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Travailler en LSF : outils et logiciels vidéos : atelier 1 / Brigitte Dalle, Pôle de recherche signes tolosan (Presto)
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
DALLE Brigitte
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Travailler en LSF : outils et logiciels vidéos : atelier 1 / Brigitte Dalle, Pôle de recherche signes tolosan (Presto, IRIT), in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du
français écrit", journée d'études organisée conjointement par l'École
supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, ergonomie,
Équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014.
[Conférence en français, traduite en langue des signes française par Patrick Gache, échange avec le public traduit du français en langue des signes par Katia Abbou]. Mot(s) clés libre(s) : technologies éducatives, langue des signes française, étude et enseignement (aides audiovisuelles et informatiques)
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Traduire les images du Goulag : problème de fidélité et d'opacité / Liuba Jurgenson
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 25-03-2016
/ Canal-u.fr
JURGENSON Liuba
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Traduire les images du Goulag : problème de fidélité et d'opacité / Liuba Jurgenson, conférence dans le cadre des journées d'études "Introduction à la traductologie" organisées sous la direction scientifique de Vladimir Beliakov (section de slavistique du département Langues étrangères) et du laboratoire LLA-Creatis de l'Université Toulouse Jean Jaurès, le 25 mars 2016.
Parce qu'il se réfère au réel, dans un rapport au vécu particulier, le témoignage se trouve être un texte dont la langue de l'original constitue un contexte indissociable de la création du texte. En ce qui concerne les témoignages sur le Goulag, dans les textes traduits du russe, l"événement lui-même a été vécu dans la langue russe y compris par des sujets non russes. Lorsque l'on va traduire ses textes vers une autre langue, ce sont non seulement les modalités de transposition, que le traducteur va élaborer individuellement, qui vont compter, mais aussi la culture d'accueil qui participe de l'élaboration de l'événement. Dans cette communication, Liuba Jurgenson questionne le statut du témoignage comme construction d'une trace sur l'héritage des violences extrêmes, les mécanismes de transmission de textes qui voulaient faire preuve du système concentrationnaire russe, la traduction du témoignage, parfois 40 à 50 ans après la publication du texte original.
« On sort des problématiques purement traductologiques et purement littéraires, puisque la traduction va participer de l'élaboration de l'événement dans une culture donnée. La construction de l'événement Goulag dans la culture française s'est faite à partir de traductions, elle ne s'est pas faite à partir de textes originaux. Réfléchir sur la traduction va plus loin que les simples questions techniques de vocabulaires ou de style (...) Une autre question quand on passe de l'original à la traduction, est que cette mise en mots, ce passage de l'écrit des survivants a souvent été pensé par eux-mêmes comme une sorte de traduction, vers une langue autre que celle du vécu. Les témoignages eux-mêmes sont traversés par une réflexion sur l'impossibilité de restituer une expérience trop violent, trop dure, une expérience qui suppose une dissolution du sujet, d'absence du sujet à lui-même ». Faire l'épreuve d'un intraduisible relève t-il de la traduction, comment traduire cette dimension justement intraduisible ?
Le témoignage, habituellement considéré comme une source primaire par un historien, un sociologue ou un anthropologue, est-il encore une source primaire lorsque il a été traduit, même le plus fidèlement possible ? « Il y a toujours une médiation qui tire les textes hors de leur origine apportant une sorte d'indistinction entre source primaire et source secondaire ». Enfin, dit Liuba Jurgenson, « pour réfléchir au témoignage et à la traduction u témoignage, on evrait interroger aussi le rapport que notre culture entretient avec la vérité ». Mot(s) clés libre(s) : pratique de la traduction, récit (témoignage), interprétation (traduction), récits de détention russes
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Traduire le journal de guerre / Hilda Inderwildi
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 19-02-2016
/ Canal-u.fr
INDERWILDI Hilda
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Traduire le journal de guerre / Hilda Inderwildi, in colloque "Austro-allemandes à Garaison. L’internement à la lumière des journaux de guerre", organisé par le Centre de Recherches et d'Études Germaniques (CREG)
en partenariat avec l’établissement Notre-Dame de Garaison et les
Archives départementales des Hautes-Pyrénées, Université Toulouse
Jean-Jaurès, 19 février 2016.
En 1914 est installé dans le collège religieux Notre-Dame de Garaison
(Monléon-Magnoac) un camp d’internement où sont regroupées de
nombreuses familles austro-allemandes et ottomanes se trouvant sur le
territoire français au moment de la déclaration de guerre. Trois
internées originaires d’Allemagne et d’Autriche, notamment, font le
récit de leur passage à Garaison dans des ouvrages publiés dès après
leur rapatriement en Allemagne.
Dans cette communication qui se présente comme un journal de bord de la traduction, Hilda Inderwildi, co-traductrice en français de deux des récits de détenues de Garaison, expose la manière dont elle travaillé, pourquoi elle a souhaité découvrir la topographie du camp de Garaison, comment elle a pu se créer des images et représentations du quotidien de ces détenues pour lui permettre un travail de traduction le plus précis possible, à la fois comme une enquête historique et un travail d’archive. Elle présente aussi les aspects littéraires des deux journaux en proposant de les considérer également du point de vue de l’histoire des femmes et d’en examiner la dimension genrée. Mot(s) clés libre(s) : traduction et interprétation, détenues de camp d'internement, pratique de la traduction, récits de détention
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Terrains, contextes, contextualisations à l'école et à l'université. Questions didactiques autour des pratiques plurilittératiées et de l'auto-ethnographie
/ Canal-u.fr
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La communication s'est proposée d'interroger, à partir de données issues de différents corpus de recherche, l'auto-photo/vidéoethnographie comme forme de contextualisation des expériences d'apprentissages, ici autour des pratiques plurilittératiées. Nous poursuivons ici un double objectif : (i) comprendre les pratiques plurilittératiées dans leur écologie et leur mise en sens par le participant-co-chercheur, dans (ii) la perspective d'une didactique du plurilinguisme visant au développement de compétences plurilingues et pluriculturelles. Mot(s) clés libre(s) : Plurilinguisme, Ethographie, Pratique plurilittératiée
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Spécificités structurelles et typologiques des LS, langues de l'oralité, et accès des sourds à la littératie / Brigitte Garcia
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
GARCIA Brigitte
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Spécificités structurelles et typologiques des LS, langues de l'oralité, et accès des sourds à la littératie / Brigitte Garcia, in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit", journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et le laboratoire Cognition, Langues, Langage, ergonomie,
Équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014.
Conférence en français, traduite en langue des signes française par Patrick Gache. Mot(s) clés libre(s) : bilinguisme, langue des signes, didactique des langues, littératie, écriture (étude et enseignement)
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Relativité de la traduction et relativisme - Barbara Cassi
/ Marcel LECAUDEY, Loïc QUENTIN, CERIMES, COLLEGE DE FRANCE
/ 13-06-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Cassin Barbara
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CHAIRE DE PHYSIOLOGIE DE LA PERCEPTION ET DE L'ACTIONM. Alain BERTHOZ, ProfesseurSéminaire 2007-2008 sous forme de colloque internationalLA PLURALITÉ INTERPRÉTATIVEFONDEMENTS HISTORIQUES ET COGNITIFS DE LA NOTION DE POINT DE VUE.Organisé avec les Professeurs Brian Stock et Carlo Ossola12 et 13 Juin 2008Amphithéâtre Marguerite de Navarre10h00 Barbara Cassin, Relativité de la traduction et relativismeVoir la liste des vidéos Mot(s) clés libre(s) : contradiction, homonymie, interprétation, Parménide, pluralité, Protagoras, relativisme, représentation, traduction
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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : table ronde
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
GARCIA-DEBANC Claudine
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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : table ronde, in Journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et l'équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique du laboratoire Cognition, Langue, Langages, Ergonomie (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014. [Conférence en français traduite en langue des signes française par Patrick Gache et Gaëlle Eichelberger et par Katia Abbou pour la traduction de la langue des signes française au français].
En quoi la maîtrise d'un double système linguistique de deux langues très différentes que sont la langue des signes française et le français écrit devient un atout pour l'élève et l'adulte sourd ? à quelles conditions et comment ?
Animation
Claudine Garcia Debanc, Professeur en didactique du français (ESPE Toulouse),
Participants
Brigitte Garcia, professeur en didactique du français (ESPE Midi-Pyrénées),
Marie Perini, enseignante-chercheure en linguistique de la LSF (Université Paris 8),
Nathalie Faucher, interprète en LSF et chargée des ressources humaines (Interpretis, Toulouse)
Marie-Thérèse L'Huillier, ingénieure d’études au sein du laboratoire Structures Formelles du Langage (SFL /CNRS),
Vivien Fontvieille, interprète et traducteur en LSF, membre de l'Association Française des Interprètes en Langue des Signes (AFILS, Paris). Mot(s) clés libre(s) : psycholinguistique, étude et enseignement (france), didactique des langues, langue des signes française
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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : ouverture et présentation / Anne Rohr, Élise Leroy
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
LEROY Élise, ROHR Anne
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Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit : ouverture et présentation / Anne Rohr, Élise Leroy, in Journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et l'équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique du laboratoire Cognition, Langue, Langages, Ergonomie (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014. [Conférence en français traduite en langue des signes française par Katia Abbou]. Mot(s) clés libre(s) : didactique des langues, enfants sourds, langue des signes française, adultes sourds
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Que peuvent nous apprendre les productions écrites des sourds ? / Marie Perini
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
PERINI Marie
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Que peuvent nous apprendre les productions écrites des sourds ? / Marie Perini, in "Regards croisés sur la LSF et l'apprentissage du français écrit", journée d'études organisée conjointement par l'École supérieure du professorat et de l'éducation (ESPE, Toulouse), le département Sciences du langage et l'équipe de Recherche en Syntaxe et Sémantique du laboratoire Cognition, Langue, Langages, Ergonomie (CLLE-ERSS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15 novembre 2014.
* conférence en français traduite en langue des signes française par Gaëlle Eichelberger.
Marie Perini s’intéresse aux particularités linguistiques fréquemment rencontrées
dans les écrits de sourds profonds prélinguaux. Elle s'interroge sur l’existence d’un système linguistique propre aux sourds, identifié dans la littérature comme « français sourd » (Lacerte, 1989 ; Nadeau, 1993) et sur les points communs éventuels de ce « français
sourd » avec les caractéristiques des lectes d’apprenants (Klein et
Perdue, 1993) ainsi que sur l’hypothèse d’un fonctionnement cognitif
spécifique à la surdité, qui expliquerait la présence, même chez les
sourds non signeurs, de formes linguistiques et de choix d’informations à
transmettre tout à fait spécifiques. Mot(s) clés libre(s) : langue des signes, écrits d'handicapés auditifs, écriture (étude et enseignement), écriture (difficultés)
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Production de sens et informatique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 17-09-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BALPE Jean-Pierre
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" Comprendre c'est comprendre autrement " H. G. Gadamer Au début de l'été 2000, sur les murs d'une ville, deux affiches, deux affiches réelles : - La première, affichée dans des bars ou des boîtes de nuit, porte sur un fond totalement noir, en grosses lettres grises l'inscription suivante : " Le problème avec le dernier verre c'est que c'est parfois le dernier " - La deuxième, affichée sur les murs d'une commune de banlieue, plus complexe, représente un petit chien, genre roquet regardant les passants et portant dans sa mâchoire un journal plié dont seul le titre est partiellement lisible. Le slogan de l'affiche est le suivant : " Nous vous l'offrons, lui c'est moins sûr " Tout locuteur français interrogé comprend parfaitement ces deux affiches. Elles ont pour lui un sens évident et un seul. Et pourtant, un examen plus attentif en révèle toutes les ambiguïtés, c'est-à-dire toutes les difficultés à établir l'évidence de ce sens, difficultés qui, pour chacune d'elles repose sur des mécanismes tout à fait différents. Mot(s) clés libre(s) : génération automatique, informatique, intertexte, métatexte, programmation, sémantique, sens, syntaxe
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