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L’ouverture à la diversité dans les systèmes scolaires à ambiguïté de dominance ethnique
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MC ANDREW Marie
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Interview de Marie MAC ANDREW
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Mac Andrew Marie
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Colonisation, décolonisation, postcolonialisme
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 03-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
M'BOKOLO Elikia
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A trois mots, trois concepts et toute une série de pratiques qu'ils désignent, approuvées bruyamment par les uns, rejetées avec force par les autres. A eux trois, ces mots pourraient à première vue résumer toute l'histoire de l'Afrique au XXème siècle, en même temps qu'ils semblent vouloir baliser les voies du devenir africain pour les temps à venir. A y regarder de plus près, découper le XXème siècle africain en ces trois séquences ne va pas sans problèmes. Si cette succession semble aller de soi, c'est parce qu'on sait, par expérience et par définition, que tout empire périra. Mais, quel contenu donner à la colonisation, en termes de durée et de processus mis en oeuvre ? Jusqu'à quel point peut-on souscrire à l'idée d'innovation radicale et positive sur laquelle elle a prétendu se fonder ? Et la décolonisation, comment procède-t-elle de la colonisation ? Comment les stratégies et les tactiques élaborées " en haut " par les pouvoirs locaux et métropolitains s'articulent-elles avec les diverses luttes menées à la fois " en haut " et " en bas ", dans ce qui constitue le centre et la périphérie de formations géopolitiques complexes ? Il apparaîtra alors que la notion commode de postcolonialisme ne se réduit pas à un après-colonisation. Plus qu'une mise en ordre de faits, dont beaucoup restent controversés, on propose ici des interrogations et des réflexions sur l'un des grands malentendus du XXème siècle. Mot(s) clés libre(s) : afrique, christianisme, civilisation, colonialisme, colonisation, décolonisation, esclavage, europe, postcolonialisme
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La prise en compte et la place des élèves étrangers dans les classes
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LOUBES Olivier
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L'école et les deux corps de la nation en France, d'une guerre l'autre
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 01-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LOUBES Olivier
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Écrire le roman scolaire de la nation : le cas français (animé par Charles Heimberg, Chargé de cours et d'enseignement en didactique de l'histoire, Université de Genève/Suisse)L'école et les deux corps de la nation en France, d'une guerre l'autre (1914-1940)1er avril 2010, Lyon, Institut national de recherche pédagogique. Mot(s) clés libre(s) : Ecole, Histoire, Nation, Patrie
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Interview d'Olivier LOUBES
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 01-04-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LOUBES Olivier
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Interview d'Olivier LOUBES Mot(s) clés libre(s) : Ecole, Histoire, Nation, Patrie
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La diversité : nouvelle définition générale de la situation en France, mais action scolaire limitée
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LORCERIE Françoise
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Interview de Françoise LORCERIE
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
Lorcerie Françoise
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Les articulations scolaires espagnoles par Ramon Lopez Facal
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 21-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
LOPEZ FACAL Ramon
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016 L’Islam médiéval ou le miroir aux identités. Remarques sur une civilisation de la bigarrure
/ ENS-LSH/SCAM
/ 12-03-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LOISEAU Julien
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Session Grammaire ou choc des civilisations ? Colloque L’Islam et l’Occident à l’époque médiévale. Transmission et diffusion des savoirs. (11, 12, 13 mars 2009) Un peuple, une langue, une religion. Les monades ont quelque chose de rassurant que n’ont pas les organismes complexes. La confusion du monde islamique avec les seuls pays de langue arabe (quand, par exemple, près de 40 % des musulmans d’aujourd’hui vivent dans le monde indien) et la réduction de l’Islam à l’unique champ de la religion musulmane, sont sans doute les deux certitudes les mieux partagées par ceux que l’Islam inquiète et ceux qui entendent le défendre sur le terrain des luttes politiques. Elles ont, pour les uns comme pour les autres, l’utilité de ramener un passé devenu difficilement compréhensible à quelques identités immédiatement saisissables, sans angle ni faille tant elles ont été réifiées par les discours et les luttes qui ont accompagné, au XXe siècle, la sortie des empires.Même le chapitre longtemps consensuel de la coexistence confessionnelle, celui de l’Andalousie de la convivència, a volé en éclat : on n’y voit plus qu’une oppression habillée par le droit ou, à l’inverse, une bienveillance bafouée et depuis détrompée. Aussi l’air du temps ne devait pas non plus épargner l’histoire des idées et de la transmission des savoirs, soumise au jeu de massacre des identités. La transmission de l’héritage grec ne serait ni l’œuvre des musulmans (puisque bon nombre de traducteurs étaient chrétiens), ni l’accomplissement des Arabes (puisque les mêmes étaient issus de la population autochtone de l’Iraq). Le roi est nu et l’Islam médiéval, privé du dernier des atours que l’opinion commune voulait bien encore lui prêter. C’est qu’il nous est devenu difficile aujourd’hui d’admettre qu’une société ait pu faire sa richesse de l’infinie diversité des peuples rassemblés sous sa Loi. Difficile, de comprendre une société qui leur attribuait un génie propre et, partant, des domaines particuliers d’excellence ; où la non-appartenance au groupe dominant (au regard du nombre, de la Loi ou de la culture majoritaire) était une voie d’accès privilégiée à la société politique ; où l’allochtonie était la clé du pouvoir. Jusqu’au XIXe siècle, ce qui donna une unité de civilisation au monde de l’Islam fut sans aucun doute cette complexe machinerie sociale, fondée sur l’ajustement des différences. L’Islam, civilisation de la bigarrure, n’est décidément pas soluble dans l’alternative de l’identité et du métissage.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Cadre: Mathias Chassagneux, Carine Doléac Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : civilisation islamique, échange de savoirs, Islam médiéval, moyen âge, orient et occident
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