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La biodiversité négligée
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Julien Touroult, chercheur au Muséum national d'Histoire naturelle, explique ce qu'est la biodiversité négligée. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, expédition, espèces, expédition scientifique, planète revisitée, biodiversité négligée
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L'identification des spécimens
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Claire Villemant, chercheuse au Muséum national d'Histoire naturelle, présente le long et minutieux travail d'identification des spécimens collectés au cours des campagnes d'exploration naturalistes. Mot(s) clés libre(s) : identification, expédition, méthodes d'identification, espèce, espèces, hyménoptère, expédition scientifique
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Interactions pêcheurs et mammifères marins en mer d’Iroise : enjeux, résultats et perspectives
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Cette conférence aura pour objet de présenter les méthodes, résultats et enjeux du programme scientifique pluridisciplinaire INPECMAM (INTeractions entre la PEche et les MAMmifères marins) (2011-2014). INPECMAM avait pour objectif de quantifier la déprédation et les captures accidentelles en Iroise, d’analyser le régime alimentaire et génétiquement des mammifères marins et de comprendre les représentations des mammifères marins par les pêcheurs. Dans le cadre de ce programme coordonné par le Parc naturel marin d’Iroise, a été déployée une approche pluridisciplinaire associant les pêcheurs professionnels (CDPM29) et des scientifiques spécialisés en anthropologie et biologie des mammifères marins (CETMA-MNHN, BioGeMME - UBO et Océanopolis). L’association des pêcheurs aux scientifiques via la recherche en ethnologie et biologie a conféré à ce projet un caractère innovant avec le croisement des savoirs empiriques des pêcheurs, des données collectées in situ et les analyses en laboratoire. Plus encore, cette enquête nous a permis de nous interroger sur les modalités de production des connaissances dans un contexte où connaissances biologiques et connaissances ethnologiques se sont fructueusement complétées. INPECMAM est donc à considérer comme une entrée en matière originale pour améliorer la compréhension des interactions entre pêche professionnelle et mammifères marins dans un cadre de gestion intégrée : des séries de données ont été initiées et pourront servir, à alimenter des réflexions sur l’étude plus globale des écosystèmes en Iroise. Plus encore, comment favoriser une cohabitation entre pêcheurs et mammifères marins ? Comment réunir chercheurs, pêcheurs professionnels, techniciens et gestionnaires du Parc marin ? Telles sont les questions auxquelles nous apporterons des réponses.
Par Sami HASSANI, responsable du Laboratoire d'Etude des Mammifères Marins d'Océanopolis, Claire LASPOUGEAS, chargée de mission pêche professionnelle au Parc naturel marin d’Iroise, et Emilie MARIAT-ROY, anthropologue, docteur de l'EHESS Mot(s) clés libre(s) : pêcheurs, mammifère marin, Approche écosystémique des pêches
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Holothuries, un potentiel inexploité !
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L’holothurie, encore appelée concombre de mer, trépang ou bêche de mer, est un animal méconnu. Cet organisme, à l’allure bizarre, est un échinoderme tout comme l’oursin ou l’étoile de mer. L’holothurie a un rôle majeur dans le fonctionnement des écosystèmes en homogénéisant et enrichissant le sédiment, un peu comme les vers de terre en milieu terrestre. En d’autres termes, cet animal détermine la structure de l’habitat d’autres espèces. Animal souvent grégaire, il forme une part non négligeable de la biomasse de l’écosystème. L’holothurie présente également un fort intérêt dans les pêcheries. En effet, les bêches de mer sont un mets très prisé dans les pays asiatiques crues ou cuites (plusieurs milliers de tonnes consommées par an). Elles sont également utilisées dans la pharmacopée traditionnelle chinoise. De nombreuses études scientifiques ont mis en évidence, entre autres, des substances aux propriétés anti-tumorales, antifongiques. Toutes ces caractéristiques font de l’holothurie un organisme modèle pour la co-culture. Par Nadia AMEZIANE, professeur du Muséum National d'Histoire Naturelle, chef de la Station Marine de Concarneau. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, invertébres
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Gestion de la biodiversité - Clip
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Clip de la 6ème semaine du MOOC UVED Biodiversité.Les services écosystémiques constituent aujourd'hui une approche
très utilisée pour caractériser les contributions du vivant au
bien-être de l'humanité. De nombreuses stratégies sont aujourd'hui
déployées afin de conserver cette biodiversité, qu'elle soit menacée
ou ordinaire. Mais il faut bien garder à l'esprit que, dans un
contexte de changement global, c'est avant tout son potentiel
évolutif qu'il convient de conserver. Afin de nourrir ces réflexions
et ces programmes d'action, les chercheurs mobilisent de plus en
plus des programmes de sciences participatives. Pour évoquer ces
sujets, Denis Couvet (MNHN) est accompagné de François Sarrazin
(Université Pierre et Marie Curie), d'Alexandre Robert (MNHN), de
Colin Fontaine (CNRS), de Stellio Casas (Veolia Recherche et
Innovation).Les inscriptions en ligne sont ouvertes : https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/uved/34002/session01/about Mot(s) clés libre(s) : biodiversité
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Philippe KOURILSKY - 19 novembre 2015
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 19 novembrel 2015, à la maison du protestantisme à Nîmes Philippe Kourilsky.
Philippe
Kourilsky, nous sommes très heureux de vous accueillir au Forum pour nous
éclairer sur des problèmes auxquels les chercheurs, et les médecins qui les
accompagnent, sont confrontés constamment, dont le grand public n’est que
vaguement au courant, alors même qu’il attend de la recherche biologique, la
santé, la survie et, pour les plus transhumanistes, la vie presque éternelle.
On peut
presque dire que votre route était tracée
dès votre premier souffle puisque vous êtes fils d’un professeur de
médecine et d’un médecin. An départ, vous avez fait un écart, mais un écart
brillant, car vous êtes entré à Polytechnique, ce qui pouvait vous mener aux
sciences dites dures. Mais vous avez ensuite fait retour à la biologie avec une
thèse sous la direction de François Gros.
Vous avez
effectué la majeure partie de votre carrière au CNRS ou vous avez terminé
évidemment a-t-on envie de dire, Directeur de recherche. Vous êtes membre de l’Académie
des sciences depuis 1997 et vous avez été nommé au Collège de France en 1998,
pour la chaire d’immunologie moléculaire que vous avez occupée jusqu’en 2012. Cette
chaire succédait à celle de biochimie cellulaire de votre maitre de thèse.
L’importance prise par l’immunologie, montre qu’étudiant ses mécanismes au
niveau moléculaire, vous avez ouvert des voies qui s’avèrent essentielle
aujourd’hui. En 2000 vous êtes entré à l’Institut Pasteur dont vous fûtes
directeur général jusqu’en 2005. Vous avez fondé une association Resolis, dont
vous êtes président, qui se donne pour objet de ‘évaluer les solutions
innovantes et sociales. Vous pourrez nous en dire un mot car au-delà de la
présentation de membres très respectables, avec, je l’ai constaté avec plaisir,
autant de femmes su d’hommes, le site de cette association n’est pas très
explicatif.
Vous avez
écrit cinq livres importants, notamment sur le principe de précaution, mais
aussi sur l’altruisme, et sur les essais cliniques dans les populations des
pays pauvres. Le dernier de ces livres « Le jeu du hasard et de la
complexité » (Odile Jacob 2014) est présenté ici par notre libraire Siloe.
Complexité,
précaution éthique. Tels sont les trois termes de votre propos ce soir
Pour la
complexité, nous sommes bien contraints d’aller vers Edgar Morin dont le livre
de 1982 Science et conscience formule la première définition de la pensé
complexe. Je le cite : « Le
but de la recherche n’est pas de trouver un principe unitaire de toute
connaissance, mais d’indiquer les émergences d’une pensée complexe, qui ne se
réduit ni à la science, ni à la philosophie, mais qui permet leur
intercommunication opérant des boucles dialogiques ».
Il y a,
évidemment, l’extrême complexité interne à la biologie elle-même. La complexité
de l’organisme humain, qui est aussi notre capacité à nous maintenir en vie, et
à corriger de nous-mêmes nos déséquilibres. Mais il y a la complexité
inter-disciplinaires, tant la physiologie de l’homme est liée à son milieu, son
comportement. Tout le monde comprend,
plus ou moins vaguement aujourd’hui, que la santé et la thérapie, par exemple,
ne sont pas liées qu’à la biologie, mais aussi à la psychologie, à
l’anthropologie, à la sociologie. Je
voudrais énoncer un fait statistique indiscutable, qui vient d’être révélé pour
Londres, mais l’est aussi pour Paris : l’espérance de vie, et l’espérance
de vie en bonne santé, sont bien plus basses à l’est des capitales, l’East end
de Londres, même s’il se boboïse actuellement, comme l’est de Paris, ce qui recoupe
évidemment la distribution géographiques des revenus.
Bien plus
que les chercheurs en sciences dures, sauf si l’on va au fin fond de la matière
et de l’histoire de l’Univers, les chercheurs en sciences biologiques font face à une énorme
complexité, que, je pense, vous allez exposer mieux que moi.
Précaution !
Vous avez donc, dans un ouvrage fait une critique, au sens philosophique du
mot, du principe de précaution que Jacques Chirac a eu l’imprudence – mais il
n’y a pas eu alors de mouvements populaires contre lui pour cela- d’inscrire
dans la Constitution. L’origine latine du mot, c’est « precavere »
prendre garde. Je pense que tous les médecins prennent spontanément garde
depuis toujours à ne pas tuer le patient pour le guérir. Mais imposé à la biologie,
qui est en amont des soins, avant, bien
avant l’autorisation de pratiquer une thérapie ou de mettre un
médicament sur le marché, elle doit effectivement être très entravant. Vous
allez, je pense, nous le dire.
Enfin,
éthique ! Là nous sommes en pleine « actu » comme disent les
journalistes. Quand commence la vie à laquelle il est interdit de mettre fin ? Comment tester des
thérapies sur l’homme, quand elles ne l’ont été que sur l’animal ? Si
l »’on est certain de l’efficacité d’un traitement mais pas de tous ses
effets secondaires, est-il légitime de pratiquer l’expérience en double
aveugle, bloquant temporairement c’est vrai,l’accès à la guérison pour la
moitié des cobayes ? Ou doit s’arrêter l’« augmentation» de l’homme
que souhaitent les transhumanistes, et au bord de laquelle nous sommes ?
Enfin bien sûr, est-ce encore une vie que l’état d’un patient en coma sans
chances objectives de recouvrer la conscience ? Un patient n’a-t-il pas le
droit quand l’issue est certains à court terme, de mettre lui-même finaux jours
de souffrances ou de dépendance totale qui s’annoncent ?
Vous n’allez
pas ce soir, Philippe Kourilsky, répondre à ces questions remplaçant les
comités divers de bioéthique qui ont déjà bien du mal à proposer des avis.
Mais vous
allez nous décrire, comme vous me l’avez excellemment suggéré, l’écartèlement
de la recherche médicale entre ces réalités et ces impératifs Mot(s) clés libre(s) : biochimie, immunologie, chimie moléculaire
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Forum Nîmois - Charles GIDE - Abderrazak BENCHAÂBANE - 17 décembre 2015
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L’activité de notre association Charles Gide reprend, pour son cycle de conférences "le forum Nîmois Charle GIDE" Jean MATOUK président de l'assosiation et professeur des universités recoit, le 17 décembre 2015, à la maison du protestantisme à Nîmes Abderrazak
Benchaâbane.
Quelle joie de vous accueillir ce soir à Nîmes Abderrazak
Benchaâbane, vous enfant de Marrakech, ville que connaissent et aiment un grand
nombre d’entre nous dont vous nous apportez, si j’ose dire la nature et les
parfums
Vous y êtes né, en effet, en 1959, y avez poursuivi des
études secondaires, continuées à l’Université de Rabat-Casablanca en biologie,
d’où vous avez migré vers la botanique. Ces études furent couronnées en 1986
par un Doctorat de Troisième cycle en Ecologie végétale, sous la direction du
Professeur Jean Jacques Corre de l’Institut botanique de Montpellier.
De là, ensuite, vous vous êtes orienté vers une variante de
l’anthropologie, l’ethno-botanique, qui vise la relation entre les plantes et
les hommes, et avez soutenu une thèse d’Etat en 1995 sous la direction du professeur
Abdelmalek de l’Institut Nationale des Eaux et Forêts à Salé. Vous êtes
aujourd’hui professeur d’écologie à l’Université Cadi Ayad de Marrakech.
C’est au titre de botaniste qu’Yves Saint Laurent vous a
demandé, en 1998 , de restaurer ses fameux Jardins Majorelle dans l’esprit
du peintre français Jacques Majaurelle (1886-1962) qui avait mis 43 ans, à
partir de 1919, à créer ce lieu enchanteur, racheté ensuite par la Fondation
Pierre Bergé-Yves Saint laurent. Dans une séquence tout à fait logique, Yves
Saint Laurent, qui diffusait déjà des parfums à sa marque, comme nombre de
grands couturiers, vous a demandé de créer un parfum « Jardin
Majorelle », ce qui vous a conquis, et conduit ensuite à devenir un
« parfumeur » au sens noble, un botaniste qui est aussi un
« nez ». Vous vous inspirez, pour créer vos parfums, des préparations
traditionnelles et des huiles végétales marocaines.
Mais votre avez aussi poursuivi votre activité de botanique
pure, en créant, dans votre domaine à Marrakech, une ancienne ferme coloniale
que vous avez baptisée Musée de la Palmeraie, avec d’un côté un splendide
ensemble de cactus, jouxtant un magnifique jardin, et de l’autre, passant de l’esthétique
naturelle à l’esthétique picturale, un très beau musée d’art contemporain.
Nous nous réjouissons de vous écouter ce soir nous parler, à
votre gré, de cet additif olfactif, utilisé depuis l’Egypte ancienne, d’abord pour
honorer les feux offerts aux dieux d’où l’étymologie per fumare, parfum puis
pour rendre les femmes encore plus attractives, Cléopâtre, dit-on en étant la
première grande utilisatrice. Les noblesses des Cours renaissantes après la
fermeture médiévale des routes d’Orient, d’où arrivaient les principales plantes,
arômes, et fragrances, furent ensuite des utilisatrices de plus en plus
intenses de parfums pour masquer les effluves corporelles, ce qui explique, dit-on
qu’à l’époque, la mode était aux parfums les plus capiteux comme l’ambre, le
musc, le jasmin, les tubéreuses.
J’arrête évidemment là ce bref historique, étant bien
incapable d’aller plus loin d’ailleurs, pour vous céder la parole. Je voudrais
juste ajouter que je puis témoigner de votre effort assez exceptionnel de
recherche en parfumerie. En 2015, vous avez fait un voyage spécial à Cuba pour
y mettre au point de nouvelles fragrance, peut-être à base de café et de tabac.
Quand je vous ai rencontré en juin, votre dernière invention était un parfum
dénommé « Soir de Marrakech » qui embaume mon appartement. En
avez-vous un nouveau venu des Caraïbes. Nous vous écoutons, conquis d’avance. Mot(s) clés libre(s) : biologie végétale, botanique, biologie (recherche), cosmétique, parfums, botaniste
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Energie, environnement, santé
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Serge Hercberg, directeur de l’UREN Université Paris 13 NordLes habitudes alimentaires et votre santéLa nutrition peut être un facteur de risque ou de protection vis-à-vis des maladies. L'étude NutriNet-Santé qui vise à recruter 500 000 volontaires sur Internet a été lancée en 2009. Des premiers résultats sont déjà disponibles permettant de mieux comprendre les habitudes alimentaires en France, la consommation de sel, le grignotage ou la pratique des régimes amaigrissants.Toutes les conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : alimentation, NutriNet-Santé, Santé
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Des algues dans notre assiette - C. Boyen, CNRS
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Organisées au sein du Pavillon de la France, ces conférences TAG, courtes et dynamiques, permettent de comprendre les grands enjeux de l’innovation et de la recherche dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation, dans une perspective de développement durable.
Les conférenciers sont issus des grandes institutions de recherche et de formation françaises dans le domaine : universités, établissements publics de recherche, écoles et fondations.
Les thématiques abordées donnent une photographie de la contribution de la France à l’alimentation mondiale, de la gestion et la préservation des ressources naturelles, des nouveaux modèles de l’agriculture, de la sécurité alimentaire... réparties en cinq thèmes : Alimentation, Agriculture, Changement climatique, Environnement, Santé. Mot(s) clés libre(s) : nutrition, Algues, culture alimentaire, santé, écosystèmes marins
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Définition et enseignement des crises du passé - Clip
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Clip de la 1ère semaine du MOOC UVED "Biodiversité"Dans une première semaine de cours, découvrez ce qu'est la
biodiversité, ses origines il y a plus de 3,8 milliards d'années,
et les mécanismes de son évolution, marquée notamment par des
grandes crises d'extinction d'espèces. Aussi, cette semaine de
cours vous permettra de mieux comprendre où en est la biodiversité
aujourd'hui et ce pourquoi il convient d'en préserver au mieux les
dynamiques. Pour vous parler de ces sujets, Gilles Boeuf (MNHN)
est accompagné de Marie-Christine Maurel (Université Pierre et
Marie Curie), de Bruno David (CNRS) et de Pierre-Henri Gouyon
(MNHN).Les inscriptions sont ouvertes : https://www.france-universite-numerique-mooc.fr/courses/uved/34002/session01/about Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, crise
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