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Le faible rôle de l’État dans l’évolution de la langue française
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
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Cette manifestation a été organisée dans le cadre de la
conférence annuelle de l’Association for French Language Studies (AFLS,)
organisée par le CRISCO du 17 au 19 juin 2015 : La
linguistique du français vernaculaire : analyses synchroniques, perspectives
diachroniques et applications didactiques.Anthony Lodge est, depuis 2008, professeur émerite de linguistique
française à l’Université de Saint-Andrews (R-U). Il a enseigné la
linguistique française dans trois universités britanniques – Aberdeen
(1967-1984), Newcastle (1984-1995), Saint Andrews (1995-2008). Tout au
long de sa carrière il s’est intéressé à l’enseignement du français
langue étrangère (publ. Le Français en faculté -1979) et à l’édition de textes médiévaux (publ. Le Livre des Manières d’Etienne de Fougères - 1979, The Earliest Branches of the Roman de Renart - 2001). Il s’est intéressé également à la langue occitane, et en
particulier aux archives médiévales de Montferrand (Puy-de-Dôme) (publ. Les comptes des consuls de Montferrand -1985, 2006, 2010). En linguistique historique il a publié deux ouvrages importants – Le Français. Histoire d’un dialecte devenu langue (1997) et A Sociolinguistic History of Parisian French (2004). Avec Jacques Durand et Richard Towell il a fondé en 1989 la revue Journal of French Language Studies (CUP).Résumé de la communicationDans la grande tradition républicaine, l'histoire de la langue française est
surtout le fait de l'état et de la grande littérature. Le français entre dans la
vie de la Nation au IXe siècle (Serments de Strasbourg 843), et
s'élabore progressivement au cours du moyen âge sous la plume de poètes,
chroniqueurs et administrateurs. Il est pris directement en main, à la
Renaissance, par une monarchie qui vise, d'un côté, l'anéantissement des
dialectes (Villers-Cotterêts 1539), et, de l'autre, la création d'une langue
classique modèle de logique, de clarté et d'élégance (Académie française 1637).
Cette grande tâche fut menée à bien par les grammairiens et grands auteurs de
l'Ancien Régime, mais il a fallu la Révolution et surtout la Troisième
République, pour que la population générale puisse en bénéficier. Le grand
regret de nos jours c'est que ce précieux héritage national soit si souvent
négligé et défiguré.Tout cela serait bien beau, s'il donnait une vision quelque peu réaliste du
passé de la langue. Peut-on réduire le français à la seule langue officielle, à
la belle langue ? Les millions de Français ordinaires n'ont-ils joué aucun rôle
dans l'évolution de leurs propres façons de parler ? Chacun sait que le français
est issu non pas de la belle langue latine, du latin officiel, mais du latin
parlé par des millions de Romains ordinaires. Qu'en serait-il d'une histoire du
français qui mette au milieu de la scène les locuteurs français ordinaires,
agissant collectivement et inconsciemment ? On y verrait une réduction du rôle
de l'état et des grands auteurs, mais le résultat ne serait-il pas plus conforme
à ce que nous savons aujourd'hui sur les modalités du changement linguistique
? Mot(s) clés libre(s) : pouvoir, evolution, Linguistique
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Baroque et langue chez Chamoiseau / Mariella Aïta
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
AÏTA Mariella
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Baroque et langue chez Chamoiseau / Mariella Aïta. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 6 : Esthétiques narratives et récits des Amériques. En Martinique, la recherche de nouvelles langues littéraires répond au
besoin de ses écrivains de résoudre dans une unité de langues la coexistence de
deux d’entre elles qui sont dans un rapport de diglossie : le français et le
créole. Dans le but de surmonter cette opposition, Patrick Chamoiseau crée « un langage »
qui traduit « les deux génies linguistiques ». Il intègre ainsi
l’esprit de la créolité dans la littérature française. Mais dépasser le bilinguisme, qui se trouve
dans cette relation de diglossie, c’est aussi se placer dans un « rapport
problématique » qui passe par un état d’âme, une incertitude, un conflit de
loyautés. C’est une recherche constante afin d’arriver à un résultat qui partage
la valeur créative avec la qualité narrative. L’œuvre a une unité stylistique
dans laquelle chaque langue n’est pas sacrifiée en dépit d’une autre. De cette
façon une langue ne devient pas un instrument tandis que l’autre reste prédominante.
C’est un métissage linguistique dans lequel l’auteur peut atteindre un public
francophone tout en restant fidèle à sa langue maternelle. Dans cette
communication, Mariella Aïta propose d’examiner le travail d’écriture mené par
Chamoiseau dans le cadre de cette « complexité linguistique » où se
côtoient deux langues dans un même espace géographique. Ce fait commun
à la région caribéenne donne comme
résultat une création littéraire qui peut être qualifiée de baroque. En partant de la conception du
baroque et du réel merveilleux pour aborder ensuite son incidence dans l’œuvre franco-créole
de Patrick Chamoiseau.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française, diglossie français-créole
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Créole magnifique : enquête sur une disparition / Noémie Auzas
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
AUZAS Noémie
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Créole magnifique : enquête sur une disparition / Noémie Auzas. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 6 : Esthétiques narratives et récits des Amériques.La question des rapports entre le français et
le créole irrigue l’œuvre de Patrick Chamoiseau depuis ses débuts en littérature.
En effet, cette double identité linguistique est au cœur de son premier roman Chronique des sept misères : elle
en constitue le marqueur principal. L’insertion audacieuse du créole dans la
narration en français est sans aucun doute à l’origine du succès de l’œuvre et
de sa visibilité éditoriale. Par ailleurs, Patrick Chamoiseau, qui s’est
prêté au jeu du commentaire et du théoricien de sa pratique d’écriture, en est
bien conscient lui-même. Ainsi, Eloge de
la Créolité tout comme Écrire en pays
dominé reviennent sur l’expérience de l’écrivain tiraillé entre ses
langues. Une expérience qui met au jour plusieurs étapes : soumission à la
langue française, à la fois voisine et étrangère, puis prise de conscience de
l’enfermement dans une langue-carcan, ce « français liturgique » qui
jette ses « filets». Après avoir entendu la petite musique du créole, il
en fait la matière même de son œuvre. Puis, à la suite d’Edouard Glissant,
l’écrivain plaide pour le rejet de la logique identitaire des langues au profit
d’une vision des langues et des poétiques en Relation. De Chronique
des sept misères à Neuf consciences
du Malfini, l’œuvre de Patrick Chamoiseau est imprégnée de cette expérience
évolutive. Une expérience mouvante à l’image insaisissable de la Relation
glissantienne. Nombreux sont ceux à s'être penchés sur
les rapports entre les langues de Chamoiseau et à avoir cherché les clefs de
cette organisation narrative si particulière. Cependant, une fois encore, à
l’image de la langue créole, Patrick Chamoiseau nous a joué un nouveau
tour-détour, une nouvelle « ruse de mangouste ». Après avoir placé au
centre de sa pratique créatrice la problématique des langues et des langages,
voilà qu’il déclare sans ambages : « Aujourd’hui, pour moi, les
questions de langage sont, bien sûr, réglées.[…] On ne comprend pas que tout
cela est réglé pour moi. Là, c’est libre maintenant ». L’évidence doit
s’imposer : Patrick Chamoiseau n’est pas un auteur monolithique. Il
change, son écriture évolue. Et, effectivement, entre Chronique des sept misères et Neuf
consciences du malfini, comment ne pas lire-entendre le chemin
parcouru ? Mesurer le chemin parcouru depuis la
« guerre des langues », l’opposition stérilisante du français et du
créole, jusqu’à la naissance d’une poétique des langues et des imaginaires, tel est l’enjeu de cette contribution.
Noémie Auzas suit pas à pas le cheminement de Patrick Chamoiseau et
observe comment la question des langues française et créole -si sensible, si visible à ses débuts– s’est
transformée pour devenir « moins spectaculaire ». Elle cherche à
montrer qu’il ne s’agit pas là d’une disparition de cette question, mais, bien
au contraire, d’un approfondissement. Passant de l’exposition linguistique à
l’exploration poétique, l’écriture de Patrick Chamoiseau invite à une
lecture sans cesse renouvelée de son œuvre et de son imaginaire des langues. [Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française
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Pouvoir, langue et coutume au XVIe siècle / Jean-Pierre Cavaillé
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
CAVAILLE Jean-Pierre
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Jean-Pierre Cavaillé se propose d'examiner la relation entre langue et coutume au XVIe siècle, qui donne lieu au XVIe siècle à une réflexion particulièrement riche et diversifiée, en prenant en compte les couples notionnels mobilisés à l'époque pour théoriser à la fois la nature des langues, faire leur histoire, assurer leur promotion et penser la juste relation du pouvoir politique aux langues écrites et parlées par les sujets : « langues naturelles » et langues artificielles (ou plutôt langues « d'art »), langues « vulgaires » et langues « nobles », langage « maternel » et celui qui ne l'est pas, enfin « langue du pays » et « langue du roi » ou « langue de la cour ».L'importance assumée dans ces discussion par la notion, à la fois juridique, anthropologique et linguistique de « coutume », permet, entre autres choses de revenir sur le mythe de Villers-Cotterêts (ordonnance de Villers-Cotterêts de 1539), aujourd'hui plus que jamais opératoire dans les discours publics. Cette déconstruction du mythe nous servira de terrain pour esquisser une première analyse des relations complexes entre langue, coutume, droit et pouvoir politique au moment où le français, comme d'autres langues vulgaires en Europe, à la faveur d'une dynamique indissociablement politique et culturelle, entreprend de rivaliser avec le latin et le grec.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : droit (langage), droit coutumier, français (langue), langage et langues (XVIe siècle), politique linguistique (XVIe siècle), sociolinguistique
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La francophonie en Saskatchewan
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 18-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
DESGAGNE Denis, SARNY Dominique, VIDAL Franck
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La province canadienne de la Saskatchewan compte une communauté francophone de 20 740 personnes, les fransaskois, représentant 2% de la population provinciale. Si, au Canada, l'utilisation du français apparaît essentiellement au Québec (près de 6 millions d'individus), les diasporas francophones sur l'ensemble des provinces (Ontario, Acadie, Alberta, Yukon....) se révèlent très actives notamment en Saskatchewan où, de plus en plus, les populations anglophones rejoignent les francophones de souche dans l'utilisation quotidienne du français. Comment se vit cette francophonie? Comment, au travers des structures administratives, politiques et universitaires se construit une francophonie de plus en plus présente ? Les points de vue du directeur de l'Institut Français de Régina et du directeur de l'Assemblée Communautaire Fransaskoise éclairent cette position géo-culturelle de l'usage du français dans l'ouest canadien. (Entretien enregistré le 18 octobre 2006)GénériqueInterview : Franck VIDAL - Réalisation et Post-Production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : CAM/Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : communautés francophones (canada), français (langue), français québécois (langue), francophonie, fransaskois, géographie linguistique, langues en contact (canada), politique linguistique, saskatchewan (Canada)
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La révolution française : la thématique de la langue politique
/ ENS-LSH/SCAM
/ 13-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
ENS-LSH/SCAM, GUILHAUMOU Jacques
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéJacques Guilhaumou s'intéresse ici à l'invention de la langue politique. Il se propose aisni de brosser à grands traits le parcours empirique de la langue politique de 1770 à 1795. Dans cette perspective, il s'appuie sur Le Grand Cahier métaphysique de Siéyès, texte fondamental de 1773 dans lequel il résume ses positions sur la métaphysique et les théories du langage, texte qu'il rapproche des théories de Leibniz et de Condillac. La réflexion sur l'abstraction de la langue et sur la genèse sensualiste de la connaissance, la construction de la langue abstraite dans une théorie de la connaissance sont autant de thèmes abordés. Il explique notamment que la langue politique doit révoquer le verbe être pour se fonder sur le verbe d'action, pivot de la langue métaphysique puis de la langue politique. L'expérience révolutionnaire a pour vocation de faire exister cette langue politique comme langue philosophique. Les "grammairiens patriotes" tentent ainsi de penser la langue politique pour "mettre la langue à la hauteur de la constitution". Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien LOpez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-DiffusionWeb : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : langage politique, révolution française, révolutionnaires
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Ethos des locuteurs dans des émissions économiques radiophoniques : variables et variations / Nathalie Gerber
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Franck DELPECH, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 17-05-2013
/ Canal-u.fr
GERBER Nathalie
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Ethos des locuteurs dans des émissions économiques radiophoniques : variables et variations / Nathalie Gerber, in colloque "Variation et variabilité dans les Sciences du langage : analyser, mesurer, contextualiser", organisé par le Comité d'organisation des Journées d'Études Toulousaines (JETOU), en collaboration avec les laboratoires CLESS-ERSS, Octogone, dont le laboratoire Jacques Lordat, et le Centre Pluridisciplinaire de Sémiotique Textuelle, Université Toulouse II-Le Mirail, 16-17 mai 2013.Cette communication a pour objet l’étude de l’ethos des locuteurs par l’analyse de marques énonciatives dans un corpus d’émissions économiques radiophoniques. Elle explore les variables que sont le genre d’émission et le statut du locuteur dans les variations de l’ethos. Les marques énonciatives mesurées et analysées pour cette exploration sont les pronoms personnels, les questions et les exclamations. Les mesures et les analyses en cotexte posent le problème de la taille du corpus pour l’analyse de marques énonciatives. Au cours des mesures et des analyses, le genre d’émission et le statut du locuteur s’avèrent comprendre plusieurs variables. Mot(s) clés libre(s) : variation linguistique, analyse du discours, énonciation (linguistique), émissions radiophoniques, médias et langage
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FORMATIC - Paris 2011 : Formation au FLE pour les professionnels de santé d’origine étrangère
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, CERIMES
/ 08-02-2011
/ Canal-U - OAI Archive
MASSIOT Marc
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FORMATIC - Paris 2011 : Un dispositif de formation au FLE pour les professionnels de santé d’origine étrangère.Conférence enregistrée lors du congrès international FORMATIC PARIS 2011. Atelier TIC et pratiques innovantes au service de la formation des professionnels de la santé. Président de séance : Antoine TESNIERE (Université Paris Descartes projet ILumens), modérateur : Lisette CAZELLET (Consultant formateur TIC Santé), auteur : MASSIOT Marc.Réalisation, production : Canalu UN/3S, CERIMES.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : e-learning, FLE santé, FORMATIC Paris 2011, formation langues étrangères, professionnels de santé
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Y a-t-il une rationalité des coutumes ? Montesquieu / Céline Spector
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 28-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
SPECTOR Céline
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En minimisant le rôle du droit naturel, désormais dénué de privilège normatif, en accordant une place décisive aux coutumes dans l’histoire juridique européenne, Montesquieu propose une réflexion nouvelle sur la justice et la rationalité du droit.Cette contribution s’interrogera sur la rationalité des coutumes : sont-elles une forme de ratio scripta, du moment où elles deviennent écrites, générales et autorisées par le roi ? La rationalité des coutumes ne tient-elle pas, au contraire, à leur seule adéquation aux circonstances historiques, à leur convenance à l’esprit général d’un peuple ? Il s’agira de s’interroger sur la manière dont, dans l’œuvre de Montesquieu, la rationalité vient aux coutumes, et d’examiner quel rôle joue la romanistique dans ce processus de rationalisation.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : Baron de la Brède et de Montesquieu (1689-1755), coutume (droit), droit (philosophie), droit coutumier, droit naturel, langues romanes (droit), pensée politique et sociale
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