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Diversité culturelle et/ou inégalités sociales. Comment dire le monde ?
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 22-10-2010
/ Canal-U - OAI Archive
AUDIGIER François
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018 - Les transformations de la philosophie française et le legs de 68
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
AUDIER Serge, RENAULT Emmanuel
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les enjeux politiques du tournant des années 1970-1980 Communication présentée par Emmanuel RenaultSession Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaine La pensée française a connu, durant les années 1970-1980, de profondes transformations dans le domaine philosophique et sociologique, avec la mise en avant du thème du « retour » : retour du libéralisme, des droits de l’homme, du sujet, de l’humanisme, etc. Cette volonté de renouvellement, s’est accompagnée d’une rupture avec les « maîtres à penser » des années 1960 (Foucault, Bourdieu, etc.), et de la promotion de nouvelles interprétations de Mai 68. Cette communication se propose d’analyser les enjeux des ces déplacements intellectuels.Bibliographie S. Audier, La pensée anti-68 : Essai sur les origines d’une restauration intellectuelle, La découverte, 2008Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : anti-humanisme, consumérisme, France, individualisme, libéralisme, mai 68, philosophie et politique, vie intellectuelle
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3 - La société de l’harmonie universelle (1)
/ Laure De Scitivaux
/ 16-10-2014
/ Canal-u.fr
ARMANDO David
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Bilan d’étape du programme
de recherche sur l’histoire du mesmérisme et de la Société de l’harmonie
universelle Mot(s) clés libre(s) : ethnologie, sociologie, histoire des sciences, histoire, anthropologie, Histoire Moderne et Contemporaine, Sciences de l’homme, sciences de la société
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022 - Débat Marxisme hétérodoxe et pensée libertaire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ANGAUT Jean-Christophe
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaine Résumé Quarante ans après, au travers des commémorations, mai 68 est décrit d’une part comme l’émergence d’un mouvement de libération aux tonalités libertaires, dissimulé sous une gangue marxiste archaïque (dont il est de bon ton de se gausser), et d’autre part, en parallèle, comme le cantonnement du mouvement ouvrier aux revendications délimitées par les syndicats, en complet décalage avec les mots d’ordre révolutionnaires et libertaires portés par les étudiants. Au rebours de cette relecture euphémisante, qui sous prétexte de rendre hommage au rôle positif de mai 68 rajoute une pelletée de terre sur son cercueil et n’en retient que la part valorisable, il faut souligner le lien étroit qui a uni, au moment des événements, les mots d’ordre libertaires et marxistes hétérodoxes. Bien que les organisations libertaires et conseillistes aient été assez peu impliquées dans la dynamique des événements, et bien qu’on n’ait souvent retenu de mai 68 que les tentatives de renouvellement de l’orthodoxie marxiste (maoïsme notamment), ce qui a donné son caractère d’événement à mai 68, c’est la rencontre entre anarchisme et conseillisme (en particulier chez les situationnistes), rencontre qui constitue sans doute la part irrécupérable de mai 68.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Cadre : Mathias Chassagneux, Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : anarchisme, barbarie, conseillisme, france (1968), grève générale, mai 68, marxisme hétérodoxe, mouvement ouvrier, occupations, pensée libertaire, situationnisme, socialisme
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021 - Marxisme hétérodoxe et pensée libertaire
/ ENS-LSH/SCAM
/ 23-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ANGAUT Jean-Christophe
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Session Effets philosophiques de mai 68. Crises, fractures, déplacements Colloque Mai 68 en quarantaine Quarante ans après, au travers des commémorations, mai 68 est décrit d’une part comme l’émergence d’un mouvement de libération aux tonalités libertaires, dissimulé sous une gangue marxiste archaïque (dont il est de bon ton de se gausser), et d’autre part, en parallèle, comme le cantonnement du mouvement ouvrier aux revendications délimitées par les syndicats, en complet décalage avec les mots d’ordre révolutionnaires et libertaires portés par les étudiants. Au rebours de cette relecture euphémisante, qui sous prétexte de rendre hommage au rôle positif de mai 68 rajoute une pelletée de terre sur son cercueil et n’en retient que la part valorisable, il faut souligner le lien étroit qui a uni, au moment des événements, les mots d’ordre libertaires et marxistes hétérodoxes. Bien que les organisations libertaires et conseillistes aient été assez peu impliquées dans la dynamique des événements, et bien qu’on n’ait souvent retenu de mai 68 que les tentatives de renouvellement de l’orthodoxie marxiste (maoïsme notamment), ce qui a donné son caractère d’événement à mai 68, c’est la rencontre entre anarchisme et conseillisme (en particulier chez les situationnistes), rencontre qui constitue sans doute la part irrécupérable de mai 68.Bibliographie René Viénet, Enragés et situationnistes dans les mouvements d’occupation, Paris, Gallimard, 1968. Guy Debord, "Le commencement d’une époque", Internationale Situationniste, n°12 (septembre 1969).Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : anarchisme, barbarie, conseillisme, france (1968), grève générale, mai 68, marxisme hétérodoxe, mouvement ouvrier, occupations, pensée libertaire, situationnisme, socialisme
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Le travail des praticiens de la mémoire publique - 3ème Partie: Deux études de cas
/ Michel KIMMEL
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
AMALVI Christian, BOUDHAR Yasmina
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3ème Partie: Deux études de cas
La table ronde intitulée « Le travail des praticiens de la mémoire publique : l’impact des contraintes matérielles et de la prise en compte du public-cible » s’est tenue le 8 octobre 2015 dans le cadre du colloque interdisciplinaire La Fabrique des mémoires publiques (Université Paul-Valéry, Montpellier, 7-9 octobre 2015). Par « mémoire publique », il faut entendre un mode de rappel d’objets du passé (personnages, événements, œuvres, etc.) où le souvenir est exposé à autrui hors du cadre interindividuel ou familial. Ce partage du souvenir fonde des communautés dans lesquelles chacun est censé s’inscrire. Il y a donc, dans une société, une pluralité de mémoires publiques, dont les rapports avec la mémoire officielle sont complexes.
C’est plus précisément l’impact des impulsions institutionnelles sur la construction de mémoires publiques qui est examiné dans la table-ronde. La réflexion proposée s'appuie sur un dialogue entre diverses disciplines de SHS, mais aussi entre enseignants-chercheurs et professionnels de différents métiers.
La table ronde réunit acteurs et observateurs des acteurs de la mémoire publique : Yasmina Boudhar, muséographe, David Zivie, ancien directeur général adjoint de la mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale, les historiens Christian Amalvi (ancien archiviste et conservateur), Laurence de Cock (membre du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire), Charles Heimberg (concepteur d’un plan d’études en Histoire pour l’enseignement secondaire en Suisse) et Frédéric Rousseau (expert scientifique pour plusieurs musées ; auteur de travaux sur la muséologie).
La table ronde s’est efforcée de conserver une approche très concrète des pratiques, en s’appuyant sur diverses études de cas (notamment, mais pas seulement : commémoration de la guerre de 14-18, Mons Memorial Museum, enseignement de la Guerre d’Algérie, production d’ouvrages scientifiques sur la mémoire).
Modératrice : Isabelle David (MCF, Université Paul-Valéry Montpellier 3) Mot(s) clés libre(s) : musées, publications scientifiques, Mons Memorial Museum, lieux de mémoire
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Le travail des praticiens de la mémoire publique - 1ère Partie: Présentation des intervenants
/ Michel KIMMEL
/ 08-10-2015
/ Canal-u.fr
AMALVI Christian, ROUSSEAU Frédéric, HEIMBERG Charles, ZIVIE David, BOUDHAR Yasmina, DE COCK Laurence
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1ère Partie: Présentation des intervenants
La table ronde intitulée « Le travail des praticiens de la mémoire publique : l’impact des contraintes matérielles et de la prise en compte du public-cible » s’est tenue le 8 octobre 2015 dans le cadre du colloque interdisciplinaire La Fabrique des mémoires publiques (Université Paul-Valéry, Montpellier, 7-9 octobre 2015). Par « mémoire publique », il faut entendre un mode de rappel d’objets du passé (personnages, événements, œuvres, etc.) où le souvenir est exposé à autrui hors du cadre interindividuel ou familial. Ce partage du souvenir fonde des communautés dans lesquelles chacun est censé s’inscrire. Il y a donc, dans une société, une pluralité de mémoires publiques, dont les rapports avec la mémoire officielle sont complexes.
C’est plus précisément l’impact des impulsions institutionnelles sur la construction de mémoires publiques qui est examiné dans la table-ronde. La réflexion proposée s'appuie sur un dialogue entre diverses disciplines de SHS, mais aussi entre enseignants-chercheurs et professionnels de différents métiers.
La table ronde réunit acteurs et observateurs des acteurs de la mémoire publique : Yasmina Boudhar, muséographe, David Zivie, ancien directeur général adjoint de la mission du centenaire de la Première Guerre Mondiale, les historiens Christian Amalvi (ancien archiviste et conservateur), Laurence de Cock (membre du Comité de Vigilance face aux usages publics de l’histoire), Charles Heimberg (concepteur d’un plan d’études en Histoire pour l’enseignement secondaire en Suisse) et Frédéric Rousseau (expert scientifique pour plusieurs musées ; auteur de travaux sur la muséologie).
La table ronde s’est efforcée de conserver une approche très concrète des pratiques, en s’appuyant sur diverses études de cas (notamment, mais pas seulement : commémoration de la guerre de 14-18, Mons Memorial Museum, enseignement de la Guerre d’Algérie, production d’ouvrages scientifiques sur la mémoire).
Modératrice : Isabelle David (MCF, Université Paul-Valéry Montpellier 3) Mot(s) clés libre(s) : histoire, guerre d'algérie, musées, Première Guerre Mondiale, commémoration, historien, Mons Memorial Museum, mémoire collective, mémoire officielle
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La construction de l'Empire de Russie dans les manuels d'histoire russe
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 03-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
AMACHER Korine
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La question nationale à l’école algérienne (1962-2009)
/ INRP Institut National de Recherche Pedagogique
/ 03-12-2010
/ Canal-U - OAI Archive
AIT SAADI Lydia
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008 - Les féminismes des années 1970, entre théories et pratiques
/ ENS-LSH/SCAM
/ 22-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ACHIN Catherine, NAUDIER Delphine
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Session Effets sociaux et politiques de mai 68. Pratiques, acteurs, représentations Colloque Mai 68 en quarantaine L’histoire des « idées » féministes est intimement liée à celle des pratiques et des mobilisations : dans les années 1970, des groupes de femmes à Paris comme en Province élaborent une politique d’autonomisation, indissolublement pratique (expérimentation de conduites subversives quotidiennes, groupes non mixtes, etc.), théorique (productions de concepts et d’analyse de l’oppression des femmes) et subjective (« conscientisation » et politisation, qui passent par la circulation de la parole, autorisant la mise en partage d’expériences, la possibilité de l’indignation et sa traduction sous formes de revendications collectives). Nous chercherons donc à appréhender le processus de production des idées féministes dans le sillage de Mai 68, en ayant soin de croiser les textes théoriques principaux du Mouvement des femmes publiés dans diverses revues au cours de la décennie, et les expériences pratiques de femmes actives dans des groupes, notamment en Province. Nous chercherons à comprendre, pourquoi et comment, à ce moment précis, les normes de genre ont été déplacées et les femmes ont subverti les assignations qui pesaient sur elles dans les différents cadres sociaux où elles s’inséraient. C’est en effet en recueillant nombre de micro-événements qui, jalonnant des histoires de vie reformulées à travers la reconstitution des manières d’être, de penser et d’agir, ont organisé et donné sens à ces « révoltes individuelles » que l’on peut accéder aux modifications pratiques, et pas seulement rhétoriques, des normes de genre. Les indignations quotidiennes et les accidents de trajectoire ordinaires déterminent la révolte des femmes, mais il est certain que la mise à disposition de cadres théoriques et de modèles impensables avant 1968 par l’espace public médiatique et par des membres locaux des organisations militantes, permet d’élargir l’espace des possibles et la conscientisation qui précède l’action.Bibliographie Christine Bard et Janine Mossuz-Lavau (dir.), Le Planning familial, histoire et mémoire, 1956-2006, Rennes, PUR, 2006 Christine Delphy, L’ennemi principal 1 et 2, Paris, Syllepse, 2001 Centre Lyonnais d’Etudes Féministes, Chronique d’une passion. Le Mouvement de Libération des Femmes à Lyon, Paris, L’Harmattan, 1989 Yasmine Ergas, « Le sujet femme. Le féminisme des années 1960-1980 », in Histoire des femmes en Occident, Paris, Perrin, 2002 Françoise Flamant, A tire d’elles. Itinéraires de féministes radicales des années 1970, Rennes, PUR, collection "Archives du féminisme", 2007. Antoinette Fouque, Gravidanza. Feminologie II, Paris, Des femmes, 2007. Françoise Picq, Libération des femmes : les années mouvements, Paris, Seuil, 1993 Annie de Pisan et Anne Tristan, Histoires du MLF, Paris, Calmann-Lévy, 1977. Michèle Riot-Sarcey, Histoire du féminisme, Paris, La Découverte, 2002. Michelle Zancarini-Fournel, « Genre et politique : les années 1968 », Vingtième siècle. Revue d’histoire, 75, jlet-sept 2002.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia : Mathias Chassagneux,Son: Xavier Comméat, Encodage-Montage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : féminisme, france, mai 1968, mouvement de libération des femmes, mouvement féministe
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