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Le "quartier Italie" de Dudelange, enjeux de mémoire autour d'un projet patrimonial / Zeina Habet
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 13-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
HABET Zeina
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Le "quartier Italie" de Dudelange, enjeux de mémoire autour d'un projet patrimonial. Zeina HABET (Centre de documentation sur les migrations humaines, Luxembourg). In "Quartiers et mémoires de migrations", journée d'étude organisée par le laboratoire France méridionale et Espagne, Histoire des sociétés du moyen Age à l'époque contemporaine (FRAMESPA, CNRS) en collaboration avec la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration et avec le soutien de la MSHS de Toulouse, dans le cadre de "La Novela" le festival des savoirs de la ville de Toulouse. Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 13-14 octobre 2009. Mot(s) clés libre(s) : histoire sociale, immigrés, italiens (Luxembourg), lieux de mémoire, mémoire collective, quartiers ethniques (Luxembourg)
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La coutume : formes, représentation et enjeux. Présentation du colloque / Olivier Guerrier
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
GUERRIER Olivier
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Présentation par Olivier Guerrier du colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux " organisé dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008.Il s’agira de considérer le "Discours de la servitude volontaire" (et, s’il se peut, les autres œuvres de La Boétie, ou que l’on a coutume d’attribuer à La Boétie) comme mettant en cause des notions centrales dans la culture de la Renaissance, de les re-situer dans les périodes antérieures au XVIe siècle, mais également d’en voir les prolongements jusqu’au XVIIIe siècle.Dans un passage marqué par l’influence d’Hérodote et son regard sur les civilisations orientales, le début du Discours fait de la coutume le premier principe explicatif de la « volonté de servir ». On pourra d’abord étudier la présence du thème, de l’historien grec à Montesquieu et au-delà, en précisant ses enjeux philosophiques (son inscription dans l’opposition entre nature et convention notamment), en mettant l’accent sur la manière dont il est exposé, tout autant que sur le travail de réflexion qu’il suscite - prise de conscience relativiste, analyse des processus d’accoutumance et de désaccoutumance…Sous une perspective moins critique mais pas nécessairement coupée de la précédente, il y aura également lieu de considérer la coutume comme fondement social et notion juridique, en reliant en particulier le Discours aux mutations que connaît le droit à partir du XVe siècle. « Coutumiers », recueils de coutume ou commentaires pourront ainsi être les supports d’analyses sur le statut des coutumes, sur leurs rapports avec le droit romain, sur le mouvement de « rédaction » et de « réforme » dont elles sont l’objet, et plus largement sur les rapports problématiques qu’elles entretiennent avec la Loi tout au long de l’Ancien Régime.Il sera loisible enfin, et dans la continuité, de traquer la coutume, ses formules et ses modalités dans des cadres autres que ceux du droit. Par exemple, sa présence dans la langue, dans les proverbes ou autres tours idiomatiques, pourra donner lieu à des considérations sur les « parlers », leur rôle et leur sort dans les œuvres et les pratiques savantes.Au croisement de la philosophie, de la littérature, du droit et de l’histoire, ces journées se veulent un espace d’échanges entre les disciplines et leurs usages, comme de confrontation entre les différents textes qui traitent de la « coutume ». Mot(s) clés libre(s) : codification du droit, droit (sources), droit coutumier, droit et littérature, droit romain, Étienne de la Boétie (1530-1563), humanisme de la Renaissance, linguistique, littérature française, Michel de Montaigne (1533-1592), usages et coutumes (droit)
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La coutume : formes, représentation et enjeux. Présentation du colloque / Olivier Guerrier
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 26-11-2008
/ Canal-u.fr
GUERRIER Olivier
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La coutume : formes, représentations et enjeux. Présentation / Olivier Guerrier. Colloque organisé dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat par la Société des amis de La Boétie, Centre culturel de Sarlat, 26-28 novembre 2008.Il s’agira de considérer le "Discours de la servitude volontaire" (et, s’il se peut, les autres œuvres de La Boétie, ou que l’on a coutume d’attribuer à La Boétie) comme mettant en cause des notions centrales dans la culture de la Renaissance, de les re-situer dans les périodes antérieures au XVIe siècle, mais également d’en voir les prolongements jusqu’au XVIIIe siècle.Dans un passage marqué par l’influence d’Hérodote et son regard sur les civilisations orientales, le début du Discours fait de la coutume le premier principe explicatif de la « volonté de servir ». On pourra d’abord étudier la présence du thème, de l’historien grec à Montesquieu et au-delà, en précisant ses enjeux philosophiques (son inscription dans l’opposition entre nature et convention notamment), en mettant l’accent sur la manière dont il est exposé, tout autant que sur le travail de réflexion qu’il suscite - prise de conscience relativiste, analyse des processus d’accoutumance et de désaccoutumance…Sous une perspective moins critique mais pas nécessairement coupée de la précédente, il y aura également lieu de considérer la coutume comme fondement social et notion juridique, en reliant en particulier le Discours aux mutations que connaît le droit à partir du XVe siècle. « Coutumiers », recueils de coutume ou commentaires pourront ainsi être les supports d’analyses sur le statut des coutumes, sur leurs rapports avec le droit romain, sur le mouvement de « rédaction » et de « réforme » dont elles sont l’objet, et plus largement sur les rapports problématiques qu’elles entretiennent avec la Loi tout au long de l’Ancien Régime.Il sera loisible enfin, et dans la continuité, de traquer la coutume, ses formules et ses modalités dans des cadres autres que ceux du droit. Par exemple, sa présence dans la langue, dans les proverbes ou autres tours idiomatiques, pourra donner lieu à des considérations sur les « parlers », leur rôle et leur sort dans les œuvres et les pratiques savantes.Au croisement de la philosophie, de la littérature, du droit et de l’histoire, ces journées se veulent un espace d’échanges entre les disciplines et leurs usages, comme de confrontation entre les différents textes qui traitent de la « coutume ». Mot(s) clés libre(s) : Droit et littérature, littérature française (16e siècle), Pierre Charron (1541-1603), usages et coutumes (droit), Michel de Montaigne (1533-1592), littérature française, humanisme de la Renaissance, droit romain, droit coutumier, droit (sources), codification du droit, Étienne de la Boétie (1530-1563), linguistique, René Descartes (1596-1650)
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La fiction au service de la propagande salazariste : "Conspiração" de Tomé Vieira / Emmanuelle Guerreiro
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 11-05-2012
/ Canal-u.fr
GUERREIRO Emmanuelle
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La fiction au service de la propagande salazariste : "Conspiração" de Tomé Vieira / Emmanuelle Guerreiro. In Journée d'études "Dictatures, censures et répression dans les mondes
lusophones, XXe et XXIe siècles", organisée par Marc Gruas, dans le cadre
du séminaire de l'Institut de Recherche et d'Études Culturelles (IRIEC
Toulouse), et par la section de portugais de l'Université Toulouse II-Le
Mirail, 11 mai 2012.
Présentation d'une voix qui se fait l'écho du régime salazariste, Tomé Vieira, journaliste et auteur d'un roman, "Conspiração", publié en 1936. Le roman brosse le portrait officiel d'un « Portugal nouveau qui se reconstruit sur les ruines d'un régime républicain miné par la corruption, les conflits internes, les intérêts personnels, la défiance, la trahison, l'incompétence à gouverner... ». Emmanuelle Guerreiro montre comment ce roman propagandiste met en scène des protagonistes qui incarnent un homme nouveau dont l'image a été soigneusement entretenue dans les années 1930-1940. Tomé Vieira y exalte les idées nationalistes, critique les idées communistes et, ce faisant, participe à la mise en place de l'idéologie salazariste. Mot(s) clés libre(s) : politique (dans la littérature), Portugal, propagande
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Familles et immigrations
/ UTLS - la suite
/ 08-01-2005
/ Canal-U - OAI Archive
GUéNIF-SOUILAMAS Nacira
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Dans le même temps où le projet colonial français reposait sur le peuplement de l'empire par des Européens, la France hexagonale est devenue au cours du XXème siècle un pays d'immigration de peuplement. Le renversement et la persistance des flux migratoires n'a cessé d'affecter durablement et profondément le paysage français dans sa définition identitaire, culturelle et nationale. L'illustration de cette inflexion simultanée du récit migratoire et du récit nationale est à chercher dans le rapport croissant, dans les parcours comme dans leur analyse, entre famille et immigration. Le siècle passé fut le théâtre du glissement de la présence massive d'une main d'oeuvre sans visage et sans postérité puisqu'elle était vouée à repartir, vers des individualités liées entre elles dont l'épaisseur devenait palpable à mesure qu'elle s'inscrivait dans des histoires familiales et la succession des générations. Si les premières familles immigrantes se sont, en apparence, coulées dans un moule normatif les vouant à rejoindre la société française en devenant invisibles, celles qui sont arrivées à partir des années soixante-dix comme celles qui arrivent aujourd'hui ne répondent pas toujours aux injonctions normatives à l'intégration qui leur sont adressées. Loin d'y voir l'expression d'un refus ou d'une inadaptation, le tracé de la ligne de partage entre famille traditionnelle et famille moderne, il serait plus fécond pour une réflexion partagée d'y déceler les signes qui procèdent de la diversité des dynamiques migratoires comme de la diversité des formes familiales dans une modernité incertaine. Considérer la coïncidence historique du regroupement familial et des lois réformant la parenté et la famille, constitue la trame d'une réflexion sur les rapports entre processus migratoires et vies familiales. Comme tous les autres individus, les individus migrants sont engagés dans des liens familiaux et les modifient en raison même des transformations qu'impose la migration. C'est cette dialectique entre expériences familiales et expériences migratoires qui sera au coeur de notre propos. Mot(s) clés libre(s) : émigration et immigration, famille, familles immigrées, intégration, regroupement familial
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Abolition de l'esclavage et droit d'ingérence pour raisons humanitaires
/ CERIMES Centre de ressources et d'information sur les multimédias pour l'enseignement supérieur, Musée du quai Branly
/ 08-01-2014
/ Canal-u.fr
GRENOUILLEAU Olivier
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Conférence du 8 janvier 2014, donnée par Olivier Grenouilleau, historien spécialiste de l’esclavage, des traites et du capitalisme, dans le cadre du cycle "Histoire mondiale de l’esclavage" de l'Université populaire du quai Branly (UPQB). Mot(s) clés libre(s) : abolition de l’esclavage, droit d'ingérence
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L’accueil des nouveaux arrivants en Catalogne et l’enseignement de l’histoire
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GONZALEZ Neus
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L'Uruguay sur la route de l'innovation sociale / Mariana González Guyer
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2016
/ Canal-u.fr
GONZÁLEZ GUYER Mariana
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L'Uruguay sur la route de l'innovation sociale / Mariana González Guyer, in 13e colloque international de l'Institut des Amériques, "Ressources et innovations dans les Amériques, organisé l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à
Toulouse (IPEAT), Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut
d'Études Politiques (IEP)-Université Toulouse 1 Capitole et la Maison
Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015.
Au-delà des difficultés rencontrées, l’Amérique latine est également reconnue sur la scène mondiale pour l’amélioration de ses situations économiques, sociales et politiques, et pour ses capacités à expérimenter et à innover, dans des contextes à la fois complexes et stimulants. Afin de donner la mesure de ce que le continent américain peut proposer dans ce qu’il a de positif, de novateur, qui fait source et ressource, qui pousse à l'inventivité et à l’adaptation, qui tend au
dépassement de certains problèmes, l’édition 2015 du colloque annuel de l‘IdA se donne pour objectif d’identifier et d’analyser les dynamiques d’innovations et de valorisation des ressources dans les Amériques.
La réflexion s’enracine dans les substrats socio-culturels et historiques du continent, nationaux et régionaux, afin d’apporter des éléments de
compréhension des contraintes, des convoitises, des spoliations mais également des avancées, des créations, des expériences inédites, etc.
Dans les Amériques, la prise en main de leur destin par un grand nombre d’individus et de sociétés, locales ou nationales, invite donc à (re)visiter les notions (sans opposition systématique entre elles) de ressources matérielles / symboliques, naturelles / culturelles, historiques / patrimoniales, sociales / territoriales, expressives / artistiques, sous-valorisées / idéalisées, géopolitiques / géoéconomiques. Elle invite aussi à se pencher sur les innovations techniques, productives, sociales, politiques, organisationnelles, etc.
Elle suppose de s’interroger sur les questions des conflits vs appropriation, épuisement vs préservation, normes vs illicite, développement durable vs développement économique, valorisation vs (co)gestion. Mot(s) clés libre(s) : développement économique et social, Uruguay (20e-21e siècles), droits de l'homme (Uruguay)
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Les articulations scolaires espagnoles par Isidoro Gonzalez Gallego
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
GONZALEZ GALLEGO Isidoro
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la Chine, puissance revendicatrice ou intégrée ?
/ UTLS - la suite
/ 08-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
GODEMENT François
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En l'espace d'une génération, La Chine est passée du rôle de pôle révolutionnaire résistant aux deux superpuissances mondiales à une situation de montée en puissance au sein d'un ordre international dont elle a aujourd'hui investi toutes les enceintes. Et pourtant, la Chine n'a pas complètement renoncé à la problématique des humiliations nationales subies naguère et poursuit toujours vis-à-vis de Taiwan ce qui serait la dernière étape de la réunification nationale. La politique de réforme et d'ouverture a entraîné le triomphe international de l'industrie exportatrice chinoise, fortement appuyée sur les investissements étrangers et sur la résurgence du secteur non-étatique. L'impact de cette percée sur les économies voisines d'Asie est le premier facteur d'évolution de la région. L'écart apparent entre la Chine et les autres économies d'Asie depuis la crise financière de 1997 remet en cause les certitudes concernant les économies capitalistes d'Asie, particulièrement en Asie du Sud-est. Etat-nation attaché à sa souveraineté et opposé à l'ingérence internationale, la Chine qui est politiquement et institutionnellement sur la défensive devient en même temps un acteur majeur de l'Asie-Pacifique, d'autant que le marasme économique et politique du Japon affecte son influence régionale. La nature des engagements internationaux que prend la Chine, le degré de conciliation dont elle fait preuve à commencer par son ouverture commerciale et financière sont devenus un sujet de préoccupation majeur. Peut-on imaginer qu'un régime resté autoritaire mais surmontant une économie dynamique, renverse les idées reçues en matière de transition post-communiste et devienne l'arbitre de la stabilité ? Certains en Asie envisagent cette évolution vers ce qui est parfois qualifié de système « tributaire » ; d'autres appuient sur le renforcement de la présence militaire américaine à travers toute l'Asie pour estimer que l'influence chinoise, irrésistible sur le plan commercial, ne modifie pas fondamentalement l'équilibre des puissances. Mot(s) clés libre(s) : mondialisation
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