Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
L'identité fluctuante de Barack Obama / Lea Stephan
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
STEPHAN Léa
Voir le résumé
Voir le résumé
L'identité fluctuante de Barack Obama / Lea Stephan, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Cette communication se propose d'étudier l'identité changeante
qu'endosse Barack Obama en montrant combien il choisit de représenter
des facettes spécifiques de son identité en fonction de ses besoins
politiques du moment. A l'instar de la population américaine, les
origines de Barack Obama sont mixtes et complexes. Toutefois, pour les
besoins de son rôle de président de tous les américains, Barack Obama
favorise le plus souvent une identité racialement neutre, celle du politicien noir post-mouvement des droits civiques qui privilégie
le paradigme de la classe au détriment de celui de la race. Mais
l'analyse montre que suivant le sujet abordé et l'auditoire, Obama
choisit par contre de mettre en avant d'autres facettes de son identité.
En effet, particulièrement pour des sujets sensibles ou concernant
certaines communautés en particulier, Obama puise dans son identité
complexe pour tisser des liens avec son auditoire. Lea Stephan montre
comment Obama favorise tour à tour ses oirigines noires ainsi que celles
de sa femme, afin d'asseoir sa légitimité auprès de la communauté
africaine-américaine, mais aussi comment il utilise son passé d'immigré
en Indonésie pour créer un rapport priviligié avec la communauté
hispanique. Mot(s) clés libre(s) : identité culturelle (Etats-Unis), noirs américains (identité collective), Barack Obama (1961-....)
|
Accéder à la ressource
|
|
Representaciones de la población afrocaribeña en Costa-Rica, 1940-1953 / Ronald Soto-Quiros
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
SOTO QUIROS Ronald
Voir le résumé
Voir le résumé
Representaciones de la población afrocaribeña en Costa-Rica, 1940-1953 / Ronald Soto-Quiros, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 3 : Métissages.Se trata de un análisis sobre las imágenes de la población de origen especialmente jamaicano en las dos décadas precedentes a la elección del primer diputado de origen afrocaribeño en Costa Rica. La investigación utiliza como fuente histórica particularmente la prensa nacional y local. El estudio intenta mostrar el peso politico y simbólico que tuvo la idea de una población mayoritariamente blanca en Costa Rica como uno de los componentes esenciales en la construcción de una identitad nacional en la aceptación e integración de la población de origen afroantillano -especialmente asentada en el caribe costarricense desde los años 1870- como afrocostarricense. La primera parte intenta explicar el desarrollo y consolidación de la idea de un país de "blancos" en la primera mitad del siglo XX. Una segunda parte analiza les imágenes de los afrocaribeños en el período posterior a 1934 -año de establecimiento de una medida estatal para prohibir la incorporación de afrocaribeños en los nuevos campos bananeros de la región pacífica. Una tercera sección se ocupa de evaluar la evolución y las imágenes de la población afrocaribeña durante la década de 1940 hasta la eliminación de medidas racistas contra esta población y la elección del primer diputado afrocostarricense, Alex Curling, en 1953. Mot(s) clés libre(s) : Noirs (identité collective), Afro-caribéens, Costa Rica (19e-20e siècles)
|
Accéder à la ressource
|
|
De Cuba à Miami, la trajectoire d'un Noir cubain / Aline Rouhaud
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-02-2013
/ Canal-u.fr
ROUHAUD Aline
Voir le résumé
Voir le résumé
De Cuba à Miami, la trajectoire d'un Noir cubain / Aline Rouhaud. In journée d'étude "Les Amériques noires : identités et représentations", organisée par l'Institut de Recherches Intersites Etudes Culturelles (IRIEC) et l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 8 février 2013.Cette communication traite des origines de la différence entre l'identité noire des noirs vivant à Cuba et celle des afro-cubains émigrés aux Etats-Unis dans la ville de Miami, essentiellement après l'exode de Mériel en 1980. Aux USA, les noirs cubains ont pu prendre conscience de la différence raciale clairement revendiquée par les leaders des mouvements pour les droits civiques dès les années 60, tandis qu'à Cuba les revendications d'une spécificité noire, incluse dans la lutte de classe, s'est diluée dans la volonté politique d'une union nationale métissée, constante depuis les guerres d'indépendance de la fin du XIXe et par delà la révolution castriste. Mot(s) clés libre(s) : lutte contre le racisme, identité nationale, Cuba (20e siècle), Mouvement des droits civiques (Etats-Unis), Révolution cubaine (1956-1959), Exode de Mariel (Cuba)
|
Accéder à la ressource
|
|
Le 1er avril 1918 — Émeute à Québec contre la conscription : résistance politique ou culturelle ?
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 31-01-2013
/ Canal-u.fr
Richard Béatrice
Voir le résumé
Voir le résumé
Au printemps 1918, la ville de Québec s’embrase. Alors que la guerre s’enlise en Europe, le gouvernement de Robert L. Borden a décidé d’imposer le service militaire obligatoire pour combler les pertes du Corps expéditionnaire canadien. Depuis, la tension n’a cessé de grimper dans la Belle province alors que l’opinion publique se mobilise contre la conscription. Au soir du 28 mars, l’arrestation d’un présumé réfractaire à Québec met le feu aux poudres. Cinq jours durant les
émeutes se succèdent pour finalement tourner au bain de sang. Le 1er avril, la troupe tire sur la foule. Bilan : quatre morts et des dizaines de blessés. Présentée après coup comme le symbole de la résistance nationale des Québécois à l’oppression du reste du Canada, cette crise majeure s’enracine en fait dans un héritage historique plus complexe. Décryptage.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-1er-avril-1918-Emeute-a-Quebec.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, Première Guerre Mondiale, Émeute de Québec de 1918, Crise de la conscription de 1917
|
Accéder à la ressource
|
|
De l'afro-Mexique aux afro-latino-Amériques : réflexions afrodiasporiques à partir de cas pratiques / Sébastien Lefèvre, Paul Mvengou Cruzmerino
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
MVENGOU CRUZMERINO Paul, LEFÈVRE Sébastien
Voir le résumé
Voir le résumé
De l'afro-Mexique aux afro-latino-Amériques : réflexions afrodiasporiques à partir de cas pratiques / Sébastien Lefèvre, Paul Mvengou Cruzmerino, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.Ëtre « Noir » au Mexique c'est avant tout être invisible. Aucune reconnaissance constitutionnelle, aucune présence réelle dans les manuels scolaires. Jusqu'à il y a quelques années, cette situation n'était pas exclusive du Mexique. En effet, la reconnaissance des populations afro-latino-américaines reste récente. On peut dater un changement concernant la "visibilisation" de ces populations à partir des années 1990. Puis en 2001 s'est tenue à Duban, en Afrique du Sud, sous les auspices des Nations Unies, la conférence mondiale contre le racisme, la discrimination et la xénophobie, qui a permis à un certain nombre de leaders afros de s'y rendre. Et, récemment, l'année 2011 a été décrétée par les Nations Unies comme l'année des afrodescendants afin de promouvoir les droits et le développement des dites populations. Parallèlement à ces divers processus [afro ou autre] pour rendre visibles les populations afro-américaines, le champ scientifique afro-latino-américaniste s'est aussi développé de manière importante durant les deux dernières décennies, donnant lieu à divers programmes de recherches nationaux et transnationaux. Prenant en compte le contexte de ces deux décennies, Sébastien Lefèvre et Paul Mvengou Cruzmerino proposent de partir de leurs recherches respectives sur l'identité afro-mexicaine pour déboucher sur une réflexion plus générale quant aux afro-latino-Amériques. Plus précisément, ils interrogent les formes de résistances symboliques développées et entretenues au fil des siècles par les Afro-mexicains et les confrontent ensuite à d'autres formes de résistances afro-latino-américaines. Cette confrontation permet de voir qu'il existe certaines transversalités entre les différentes populations afrodiasporiques qui ne sont pas anodines, amenant à poser les bases de réflexions afrodiasporiques transatlantiques. Mot(s) clés libre(s) : Mexique (20e siècle), Noirs (identité collective), Noirs (Mexique)
|
Accéder à la ressource
|
|
Peaux noires regards blancs : quelques représentations du Noir à Cuba au XIXe siècle / Sylvie Mégevand
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-02-2013
/ Canal-u.fr
MÉGEVAND Sylvie
Voir le résumé
Voir le résumé
Peaux noires regards blancs : quelques représentations du Noir à Cuba au XIXe siècle / Sylvie Mégevand. In journée d'étude "Les Amériques noires : identités et représentations", organisée par l'Institut de Recherches Intersites Etudes Culturelles (IRIEC) et l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 8 février 2013.Cette communication étudie l'image du noir dans la peinture cubaine, pas par les noirs eux-mêmes car peu de cubains noirs peignent ou dessinent au XIXe siècle, mais essentiellement du regard blanc porté sur le noir, pour essayer de cerner quelques caractéristiques véhiculant des aspects intéressants pour l'étude de l'identité noire cubaine. Avant les années 40, le noir n'apparaît que marginalement dans la peinture à l'exception notable d'un serviteur dans le tableau d'un peintre mulatre, Vicente Escobar (1762 1834) et d'une servante dans "L'inauguration del Templete" du français Jean-Baptiste Vermay. Sylvie Mégevand présente un corpus iconographique d'images produites à Cuba, autour du thème du travail des esclaves : trois lithographies de Frédéric Mialhe (voir diapo), de Justo Cantero et Edouard Laplante (Ingenios de Cuba, 1857), de Juan Jorge Jorge Peoli (El negro guardiero, 1853). Une comparaison est faite entre le Día de Reyes de Frédéric Mialhe (1953) et le Día de Reyes et le Carnaval de Victor P. Landaluze. Les représentations sur les paquets de cigarettes (marquillas cigarreras) d'enfants noirs et métis et mulâtresse (série Vida y Muerte de la Mulata) démontrent les stéréotypes en vogue dans les années 1860-70 à Cuba. "Las cuatro generaciones", de Landaluze, fait clairement référence au métissage et à la réalisation des aspirations au "blanchiment". Au XXe siècle, le tableau de Carlos Enriquez, El rapto de las mulatas (1938) permet de mesurer que le personnage de la mulâtresse reste un invariant de l'imaginaire cubain. Mot(s) clés libre(s) : peinture cubaine (19e siècle), Víctor Patricio Landaluze (1830-1889), noirs (dans la peinture)
|
Accéder à la ressource
|
|
La figure de la mulâtresse dans la construction de l'identité cubaine (iconographie XIXe-XXe siècles) / Sylvie Mégevand
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
MÉGEVAND Sylvie
Voir le résumé
Voir le résumé
La figure de la mulâtresse dans la construction de l'identité cubaine (iconographie XIXe-XXe siècles) / Sylvie Mégevand, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 1 : Esclavage et mémoire.Les représentations de la mulâtresse ont donné lieu à une abondante iconographie à Cuba et dans l'aire Caraïbe. Abondance n'induit pas forcément variété, ce que prouve l'analyse diachronique des célèbres lithographies "La vida de la mulata" (firme Susini) et de la firma La Legitimidad sur les paquets de sucre, des couvertures de revues (Cartales et autres peintures de Landalouze, de Carlos Enríquez). Ce corpus permet de brosser un état des lieux sur les invariants esthétiques d'un stéréotype aussi esthétiquement fascinant que moralement condamnable aux yeux des publics : jeunesse, beauté plastique et liberté de mœurs, mais également tentation, immoralité et décadence. La mulâtresse est-elle un facteur de cohésion ou bien au contraire le ferment d'un désordre social ? Le regard généralement univoque qu'ont porté les artistes et les publics sur cette femme métisse n'empêche pas de cerner les rapports, plus complexes qu'il n'y paraît, entre Blancs et Noirs, hommes et femmes, dominants et dominés... Autant de données contradictoires qui s'enracinent dans une ambiguïté statutaire fondée sur des préjugés raciaux et des pratiques sociales et sexuelles directement nées de l'esclavage. De telles représentations conduisent à s'interroger sur la puissance et la stabilité d'un imaginaire collectif qui est également repérable dans le domaine littéraire, à définir des contours de la construction identitaire insulaire dont la mulâtresse est un des éléments clés avec d'autres figures emblématiques créées comme elle au XIXe siècle -telle celle du guajiro blanc. Mot(s) clés libre(s) : représentations sociales, peinture cubaine (19e siècle), noirs (dans la peinture), Noirs (identité collective), peinture cubaine (20e siècle), Cuba (19e-20e siècles)
|
Accéder à la ressource
|
|
La représentation picturale de l'Antillais sous la Troisième République
/ 01-03-2013
/ Canal-u.fr
LOZERE Christelle
Voir le résumé
Voir le résumé
Dans la construction de l'imaginaire colonial, les "vieilles colonies" apparaissent à la fin du XIXe siècle comme les symboles d'une assimilation réussie. A l'heure du paternalisme triomphant, les pouvoirs publics sont convaincus que seule la France peut faire naître le sentiment esthétique chez les Antillais trop longtemps exposés "à la langueur de l'ennui", incapables de ressentir le sublime et le pittoresque, pourtant omniprésents dans les paysages paradisiaques insulaires. Seuls des esprits éclairés peuvent réveiller des talents artistiques endormis. Cette communication portera principalement sur l'impact des images dans la construction d'une identité antillaise. Elle évoquera particulièrement le rôle des artistes de "la Société coloniale des artistes français" dans la diffusion d'un imaginaire créole. Mot(s) clés libre(s) : femmes, peinture, assimilation, colonisation, utopie, Exotisme, exposition, Art, Costume
|
Accéder à la ressource
|
|
Afro-Caribéens et Afro-Américains à New-York : interactions et représentations / Léna Loza
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
LOZA Léna
Voir le résumé
Voir le résumé
Afro-Caribéens et Afro-Américains à New-York : interactions et représentations / Léna Loza, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 2 : Identités relationnelles.La grande majorité des immigrants afro-caribéens arrivés aux États-Unis au début du vingtième siècle s'installa au cœur de la communauté noire de New-York, à Harlem. Quelques décennies plus tard, une seconde vague d'immigratio en provenance de la Caraïbe transforma le quartier de Brooklin où une multitude d'enclaves ethniques afro-caribéennes se développèrent. L'assignation identitaire raciale commune à laquelle Afro-Caribéens et Afo-Américains sont soumis aux États-Unis a indéniablement contribué à leur rapprochement. Cependant, la complexité des interactions entre ces deux groupes et les enjeux identitaires connexes ont été mis en évidence dans de nombreuses études.Cette communication propose un regard historiographique sur la recherche consacrée à l'immigration afro-caribéenne aux États-Unis. Cette perspective conduit à examiner les discours sur la réussite socio-économique des immigrés noirs originaires de la Caraïbe anglophone et à s'intéresser aux analyses relatives à leur construction identitaire dans la société américaine. cette communication met ainsi en lumière l'approche comparative implicite qui sous-tend ces études émaillées de références à la population afro-américaine. Mot(s) clés libre(s) : Afro-américains, noirs américains (identité collective), Afro-caribéens, recherches en sciences humaines et sociales, immigrés caribéens (Etats-Unis)
|
Accéder à la ressource
|
|
Le 18 avril 1940 — L’adoption du droit de vote des femmes : le résultat d’un long combat
/ Yves Deling, Michel Tousignant
/ 21-02-2013
/ Canal-u.fr
Lavigne Marie
Voir le résumé
Voir le résumé
Le 18 avril 1940, est un grand jour pour la démocratie. Celles qu’on appelle alors les suffragettes, retiennent leur souffle. Le projet de loi visant à accorder le droit de vote à la moitié de la population est adopté. Enfin ! Depuis 1927, année après année, ce projet de loi était rejeté et donnait lieu à des déclarations misogynes à l’égard des femmes. Depuis près d’un demi-siècle les organisations féministes demandaient pour les femmes un statut de citoyennes à part entière. Mais le clergé et les élites conservatrices s’y opposaient avec acharnement. L’épisode de la conquête des droits par et pour les femmes illustre la difficile redéfinition des rapports entre les femmes et les hommes qui façonnera le Québec moderne. Durant la première moitié du 20e siècle, bien que la vie des femmes ait changé, les institutions, les lois et les structures peinent à s’ajuster aux nouvelles réalités.Texte de la conférence :http://www.fondationlionelgroulx.org/Le-18-avril-1940-L-adoption-du.html Mot(s) clés libre(s) : Québec, Canada, histoire des femmes, Histoire du suffrage
|
Accéder à la ressource
|
|