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De la force à la farce : corriger l’erratum de la violence / Marie-Luce Demonet
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 03-12-2014
/ Canal-u.fr
DEMONET Marie-Luce
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De la force à la farce : corriger l’erratum de la violence / Marie-Luce Demonet, in "L'erreur chez Montaigne", colloque organisé par la Société internationale des amis de Montaigne avec la collaboration de l’Université Bordeaux Montaigne (Centre Montaigne-TELEM) et la Maison des Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA), Bordeaux, 3-5 décembre 2014. Thématique 2 : Erreurs linguistiques. Les Essais de Montaigne apparaissent à bien des égards comme un inventaire des erreurs en tout genre : erreurs des sens ou « de fantasie », « erreurs médicinales », juridiques, philosophiques, religieuses, politiques, voire naturelles, le tout encore fondé sur une pensée de la Chute qui fait de la Créature une errans mus. Cette perspective descriptive,
spectatrice, se double d’une perspective critique, qui s’emploie, avant le cartésianisme, à réfléchir sur le statut de l’erreur, mais également son usage : erreur volontaire ou involontaire, « particulière » ou « populaires », rapport à la représentation, au simulacre, au mensonge, mais également gestion de l’erreur par l’institution ou le sujet, avec éventuellement à la clé la reconnaissance, la réparation, la correction. Quel
rôle joue l’erreur dans le fonctionnement même du texte des Essais, et dans l’éthique singulière qu’il élabore et pratique. Le procès incessant des leurres du savoir et du pouvoir informe ainsi le mouvement de cette « chasse de connaissance » inédite, et l’image du sujet écrivant et pensant qu’elle doit refléter. Dans un esprit naturellement pluridisciplinaire,
ce colloque entend mieux cerner, à partir de l’enquête sur l’erreur, l’œuvre complexe de l’écrivain bordelais. Mot(s) clés libre(s) : Michel de Montaigne (1533-1592), errata, correction des épreuves d'imprimerie, livres (1400-1600)
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Pour une poétique de nos jours / Michel Deguy
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 29-11-2013
/ Canal-u.fr
DEGUY Michel, COCHOY Nathalie
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Pour une poétique de nos jours / Michel Deguy. Conférence organisée dans le cadre du
séminaire Poéthiques, Instants de poésie, par
Nathalie Cochoy ("Poéthiques", laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes, CAS) et Jean-Yves Laurichesse (laboratoire "Patrimoine, Littérature, Histoire", Équipe Littérature et Herméneutique, PLH-ELH), Université Toulouse II-Le Mirail, 29 novembre 2013.
* "Rachel", Photographie de Tom Wood. Mot(s) clés libre(s) : poétique, poésie française
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Patrick Chamoiseau, quelle écopoétique ? / Hannes de Vriese
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 09-10-2014
/ Canal-u.fr
DE VRIESE Hannes
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Patrick Chamoiseau, quelle écopoétique ? / Hannes de Vriese. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 4 : Gaïa et la mer des récits 1. L’écrivain antillais, par sa position au point de rencontre entre littératures
américaines, européennes et africaines, apparaît comme un passeur privilégié de genres et d’esthétiques littéraires. L’œuvre de Patrick Chamoiseau le démontre, en brassant le canon littéraire européen, l’esthétique baroque sud-américaine et l’écopoétique, très présente en Amérique du Nord. En s’interrogeant en priorité sur ce dernier aspect, on se demandera non seulement quelle place l’écriture de la nature occupe dans l’œuvre chamoisienne, mais également
comment l’écopoétique détermine l’univers fictionnel, sur le plan de l’écriture et surtout sur celui de la géographie littéraire. Le texte, on le verra, se saisit de l’écopoétique sans se laisser écraser par une présence trop univoque ou monolithique d’une telle influence, qu’il s’agit d’intégrer à un univers créolisé. En relevant les effets d’écho et/ou de dissonance entre une dimension postcoloniale d’une part et une portée écopoétique d’autre part, on visera en
outre à démontrer comment l’écriture de la nature offre à Patrick Chamoiseau un solide ancrage dans les enjeux littéraires et sociétaux d’ajourd’hui. À ce titre, les transformations de la nature dans le microcosme martiniquais se réfère chez Patrick Chamoiseau inévitablement à une échelle mondiale sinon universelle.[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature et géographie, littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française, nature (dans la littérature)
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L'espace touristique et imagnaire dans "Archipel" et "Nord" / Hannes De Vriese
/ Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 27-05-2011
/ Canal-U - OAI Archive
DE VRIESE Hannes
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Dans les pas du voyageur : le Grand Nord comme espace touristique et imagnaire dans "Archipel" et "Nord" / Hannes De Vriese. In colloque international "Claude Simon géographe" organisé par l'Équipe Littérature et Herméneutique du laboratoire Patrimoine Littérature Histoire (PLH) de l'Université Toulouse II-Le Mirail. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail, 26-27 mai 2011. Mot(s) clés libre(s) : Claude Simon (1913-2005), géographie (dans la littérature), littérature française (20e siècle)
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Servitude volontaire et clinique de l’aliénation : coutume et mémoire / Tristan Dagron
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 26-11-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DAGRON Tristan
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Le "Discours de la servitude volontaire" rapporte expressément l'aliénation à un effet de « volonté », mais plus précisément à un consentement implicite qui procède de la coutume et de l'habitude. Cette contribution se propose d'examiner cette thèse à la lumière de la « clinique humaniste », c'est-à-dire en me fondant d'abord sur la psychologie du sens interne et de la mémoire à la Renaissance. Je tenterai de montrer comment les ressorts de la tyrannie dont parle La Boétie peuvent être rapprochés des mécanismes que l'on appellerait aujourd'hui addictifs et qui se distinguent très nettement des moyens traumatiques plus directs comme le dressage. En somme, on commande au peuple par la force, mais on contraint les élites (auxquelles s'adresse d'abord La Boétie) par la puissance du paradoxe.Communication donnée dans le cadre des 4e Rencontres internationales La Boétie de Sarlat organisées par la Société des amis de La Boétie au Centre culturel de Sarlat, du 26 au 28 novembre 2008, colloque "La coutume : formes, représentations et enjeux ".Voir les autres vidéos du colloque Mot(s) clés libre(s) : aliénation (philosophie), coutume (droit), droit et littérature, Étienne de la Boétie (1530-1563), habitude (philosophie), humanisme, tyrannie
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Mourir pour...
/ ENS/UOH
/ 12-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Crépon Marc
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Le passage le plus critique de Sartre envers l’analytique existentielle d’Heidegger dans L’Etre et le néant porte sur sa conception de l’être-pour-la-mort. La conception sartrienne de l’absurdité de la mort et du mourir-pour, esquissée dans cet ouvrage mais dramatisée de manière profonde dans les grandes pièces théâtrales qui suivent l’essai d’ontologie phénoménologique, est une tentative pour relire de manière lucide le rapport de l’homme libre à l’aspect tragique et non totalisable de la mort, mettant en évidence sa relation avec les autres et avec la politique, aspect oublié par Heidegger. Mot(s) clés libre(s) : Jean-Paul Sartre, mort
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"L'esclave vieil homme et le molosse" ou la restructuration du paysage intime d'un roman des Amériques / Corina Crainic
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 10-10-2014
/ Canal-u.fr
CRAINIC Corina
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"L'esclave vieil homme et le molosse" ou la restructuration du paysage intime d'un roman des Amériques / Corina Crainic. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 6 : Esthétiques naratives et récits des Amériques.Si
les romans qui le précèdent se préoccupent d’abord du sort commun des
Martiniquais et s’attachent à mettre en relief la richesse, la diversité et la
beauté antillaises de manière à parer au legs esclavagiste, "L’esclave vieil homme et le molosse" met en
scène l’avènement de préoccupations autres, qui relèvent davantage du désir
d’une libération intime que de la sauvegarde ou de la réhabilitation d’un
peuple. Ce désir, exploré d’ailleurs aussi dans "Un dimanche au cachot", "L’empreinte
à Crusoé" et "Le papillon et la lumière",
éloigne le discours des effondrements et des éventuelles solutions en contexte
postcolonial. Il l’éloigne aussi d’une pensée du devenir commun, d’un projet
social, de revendications et d’invitations à une réflexion quant aux manières
d’habiter et de penser le monde en général et la Martinique en particulier. Ou
encore, s’il y a invitation à penser et à habiter le monde différemment, et
surtout plus intelligemment, plus sensiblement ou plus poétiquement, elle est
adressée à ce que l’être humain comporte de plus solitaire et de plus profond,
comme si la révolution appelée ne pouvait correspondre qu’à une intimité
envisagée comme la seule instance pouvant soutenir un projet d’une telle
envergure. Le roman entame aussi un mouvement relevant du roman des Amériques
ou d’une américanité se définissant d’abord et surtout par un désir de la
métamorphose inséparable de celui de la solitude, sinon même d’une
individualité définie non pas comme une pulsion narcissique destructrice ou
stérile mais plutôt comme la condition même de la connaissance et de la
plénitude. Corina Crainic étudie donc les manières dont s’expriment ces
préoccupations, ce qu’elles révèlent de la pensée de l’écrivain et la place
qu’elles occupent parmi des idées, idéaux, fantasmes ou lucidités d’écrivains
des Amériques tels que William Faulkner et Alejo Carpentier.
[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française
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Chamoiseau et après ? / Jean-Louis Cornille
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 08-10-2014
/ Canal-u.fr
CORNILLE Jean-Louis
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Chamoiseau et après ? / Jean-Louis Cornille. In "Patrick Chamoiseau et la mer des récits", colloque international organisé par le laboratoire Lettres, Langages et Arts (LLA CREATIS) de l'Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 8-10 octobre 2014. Thématique 1 : Situation de Chamoiseau.
Cette communication évoque l'œuvre de Chamoiseau qui, à mesure qu’elle déployait ses fastes, n’a guère éprouvé de mal à susciter les lectures qu’elle méritait. Attentives et bienveillantes, celles-ci se contentaient de la suivre ou de l’accompagner (plus rarement s’efforçaient-elles de la précéder). Mais aujourd’hui c’est d’une certaine façon, malgré toutes les ouvertures auxquelles elle invite, une œuvre close, c’est-à-dire faite. Et à travers elle, ne dirait-on pas que son auteur a lui-même réussi sa dernière mue : d’« idiot » (« Chameau, oiseau ») qui plagiait les grands auteurs, puis de « petite personne » qui s’insurgeait contre eux (« Chamoiseau »), il est devenu « artiste » à part entière (« Cham »), et même un rien « chaman ». Le rebelle s’est mué en artiste, le révolté en amnésique. Il ne s’agit plus dès lors pour lui d’habiter son œuvre, mais d’en faire une île à nouveau déserte, c’est-à-dire ouverte à tous ceux qui viendront y échouer et feront, avec ses débris épars, œuvre à leur tour (afin de l’abandonner aussitôt, en bande, ce qui est encore une façon de la donner en abondance). La voici donc îlot flottant dans une mer de récits (Rushdie) : se séparant des autres (et non le moins du grand continent littéraire), tout en émergeant des profondeurs océaniques. Agir en artiste (Deleuze), c’est à la fois se séparer des autres desquels on continue de se sentir « solidaire », et devenir créateur « solitaire » : être solaire qui, tel le faux Robinson, se tient à la limite entre terre et mer. Dans le reflux. Mais jusqu’où refluer, rebrousser chemin ? On en revient forcément aux premiers écrits publiés dans lesquels se fomentait la révolte. Contre le père, les fils se sont liés, en formant une alliance, certes éphémère, qui ne devait pas se limiter aux seuls essais, comme en témoigne d’emblée Chronique, autant dire les tout premiers mots de l’œuvre : « En vous confiant qui nous étions, aucune vanité n’imprégnera nos voix » : manière de nous signaler que cette première œuvre fut écrite en complicité avec le premier roman de Confiant, Le Nègre et l’Amiral, qui semble presque s’en être dégagé comme d’une gangue. Cependant, l’auteur lui-même ne nous précède-t-il pas sur cette voie de relecture ? N’a-t-il pas atteint un point à partir duquel son œuvre ne peut guère plus que refluer sur elle-même ? A mesure qu’elle avance, elle se retourne sur soi, d’un geste tout sauf orphéen, puisqu’elle s’y constitue : sous la « sentimenthèque » gît une autothèque. C’est ainsi qu’on voit Biblique des derniers gestes mimer le titre du premier roman ; ou L’Empreinte à Crusoé reprendre les « chutes et notes » rejetées du même Chronique des sept misères ; ou encore Un dimanche au cachot revenir sans arrêt sur Le vieil homme esclave et le molosse. A présent qu’elle s’est constituée, incontournable, que dire encore de cette œuvre à chaque fois renouvelée par ce qu’elle accueille ou ce qui s’inscrit de surcroît en elle, sinon la relire (voire même la récrire) ? D’où ce titre : "Chamoiseau : et après ?" Qui peut aussi, de façon plus sournoise, s’entendre ainsi : que peuvent, après Chamoiseau, nous donner encore les Antilles, qui nous donnèrent Césaire, dont procéda Glissant ? Ce serait mal poser la question que d’y voir une sorte de vivier de la littérature produite en français. Chamoiseau n’a lui-même cessé d’appeler d’autres travailleurs à venir de nouveaux horizons : souvenons-nous ici que la mer des récits à l’origine désignait l’Océan indien.[Illustration adaptée de "Mystery River", photographie de Mattias Ripp, 2014, publiée sur Flickr]. Mot(s) clés libre(s) : littérature française (20e-21e siècles), Patrick Chamoiseau (1953-....), littérature antillaise de langue française
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Les morales de Sartre, une logique de l'erreur
/ ENS/UOH
/ 12-11-2007
/ Canal-U - OAI Archive
Cormann Grégory
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A partir des indications fragmentaires données par Sartre, il est possible de suivre sa tentative d’élaborer une morale à partir d’une « logique de l’erreur » qui n’est autre qu’une « logique des émotions ». De L’Esquisse d’une théorie des émotions au livre sur Flaubert, en passant par la psychanalyse existentielle, cette logique se décline comme une originale théorie de l’enfance qui, reprenant certains nœuds de la philosophie d’Alain, renoue les thèmes de la temporalité, de l’imagination et du social et nous oriente vers une philosophie de la culture. Mot(s) clés libre(s) : enfance, Esquisse d'une théorie des émotions, Jean-Paul Sartre, morale, philosophie, psychanalyse et philosophie
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Littérature et chiffonnerie
/ 10-03-2016
/ Canal-u.fr
COMPAGNON Antoine
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L’activité poétique de Baudelaire a coïncidé avec
l’âge d’or de l’industrie du chiffonnage à Paris, sous la monarchie de
Juillet et le Second Empire. À l’époque, on ramassait, recyclait
tout, et les moindres rebuts retrouvaient un destin ; tout objet rejeté gardait une valeur sur le marché de la revente.
Sans nier la validité des interprétations désormais classiques,
attachées à la définition du monde moderne par l’obsolescence des
choses, avant la « destruction créatrice » de Joseph Schumpeter,
et justifiées par la passion de Baudelaire pour la modernité comme
beauté éternelle à extraire des modes fugitives, il importe de les
réconcilier avec un fait économique, social, culturel et littéraire
massif et incontestable. Le moment historique dont Baudelaire fit
l’expérience fut un temps qui ne laissait pas de restes, où les
bilans, les vers, les billets doux, les procès et les romances, si le
poète les avait descendus de sa mansarde dans la rue, auraient été
ramassés aussitôt par un chiffonnier au coin de la borne et revendus
au poids à l’entreposeur pour refaire du papier ou du carton, car leur
place était prescrite dans le cycle industriel de la papeterie. Mot(s) clés libre(s) : poésie, littérature française (19e siècle), histoire économique, Schumpeter, Baudelaire, histoire industrielle, chiffonnerie, chiffonnage
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