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1ère table ronde : La nature de l’événement historique
/ Serge BLERALD, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 06-06-2016
/ Canal-u.fr
BRUHNS Hinnerk, MARCOTTE-CHENARD Sophie, REMAUD Olivier, DE LIGIO Giulio
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Ouverture de la journée d’études par Olivier Remaud, directeur du CESPRA (EHESS)
Introduction par Giulio De Ligio (EHESS-CESPRA)
1ère table ronde : La nature de l’événement historique
Discutante: Sylvie Mesure (CNRS)
Sophie Marcotte Chénard (Université de Toronto):
« La politique du récit historique : Aron et la sagesse tragique de Thucydide »
Hinnerk Bruhns (CNRS):
« La signification de la Première Guerre mondiale : Max Weber lu par Raymond Aron » Mot(s) clés libre(s) : Thucydide (historiographie), Raymond Aron, Max Weber, Première Guerre Mondiale
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La crise de la démocratie
/ 29-09-2015
/ Canal-u.fr
BOUVERESSE Jacques
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La démocratie a toujours été en crise, mais cette crise prend aujourd’hui une tournure à la fois très particulière et profondément dramatique.
En effet, la démocratie est prise en tenaille entre le libéralisme politique au sens traditionnel, qui place la défense des libertés au-dessus de la volonté du peuple, et le libéralisme de marché qui, dans le cadre de la mondialisation, postule la disparition de l’État-nation et donc, de la citoyenneté.
Le pire cependant n’est jamais sûr et les nouvelles générations mettront peut-être un rai de lumière au bas de cet horizon encombré de sombres nuages. Mot(s) clés libre(s) : démocratie, marché, crise, libéralisme, politique
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Singapour : tête de pont chinoise ? État des lieux des relations diplomatiques et culturelles / Louis Borer
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 30-03-2015
/ Canal-u.fr
BORER Louis-Arthur
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Dans le cadre du Festival Made in Asia (Toulouse, 27 mars-12 avril 2015), Louis Borer, chercheur à Asia Centre, traite des relations entre la Chine et Singapour. Les relations entre la Chine et Singapour sont marquées par un certain
nombre de dissymétries d’ordre démographique, géographique, ou
économique. Si les relations diplomatiques sont assez récentes
(1990), les interactions économiques et culturelles entre la cité-État
et l’Empire du milieu n’ont cessé de croître, au point de devenir des
partenaires privilégiés, malgré quelques divergences de fond. Mot(s) clés libre(s) : Chine, relations internationales, Asie du Sud-est, Singapour (politique et gouvernement), Singapour (20e-21e siècles)
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Comment définir le régime politique chinois aujourd'hui ?
/ UTLS - la suite
/ 15-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
BONNIN Michel
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Depuis le lancement des réformes, il y a plus de 20 ans, la Chine a connu de profonds changements économiques et sociaux. Elle s'est modernisée, son économie a connu des taux de croissance très rapides et fonctionne partiellement sur un mode « capitaliste ». Pourtant, de façon surprenante, son régime politique est resté fondamentalement le même. Le Parti communiste dirige toujours la Chine, selon des méthodes héritées de Lénine, Staline et Mao Zedong, mais adaptées par Deng Xiaoping, à la fin des années 1970. Pour des raisons d'efficacité économique, le pouvoir a alors laissé plus d'initiative aux acteurs sociaux et, n'ayant plus la prétention utopique de former « l'homme nouveau », il s'est en partie retiré de la vie privée des citoyens. Il a également accordé un peu plus de liberté aux intellectuels, aux écrivains et aux artistes. Il a cependant conservé l'essentiel des institutions existantes de contrôle des idées, des personnes et des groupes : propagande, censure, certificat de résidence, dossier personnel, prise en charge complète de chacun par son unité de travail, etc. Si le pouvoir ne cherche plus à surveiller ce que chacun pense ou dit en privé, s'il laisse une assez grande marge de manoeuvre aux entrepreneurs privés, il continue à vouloir contrôler totalement l'espace public. Se concentrant sur l'essentiel, il continue à régner sur l'information, la communication et, surtout, l'organisation politique et sociale. Son refus d'accepter l'existence de toute organisation sociale autonome (association, syndicat, église, parti politique ou autre) le distingue nettement d'un banal autoritarisme. On pourrait définir ce type de pouvoir comme un totalitarisme « replié ». En effet, s'il laisse subsister des zones d'indifférence dans lesquelles sa présence ne se fait pas directement sentir, c'est qu'il s'est replié sur un noyau dur du totalitarisme (symbolisé par les Quatre principes fondamentaux de Deng Xiaoping). À partir de ce noyau, l'État-Parti peut à tout moment, si besoin est, se déplier et frapper toute personne ou toute force sociale considérée comme dangereuse. C'est ce qu'a montré, par exemple, la répression de la « secte » Falungong. La croissance économique de type capitaliste va-t-elle nécessairement entraîner la Chine vers la démocratie ? Certes, il existe une aspiration à plus de démocratie dans la population, mais, dans la mesure où le Parti communiste interdit l'existence de la moindre organisation autonome, il est difficile d'imaginer quelle force sociale pourrait être à même de contraindre le pouvoir à prendre cette direction. La question est donc plutôt de savoir si le Parti lui-même (ou une fraction importante en son sein) voudra faire évoluer le système politique pour le rendre mieux adapté à l'évolution économique et sociale ou, simplement, à ses propres intérêts. Des transformations sont évidemment possibles, mais, il n'est pas du tout certain qu'elles aillent dans le sens de la démocratie. La classe dirigeante s'est énormément enrichie et n'a certainement aucun désir de partager ses privilèges avec les laissés-pour-compte de la réforme, ni de se soumettre à la surveillance de contre-pouvoirs. Elle a su, par une habile utilisation de la carotte et du bâton, neutraliser la classe intellectuelle des villes. Un éventuel abandon du dogme communiste, ou une profonde modification, ne déboucherait donc pas nécessairement sur une démocratisation. La priorité donnée au nationalisme comme moyen de légitimation, les liens intimes entre le Parti et une couche de grands capitalistes issus du sérail, ainsi que la répression des intellectuels libéraux et des activistes syndicalistes sont des traits que l'on a connus dans d'autres systèmes totalitaires, de type fasciste. Une nouvelle métamorphose du totalitarisme n'est donc pas exclue. Mot(s) clés libre(s) : Chine, culture, secte
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L'iran et sa strategie
/ UTLS - la suite
/ 16-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
BONIFACE Pascal, SCHEMLA Elisabeth, SCHEMLA, ELISABETH/ BONIFACE, PASCAL
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Une conférence de l'UTLS au lycée Avec Pascal Boniface, Yves Michaud et Elisabeth Schemla Mot(s) clés libre(s) : Iran, programmes nucléaires, relations extérieures
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Sport, politique et société
/ Mission 2000 en France
/ 07-06-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BONIFACE Pascal
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Pour les Etats européens comme pour le football, la construction européenne est à la fois un facteur de puissance et une source d'inquiétude face au risque de perte identitaire. Dans les deux cas, l'espace commun s'est construit en parallèle. L'échelon européen s'est superposé sans supplanter l'échelon national. Dans un monde où l'identité est en crise, le football pourrait être victime de son succès. L'Europe doit l'aider à dépasser cette contradiction par une sage régulation.
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L’enseignement de l’Europe, dépassement ou héritage du roman national ?
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 22-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BONAFOUX Corinne
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Expertise scientifique et débat démocratique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 18-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BOISTARD Pierre
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Conférence du 18 janvier 200 par Pierre Boistard. Les récents débats sur les risques liés à l'alimentation (crise de la vache folle, OMG) et à l'environnement ont révélé la place croissante et cruciale de l'expertise scientifique dans nos sociétés démocratiques, sollicitée chaque fois qu'une prise de décision nécessite d'être instruite avant de pouvoir trancher entre des valeurs contradictoires. Contrairement à l'opinion répandue (et parfois perversement mise en oeuvre) sur l'expertise scientifique, elle peut être un bon élément dans le processus d'élaboration d'une décision acceptée par le corps social tout entier, si elle est restituée au citoyen dans son processus et pas seulement dans ses résultats. La place de l'expertise scientifique dans nos sociétés révèle le nouveau rôle de la science dans la vie politique : après le temps de la confiance dans les résultats de la science pour apporter des solutions aux problèmes des hommes, on découvre ou redécouvre que la démarche de la science a, elle aussi, quelque chose à nous apprendre. Mot(s) clés libre(s) : éthique, Science
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Le 30 octobre 1995 — Le référendum sur la souveraineté : il était une fois l’indépendance
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 16-04-2013
/ Canal-u.fr
Bock-Côté Mathieu
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Le 30 octobre 1995, les Québécois étaient convoqués pour la deuxième fois en quinze ans à une grande consultation populaire portant sur la souveraineté. Le camp du Oui passe alors tout près de la victoire, mais le Québec en ressort profondément divisé. Cet événement n’arrive pas de nulle part. Il représente, en quelque sorte, le point culminant d’une longue transformation de la question nationale qui se déclenche à partir des années 1920 et qui deviendra de plus en plus importante à partir de la Révolution tranquille. Le nationalisme québécois se transformait au même moment où il transformait le Québec en profondeur. Dans cette dixième et dernière conférence de la série Dix journées qui ont fait le Québec, il s’agira de comprendre à la fois le référendum du 30 octobre 1995, le contexte qui l’a rendu possible et l’histoire qui nous y a collectivement conduits. Nous partirons à la recherche des personnages, des idées et des mouvements politiques qui sont à l’origine de cette importante journée québécoise.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-30-octobre-1995-Le-referendum.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Indépendance du Québec
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Histoire scolaire de l'Espagne et de la Catalogne
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 01-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
BLANCH Joan Pagès
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Seminaire international l'Ecole et la nation. Premier volet : Définition et redéfinition du national. Le roman scolaire de la nation.Intervention de Joan Pagès Blanch : "L'histoire scolaire de l'Espagne et de la Catalogne : précédents et actualité"1er avril 2010, Lyon, Institut national de recherche pédagogique Mot(s) clés libre(s) : Ecole, Histoire, Nation, Patrie
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