et Humanisme, ENS-LSH, Conseil de Développement du Grand Lyon
/ 14-12-2006
/ Canal-u.fr
DESPLECHIN Marie, WORMSER Gérard
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Marie Desplechin s’interroge sur la place "à l’autre, dans sa ville qui n’est pas la mienne, et à l’impression d’être autre partout où je suis…".
Réflexions sur l’identité dans la ville. L’identité d’un être, c’est son adresse, là où il habite. On appartient à des lieux, soit l’endroit où on est né, soit celui où on habite. On peut n’appartenir à aucun lieu, ce qui est, à mon avis, appartenir à un non-lieu : l’absence de lieu, cela vous constitue. On ne peut pas vivre sans avoir une représentation de soi, et elle est liée à la géographie. On le voit dans la littérature, quand les gens évoquent leurs souvenirs d’enfance ; ce sont des endroits, des rues… Ces espaces nous constituent.Marie Mot(s) clés libre(s) : représentation de soi, souvenirs d’enfance, non-lieu, Marie Desplechin, le regard de l’autre, identité de la ville, décembre 2006, appartenir à un lieu, absence de lieu, Les conférences du Grand Lyon 2006-2007, Gérard Wormser, ENS Lyon, ville, un autre regard
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Vieillir en Occident : question de genre ? avec Betty Lefèvre
/ 16-03-2015
/ Canal-u.fr
LEFÈVRE Betty
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Comment penser le temps, mais aussi "les corps-sujets" que nous sommes, aux prises ou en déprise avec le temps ? L’ anthropologue questionne, dans les sociétés modernes de l’Occident, les représentations attachées aux corps vieillissants et au genre. Selon que l’on est homme ou femme, on est jugé (et vieilli) de manière différenciée. "Vieillir par corps" ne véhicule pas les mêmes processus de stigmatisations et/ou de rejets. Pour les femmes plus que pour les hommes, les images stéréotypées du masculin/féminin ont imposé au cours des siècles des normes en matière d’apparence et de beauté idéalisée. Le vieillissement féminin devient alors le signe d’une métamorphose dévalorisante, construisant un écart intolérable – et définitif – avec la féminité fantasmée.Cette conférence analyse ce traitement asymétrique du vieillissement selon les appartenances de sexe, ainsi que les processus de mise « hors jeu » liés à l’âge, dès lors qu’on ne répond pas ou plus aux modèles dominants. Mot(s) clés libre(s) : représentations, éthique et vieillissement, temps
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Une architecture pour la recherche
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ 30-10-2015
/ Canal-u.fr
Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
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La Maison de la Recherche en Sciences Humaines (MRSH) CNRS,
Université de Caen Normandie célèbre cet automne 2015 son vingtième
anniversaire. Les travaux de sa construction ont été terminés en avril
1995. Les services de gestion de la Maison, les structures d’appui et de
valorisation des recherches, les équipes et pôles de recherches se sont
progressivement installés au cours du printemps et de l’été suivants. La construction telle qu’elle a été conçue à partir de 1992 n’a
pas été modifiée au cours de ces vingt années. Mais avec l’inauguration
prochaine d’une nouvelle construction qui prolonge le bâtiment initial
s’ouvre une nouvelle phase de l’histoire de la MRSH... Mot(s) clés libre(s) : architecture, MSH
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